Vouvoyer, quel érotisme ! 1 – Notre premier après-midi à trois par jeanmysapo

Vouvoyer, quel érotisme !
1 – Notre premier après-midi à trois
par jeanmysapo


Le repas pris ensemble sur la terrasse ombragée de la charmante maison de campagne de Mathilde avait été enjoué et l’échange de propos assez troublant :

– Jacques et moi sommes ravis, Michèle, que tu aies pu te libérer une semaine pour nous rejoindre ici. C’est très sympa.

Michèle, la quarantaine élégante et sensuelle était une amie de longue date de Mathilde. Il leur était arrivé de partir en vacances à deux ; en camping-car souvent. Je ne l’avais rencontrée que deux fois, en réunion, à la fac.

– Mais, tes bagages sont toujours dans ton campeur ; Jacques va t’aider à les monter dans ta chambre, n’est-ce pas, mon amour ?

Mathilde me troublait toujours autant quand elle m’adressait un de ces sourires de séductrice faussement ingénue. Vêtue d’un Bikini noir, d’une plastique absolument parfaite, elle me paraissait encore plus nue que nue, là, sous ce léger rayon de soleil coquin qui lui  » perçait  » son soutien gorge bien peu opaque. Je la désirai intensément…

– Allons-y, Michèle. Le déménageur est à votre service.
– Soyez sage, lança Mathilde quand elle nous vit partir, Michèle et moi, main dans la main, vers le terrain inculte servant de parking à la maisonnette.
– Non, rétorqua l’amie toute enjouée, nous ne serons pas sages !
– Je prépare les  » affaires de plage  » pendant votre escapade.
– O K

En fait de camping-car, la maison sur roulettes de Michèle n’était qu’un petit mais confortable  » combi  »

Je montai à sa suite dans le mini fourgon et, d’emblée, Michèle et moi ressentîmes l’inévitable promiscuité de cette chambrette.

– Pardon !
– Non, c’est moi, dit elle en minaudant, juste ce qu’il faut pour troubler un homme.

Son parfum à la fois délicat et sensuel me troubla et je ne pus m’empêcher de la frôler à plusieurs reprises, créant des touchers et des contacts dont je me plus à constater qu’ils ne lui déplaisaient pas vraiment.

– C’est exigu, n’est-ce pas ? On se marche un peu sur les pieds.
– Oui, mais c’est intime, non ? Quand vous partez avec Mathilde, vous dormez ensemble sur ce lit abattant ?
– Mais, oui. Il est confortable. Pourquoi ?
– Je ne sais pas… Dormir à deux…
– Oh ! Coquin ! Mais Mathilde vous a sans doute fait bien des confidences, n’est-ce pas ?
– Euh ! Oui, Un peu.
– Allons-y ; Mathilde doit s’impatienter conclue-telle, gênée par mes insinuations.

Je sortis les bagages les plus lourds et galamment, je pris Michèle par la taille pour l’aider à descendre…la minuscule marche pied. Ses seins saillirent et se plaquèrent par inadvertance contre mon torse nu. Nos lèvres s’effleurèrent. Nous en fûmes tous deux très agréablement troublés.

– Coucou, nous sommes de retour…
– Mathilde ?
– Oui, venez, je suis dans ma chambre.

Sans paraître nullement gênée, Mathilde apparut totalement nue, se coiffant, assise face à sa commode.

Quand elle se redressa, Michèle et moi restâmes sidérés par la beauté de cette femme grande, svelte mais à la poitrine avantageuse et à la croupe  » tentatrice « . Quel merveilleux spectacle.

– Alors, dit elle, tu as été un chevalier servant galant, dis ?

Sans attendre ma réponse ni l’avis de son amie elle se plaqua contre moi et m’embrassa avec volupté. Je me sentis en émoi et pris conscience de l’érection naissante et inopportune de ma verge.

Tandis que nos corps énamourés se séparèrent à peine, je vis Mathilde lancer un bras vers son amie et l’obliger à nous rejoindre dans l’étreinte.

