Première aventure érotique d’un puceau.
2 – Apprentissage érotique mouvementé
par Paulino
Après cet avertissement en forme d’ordre, elle reprend mon sexe à pleine bouche et recommence à me sucer, je n’ai pas dit un mot je n’arrive pas à croire ce qui m’arrive, mais le va-et-vient de ses lèvres pleines le long de mon pénis dressé, sa langue qui tourne sur mon gland ses dents qui me griffent un peu, elle est experte, en très peu de temps cela provoque une puissante vague dans mon ventre et j’éjacule violemment dans sa bouche qu’elle a maintenu fermée.
Je crois bien n’avoir jamais jouit aussi fort lors de mes pauvres pratiques solitaires, ne me laissant aucun répit elle retire sa bouche maintenue fermée tandis qu’elle appuie sur mes épaules, me mettant à genoux pour coller sa bouche pleine de mon sperme qu’elle fait couler encore chaud dans la mienne en m’embrassant, gêné pour respirer je suis obligé d’avaler.
Je n’ai jamais bu mon sperme c’est la première fois et c’est une découverte, il me semble y trouver un parfum de vodka sans doute résiduel du grand verre d’alcool qu’avant elle avait bu ; est-ce l’excitation, provoquée par mon brutal dépucelage, mais je ne trouve pas cela désagréable.
Maintenant elle me prend par la main et m’emmène dans une autre pièce de son appartement, dont un grand lit occupe le milieu, le décor est surprenant, partout des fourrures, sur le sol, éparpillées sans recherche d’esthétique, ainsi que sur le lit, on croirait une chambre de courtisane 1900. Au plafond est fixé un grand miroir, mais où suis-je ? Est-ce que cette femme est une prostituée ? Après tout je m’en moque, je crois que je vais avoir des choses à raconter à mon copain Julien.
Puis elle me dit.
« – Maintenant, je vais t’apprendre à aimer une femme, car tu ne semble pas très doué, tu as droit aux circonstances atténuantes puisque tu étais puceau, mais il faut te réformer, tu m’appelleras donc maîtresse, et chaque fois que tu ne seras pas à la hauteur de mes désirs tu seras puni.
Pour commencer enlève ce vilain pull qui n’a aucun attrait, tu vas apprendre à me déshabiller, tu es plutôt beau garçon, et si tu retiens bien mes leçons je suis certaine que tu séduiras beaucoup de filles. »
Elle m’arrache mon pull et je suis nu, en chaussures et chaussettes, je n’ose lever les yeux et regarder mon reflet dans le miroir de plafond, elle est debout face à moi.
« – Aller, sale gosse déboutonne mon chemisier admire ma poitrine. »
Fébrilement je retire son chemisier, peu m’importe ce qu’elle est car elle est belle, sa poitrine est maintenue dans un soutien gorge seins nus, ses mamelons tendrement roses sont, gonflés, une constellation de taches de son se disperse au dessus de ses seins.
« – Dégrafe le support de mes seins, voit comme ils sont lourds et pesants dans tes mains, continue, maintenant retire ma jupe, je ne porte rien d’autre dessous, que mon porte jarretelle et des bas.
Tu n’es pas plus expert en déshabillage qu’en séduction, un déshabillage est un prélude à l’amour chaque partie de vêtement retirée doit être prétexte à des caresses et baisers tu m’as déshabillée comme tu aurais épluché un oignon, tu es nul mon mignon, en déshabillant une femme il faut lui donner l’envie d’être caressée ; regarde ma chatte c’est à peine si je suis mouillée, tu as gagné une première punition. »
Cela dit, elle m’impose de nouveau une position à genoux devant elle, son sexe à quelques centimètres de mon nez, elle est totalement épilée son parfum intime est puissant, je ne peux vérifier qu’elle est rousse comme je le prétendais mais ayant remarqué son buste moucheté de son je le pense. Maintenant elle me dit :
« – Tend la main, là sous la fourrure sur le lit dit moi ce que tu y trouve.
– Un manche en bois il y a !
– Ah mais que t’es-je dit tu dois m’appeler maîtresse, redit moi.
– Oui maîtresse c’est un manche en bois,
– Prend le et c’est quoi ?
– Ah c’est un martinet !
– Oui regarde ces lanières en cuir qui sont à l’autre extrémité, je vais t’en caresser, donne le moi. »
Alors appuyant sa main sur ma nuque elle applique mon visage sur son ventre, puis reculant légèrement elle m’oblige ainsi à une position penchée vers le sol; un premier petit coup de martinet vient me fouetter le bas du dos et les testicules.
« – Ah cela active le sang dans tes petites couilles elles rosissent et gonflent. »
Elle m’applique encore deux à trois coups de fouet chaque fois sur mes fesses et mes couilles.
« – Aller maintenant je te veux très soumis ouvre ta bouche, aspire bien entre les lèvres de ma chatte, et pose un doigt sur l’œillet de mon trou du cul. »
Elle a collé ma bouche entre les lèvres de sa vulve, et mon doigt que consciencieusement j’appuie à son anus le sent palpiter. Je suffoque un peu car sa vulve enveloppante gêne ma respiration et brusquement un jet d’urine chaude vient heurter ma gorge, me faisant tousser et cracher.
« – Ah il faut donc tout t’apprendre, on ne tousse pas, et ne crache quand on aime sa maîtresse, pour cette faute je te donne encore deux coup de martinet. »
Ouille, mes couilles sont en feu, mais cela me fait bander, alors elle me renverse sur le dos et rapidement elle s’accroupit se plantant sur ma verge qu’elle a rapidement guidée dans son vagin.
Voilà la première baise de ma vie, quelle contrôle avec soin faisant une courte pose de temps en temps pour prolonger son plaisir et retarder mon orgasme, c’est trop bon c’est émouvant, ses seins se balancent à chacun de ses mouvements. Avec ses jambes toujours gainées dans le tissu de ses bas et ses bottines à talons elle emprisonne ma tête et coince mes épaules. Mon regard égaré dans le miroir au plafond voit le reflet de ses mouvements, et le va et vient de sa chatte, le choc répété de ses fesses sur mes cuisses, le balancement de ses seins au dessus de mon corps, tout cela m’emmène finalement dans un orgasme qui coïncide avec les gémissements du sien. Elle reste un moment assise ainsi sur mon ventre puis enfin se relève.
« – Bon c’est un peu mieux pour un début de novice, je t’apprendrai à m’aimer tu verras, mais viens avec moi dans la salle de bain on va se laver. »
Prochainement la suite d’un apprentissage amoureux et soumis
il reste quelques maladresses, mais on sent que l’auteur a travaillé son récit, et ma fois, je le trouve plutôt excitant.
C’est gentil, c’est plein de bonnes intentions mais qu’est-ce, que c’est maladroit. Tenez une phrase au hasard :
» Dégrafe le support de mes seins, voit comme ils sont lourds et pesants dans tes mains, «
Vous en connaissez beaucoup, bous des gens qui parlent comme ça ?