Vendeuse de fringues par Mondoi

Vendeuse de fringues
par Mondoi

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Je suis vendeuse de vêtements, je suis hétéro depuis 40 ans, la seule chose que je m’autorise envers les femmes, c’est de fantasmer sur un rapport sexuel avec une fille quand je me caresse, je me fais un film dans la tête, très hot, en général, ça me prend une fois par mois, je sens cette envie pointer dans mon ventre et mon esprit, je fais un truc inhabituel qui consiste à me laisser un peu aller dans ma culotte de façon à y avoir un parfum étranger qui m’excite, alors que je suis pointilleuse sur l’hygiène intime, au bout de 2 jours, en général le week-end, je fais comme si cette odeur de vulve était celle d’une autre, je passe mes doigts sur mon sexe et hume le parfum intime qui s’en dégage, je lèche mes doigts comme si je léchais le sexe d’une femme, je m’imagine sous la coupe d’une lesbienne un peu négligée, je deviens folle de sa vulve et de ses fesses, je me triture les seins, je me touche aussi la raie et l’anus, y récoltant un parfum plus corsé, une main de chaque côté, je me masturbe ainsi, les yeux fermés, m’imaginant que c’est elle qui me doigte, elle me fait tout, devant et derrière, je suis sa « chose » et je prend mon pied comme cela, une fois passé le plaisir, j’ai honte et me douche à l’eau froide pour me punir.

Pourtant, l’autre jour, je me suis laissé allée à des gestes avec une jeune cliente que essayait des pantalons, elle avait le visage d’un de mes fantasmes et de suite, en la voyant arriver, j’ai eu chaud au ventre et ma vulve s’est humidifiée pendant que je lui présentais des modèles, son parfum m’enivrait et ça faisait bien deux mois que je n’avais pas cédé à mon fantasme, je me disais : « retiens toi ma fille, tu es au boulot, tu n’est pas homo, ça vas passer » mais non, quand elle est partie dans la cabine d’essayage, je suis restée à côté et je matais discrètement par l’entrebâillement, je la vis ouvrir et baisser son jean ce qui me mis dans un état de désir charnel presque incontrôlable, elle était en culotte blanche coton, un peu échancrée aux cuisses, des poils bruns frisés dépassaient du cabas, elle se regarde dans la glace et passe une main entre ses jambes sous le tissus, se palpe deux secondes et remonte ses doigts à son nez, elle snife son odeur intime comme je le fais quand je réalise mon fantasme, cette vision augmente encore mon désir saphique, je jette un coup d’œil dans la boutique, il reste une cliente hésitante, je fermerais bien la porte pour rester seule avec ma jeunette, je regarde dans la cabine, elle est en train d’enfiler un des pantalons, je lui demande si ça va, elle dit oui, mon hésitante s’en va, je bondis sur les clefs et ferme la porte, il est 19 heures, je n’aurais plus personne, je reviens à la cabine à pas feutrés, elle doit avoir 20 ou 25 ans, des petits seins fermes qui pointent sous son top, des cheveux noir et longs et des yeux verts, à croquer, elle se tortille pour enlever le premier modèle et en essayer un autre, dans sa gymnastique, la culotte glisse en même temps à mi-cuisses et j’aperçois son pubis velu, je n’en peux plus, je passe ma main sous ma jupe et caresse ma motte à travers mon slip, il est trempé, ma fente dégouline de plus belle sous l’attouchement, je la regarde remonter sa culotte, elle m’a vue dans la glace, du moins je crois, car elle ne se cache pas, elle se masse l’entre jambe sans pudeur en me fixant dans les yeux puis enfile un autre pantalon, mes doigts sont dans ma culotte, sur ma fente, j’étire les petites lèvres, branle mon clito, j’attend je ne sais quoi, je n’ose pas franchir le pas, je ne veux pas l’agresser et pourtant l’envie de copuler me tenaille, enfin , elle écarte le rideau.

– Je vais prendre celui la mais pouvez vous me faire l’ourlet ?
– Bien sur, si vous n’êtes pas pressée, je vous le fais de suite
– J’ai le temps me répond-elle avec un sourire malicieux
– Nous ne serons pas dérangées, j’ai fermé la boutique
– Pour rester seule avec moi ?

La question m’a surprise, je me mets à bégayer

– Heu, pardon
– Je vous ai vue me regarder baisser mon pantalon tout à l’heure
– Je regardais juste si ça allait
– Et quand je me suis touchée et sentie les doigts, c’était pourquoi ?
– Je suis désolée si je vous ai gêné mais vous êtes belle.
– Vous êtes lesbienne, me demande-elle abruptement ?
– Non, pas du tout, enfin je ne sais pas, j’aime regarder les belles femmes
– Moi, c’est pareille dit-elle, j’aime bien les jolies femmes et vous n’êtes pas mal mais je ne suis pas homo sauf en rêve.

…et elle ricane de sa blague en voyant ma tête, je ricane aussi, si elle connaissait mon fantasme, que dirait-elle ?

– Voyons cet ourlet, lui dis-je en me mettant à ses pieds

Je prends les mesures du tissu, au passage, je lui frôle les chevilles et le dessus des pieds, elle ne dit rien, mon visage est à la hauteur de son pubis caché par le tissu, j’ai une envie folle d’y poser la bouche mais je me retiens.

– Le pli est fait, vous pouvez me le donner !

Et la, encore accroupie à ses pieds, je la voie le baisser sans pudeur mais au ralentis devant mes yeux écarquillés, sa culotte suit la descente et le haut de son pubis velu apparaît.