– Vous êtes mes deux amours. Je sens que cette semaine va beaucoup nous rapprocher…

Mathilde m’avait souvent narré les escapades qu’elle faisait en campeur avec son amie et m’avait fait terriblement fantasmer en me racontant leur intimité, leurs baisers, leurs câlins…

Cette union de nos trois corps ; celui de Mathilde, nu ; celui de Michèle effleuré dans le camping car, le mien, pour la première fois en contact aussi intime avec deux femmes désirables, me mirent en état de désir et toutes deux observèrent avec des sourires entendus la protubérance qui naissait dans mon boxer short.

– Brouuu ! Je suis toute chose, murmura Michèle. Je vais craquer. C’est dangereux ce que tu fais Mathilde !
– Où est le danger, mon amour ? La prometteuse érection que Jacques a peine à nous dissimuler? Mais, il saura se tenir, mon bel amant ; n’est-ce pas, Jacques dit elle en riant à gorge déployée.

Ce disant, sa main s’égara sur mon sexe au dessus du frêle vêtement. Quel délice ! Comment ne pas se laisser aller ? Ce fut ensuite le soutien gorge de Michèle qui glissa sous ses caresses.

– Comme je vous aime, tous deux ! J’ai envie de vous…

La grande liberté de propos de Mathilde dépeignait bien son désir sans borne à la fois pour moi, son amant et pour Michèle avec qui elle entretenait une relation lesbienne depuis le pensionnat.

Pendant quelques minutes, Michèle et mois nous laissâmes caresser et exciter par les mains expertes de Mathilde. Chacun de nous pressentit que cette semaine  » à trois  » serait d’un érotisme torride.

– Trêve de rêveries, mes amours, partons sur notre dune. Tu verras, Michèle, Jacques et moi y avons déniché un petit coin…sympa. Tu verras, dit-elle à nouveau l’œil plein de sous entendus.

Chacun un sac de plage à la main, nous avons goûté le plaisir du sable chaud sous les pieds en évitant soigneusement la plage encombrée de touristes et nous avons atteint  » notre  » petit coin sympa en une petite demi heure de marche. À trois reprises, nous marquâmes une courte pause. Michèle mettait à profit ces étapes pour m’enlacer et nous embrasser, Michèle et moi, avec une sensualité et une volupté absolument communicantes. Je bandai très fort et Michèle, par pudeur, faisait mine de ne pas s’en apercevoir. J’entendis Mathilde dire à son amie:

– Tu sais, Michèle, Jacques et moi faisons l’amour dans cette dune ; c’est extrêmement excitant. Jacques aimera certainement que tu nous vois nous unir. Je vais te faire une confidence, mon amour : Un soir, tandis qu’il me baisait avec puissance, avant de jouir il m’a demandé : Tu aimerais que ton amie nous voie ? Dis ? Ca m’a procuré un merveilleux orgasme ma chérie. Il m’a inondée de sa semence en me disant : Oh ! Oui ! Tiens, je vous baise toutes deux ! Hum ! Quel souvenir.
– N’est-ce pas Jacques ? On a sacrément joui ce soir là ?

Pour toute réponse, je les pris toutes deux par la taille et les embrassai ; Michèle avec pudeur et un brin de gêne, Mathilde avec une insoutenable excitation sexuelle. Mon fantasme était sur le point de se concrétiser et j’en étais délicieusement troublé : Baiser ma maîtresse sous les yeux d’une belle et désirable complice.

Quand nous eûmes atteint ce creux de dune où Mathilde et moi avons fait l’amour quelques jours avant, nous posâmes nos sorties de bain et nous allongeâmes avec des soupirs de bonheur.

Couchés côte à côte, nous primes un plaisir subtil à établir un libre propos entre nous :

– Je crains de vous gêner, mes amis ; si vous souhaitiez être très  » coquins  » cet après midi, dans ce petit havre de tranquillité…
– Mais, ma chérie, c’est tout le contraire, Jacques et moi aimerons être exhibitionnistes, rien que pour toi et, je suis prête à parier que le rôle de voyeur ne te laissera pas de marbre. Jacques te plaît, non ? C’est un bel étalon et il fait merveilleusement l’amour. N’est-ce pas, Jacques ?

