Véronique et Valérie par Mathilda Stenberg

En hommage aux demoiselles des Trois Rivières qui si elles lisent ce
texte comprendront

Montréal ! Un samedi de printemps en début d’après-midi.

Xavier est parti ! Parti regarder le match de hockey ! Marre du hockey ! Je suis seule depuis le début de l’après-midi et je m’ennuie. Je suis passée d’une chaîne à une autre sans trouver quoi que ce soit d’intéressant… Je zappe comme un automate dans un concentré de tomate. Je me promène dans la maison, furète, cherche sans chercher, tout est à jour, le lavage, le repassage, et je viens de passer la balayette ! Et puis mince, je ne vais pas me mettre à faire les cuivres, non ? L’autre, il ne fout rien à la cabane, si, les courses parfois, ça lui donne l’occasion d’aller reluquer le décolleté de la bouchère ! Quelle salope celle-là ! Remarquez c’est une belle femme, si j’étais un mec je ne dirais pas non, mais quelle salope quand même, dès fois elle me fait même des sourires bizarres, je voudrais bien savoir ce qu’elle a dans le crâne Elle serait un peu au deux que ça me surprendrais pas plus que ça !

Je me suis changée déjà deux fois, des jeans à la jupe, de la jupe à la robe, j’ai quitté la robe et me regarde dans le miroir ? Un joli brin de fille, peut-être bien qu’oui, peut-être bien que non, comme on dit en France du côté d’Alençon (61000) un petit peu forte, un peu forte, oui, bon, on va dire forte. Je suis en culotte et brassière (soutien-gorge en français du vieux continent), je me regarde, rectifie ma coiffure, touche mes seins, regarde mon ventre. Ma culotte est bien blanche sans tache. Mon ventre est un peu rond, mais ça me plait comme ça, les rabougris du bulbe qui prônent au nom de je ne sais quel esthétisme à la con la religion du ventre plat, me débectent, ventre plat, pourquoi pas des fesses plates, des nichons plat ? C’est eux qui ne tournent pas rond ! Tiens quelques poils qui dépassent, il faut que je me refasse le maillot. Oui plus tard.

Je passe ma main sur mon pubis. Si je me mets de profil c’est vrai qu’il est bien bombé. Je suis debout devant ce miroir et m’observe sous toutes les coutures. De profil, je suis un peu cambrée, mes fesses sont bien rondes, avec ma culotte taille basse, je devine la raie de mes fesses. Et ma poitrine, un petit peu grosse, non ? On va dire grosse, alors ! Je quitte ma brassière pour mieux juger. Ronde, ferme, mais oui vraiment grosse. Et puis les aréoles brunes et les pointes qui justement…. Ne demandent qu’à…. Bon j’ai compris… Je passe la paume dessus doucement je les effleure. C’est mieux comme ça, les pointes sont ressorties un peu. Je pétris mes seins, j’aime bien, ils sont doux et puis j’ai la chair de poule quand je le fais. Mes pointes sont bien ressorties maintenant, c’est mieux. Mais ça m’a donné des idées, dommage que personne ne soit avec moi. Je quitte ma culotte, comme ça je verrais mieux. Je me lisse les poils et j’écarte les jambes pour voir ma minette. Je l’aime bien ma minette. J’ai vraiment besoin de me faire le maillot. Je m’assoie devant la glace en tailleur, lisse de nouveau mes poils, me caresse un peu l’aine et les cuisses. Passe un doigt sur mes lèvres, et effleure mon bouton.  » Non, tu ne vas pas faire ça toute seule ! « . Je ne me suis plus masturbée depuis longtemps. Ça fait une éternité, ça doit faire, attendez, je réfléchis ! Oh oui ça doit bien faire une bonne semaine ! Bon, je vais chercher des ciseaux et mon rasoir afin de me le faire, ce maillot

Quand même, avant de me relever, je passe encore mon doigt entre mes lèvres et sur mon bouton, c’est bien agréable. Je reste un moment comme ça, c’est bon et chaud.  » Allez, arrête ma fille, faut quand même pas faire plusieurs choses à la fois ! « . Je me lève, cherche le matériel dans la salle de bain. Mais où a-t-il bien pu rester ? A tous les coups c’est ma frangine ! A oui, je ne vous ai pas dis, ma petite sœur, Valérie s’est fait virer par son bonhomme, alors on l’a hébergée provisoirement, ça fait six semaines qu’elle s’incruste, elle fout un bordel pas possible et nous désorganise un max, en plus elle tourne autour de mon chum qui ne dirait pas non ! La salope ! Faut dire qu’elle est bien foutue, elle est bien mieux foutue que moi, n’empêche que c’est une salope ! Donc c’est probablement encore ma sœur qui l’a utilisée et pas remis en place. Bon j’ai plus qu’à aller fouiller dans ses affaires.

