Histoires de bons plaisirs – 12 -la Claque… par Verdon
Bon là je suis obligé de faire une digression au milieu de ma saga !
Vous n’allez pas croire ce qui m’est m’arrivé…
J’avais bien senti quelque chose de bizarre ce matin, côté de ma chère voisine, mais…
Savez-vous qui est-ce qui déboule chez moi sans crier garde, ce soir ?
Hé bien c’est Ernestine, ma fameuse voisine. Rien de bien nouveau vous allez dire…
Eh bien pourtant… telle une véritable furie la voilà qui débarque, un papier dans la main gauche et qui de la droite me fout deux claques. Pif…paf… oui deux claques, je vous dis, et pas des tendres, tout comme à un vaurien.
Moi j’en reste quoi, les bras ballants et la pine en déroute !
– Tiens ! Qu’elle me dît, garde-toi ton torchon et oublie ton ‘sac d’os’, il ne viendra plus t’emmerder…va te chercher un autre tapis pour t’essuyer la bite… et puis en fait d’os va fouiner dans ton froc pour voir si seulement il en reste quelque chose !… Salut ! et elle se barre la salope, en jetant son papier par terre et sans fermer la porte, l’impolie. (J’ai quand même remarqué qu’elle dandinait son cul !… c’est connu le cul n’est pas toujours en concordance avec les neurones…).
Vous vous rendez compte bon sang, une paire de claque! Une vraie avec la trace de ses doigts sur mes joues ! (encore si ça avait été sur mes fesses, mais non là, en pleine gueule !).
Et quant à un os dans mon pantalon…bien sûr que j’en ai un et un solide, oui… enfin encore assez solide pour me permettre quelques fantaisies et mouiller le tapis! (du coup je tire l’élastique de mon short pour me rassurer…oui il est toujours là, même qu’il s’est redressé), et puis elle aime bien le sucer mon os à moelle, alors faut pas parler d’absent ! Putain elle frappe là où ça fait mal la salope, elle n’en disait pas autant quand elle l’avait dans le cul… mon os !
Bon vous allez dire que c’était un coup à l’attraper par la taille, la retourner et lui donner une de ces raclées sur les fesses à lui faire regretter son vilain geste pour le restant de ses jours. Mais où n’a-t-on jamais vu une garce se comporter de façon pareille ! Une claque sur mes joues ! Non mais c’est sur son cul que je vais en mettre moi des claques ! Juste là sous son gras, sous son trou du cul… et puis à sec je me l’encule tout comme un légionnaire….
Eh bien non, non je ne suis pas comme ça et d’abord ça ne se fait pas ! Sûr, elle m’a mis en pétard la salope ! Mais je ne vais pas me la défoncer mon Ernestine, je l’aime trop et d’ailleurs elle m’adore. C’est qu’elle m’a tant donné depuis des décennies, l’amour, son minou merveilleux, son affriolant médaillon et ses tétons bordel ! Ses tétons délicieux, longs, durs et raides comme des cacahuètes, sucrés comme des chamallows, même qu’avec mon frère on suçait chacun le sien, comme de petites bites…et elle couinait la femelle ! Alors je ne peux pas lui faire ça.
Mais qu’est-ce qu’elle me veut la grognasse, je lui ai fait pourtant tellement de bien ! Lui ai-je fait du mal ?
Oui un peu au cul peut-être une fois ou l’autre parce que j’étais pressé… (bon mais c’est bien normal, quand elle me le tend son troufignon que je tombe dedans… vous savez bien vous tous comment ça se passe, quand la porte est ouverte on ne peut plus reculer, on pousse, putain c’est bon, c’est chaud, ça serre… on ne se retient plus ! et puis lui faire tressauter son petit cul au bout de ma pine ça a un p’tit côté amusant, je trouve ! C’est sûr elle hoquète un peu, mais ça aide au passage…
Han ! Han ! C’est sûr que mon gland qui lui dégomme la rosette ça la bouscule un peu…mais c’est si beau, putain quand ça rentre !…et elle s’y fait, même qu’avec un peu de pommade elle me dit que c’est bon…ainsi son cul il s’est habitué… elle a la rondelle élastique, après ça se resserre et il redevient tout beau, tout mignon le petit trou…même qu’il a une petite larme de joie au coin de l’œil quand je me retire.
. Alors en serrant les dents…D’ailleurs vous savez cela vous tous qui vous êtes essayés à la chose !…Oups !…Bon on ne le dira pas.).
Alors qu’est-ce qu’il lui a pris bon sang !