Placée entre Michèle et moi, Mathilde, toujours aussi démonstrative, passa un bras autour du cou de Michèle et de moi et nous serra très fort contre elle. Je me surpris alors à ne plus faire réellement de distinction et parsemai de baisers le cou et le dos de l’une et de l’autre femme. Leur peau était délicieusement brûlante. Michèle ne se montra pas sauvage et se laissa picorer par mes lèvres enfiévrées de désir. Mais je me gardai bien de toute autre approche trop intime.

Nous nous posâmes très exactement là où nous nous étions aimés, nus, au risque d’être vus, lors de notre dernière promenade. Chacun s’allongea voluptueusement et nous nous laissâmes prendre par la douce torpeur de ce bel après midi ensoleillé.

Notre amie s’allongea sur le dos, j’enlaçai alors Mathilde et entrepris de la caresser amoureusement. Mes mains dessinaient sa bouche, son délicat visage, sa poitrine encore habillée de son top moulant.

– Je t’aime, mon amour ; comme tu es belle. J’ai très envie de toi !
– Oh ! Tes mains, mon bel amant ! Je suis folle de tes mains.

Des vagues de plaisir lui parcouraient tout le corps sous mes caresses de plus en plus précises. Délicatement je dénouai son soutien gorge mais sans me presser, caressant alternativement l’un puis l’autre de ses magnifiques seins. Leur pointe s’érigeait sous l’excitation amoureuse. De l’ongle j’agaçais les tétons et murmurais des mots fous à l’oreille de ma belle amante :

– Mais que tu m’excites ! Oh ! Tes seins, mon amour ! J’ai envie de te baiser ! Tu sens comme j’ai envie, dis-je en pressant contre ses cuisses ma verge bandée à l’extrême sous le boxer short.

A pas discrets, Michèle qui nous voyait et nous entendait, s’éloigna vers le haut de la dune.

– Ne t’éloigne pas, ma chérie ; je t’en prie. Ta présence nous excite beaucoup.
– Je reste là, à quelques mètres et je fais le guet, mes amis. Aimez-vous sans gêne, j’aurai plaisir à être spectatrice puisque vous me le proposez. Vous êtes beaux, tous les deux.

En effet Michèle pose sa natte à mi pente de la cuvette de sable, retire son haut, dévoilant une superbe poitrine bronzée, ferme, très tentatrice pour les mains d’un homme.

Jouant indéfiniment avec les seins de Mathilde, les excitant encore et toujours, j’entrepris aussi, assez rapidement de passer une main sous le slip de bain. Ses superbes fesses rebondies et diablement féminines me rendaient fou. Je ne tardai pas à faire glisser le mince vêtement et, l’ayant déposé à ses pieds, je me redressai pour me repaître du spectacle de ce corps nu, offert, bandant…

– Je vais mettre la crème solaire sur tout ton corps. Mais, si Michèle le faisait avec moi, tu veux bien, ma douce ?
– Oh ! Oui ! Oui ! Michèle, ma chérie, veux-tu bien aider Jacques à me mettre la crème solaire ?

Délaissant son poste d’observation l’amie, seins nus, nous rejoint et s’agenouille auprès de Mathilde qui lui tend le tube de crème après lui avoir volé un doux baiser amoureux.

– Quelle délicatesse, quel savoir faire féminin ! La main de Michèle entreprend soigneusement le massage du visage, du cou puis du buste de son amante. Le spectacle me trouble profondément et quand Michèle joue avec sensualité sur les seins de Mathilde, je prends possession de la bouche de ma voluptueuse maîtresse et l’embrasse avec fougue. Elle gémit de plaisir :
– Oh ! Oui, mes amours, Oui !

Quand nos bouches se séparent, je me délecte du spectacle qui s’offre à ma vue : Michèle enduit les cuisses et le sexe de son amante en lui excitant délicatement le clitoris qu’elle embrasse et excite à petits coups de langue. Pour ce faire, elle est à genoux et ses fesses rebondies me troublent agréablement : Vais-je baiser cette superbe créature cette semaine ? Je pense que Mathilde a une idée là-dessus.

Après la face avant, c’est maintenant le dos.

– Je vais continuer, Michèle, merci. Mais, restez, s’il vous plaît.