Je suis nue et seule dans la maison. La chambre d’ami est à l’autre bout du couloir, si quelqu’un rentre !! Mince, tant pis, j’y vais comme ça ! J’arrive à sa chambre, elle a du laissée sa télé allumée, j’entends des gémissements. C’est tout Valérie, ça ! Partir sans rien éteindre, la lumière, la télé, un vrai brouillon ambulant cette nana !. J’ouvre la porte, entre…

– Mince excuse-moi !!! Mais j’ai dis ça tout doucement, elle n’a pas entendue

Valérie est couchée sur son lit; jupe relevée, chemisier ouvert et elle se fait du bien. Je vois son bassin qui ondule, elle a un doigt dans sa chatte et elle jouit. Elle ne m’a pas vue. Je repousse la porte. A peine refermée, je l’entends qui demande :

– C’est toi Véronique ?
– Heu oui, excuse-moi je croyais que tu étais sortie
– Entre, j’avais un peu mal à la tête, alors, je suis restée là, ça va mieux maintenant
– Attends un moment, je reviens, je vais me mettre quelque chose sur le dos
– Pas la peine, après ce que tu viens de voir !!!

Ah, bon ? Alors finalement elle m’avait vu ? J’ouvre la porte et passe la tête en riant.

– Dis-donc tu t’emmerdes pas trop !

Valérie est toujours allongée, jambes ouvertes, et sa main sur son pubis.

– Entre, viens !

Elle me fait un sourire d’ange prise en défaut. Je m’approche d’elle et m’assoie sur son lit.

– Ça t’a fait du bien au moins ?

Je lui caresse les cheveux et le front avec douceur. Finalement c’est une garce, une salope, une… tout ce que vous voudrez, mais je l’adore… , c’est ma petite sœur, mon ex-compagne de jeu, ma confidente, ma complice…

– Tu es à poil ; toi aussi ?
– Oui, je cherche le matos pour me faire le maillot. Regarde comment mes poils ont poussé, ça fait zarbi.

Valérie met sa main sur mon pubis et joue avec ma toison et commente :

– Oui c’est vrai, ils sont longs, c’est pas comme moi, regarde j’en ai presque pas

Mes yeux se portent sur sa motte intégralement épilée sauf une petite touffe laissé intacte en haut du pubis. Ses lèvres sont encore entre-ouvertes, humide, je ne résiste pas au désir de la questionner sur sa masturbation solitaire :

– Tu le fais souvent ?
– Quand ça me prend ! Je te dis, j’avais mal à la tête, ça m’a détendue, c’est bien plus efficace qu’un cachet d’aspirine !

Tout en lui parlant et sans y prêter attention, j’ai posé ma main sur sa minette et passe un doigt dessus. Elle soupire et tend le bassin. Je me penche et lui embrasse le ventre. Mais sa main pousse mon visage sur son pubis et elle écarte les cuisses. Je ne sais pas si elle l’a fait exprès, mais je me suis retrouvée avec la bouche sur son minou et je l’ai léché. D’abord à peine, mais comme elle se cambre davantage, ma langue a trouvé son petit bouton et je lui ai fait un broute minou dans les règles. Elle a longtemps jouit sous ma caresse et son doigt s’est introduit en moi en faisait un va-et-vient délicieux. J’ai jouis à mon tour sous sa caresse et après avoir repris mes esprits, je l’ai grondée (en rigolant) en lui disant de ne plus recommencer ce genre de chose et en la traitant de salope

– C’était pourtant bien ! Moi j’aimerais bien qu’on recommence !

Elle est toujours devant moi, avec sa jupe relevée à se toucher la minette. Je me suis étendue à côté d’elle pour lui expliquer qu’entre sœurs, je ne savais pas trop si ça faisait !

– Si tu savais depuis quand j’en ai envie ? Rétorque-t-elle.
– C’est pas une raison, c’est pas parce qu’on a envie de faire quelque chose qu’il faut qu’on le fasse, c’est pas moral !
– Moral ! Mais qu’est ce que ça vient foutre là-dedans ? Répond à cette simple question à cette unique question, On fait du mal à qui ?
– Je ne sais pas !
– Répond, il n’y a pas lieu de débattre, on est pas sur un plateau de télé, il n’y a qu’une question et qu’une réponse, on fait du mal à qui ?
– A personne, c’est vrai !
– Alors tu vois, viens me rouler un patounet !

