Bonjour Eddy ! J’aimerais bien que soit publiée sur ton site l’une de mes histoires fétiches, une de celles que je ne me lasse pas de lire et de relire. Je ne sais rien de l’auteur, j’avais copié cela sur mon disque dur. Il y était indiqué : Le récit d’Agathe pour XHEROX [ Le forum SCHKOPI SEX ] Ecrit par Agathe le 06 Février 1997 a 10:01:10. Cette histoire à été publié à ma demande sur Revebebe en mai 2000 sans que l’auteur ne se manifeste depuis. Bisous ! Léna Van Eyck
C’est bien volontiers que je publie donc cette ode à la bisexualité, certes un peu maladroite, mais tellement dans l’esprit du site. Quand à l’auteur nous serions heureux qu’il nous contacte ! (NDLR)
Une promenade très bi !
Arrivés sur place vers sept heure, aussitôt, nous nous déshabillons ce qui fait immédiatement bander Patrick. Sa très belle queue se dresse droite devant lui. Il l’a empoigné et se masturbe lentement en se caressant les couilles.
Il faut dire que nous nous étions arrêtés en route pour nous taper une branlette. Patrick marchait derrière Laurence et Véronique qui avaient enlevé leurs culottes pour ne rester qu’en minijupe de tennis. Patrick ne pouvait supporter plus longtemps de voir devant lui ces chattes en mouvement, il bandait dur et avait sorti sa bite pour se masturber en marchant, cela avait excité tout le monde, et d’un commun accord, nous nous sommes arrêtés pour nous taper une bonne branlette. Nous ne risquions rien puisque plus bas, le chemin était condamné par un premier portail. Le chemin ne nous permettant pas de nous regrouper en cercle, une moitié d’un côté et une moitié de l’autre de façon à nous voir tous et nous nous sommes masturbés. Après cela les hommes sont repartis avec la bite sortie de leur short ou pantalon et les femmes avaient toutes enlevé les vêtements du bas et marchaient avec le cul à l’air, heureusement que Christine et son mari entretiennent bien le chemin, sinon les ronces auraient abîmé quelques chattes et quelques bites. Mais comme nous étions intercalés femmes et hommes, ces derniers avaient une formidable vue sur les culs et ils bandaient raides comme du chêne. C’était très excitant de nous regarder marcher dans cette tenue, cela excitait aussi bien les hommes que les femmes. Nous avions tous envie de nous branler en marchant. Mais la pente aussi était trop raide.
Donc, nous finissons de nous déshabiller pendant que Patrick continue sa branlette puis nous décidons de nous asseoir en cercle et de nous masturber chacun individuellement avant de casser une petite croûte. Patrick éjacule par terre avant que nous ayons commencé et se propose de faire le café pendant que nous nous envoyons en l’air. OK, sa branlette nous a mis en appétit. Mais Aude et Véronique sont déjà en train de s’exciter et d’exciter les autres par une petite partie de tétons.
– Décidément aujourd’hui c’est la réunion des grosses queues ! S’exclamait Laurence.
Il va sans dire que nous sommes tous bisexuels, mais pas homo. Voyeurs et exhibitionnistes, masturbateurs et masturbatrices, certainement, et très content de l’être sinon nous ne serions pas ensemble. Nous avons aussi une très forte libido. Maintenant nous sommes tous à poils, dans la position debout et en cercle, nous nous masturbons chacun soi-même en nous regardant, nous jouissons tous très fort, les hommes éjaculent dans l’herbe et les femmes écartent très largement les cuisses pour mieux nous exciter. Ce préambule terminé, nous rejoignons la cabane et attaquons le petit déjeuner, ce qui n’empêche pas les caresses et les petites branlettes pour entretenir l’excitation et les érections. La marche et le casse-croûte ont mis tout le monde en pleine forme, en bandant et bien excité nous rejoignons la clairière ombragée et commençons vraiment notre « nature-sexe-partie ». C’est, à qui se branle le mieux, qui suce le mieux une bite ou une chatte, qui branle mieux le copain ou la copine, qui éjacule le plus loin. Assis ou couché sur des couvertures, c’est une profusion de fellation et de masturbation. Pierre et Patrick se branlent leur belle queue tout en se caressant les couilles et en s’embrassant, Pierre fait décharger Patrick sur son ventre pendant que celui-ci fait gicler la queue de Pierre sur son pubis. Aude est en train de masturber et de sucer Georges qui la branle avec la main entière plaquée sur la chatte. Les soupirs et les râles de plaisirs fusent de partout, fort heureusement ils ne s’entendent pas très loin à cause des arbres. Véronique se masturbe et se lèche avec Alice, Tandis que Laurence, Gilbert, Sophie et Jean-Jacques multiplient les combinaisons avec leurs chattes, leurs queues et leurs bouches. Des flots de sperme accompagnés de petits cris et de râles se répandent dans la nature.
