Trio, fantaisies et adieux (Maud la prof – 6) par Bernard_le_photographe

Avant tout merci à tous les lecteurs qui suivent mes aventures et les
apprécient, cela fait plaisir de me le faire savoir par les classements et
les commentaires

Voici donc la (les) suite(s) de cette relation avec Maud, si par chance elle
se reconnaissait, qu’elle sache que je garde d’elle plein de souvenirs
merveilleux dont voici quelques exemples.
TRIO
Sachant que j’allais à Nice pour mon boulot, un jour, elle me dit qu’elle
devait y aller aussi, pour un concours, je crois, et qu’elle y passerait
peut-être un soir. J’échafaudais déjà des plans pour l’y retrouver, j’en
parlais à mon copain Philippe (celui qui m’avait filmé avec Marie, vous
voyez fidèle lecteurs ? – Voir Dans la fournaise de Marie)
Il avait une copine dont il me parlait, je ne la connaissais pas, mais il
proposa de nous recevoir chez lui et de nous y héberger bien qu’ils soient
en travaux. Tout fut préparé mais le jour dit, elle eut un gros empêchement
dont j’ai oublié la cause, Philippe m’offrit de venir quand même malgré la
déception. Sa copine aimant aussi les femmes, j’aurai pu avoir ma première
vision des amours saphiques. Mais bon, il fallut faire avec… (sans, plutôt
!)

Vers 19 h 30 je sonne à son appartement en pleine promenade des Anglais. Il
vient m’ouvrir avec sa copine, très sympa, pas la beauté du diable, mais du
charme, Habillée très classique, petit tricot noir et motifs argentés, jupe
au dessus du genou, évasée, jaune et par contre talons vertigineux car très
petite. En les suivant, je vois ses jambes, une couture qui court sur des
bas ? Un collant ?
Je déplore à nouveau l’absence de Maud, on se console en buvant un apéro et
en parlant de mes relations avec elle. Je raconte la classe (voir Un élève
nommé Bernard) et justement la copine est dans l’enseignement ! Elle
confirme qu’il y a des jeunes élèves qui la draguent mais c’est tout.
On est passé à table sans qu’il y ait quoique ce soit d’excitant sauf à la
fin du repas où je trouve qu’ils restent absent assez longtemps et je vais
les rejoindre à la cuisine pour les découvrir en pleine action ! Elle,
appuyée sur une table, lui debout derrière, le pantalon aux genoux. Je fais
le voyeur, constatant qu’elle portait des bas tendus par un porte
jarretelle, pas de culotte et un superbe fessier, la jupe étant relevée
totalement ! Je me délectais des yeux, puis approchais d’eux. Philippe me
dit :
– Tu m’as excité avec ta classe, j’ai voulu baiser un corps enseignant !

Elle tourne la tête et me sourit, j’approche encore, lui caresse le bras
puis une fesse sans résistance aucune et elle dit juste :
– Je vais jouir, je pars !
Elle tremble de partout et s’affale à moitié sur les gâteaux que j’avais
apportés !
Philippe se retira d’elle qui se relève, elle avait de la crème sur une joue
et sur le menton !
– C’est dommage de gaspiller ça ! Dis-je.
Et je me suis mis à lui lécher le visage et on s’embrasse à pleine bouche.
Philippe lui caressait les fesses, puis on passa au salon où très vite on se
mélangea : d’abord il passa derrière et lui souleva le tricot montrant de
forts jolis seins, pas très gros, qu’il malaxa et il me dit de m’agenouiller
devant elle qui se met sur le canapé en écartant les cuisses.
– Soulève ta jupe, fais-lui voir !
– Je crois comprendre !
Effectivement je découvre une fente sans poil.
– Je l’ai rasé ce matin pour toi !
– Oh, merci, j’adore ça et je vais le prouver !
Je lui caresse les cuisses lentement, les bas, puis la bande de chair juste
après, son ventre, elle s’approche alors du bord et ma bouche la parcourt.
Un régal pour moi, mais pour elle aussi qui gémit rapidement jusqu’à ce que
Philippe lui glisse son sexe dans la bouche, elle aimait aussi, visiblement.
Elle ne jouit pas sous ma langue seule, c’est seulement avec l’aide de deux
doigts qu’elle s’envoya en l’air mais sans excès, avec douceur.