Mathilde attire Michèle vers elle, la contraint à s’allonger à ses côtés puis s’allonge voluptueusement sur le corps de son amie. Leurs bouches s’étreignent à nouveau tandis que leurs mains entreprennent de se caresser l’une l’autre avec une sensualité extrême. Quel beau tableau que ces deux superbes femmes se lovant et se pelotant avec amour et tendresse. Mathilde offre son superbe cul à mes mains de masseur énamouré. Je pelote ses fesses plus que je l es enduis réellement de crème et je lui caresse lentement les lèvres de son sexe. Elle tressaute légèrement de plaisir sous mes caresses sexuelles.

– Oh ! Jacques ! Oui !

Par inadvertance (enfin, pas vraiment) mes caresses descendent trop bas et effleurent l’entre jambe de Michèle. Je sens alors que sa bouche presse avec plus de fougue encore celle de son amie.

– Jacques ! Je t’en prie, viens, prends moi !
– Tu veux que je te baise, là, maintenant, au risque d’être vus, mon amour ?
– Je t’en supplie, prends moi !

Michèle se relève et, les jambes flageolantes regagne sa natte à quelques mètres de nous.

– Aimez-vous mes amis, je vous aime très fort.

Je me mets à genoux et, lentement, entreprends d’ôter mon boxer short sans aucune pudeur et sous le regard un brin gêné de Michèle.

– Je vais vous baiser, Mathilde. J’ai trop envie de vous ! Oh ! Votre cul ! Là, mettez vous bien à genou, je vais vous la mettre en levrette. Vous voulez bien ?

– Jacques ! Oui ! Venez ! Prenez-moi !!!

Ostensiblement, sous le regard troublé de l’amie, je saisis ma bite érigée à l’extrême et la gratifie d’une lente et délicieuse masturbation pour parfaire mon excitation et celle des deux femmes.

– Michèle nous regarde, mon amour. Elle voit ma bite en pleine érection, prête à vous pénétrer ! Que c’est excitant !

Mathilde tourne légèrement la tête à droite pour saisir le regard de Michèle ; celle-ci, folle d’excitation a la main dans son maillot et entreprend de se masturber, les yeux pleins d’émoi. Recevant le sourire approbateur de Mathilde, elle se redresse et se met totalement à nu, elle aussi. Sa main s’active sur les lèvres de son sexe exposé sans pudeur à notre vue. Elle est totalement épilée. Mais, quelle belle complicité ! Je continue mon branle quelques secondes pour parfaire le trouble de Michèle qui, toujours sous l’effet de la gêne, baisse les yeux quelques secondes quand je cherche son regard. Sa longue chevelure blonde tombe alors avec grâce sur ses épaules et sur ses seins nus. Mais très vite, elle nous observe à nouveau. Elle est totalement conquise par l’impudeur de la situation.

Saisissant la croupe de Mathilde à pleines mains, je promène ma verge bandée sur ses superbes fesses rebondies.

– Vous sentez comme je vous désire, mon amour ? Je vais vous la mettre à fond, vous savez ? Je vais vous pilonner…
– Oh ! Jacques ! Oui, prenez-moi !

De la main droite je saisis ma queue et m’en sers comme d’un long doigt viril pour caresser la fente lubrifiée de désir de Mathilde. Je l’écrase contre son clitoris érigé, je l’introduis de quelques millimètres pour l’exciter davantage ; pour jouer de sa frustration insoutenable.

– Oh ! Jacques ! Jacques ! Oui ! Venez ! Baisez-moi !
– Michèle nous regarde, mon amour. Je vais vous baiser sous ses yeux. Quelle excitation !

Mon regard s’accroche à celui de l’amie quand je m’enfonce jusqu’aux couilles dans le fourreau de Mathilde. Elle s’excite sur son clito et ne nous quitte pas des yeux. C’est ainsi, les yeux dans les yeux de Michèle que je pilonne avec fougue le cul tentateur de mon amante qui dandine des hanches pour mieux me sentir en elle. Par instants, je me repais du spectacle de cette bite développée et ferme à souhait qui va et vient en toute impudeur dans cette délicieuse chatte en chaleur. Les fesses tendues de ma proie m’excitent terriblement.