Passage au réservoir près de la source pour un brin de toilette, et direction la clairière, nous nous asseyons en demi-cercle pour voir Patrick et Pierre juchés sur le rocher et qui pour nous exciter vont se sucer, se masturber et se branler chacun leurs grosses et belles bites. Nous nous branlerons en même temps. Ils bandent terriblement. Tous les deux, leurs bites sont magnifiques. Ils s’enlacent pour s’embrasser tout en saisissant leurs queues qu’ils commencent à masturber lentement, ils ne sont pas avares de caresses sur les couilles, le pubis et le ventre. Ils sont très excités et se masturbent intensément. Puis Pierre engloutit la belle queue de Patrick pour lui faire un succulent pompier en se branlant lui-même. Leur excitation est communicative, car le reste du groupe est pris d’une incomparable frénésie masturbatoire et fellatrice. Chacun d’eux fait gicler le sperme de l’autre vers nous.
– Dis-nous Aude ? « Quand deux femmes font l’amour ensemble, pourquoi dit-on – C’est normal elles veulent changer un peu – Et quand deux hommes se sucent ou se masturbent dit-on – ce sont des pédés.- ? »
– Parce que vous êtes toujours des machos, vous voulez rester le sexe dominant, vous avez peur pour votre virilité, puis les femmes qui font l’amour ensemble est un spectacle qui vous excite. Si l’amour entre femmes et homme est la norme, l’amour physique entre hommes ne me paraît pas du tout anormal. Personnellement, j’aime regarder des hommes qui se masturbent et se sucent, cela m’excite, par contre je n’aime pas regarder deux hommes qui pratiquent le coït anal. Mais je ne trouve pas ça anormal, question de goût. On se masturbe, on se suce, on s’embrasse, même entre hommes, et sans complexe, non pas parce qu’on s’aime, mais tout simplement parce qu’on est excité et qu’on veut jouir autrement.
Nous jouissons avec eux dans un déchaînement de sperme et de râles. Après cet orgasme collectif, nous recommençons une autre séance, mais cette fois ci c’est Aude qui monte sur le rocher pour nous charmer avec une magistrale branlette, car si quelqu’un sait bien se masturber, c’est bien Aude. Encore une fois, nous nous envoyons en l’air en nous masturbant et en nous suçant les uns les autres. Entre chaque orgasme nous continuons à nous caresser aussi bien celui ou celle qui se trouve à notre droite ou notre gauche, parfois nous changeons de place pour nous retrouver avec une nouvelle bite ou chatte dans les mains. Nous remettons cela plusieurs fois jusqu’au petit déjeuner près de la cabane qui dure assez longtemps mais est il est accompagné de caresses, de branlettes et de pompiers à la confiture, à la crème de chocolat, vanille etc. Mais c’est surtout la fête des femmes qui se remplissent la fente de crème au chocolat et vanille avant de se faire copieusement sucer le sillon et le clitoris. Et elles y remettent une bonne portion avant de jouir, la confiture ne servant qu’à enduire le clitoris et les grosses lèvres des chattes.
Les discussions aussi vont bon train ; Aude préconisait comme dessert que tous les hommes présents lui déchargent en même temps dans la bouche. Adopté à l’unanimité, tu auras ta ration lui dit Laurence. En effet, dès que nous sommes passé au dessert, les six hommes se sont levés pour aller se masturber face à Aude qui les aide tant qu’elle le peut. C’était un tableau très excitant, Aude les regardait faire en se branlant, les femmes se sont serrées entre elles pour se masturber en regardant ce spectacle paradisiaque. Pendant le temps de leur masturbation, les hommes s’étaient constamment concertés pour arriver à éjaculer ensemble. Dès qu’un d’eux avait atteint le point de non-retour il ralentissait les mouvements de sa main pour attendre les autres, ceux qui avait un peu de retard le disaient aussi. Puis lorsque tous les six étaient près de la jouissance, ils le faisaient savoir pour enfin parvenir une formidable éjaculation synchronisée. Le sperme giclait sur la langue et la bouche d’Aude qui se finissait avec sa main entièrement plaquée sur sa chatte. Les autres femmes de l’assistance participaient à cet orgasme collectif en soupirant et gémissaient.
Vers les quatorze heures, retour à la clairière jusqu’au soir pour plusieurs séances sexuelles non-stop, avec diverses combinaisons, femmes-hommes, femmes-femmes et hommes-hommes. Un déluge de masturbation, de pompier, et de minet déferle sur la clairière. Les chattes sont constamment ouvertes, les bouches prêtes à sucer, et les bites en érection permanente. Les mains n’arrêtent pas de masturber et les bouches de sucer ou de lécher.