…Oui, sac d’os, j’ai écrit ‘sac d’os’… j’ai parlé de tapis… je n’aurais pas dû, je sais je n’aurais pas dû ! Mais c’était affectueux. C’était tendre, rien de méchant, et quand même deux claques pour un sac d’os !… elle les vend bien chers ses os la diablesse !
En plus ce n’était pas du mépris, moi je l’aime bien comme elle est, mon Ernestine. C’est sûr avant elle était plus rondelette et moi j’aime bien caser mes couilles sur un cul qui a du volume, du gras, juste pour amortir un tant soit peu mes bons coups de boutoir sans me casser les couilles et puis quand ça amortit, ça fait des prouts : » floc…floc « , ça ajoute au charme…d’ailleurs ça la fait rigoler quand je lui dis :
– T’as le cul qui m’enchante !
Bon mais elle est comme elle est. Elle est super mon ‘érotique’ car son petit cul sec il a du métier et il vaut bien mieux que celui d’une grosse poufiasse, quoique je les aime celles-là aussi ! Moi j’aime toutes les femmes, même celles qui disent du mal des hommes. Elles aiment bien la chose quoiqu’elles disent. C’est l’homme qui est derrière qui les gêne et pourtant derrière la chose il faut bien un mec pour pousser, non! Même qu’elles disent : » Encore » !… plus fort » !.. .et puis elles n’ont qu’à pas tourner la tête… c’est à leur cul qu’on cause !…
Donc elle est jolie ma rebelle. C’est sûr, pas très épaisse, un peu légère mais pas anguleuse. Et rudement bonne à la consommation.
Avec ça facile à soulever l’Ernestine, à envoyer en l’air, à faire toutes les poses du Kâma-Sûtra ! De la haute voltige, quoi ! (tiens, allez faire ça avec la Gertrude ! Peu de chance d’en ressortir intact ! Oups ! Pardon Gertrude…).
Un visage délicieux, ouvert avec de ces yeux mes amis ! Ces yeux… à peine elle les ouvre et vous tombez dedans ! Elle vous baise avec ses lumignons avant même d’ouvrir ses jambes. Elle n’a pas de gros seins mais des tétons de laitière qui ont nourri des armées de Gouines et de Messieurs gloutons et connaisseurs ! Sa bouche aussi est une merveille, très fine, habile, capable d’engloutir les plus gros spécimens de glands sur la terre et de faire jouir la plus réticente des femmes frigides.
J’ajouterai que sur le cul d’Ernestine j’y ai passé certainement les meilleurs moments de mon existence. Serré, élastique, boudiné, le petit trou odorant, la pastille ombrée d’une charmante petite aréole brune, qui pointe au milieu ses fesses comme le centre d’une cible. Et intrigant le p’tit trou, insolent, impatient, qui ne dit jamais non, pas un cri… oui quelques petits pets, je vous l’ai dit, mais si mignons, si pointus, si parisiens !… c’est signe qu’il est content son charnu… il ronronne et on le voit de loin son p’tit trou, lumineux comme le clignotant neuf de ma vieille deuche !…
Ah que du bonheur ! C’est certainement le bijou que j’ai le plus briqué de ma vie avec ma langue, mes doigts et mon pénis et même avec le pénis des autres, elle fait ça si bien !
j
Mais qu’est-ce qui lui a donc pris ?
Bon il y a sûrement quelque chose qui ne va pas chez elle. Ma chère Ernestine doit avoir un problème, je ne l’ai jamais connue comme ça. Il faut que je m’en occupe. Je vais laisser passer la soirée et j’irai la réconforter et lui faire retrouver son calme, sa bonne humeur. Elle va le reprendre mon roman et je vais effacer mes vilains propos. Et j’ai l’outil qu’il faut pour signer notre réconciliation. Elle a le cœur sur le cul… ou bien l’inverse… je ne sais plus mais c’est pareil !
Pourtant je ne suis pas macho, moi … Oui, je vous vois sourire… mais si peu macho ! À peine pour la rassurer… ça a besoin d’être tenu un peu en laisse ces petites friponnes et en plus ça aime ! Mais je ne lui fais pas de misère, pas de rentre dedans si je puis dire, une petite fessée de temps à autre, histoire de lui manifester mon profond attachement ! D’ailleurs elle aime, sinon elle ne ferait pas toutes ces petites sottises qui m’obligent à la corriger tendrement !
