Virginie par Sanieptia

 

Virginie par Sanieptia

Quand elle entra dans le salon, j’avais le slip aux genoux.

– Ne bouge pas, dit-elle. Tu me plais, comme ça. Ton air apeuré, inquiet, me fait mouiller.

Ses hauts talons claquaient sur le carrelage tandis que ses seins, débordant de son bustier, se balançaient à droite et à gauche, caressés par ses longs cheveux.

C’est donc avec le slip aux genoux que je lui servis une coupe, gauche comme si j’avais été moi-même vêtu d’une jupe fourreau et de talons aiguilles.

Elle trempa ses lèvres et j’attendis, car je l’avais choisie dominatrice et n’avais rien à faire ou à décider.

– Tu as soif ? Me demanda-t-elle avec un regard doux. Sers-toi un verre et viens près de moi.

Je m’éloignai dans ma tenue ridicule, les couilles pendantes et le slip distendu, vers la cuisine où je trouvai un verre, la bouteille dans le réfrigérateur, avant de revenir m’asseoir à côté d’elle, tourné vers elle, vers sa beauté fracassante.

– Attends, m’interrompit-elle, alors que je levais déjà mon verre vers le sien. Viens t’agenouiller devant moi.

Elle me subtilisa ma flute pour la déposer avec la sienne sur la desserte.

Et moi, je me mis à bander comme un âne – ou comme un chien – en la regardant relever doucement sa jupe jusqu’à son ventre, approcher son bassin au bord du canapé et enlever sa culotte.

Son sexe était parfait, imberbe, avec des couilles peu volumineuses mais un membre appétissant que j’allais me faire une joie d’engloutir, aussi bien avec la bouche qu’avec le cul.

Elle maintint à distance en me tirant sur les cheveux, la tête en arrière.

– Ouvre grand la bouche, me dit-elle.

Je reçu alors, immédiatement, une, deux, puis trois giclées que je m’efforçai d’avaler.

– C’est bien. Tu vas pouvoir boire un peu de champagne maintenant. Mais avant, je vais te mettre ton collier et tu vas me nettoyer tout ça.

Elle désignait les petites flaques sur le carrelage que j’avais laissées s’échapper.

Le slip toujours aux genoux, nu et tenu en laisse, je léchai le carrelage.

Après deux coupes euphorisantes, à l’effet desquelles il fallait ajouter l’excitation de la situation, j’étais un peu parti.

– Mets-toi à quatre pattes devant moi, que je profite de ton joli petit cul.

Elle but, me regarda, me caressa avec les mains et les pieds.

Elle jouait avec mes couilles, les faisait ballotter, me griffait la verge avec ses ongles de pied.

Puis elle entreprit de m’ouvrir l’anus. Un doigt, deux doigts, trois doigts. Enfin quatre. Avant qu’elle ne décide de me forcer avec son pied. Ce n’était pas difficile, mais il finit par entrer.

J’avais la moitié de son pied dans le cul.

Elle me chauffa le cul un bon moment de cette façon, me branla parfaitement l’anus avant de se retirer doucement et de me dire:

– Stop. La séance est finie. Tu te rhabilles et tu t’en vas.

fin

 

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6 réponses à Virginie par Sanieptia

  1. Bertrane_TV dit :

    Pourquoi cette fin stupide ?

  2. Bigoudi dit :

    L’illustration n’a aucun rapport avec l’histoire !

  3. baruchel dit :

    Maintenant qu’on a eu le résumé on pourrait peut-être avoir l’histoire ?

  4. wuddaiooz dit :

    Court, mais le fantasme fonctionne parfaitement, il suffit de fermer les yeux pour se mettre à la place du soumis, ouvrir la braguette, sortir sa bite, la branler et pourquoi pas s’introduire quelque chose dans le cul… Après tout ces histoires servent aussi à ça, vous n’allez pas me dire le contraire ?

  5. Mady dit :

    C’est déjà commencé que c’est déjà fini ! (décidément, c’est le jour)

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