Puis je me déshabillais, passai dans la salle de bain où elle vint me
rejoindre, juste en bas, jarretelles et talons haut pour me donner une
serviette, on s’enlaça, se frotta, très excités, puis elle me poussa sous la
douche et elle attendit pour m’essuyer, surtout le sexe ! A peine sec, elle
était à genoux sur la moquette pour me faire goûter sa bouche. Philippe vint
nous chercher, il avait ouvert le canapé où je devais dormir et nos corps se
mêlèrent. On l’a prise à tour de rôle, elle avait toujours envie, mais hélas
pas de sodomie ce qui aurait pu nous  » brancher  » tous les trois, tant pis,
elle jouit cinq ou six fois et à la fin elle me suça tant et si bien en me
branlant que je crus comprendre qu’elle voulait tout avaler et je me
laissais aller avec un immense plaisir dans sa bouche et… je pris une
violente claque dont je me souviens encore ! Elle alla cracher mon sperme
dans le lavabo et Philippe me dit :
– Putain, j’ai oublié, elle n’aime pas dans la bouche, j’aurais dû te le
dire !
J’allais vite m’excuser auprès d’elle.
– Tu faisais ça si bien que je pensais te faire plaisir !
– J’ai horreur de la consistance, en plus qu’est ce que tu en as !
– Tu me pardonne, hein ?
– Mais oui, t’inquiètes pas !

La preuve ! Je fus réveillé le lendemain par son corps se glissant sur le
mien. Philippe venait de la prendre, mais elle n’avait pas encore joui et
j’eus le plaisir de la voir en extase, empalée sur moi et cette fois
j’inondai sa minette !
FANTAISIES
Quand je revis Maud quelques jours plus tard, elle fut d’abord déçue, mais
ravie pour moi. La vie ne nous permit pas de nous revoir à quatre…

J’eus plusieurs moments inoubliables avec elle, par exemple lorsqu’ils
décidèrent d’acheter une boutique pour leur fils, et Maud se chargea de la
décoration intérieure. Elle me proposa d’y venir bien sûr et cela nous fit
un lieu insolite et tranquille pour nous voir pendant un mois. On put y
faire l’amour dans l’arrière boutique sauvagement sur des cartons, ou encore
debout appuyé à l’escabeau, ainsi qu’allongé contre l’escalier menant aux
combles. On avait mis une couverture épaisse sur les marches qui étaient
longues d’un mètre environ et voyant des sortes de bracelets caoutchouc, je
lui en passais aux chevilles que j’attachais aux montants. Je la vis relever
sa robe sur sa culotte blanche qu’elle écartai et me dit de venir voir de
près. Elle était là depuis un quart d’heure, moi venant d’arriver, je
regardai : elle avait mon petit vibro dans la chatte ! On n’avait pas pu
s’en servir ensemble encore et je tournais le bouton pour le mettre en
marche :
– Il me sert bien, tu sais ! Jje pense à toi grâce à lui !
Elle appréciait visiblement ce jouet d’amour, je la traitais de vicieuse, de
perverse, mais ça lui plaisait :
– Ce sont des compliments tout ça !
Elle me demanda de la prendre avec la culotte et je me vidais en elle alors
qu’elle jouissait aussi.