Je ne le fit pas, en fait, je n’osais pas. Mais sa main ne quitte pas son pubis et je la sens toute chose à côté de moi; Un coup d’œil, elle continue la petite cochonne. Je ne dis plus rien et commence, moi aussi à me toucher doucement et discrètement. Mes gestes deviennent plus rapides, ma respiration aussi, je me doigte profondément à côté d’elle. Elle s’est levée, me regarde, me touche, me caresse et se met nue elle aussi. Je m’en fiche, l’excitation monte. Tout peut arriver, je vais jouir. Dans une demi-inconscience, je sens ses mains parcourir mon corps, se joindre à la mienne. Je retire mes doigts et les liche lui laissant la place. Elle s’active en moi et vient se mettre à califourchon sur mon corps tendu. Elle se frotte sur mes seins et je sens son petit minou humide sur ma bouche. Nous voilà en position de soixante-neuf. J’ouvre les yeux et vois ses fesses, les caresses, les malaxe. Je la liche et j’oublie qui elle est. Ses doigts ont quitté ma chatoune, je les réclame et me tends, m’arcboute. Mais à la place je sens quelque chose de froid sur mes lèvres et qui me pénètre lentement. Cette chose me remplit et mon excitation monte d’un cran. C’est énorme, et puissant, je me sens écartelée mais bien, et la chose va et vient en moi, tape au fond de ma figue. J’ai ses fesses devant moi et liche son anus. Nous ne sommes plus qu’un sexe, je lui enfonce mon doigt dans l’anus et ma langue dans sa minette serré. Elle crie et continue son va-et-vient en m’offrant son cul. Son doigt s’égare aussi sur mon anus et le pénètre. Nous jouissons ensemble comme des possédées, et nous écroulons l’une sur l’autre

Après un moment de répit, je la dégage de dessus moi et retire le tube de dentifrice qu’elle m’a introduit.

– Petite salope, tu pourrais me faire mal avec ce truc, heureusement que je mouillais bien

Elle rit, se moque de moi, m’appelle la fille au dentifrice. Je l’attrape, la met sur mes genoux et la fesse mais je me fais aussi mal qu’elle et elle rit de plus belle, alors je la fesse à la volée ! Elle aime ça la salope !

– Arrête ! Tu me donne envie de pisser !
– Je m’en fous !

Et je continue à taper, on rigole comme des bossues.

– Je te préviens, je ne peux plus me retenir !
– Je t’ai dit que je m’en foutais !

Mais c’est qu’elle le fait pour de vrai la cochonne, elle pisse, elle pisse dru, ça dégringole le long de mes jambes, ça dégouline, ça fait une flaque par terre !

– Mais c’est quoi ce bordel !
– C’est du pipi c’est pas sale !

Elle va pour m’essuyer avec les mains, elle a les mains pleines de pisse, et soudain sans que j’y prenne gare, elle me fout sa main maculée sur mon visage !

– Tiens, liche !

Je ne sais pas ce qui m’a pris sans doute l’excitation de l’instant, j’ai sorti mon petit bout de langue et j’ai léché un peu de ce liquide salé !

– Alors c’est comment ?
– Je peux en avoir encore !
– Je t’en prie, sers-toi, mais si tu le veux le boire à la source, allonge-toi et ouvre ta bouche !

Je suis malade, je suis folle, je suis la reine des salopes, je m’allonge, et ma frangine me pisse dans la bouche.

Floc ! Floc ! Floc ! C’est bon, j’avale tout, un petit peu de travers quand même, voilà que je tousse, du coup ma sœur me tape dans le dos et nous éclatons de rire à nouveau. Puis elle se tourne et dans la position ou elle est, elle me présente ses fesses, j’écarte les lobes et commence à lui forcer le petit trou. Il est humide de nos secrétions et mon doigt rentre facilement. Elle a cessé de bouger et me dit dans un souffle

– Continue !

Je la fais mettre à quatre pattes, jambes ouvertes, trouve une brosse au manche rond et après quelques caresses autour de son anus, j’introduis le manche en elle. Elle se cambre davantage et c’est elle qui commence le va et vient en se touchant le minou. Je me place devant elle et lui ordonne de me lécher ce qu’elle fait avec un plaisir évident et je jouis une nouvelle fois. On est restée comme cela le reste de l’après midi, à se caresser et s’aimer de toutes les façons et dans toutes les positions possibles.

Du bruit dans la serrure ! L’autre qui rentre !

– On a gagné, on leur à foutu une pâtée, et patati et patato…

Qu’est ce que j’en ai à foutre, je le laisse parler, je ne lui réponds pas et j’ai soudain une idée ! Je dis à Valérie qu’on va se doucher, puis s’habiller, puis on ira au restaurant, et après on verra, on ira peut-être à l’hôtel continuer à s’aimer sans risque de d’être dérangée par un beauf hookeylistique.

– OK ! Qui c’est qui va dans la salle de bain en premier !
– Mais, on y va ensemble andouille !

Mathilda Stenberg 2002

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2 réponses à Véronique et Valérie par Mathilda Stenberg

  1. Maeva dit :

    J’ai adoré, moi aussi j’ai fait des trucs avec ma sœur et je peux vous assurer que ça ne me traumatise pas du tout

  2. Eva dit :

    Mignon et cochon

  3. Flo dit :

    inceste lesbos et uro ! Fallait oser !

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