Non ce n’est sûrement pas cela. Je sais qu’elle aime les hommes qui savent manifester leur amour un peu fermement. Elle n’est pas de celles qui minaudent devant une bite un peu effervescente et poussent des cris d’orfraie dès qu’un mec jette un œil sur ses tétons ou sur son postérieur. Il n’y a pas de mal à ça. D’ailleurs elle m’a dit qu’elle aimait qu’on la mate, qu’on la traite des fois de traînée, de morue, ça l’amuse et ça ne l’empêche pas de tendre encore plus sa croupe la garce, quitte à se faire toucher le popotin par un vicieux monsieur… Alors ‘sac d’os’ ce n’est pas si terrible….bon passons.
A coup sûr, c’est sa rencontre avec le brave noir de l’autre jour, qui a dû la stresser. Il lui a défoncé le cul la pauvre ! Gentiment bien sûr. Mais défoncé quand même, la brute ! C’est que son trou du cul n’ayant plus 20 ans, elle n’a pas été à la hauteur…
Le bon noir il n’y ait pour rien évidemment. C’est un homme comme les autres et » un homme c’est un homme en somme » comme dit la chanson, alors ça vous encule avec fougue une petite Dame consentante qui a un cul d’enfer et qui cherche la défonce en vous tortillant son trou sous les narines avec convoitise. Elle ne sait pas dire non ! Aussi si le tuyau est plus petit que l’outil du Monsieur, ça coince. Mais ce n’était pas méchant, c’est juste qu’il a un peu forcé l’indélicat, d’ailleurs sur le coup, elle a aimé la parturiente (c’est elle-même qui le dit) .
– Oh c’est que c’était du solide qu’elle m’a dit !…Du bon gros !
Certes c’était du gros…mais c’est qu’elle a eu l’envie plus grosse que le cul, c’est tout ! Sûr, c’est d’abord dans la bouche qu’elle se l’ait pris…et c’était si bon dans la bouche qu’elle s’est dit pourquoi pas dans le cul ! Et l’envie ça vous ouvre le cul bien autant que la bouche ! (en poussant un peu plus quand même…).
C’était juste pour lui faire plaisir qu’il a poussé le Monsieur et puis sa belle queue noire face à son petit œillet rose… vous pensez bien que c’est un peu comme la langue sur un pot de confiture !.. .aussi il n’a pas pu résister le brave homme !…
(Oh !…faudrait pas charrier les gars, j’en devine plus d’un qui va tripoter sa Dame ce soir en rêvant qu’il a la queue noire !….).
Alors maintenant elle marche comme une cane et dans son cerveau ça gamberge des idées noires (si j’ose dire !) de jeunesse qui fout le camp… Non avec moi vous allez voir on va remédier à la chose. Elle n’est pas un sac d’os, elle est juste une femme qui a beaucoup bourlingué et on sait bien qu’avec le temps ça fatigue ces choses-là. Ça fatigue mais c’est bon, ça garde l’esprit vif, on reste jeune plus longtemps comme elle. Bien sûr avec le temps on se tasse un peu et le trou du cul se resserre alors il faut faire gaffe et entretenir tout ça avec modération… Il ne faut pas trop le secouer le tapis. Allez, les Nanas qui lisez mes vilains propos, ne faites pas les saintes nitouches, je vous connais ! Ne vous cachez pas sous les draps en vous titillant le monocle. Combien parmi vous souhaiteraient se débarrasser de la routine conjugale pour quelques fantaisies du même genre que celles qu’a faites Ernestine, histoire d’entretenir votre petit gagne-pain ! Ça vous fait envie les coquines !… les mecs il paraît qu’ils aiment ça !… Tous des salauds !
Inutile de vous dire que cette nuit j’ai beaucoup gambergé sur les raisons de la colère de ma petite amie. Ce matin grise mine, volets tirés personne ne bouge chez elle ! Bon j’irai voir cette après-midi….
Tiens en ce début d’après-midi, qui je vois arriver derrière les vitres de ma terrasse ? Mais c’est Ernestine ! À l’heure de la sieste c’est bon signe. C’est le moment qu’elle préfère pour venir me faire une bonne pipe pendant que je lui gratouille son derrière. (C’est l’heure où ça lui démange de ce côté-là).
Je ne vais pas lui faire la tête pour une gifle, ce n’est pas mon genre, j’oublie vite et une bonne petite fessée suffira pour remettre les choses à leurs places, aussi je m’empresse d’ouvrir.
Mais c’est qu’elle est radieuse la chipie, radieuse, pimpante sous une petite robe légère qui laisse deviner de belles choses, même que ras sa jupette je devine son petit chat broussailleux qui n’a pas l’air de dormir et qui a quitté sa muselière !
Oh le charme ! Elle se jette dans mes bras la chipie, où elle se pelote tendrement.
