Je m’appelle Marc, et j’ai 34 ans. Ma sexualité a connu un véritable bond en
avant ces trois dernières années, comme souvent je l’ai remarqué auprès des
gens de mon age. Mais c’était encore sans commune mesure avec la double
histoire que je vais vous conter.
J’étais invité à la soirée d’une amie voilà un mois de cela et j’ai
rapidement remarqué trois jeunes filles qui semblaient déjà bien se
connaître. Patricia, Gaëlle et Karima. J’appris qu’elles partageaient le
même appartement, et d’après notre hôte, davantage encore…
Dans ces soirées où mes amis proches sont présents, il n’est pas rare que la
conversation tourne autour de mes mœurs, que certains jugent un peu
marginales, parce qu’en l’absence de vrai grand amour, il me plait d’avoir
simultanément deux ou trois relations. Je joue la transparence, mes copines
sont toutes informées de l’existence des autres, c’est d’abord plus honnête
et beaucoup plus facile à gérer. J’adore mes copines et pas seulement pour
une affaire de sexe, et je trouve enrichissant à tout point de vue de varier
leurs fréquentations. J’ajoute que je les incite à « s’enrichir » également de
leur coté, je considère la jalousie comme étant l’un des plus vilain
sentiment de l’être humain et je ne vois pas pourquoi je devrais avoir
l’exclusivité de leurs plaisirs.
Néanmoins je suis conscient de pouvoir choquer certaines âmes plus
conventionnelles et il m’arrive aussi de me faire traiter de tous les noms.
Des « Dégueulasse », « macho », « tordu » ou « éternel insatisfait » ne sont pas
rares et rapidement je me retrouve en minorité dans le débat.
Ce soir là, évidemment la conversation portait sur ce thème (dont tout le
monde aimait qu’il porte à la controverse sans vraiment l’avouer), mais
cette fois les « accusateurs » devaient faire face à une défense, certes
désorganisée, mais néanmoins renforcée : les trois copines, contre toute
attente, s’étaient ralliées à ma cause ! Et déjà j’osais espérer que cela
crée des liens…
Il commençait à se faire tard, le débat s’est disloqué avec le départ des
uns et des autres, nous étions un peu tous éméchés, certains partaient
contrariés, les oreilles rouges tellement leur argumentation avait été
passionnée, d’autre avaient préféré une sortie plus diplomatique avec des
« chacun son truc, après tout »… Et puis deux groupes réduits s’étaient
formés, deux garçons s’amusaient à faire rire une nana et moi je me
retrouvais, enfin, avec mes trois alliées …
Gaëlle attaqua direct :
– alors comme ça t’es un petit cochon ?
– heu… il me semble… mais qu’est-ce que tu appelles cochon ? et vous les
filles vous êtes les trois petites cochonnes ?
– oh oui, répondit Karima en riant, on fait tout plein de cochonneries et
peut être plus que toi !
Je me retournais vers le second groupe et fus rassuré de voir qu’ils ne
prêtaient pas attention à nous… et ne voulant pas lâcher une telle perche :
– comme quoi par exemple ?
Au lieu de répondre, Karima attrapa le mollet de Gaëlle, fit voler son
escarpin et commença à caresser la plante de son joli pied. Ses doigts
glissais de temps en temps entre les petits orteils en éventail le Gaëlle,
elle approchait aussi son visage pour s’imprégner de l’odeur puis d’un coup
elle enfourna tout l’avant pied dans sa bouche.
– on a chacune notre spécialité ! Reprit Gaëlle sur un ton très provocateur,
par exemple Patricia elle raide dingue des pieds, elle aiment ceux des
garçons et ceux des filles aussi… et… hummm les miens aussi. Karima adore la
nourriture, ça lui arrive de faire des menus d’enfer sur un plateau vivant,
miam miam… mais la plus cochonne c’est moi : j’ai une petit penchant pour le
pipi ! Mais attention le pipi c’est moins cochon qu’il n’y parait au départ
!
Karima rendait un pied aux orteils luisants à sa propriétaire, mais
continuait
– Wou-hou… vous êtes les « fetich-girl », dis-je en riant, j’adore… la bouffe
bof, je ne suis pas très attiré, mais, en revanche, j’ai une vraie
collection de photo de pieds sur mon ordinateur et l’uro, ça m’excite
terriblement !!!
– Mais pourquoi ça serait toi la plus cochonne ? Intervint Patricia en se
tournant vers Gaëlle
Elle n’avait jusqu’alors pas parlé mais qui semblait ne pas en rater une
miette. Puis en se retournant sur moi :
– ce ne sont pas véritablement nos spécialités… c’est plutôt un penchant
particulier, une préférence… par exemple moi aussi j’aime bien le pipi !
– Et moi j’aime bien manger une chatte ou une queue à la chantilly, dit
Karima puis avec un petit ton de gourmande feint : mais c’est vrai j’aime
bien les odeurs de corps en tout genre… hummm ça m’excite !
– Vous battez pas les filles, dis-je toujours en rigolant, c’est comme à
l’école des fans… vous êtes trois petites cochonnes à égalité !!
– Et si on faisait une « compète », demanda Gaëlle, Marc tu veux faire
l’arbitre ?
– Hummm je sens que je vais adorer !
– D’accord les filles ?
– Quand maintenant ? Demanda Patricia, on bosse demain !
– Pourquoi pas samedi…?