Entre deux orgasmes collectifs, nous continuons de nous embrasser, de nous tripoter les sexes, les seins. Nous jouissons individuellement, à deux, ou à plusieurs. C’est selon le partenaire qui se trouve à côté de vous. Ou alors on change de place et on recommence avec d’autres partenaires. Ici, nous ne relatons que les orgasmes collectifs, mais les autres sont bien plus nombreux et il faudrait des pages et des pages pour les raconter. Toutes ces grosses bites et ces belles chattes ne connaissent pas le repos pendant toute la durée de la rencontre. Ce qui est le plus excitant, c’est de pouvoir se masturber nu en toute liberté et en pleine nature, sans se gêner devant les amis sur un terrain qu’on sait être l’abri de tous les regards.
Avec combien d’éjaculations le sperme aura-t-il giclé, sur les corps, contre les arbres, dans l’herbe. Nul n’en a fait les comptes, mais pour la journée, c’est Alice qui tient le record des branlettes qu’elle s’est faites, ou fait faire ou qu’elle a fait aux autres. Elle a joui seize fois et à fait jouir au moins deux fois chacun et chacune de ses amis. Et dire qu’elle remettra ça le lendemain. Mais elle et son mari nous ont dits que la masturbation faisait partie intégrale de leur vie, que chez eux ils pratiquaient, le coït bien sûr, mais qu’ils se masturbaient dès qu’ils en avaient l’occasion.
Combien de fois au cours de cette journée aurons-nous peloté les seins, léché les chattes, sucé les bites et masturbé les sexes ?. Nous n’en tiendrons pas la comptabilité, car personne ne nous croirait !
Avant de partir Sophie fait dans la clairière un magistral pompier à Daniel et notre excitation nous oblige à les accompagner dans leur orgasme en nous masturbant.
Nous aurons tous joui au moins une douzaine de fois, mais maintenant il faut descendre vers les véhicules en temps voulu pour ne pas être pris par la nuit. En altitude, les nuits sont encore assez fraîches pour camper avec un matériel de fortune.
Alice et Jean-Jacques nous invitent chez eux pour le lendemain. Pas de problème, nous y serons tous, Christine et Roger seront avec nous. La belle et grande Christine qui va encore, pour le plaisir de tous, vouloir sucer toutes les bites en se faisant masturber par les femmes. Roger qui bande dès qu’on le touche et qui astique sa grosse bite en permanence voudra sûrement se faire glouglouter le nœud par Patrick. Une bonne journée et soirée en perspective !
Première publication sur Vassilia, le 13/02/2001
Une partouze complétement hors sol mais quelque part c’est ce qui en fait le charme
Agathe, tu ne sais pas ce que tu perds, c’est très beau de voir deux hommes se sodomiser
Quelque dialogues auraient rendus ce récit plus vivant et moins embrouillé
Vous êtes marrant, tous ! Il n’y a pas que la sodo dans la vie ! Les pipes et les minettes, c’est pas mal non plus
on ne s’encule pas chez Agathe, mais c’est très bon quand même ! vive la bite
Une petite réécriture serait la bienvenue (en y incluant quelques joyeuses sodomies
C’est très confus et très factuel, je n’ai pas compté combien il y avait de participants, mais j’avoue que c’est assez excitant. Et c’est vrai que les amateurs d’histoires X à la Marc Dorcel vont s’enfuir en courant
Mais dis-moi Agathe, pourquoi n’aimes-tu pas le spectacle de deux gars qui s’enculent ? Moi j’adore voir ça ! Aurais-tu eu une mauvaise expérience ?
Je rejoins ce qu’on écrit les collègues, c’est pas mal du tout, mais comme dit précédemment le fait qu’il n’y ait aucune pénétration reste un mystère
Un volontaire pour enculer Agathe qui semble avoir des problèmes avec la sodomie ?
Moi ! Moi !
Toute une ambiance, mais le fait qu’il n’y ait aucune pénétration reste étrange
bucolique à souhait, ça suce beaucoup, c’est la fête à la bite
C’es très frais, très sympa, mais dans cette histoire personne ne s’encule ! Bizarre, non ?
Il ne savent pas ce qu’ils perdent, c’est tellement bon de se faire enculer par uen bonne bite bien raide !
Et alors, la sodomie n’est pas une pratique obligatoire, à ce que je dache ?
Personne n’a parlé d’obligation. La question n’est pas là, mais nous avons ici une partouze bisexuelle (5 hommes et 5 femmes) sans sodomie, ni feuille de rose ni doigtage anal, quant aux femmes, personne ne les baise… ce qui achève de rendre le récit complétement lunaire.