Elle allait ouvrir la bouche pour déclamer je ne sais quelles sottises, des regrets, de la confusion, bref… de l’amour, mais je ne lui laisse pas le temps de baratiner je te lui fais un bouche à bouche à réveiller un mort. Ma langue lui tripote, le palais, les dents, la glotte, on se noie de nos salives, on se bouffe les lèvres !
Ah que c’est bon ! Je ne lui laisse même pas dire ‘humm’, je la serre, elle n’a plus les pieds parterre et comme je suis nu bien entendu, rien qu’en soulevant un peu sa jupette voilà mon zizi qui va fréquenter sa frisette. Mais elle me fait bander la salope !
La voilà qui s’agenouille et sans même avoir le temps encore de dégoiser elle embouche mon cigare à moustaches ras mes balloches et va-s-y qu’elle me suce, la diablesse. Oh les beaux yeux blancs, le nez pointu de joie et d’insolence et le cul qui balance…
Elle me suce si bien que je bande, je vais me la baiser, mais oui presque comme avant je me la baise avec force, précipitation et mon doigt dans son cul, (ça, ça lui plaît, le doigt dans le cul !) Elle hurle comme un porcelet qu’on égorge…elle à 20 ans la vieille ! On passe un bon moment à se faire un tas de galipettes. En 69 elle continue à me pomper le nœud pendant que le lui dévore le trou de balle qui m’a l’air de s’être bien remis de sa dernière visite pharamineuse et à le regarder de plus près il me semble s’être un peu élargi et prêt à se laisser amadouer de nouveau par quel autre boniment tout aussi complaisant que le dernier. J’en profite pour y foutre ma langue le plus profond possible… un délice… de la gallinette je vous dis !
C’est donc la remise en forme de notre relation de fort belle façon ! Elle a su faire la garce, elle m’a embobiné comme un paquet de nouilles.
Du coup elle s’est exonérée d’une soupe à la grimace et d’une bonne fessée…. c’est regrettable, elle l’aurait bien méritée la fessée, n’est-ce pas ! Et je me serais régalé.
Mais il ne faudrait pas croire que je suis un vilain monsieur qui bat les femmes. Non pas du tout, ma mère m’a toujours dit qu’il ne fallait pas battre les femmes même avec des fleurs sauf qu’elle rajoutait que sur les fesses ce n’est pas de la méchanceté, c’est de la mise en train… et elle avait raison, c’est sûr.
Aussi je ne m’inquiète pas, je sais que mon Ernestine, elle saura en mériter bien d’autres des faveurs, sous peu, je parie.
Pour terminer on se retrouve tous les deux bêtement à se savonner dans la baignoire. Et ne voilà-t-il pas qu’elle pisse la cochonne ! Putain c’est chaud ! Assise sur ma poitrine elle m’arrose le visage tout en pétant comme un troupier et en disant ‘que c’est bon’ ! Avec le savon ça fait des bulles qui me chatouillent les nénés… Après je pisse sur son dos en suivant la colonne vertébrale, ça la fait frissonner… elle adore ! Je descends sur son cul en visant le petit œilleton boudiné qui s’ouvre et se referme comme pour me dire merci ! … Elle ouvre ses fesses, elle aime ça, je vous le dis !
Tout cela suite à une bonne paire de claque !….
J’avoue que même pas méritée, elle peut bien recommencer si ça lui chante.
Ce soir finalement elle veut rester dormir dans mon lit. C’est chouette, j’aime bien me coller contre elle, sur son dos et sentir ma pine se glisser entre ses chaudes fesses, ça me donne des envies de fornication …ben oui, c’est comme ça, collés contre son chaud petit cul… qu’est-ce que vous auriez fait vous autres ?… Merci ma Belle !
Bon justement, vous les branleurs et les baiseuses qui mouillez comme des fontaines publiques et bandez comme la colonne Vendôme, il est temps aussi d’aller dormir, alors lâchez-moi les baskets j’ai besoin de repos et au petit matin, c’est sûr, je vais me la faire ma femelle prodigue.
Quant à vous faites ce que vous voulez mais n’oubliez pas que la vie c’est entre les jambes qu’elle prend naissance, alors ouvrez-les, profitez-en et couvrez-vous quand même.
Bonne soirée les p’tits choux !
(16/09/21)
J’avais zappé cet épisode ! Distrait que je suis !
Ben voyons il ne faut pas être distrait comme ça! Un si joli petit cul…C’est ma petite copine qui va être vexée…encore des paires de claques qui se perdent qu’elle m’a dit la chipie!