– C’est bon, dites ! Je vous baise bien ? Han ! Là ! Tenez ! Encore ! Mais que c’est bon !!!

Mes coups de boutoir sont si violents que le claquement de mes reins contre les fesses charnues de Mathilde s’entendent loin à la ronde. Michèle s’en émeut tant que sa masturbation prend le même rythme puissant et rapide.

– Oui ! Oui ! Je jouis !!!

Mathilde cria son premier orgasme en accrochant comme moi, le regard de son amie qui n’en pouvait plus de plaisir et qui jouit en même temps qu’elle.

– C’est trop bon, mon amour, je vais gicler dis-je !!! Oh !
– Oui, Oui !
– Mais, je vais vous en mettre plein ! Oh ! Ça vient…
– Oui ! Lâchez-vous !

Michèle voyait et entendait tout… Je décidai alors, n’en pouvant plus de plaisir de ma lâcher. Je sortis alors ma verge toute lubrifiée et, avec un très léger branle, les yeux dans les yeux de Michèle j’éjaculai par saccades irrépressibles sur les fesses de mon amante.

– Oh ! Que c’est bon, mon amour ! Oh !!!

Terrassé de plaisir, je m’affalai à côté de Mathilde et m’essuyai la bite dans un mouchoir en papier. Mathilde m’entendit d’autres pour que j’efface de ses belles fesses le tribut de ma jouissance.

Combien de temps ai-je sommeillé alors ? Une bonne dizaine de minutes m’assura Mathilde plus tard. Quand j’ai ouvert les yeux et repris conscience, j’étais à demi couvert par une grande sortie de douche, Mathilde et Michèle, toutes nues serrées contre moi, somnolant encore. Notre nudité, la douceur de leur corps, le souvenir de ce que nous venions de vivre me laissaient dans une totale béatitude. C’est avec une infinie délicatesse que j’entrepris de caresser la croupe de Mathilde. Les deux femmes s’éveillèrent. Michèle rompit le silence

– Mais, que vous êtes beaux ! Que vous êtes beaux quand vous faites l’amour. Merci ! Oh ! Oui, Merci. J’ai joui comme rarement.

– Tu nous as aussi fait beaucoup jouir, Michèle ! Faire l’amour sous tes yeux ! Te voir te masturber de notre fait. Mais quelle jouissance ! N’est-ce pas, Jacques ?

Bien que mes mains fussent idéalement posées sur la croupe de Michèle, je ne me permis aucune privauté. La tentation était cependant très forte. Ses seins étaient plaqués contre mon torse !

– Oui, J’ai joui comme jamais. Merci Michèle. Pardonnez-moi de vous avoir volontairement tant troublée en vous fixant des yeux ; j’ai adoré que vous nous regardiez. Merci. Vous êtes très belle !

– Tu sais quoi, Michèle ?
– Non.
– Ne ferme pas la porte de ta chambre cette nuit.
– Ah ?
– Tu vois bien où je souhaite en venir. Jacques et moi irons te faire l’amour, ma chérie.

Quelle ne fut pas ma surprise de voir Michèle pleurer à chaudes larmes.

– Vous êtes merveilleux, mes amis. Merci pour votre amour. Je vais être dans un état en guettant votre venue…Merci ; merci.
– Mais, pourquoi Jacques et toi vous dites vous, en faisant l’amour ?
– C’est tellement plus excitant, Michèle ! Une superbe femme que l’on vouvoie, que l’on a vu habillée B C B G et que l’on possède… Hum !

Quand nous primes le chemin du retour, c’est main dans la main ; c’est ma main autour de la taille des deux femmes ; c’est de temps à autres ma main sur la croupe de l’une et de l’autre. Mais quelle belle semaine s’offrait à nous ! C’est sur, cette nuit je vouvoierai Michèle…

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2 réponses à Vouvoyer, quel érotisme ! 1 – Notre premier après-midi à trois par jeanmysapo

  1. Alteralter dit :

    Chacun son truc 🙁

  2. Mady dit :

    Ce n’est pas mal tourné à ceci près que je en vois vraiment pas ce qu’il y a d’érotique à se vouvoyez !
    « Encore eu-il fallu que vous m’enculassiez ! »

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