Une autre fois ce fut plus insolite car ce fut dans la vitrine (obturée,
bien sûr !) Un peu surélevée, assez large, sur la couverture épaisse on
entendait le murmure de la rue, les passants qui parlaient, et nous, nous
étions à poil à un mètre d’eux ! Très excitant de vivre ça !
Et puis après la boutique ayant appris que parfois l’été, l’idée lui venait
de se raser, mais que je ne l’avais jamais vu encore sans poil, je la
poussai à le faire. Cela dura trois ans ! Mais enfin, en avril 1981, les
beaux jours arrivant, elle finit par céder et je vins chez elle un après
midi avec mon appareil. Elle fit de la résistance, il fallut curieusement
encore une heure pour la convaincre !. Puis d’un coup ce fut décidé !
D’abord elle passa une robe rouge qui pourrait tout cacher au cas où ? Puis
des bas, un porte jarretelle pour le côté sexy et sur la table basse du
salon elle s’assied avec des ciseaux et coupe sa toison blonde (que j’ai
conservé d’ailleurs), ensuite elle passe dans la salle de bain, prépare la
crème, le rasoir, et sa chatte disparaît sous la mousse. Mon premier rasage
en direct, je vivais de précieux instants que j’immortalisais sur pellicule.
Sa superbe fente apparut lentement à chaque passage du rasoir, vision
sublime et en plus elle était gênée de faire ça :
– Même mon mari n’a jamais eu le droit de me regarder et toi en plus tu fais
des photos !
Et pour finir, elle ôte prestement la robe, grimpe dans la baignoire pour se
rincer et tout en le faisant, elle fit pipi debout et je fis deux vues
superbes où elle semble lâcher des perles d’or de son intimité. Magnifique !
Et à la fin remettant sa robe…
– J’ai fait tout ça pour toi, mais tu as intérêt à bien me la lécher pour me
remercier !
– Ce n’est pas une corvée pour moi, tu sais que j’adore ça !
Pour cela elle se plaça à un endroit précis assise sur la table de la salle
à manger en verre très épais. J’avais une autre idée : la faire marcher sur
le verre, moi allongé dessous, un rêve de voyeur ! Vision incroyable et je
la fis allonger voyant son ventre et ses seins écrasés ou ses fesses, le
paradis, puis elle se mit à l’endroit où mange son mari ! Je m’assieds face
à elle qui s’ouvre en grand, je lui prends d’abord un gros plan, puis je me
mets à la sucer avec délectation, sa chatte coulait sur la table ! Et elle
se mit à jouir, s’allongeant en se caressant les seins. Je me lève ayant
envie de la prendre :
– Non, encore, encore ta langue !
Je me remit à l’ouvrage puis lui demandais le vibro, elle m’expliqua ou le
trouver, caché dans… la cuisine ! Aussitôt il est en action ainsi que ma
langue… et sa jouissance sera merveilleuse, très forte, elle se
contorsionna si bien qu’elle fut à plat ventre !
Puis revenant à elle, elle se lève, va sur le grand canapé d’angle, s’y
allonge
– Viens vite, viens en moi, j’ai encore envie !
Je baisse mon pantalon et mon slip, elle relève les cuisses
– Prends-moi vite, baise ma chatte de petite fille, vas-y régale-toi comme
tu m’as régalé !
Je m’enfonce en elle avec jubilation.

Je ne sais pas pourquoi, je prolongeais ce rapport plus que mon envie de
jouir le souhaitait, jouissant d’abord du spectacle de ce ventre ondulant,
de mon sexe allant et venant lentement dans cette fente rasée pour moi
spécialement. Elle aussi regardait, appuyé sur les coudes.
– J’ai l’impression à chaque fois d’être une petite fille quand je fais ça !
Puis elle me dit qu’elle voulait me voir gicler, et bientôt elle fut exaucée
: après quelques rapides va-et-vient, je sors mon sexe et ça lui fuse jusque
sous le menton et l’oreille, puis les seins et le ventre ! A l’époque je
giclais, huit, neuf, dix jets, ce qui étonnait mes partenaires (voir
Philippe encore et Marie dont j’avais inondé le visage)
Maud se releva, s’essuya sans se laver.
– Je voudrais que mon mari sente ton sperme !
ADIEUX
Puis on se sépara pour ne se revoir qu’un an plus tard ! On ne refit jamais
l’amour chez elle pour diverses raisons. Notre dernier rendez-vous fut pour
faire des photos d’elle montrant sa culotte sous sa robe secouée par le
mistral, dans des ruines proches de la côte. Il y avait un escalier
descendant dans des caves fermées. Je la fit mettre  » sur moi « , un pied de
chaque côté, moi assis sur les marches, paradis de voyeur, mais ça ne suffit
pas, on avait envie l’un de l’autre et elle s’est donnée dans cet escalier.
On fut hélas dérangé alors qu’elle avait joui une fois, mais pas moi ! On
décida d’aller manger une glace plus tard, car elle avait quelques courses à
faire, on se retrouva une heure plus tard sur le parking d’un port. On
s’excita un peu en parlant, puis je lui annonçais que j’allais quitter la
région, en fait, je voulais arrêter cette liaison, ce furent donc des adieux
fait en 1982. Je la raccompagnais jusqu’à sa voiture où je fis d’elle deux
dernières photos, dans sa voiture, les seins à moitié dehors et culotte
visible. D’un coup elle me dit :
– Tu n’as pas joui tout à l’heure, moi si !
Sa portière nous cachait un peu, elle ouvre ma braguette, sort mon sexe, sa
bouche s’y pose ! En plein parking, mais on aurait pu croire que j’attendais
quelqu’un, elle n’étant pas visible. Je savourais cette bouche pour la
dernière fois et je m’y vidais.

Je la vois encore se relever, déglutir ma semence, s’essuyer des larmes,
puis elle mit en route. Je ne la revis jamais.

Bernard (avril 2002)

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