Le rendez-vous fût donc pris pour le samedi en début d’après midi. trois
jours à patienter…
Cette conversation m’avait beaucoup excité mais comme il se faisait tard et
que personne ne souhaitait faire ça devant le deuxième groupe, je restais
sur ma faim. Conscientes mon état mes trois cochonnes avaient eu la
délicatesse de m’abandonner leurs petites culottes respectives, après être
passé successivement et discrètement aux toilettes, mais à condition que je
leur ramène. Elles m’ont toutes assuré que les culottes avaient été portées
depuis le petit matin de la veille (puisque nous avions largement passé
minuit), qu’elles me donneraient un avant goût intime de la « compète ».
Gaëlle ajouta qu’elle aimait beaucoup lâcher quelques gouttes de pipi dans
sa culotte, avant de l’écarter complètement pour terminer de se soulager, ça
lui procurait non seulement une douce excitation de se sentir humide, et
puis ça promettait une « savoureuse reniflette » (pour reprendre son terme),
le soir en rentrant. Je crus même comprendre que la petite culotte sale de
Gaëlle était devenue une sorte de rituel pour les trois complices, et
qu’elle passait de mains en main, de nez à nez et de langues à langues.
J’avais les trois petites culottes en main, je ne m’en remettais pas.
J’étais encore plus excité, et maintenant ça se voyait nettement. Mais outre
la petite culotte de Gaëlle dont les gouttes de pipi pouvaient porter à
confusion, je m’aperçu au fond de culotte de Patricia et Karima que notre
conversation ne les avait pas laissés indifférentes non plus.
Patricia, pourtant la plus soucieuse de l’heure avancée, eut pitié de moi au
moment de quitter l’appartement. Elle proposa à ses deux copines et moi une
« pipe soulageante et discrète » (je cite) dans la cage d’escalier, entre le
dernier étage et l’accès au toit.
Les assurant que ça ne durerait sûrement pas longtemps, vu mon excitation,
Gaëlle et Karima avaient d’abord choisis d’attendre Patricia devant
l’immeuble, puis se ravisèrent sur le palier pour y assister. Patricia me
pris la main comme elle l’aurait fait avec un enfant puis monta les marches
avec une lenteur insupportable. Heureusement la soirée s’était déroulée au
8ème étage et l’immeuble en comportait dix. Patricia, respectueuses des
locataires, me parlait que par gestes et du regard. Et quel regard ! Elle
m’indiqua la marche sur laquelle m’asseoir, écarta mes jambes, baissa mon
pantalon. Ma queue sortit comme un ressort. Avant de la gober littéralement,
elle murmura à ses copines que j’avais aussi cochonné ma culotte comme une
fille.
Elle m’a sucé merveilleusement. Elle savait vraiment s’y prendre. Elle
variait la cadence, la pression exercée avec sa langue, et sa main gauche
sur mes couilles était un ravissement. Pendant ce temps Gaëlle et Karima
m’avaient rejoint sur la marche de chaque coté. Mes mains ne tardèrent pas à
caresser l’intérieur velouté des cuisses de chacune de mes voisines. Les 2
cochonnes me murmuraient à tour de rôle des choses coquines à l’oreille.
Croyez-moi tous mes sens étaient source d’un immense plaisir.
– Elle est bonne la bouche de notre copine hein ?
– Elle te suce bien, hummmm
– Tu sais, je la connais bien, elle adore ça ! Je te jure qu’elle mouille
beaucoup
– Moi aussi ça me fait mouiller tu sais…
– C’est toi qui as nos petites culottes sales, petit cochon… tu sens ? Ca
dégouline sur nos jambes !
– Quand nous rentrerons chez nous on va devoir se lécher l’intérieur des
cuisses… et on se mettra en triangle pour manger nos petites chattes !
aisément lui caresser le minou trempé. Elle fut rapidement imitée par
Karima. Je regrettais de ne pas être dans une position plus adéquate pour
m’occuper de leur minou humide.
J’avais du mal à contenir mes gémissements, et comme prévus je ne fus pas
long à « venir ». J’éjaculais abondamment, me semble t’il, dans la bouche de
Patricia. Une explosion de bonheur. Elle recracha mon sperme dans le creux
sa main, puis approcha son nez pour humer… Elle tendit la main à Karima qui
renifla aussi avant d’en lécher un peu, puis vers Gaëlle qui fit de même.
Patricia finit de nettoyer le creux de sa main avec sa langue et vint
m’embrasser à pleine bouche. Sa langue, au goût de mon sperme était
délicieuse. Ses deux copines l’imitèrent.
Nous nous sommes quitté avec beaucoup de tendresse. J’ai serré dans mes bras
chacune d’elle, en leur exprimant toute ma reconnaissance et en leur jurant
que jamais je n’avais vécu une aussi belle expérience.
Elles n’avaient plus le sourire provocateur qu’elle avaient affiché pour
m’exciter dans la soirée, leur visage était maintenant attendri et leur
expression douce. Qu’elle symbiose entre ces filles pensais-je… incroyable !
J’était tout ému. On s’est encore embrassé chaleureusement puis re-confirmé
le rendez-vous de samedi.
En rentrant chez moi, ma tête était remplie de ces trois filles
merveilleuses, et terriblement excitantes. Les petites culottes de mes trois
cochonnes me prouvaient que je n’avais pas rêvé. J’ai passé quelques minutes
à les contempler, à les sentir et à lèchouiller en essayant de remettant un
prénom sur chacune d’elle. Et pris d’une nouvelle érection je me suis branlé
frénétiquement. J’éjaculais après quelques minutes, certes moins abondamment
que dans la cage d’escalier. Avant de sombrer dans le sommeil ma dernière
pensée fut pour elles. En souriant, je me suis demandé laquelle des trois
était vraiment la plus cochonne.
Je ne tarderai pas à le savoir… au prochain rendez-vous. Patience !
Marc
marc.for.vassilia2@caramail.com
ça ne fait jamais que 15 ans qu’on attend la suite 😉