J’ai de plus en plus de mal à contenir mon envie de lui bouffer la chatte et je lance une main vers son bas-ventre, elle ne recule pas devant mon geste, au contraire, elle se cambre vers ma caresse, le pantalon finit de glisser au sol, elle est en slip devant moi et se laisse faire, son ventre ondule sous mes doigts, je frôle sa toison frisotante, ma main saisit l’élastique de la culotte et le tire vers le bas, les effluves intimes de sa vulve commencent à me parvenir, elles me rendent folle, je lui arrache sa culotte d’un geste violent, elle pousse un petit crie de surprise mais écarte les jambes dans une posture de soumise impudique, elle réclame du plaisir, je vais lui en donner.

Je la prends par les hanches et colle ma bouche sur son sexe, les parfums sont plus marqués, d’abord, je renifle l’envie d’une femme, cette odeur typique de la femelle en rut, puis ouvrant ses grandes lèvres avec ma bouche, une légère odeur de pipi, excite mes narines, je lance ma langue à la découverte de ses chairs parfumés, elle s’ouvre, réclament une visite en profondeur, elle est mouillée, je lape son jus et m’enfonce dans son trou puis je remonte lécher son clito, elle trésaille d’émoi et de plaisir, tremblant des jambes à chaque coups de langue vicieusement donnés.

Je la fait asseoir sur le banc de bois et lui remonte les cuisses, elle attrape ses chevilles pour garder la pose et j’ai une vue panoramique sur toute son entre-jambe, du pubis jusqu’à la raie des fesses, son sillon anal est recouvert d’un duvet brun au milieu duquel palpite son petit orifice brun, il est humide aussi et dégage un parfum plus musqué, je ne résiste pas à l’appel de l’inconnu et pose ma bouche sur son anus odorant.

Là encore, elle pousse un petit crie de surprise, comme si c’était la première fois que l’on la touchait à cet endroit, pourtant, elle s’ouvrait au même instant, poussant sur son muscle anal pour que je la fouille plus loin, je ne me faisait pas prier, attirée par l’interdit de la chose et après quelques caresses circulaires autour de son petit volcan, je rentrais, non sans résistance, ma langue dardée dans son anus offert.

Ma main, qui lui touchait ses chairs boursouflées de désir, s’aventura au même moment, à lui rentrer deux doigts dans la chatte, elle était tellement trempée que s’en était facile, mon pouce lui massait le cornichon et elle se mit à pousser des râles de bonheur.

Comme je fatiguais de la langue, je la remplaçais par le majeur de l’autre main, je sentis en l’enculant digitalement, l’étroitesse de son sphincter, ce qui m’excita au plus haut point, la même sensation que quand je doigte un homme, puceau de la rosace, je me mis à la fouiller à fond, le cul et le vagin, elle dégoulinait de partout, mon majeur dans son anus se couvrait de traces brunes, elle était un peu encombrée, j’avais sentis ses matières au bout de mon doigt et je jouais à les pousser dedans, un doigt ne suffisait plus et je rajoutais l’index.

Maintenant, elle avait une raison de beugler, elle était sous mes mains, ne voulant pas stopper la montée de l’orgasme, mais violentée par mes fouilles manuelles, j’étais à quatre doigts dans son vagin et trois dans sa boîte à chocolats, elle se mit à uriner au moment de prendre son pied et lâcha quelques vents rectaux accompagnés de petits étrons qui repoussaient mes doigts, je la laissais se vider devant moi, assistant pour la première fois, à des exultions intimes d’une femme autres que les miennes.

Elle sembla comater un instant après les spasmes qui l’avaient secoués au moment de sa jouissance, je l’embrassais à pleine bouche pour qu’elle boive un peu de son jus et sente sa propre odeur, elle répondit à mon baiser en me rentrant sa langue dans la bouche pour jouer avec la mienne, elle me fit me relever et commença à me dessaper.

– Tu m’as baisée comme une chienne, me dit-elle
– Tu as aimé ça, je l’ai vue
– Je vais te faire pareille, je vais te vider le ventre de plaisir
– Ca tombe bien, je ne me suis pas vidée aujourd’hui
– On peut aller dans le magasin, me demandât-elle ?
– Oui, j’ai éteins

Dans la boutique, il y avait une grande table qui me servait pour présenter des soldes, elle balayât tout ce qu’il y avait dessus d’un revers de main et m’ordonna de monter dessus et de me mettre à quatre pattes, j’obéissais, tremblante à l’idée de ce qu’elle allait me faire.

Elle s’allongea sous moi et commença un super cunnilingus sur ma vulve poisseuse, elle me bouffait comme je l’avais bouffée, remontant dans ma raie pour me lécher l’anus, j’avais le visage sur sa chatte qui sentait bon la pisse et la femelle, elle remonta ses jambes pour me donner accès à son cul.

– Nettoie moi la raie s’il te plait, tu m’as sortie la crotte des fesses avec tes doigts, je vais sortir la tienne aussi.

Elle se mit à me lécher l’anus en forçant avec sa langue pour l’ouvrir pendant qu’une main essayait de me fister la vulve, c’était un peu douloureux, je n’ai jamais été fistée.

– Pousse bien pour t’ouvrir me dit-elle, et des deux côtés que je vois ton caca venir.
Je poussais, comme aux WC, sa langue faisait son chemin derrière et quatre doigts me pénétraient vaginalement, à un moment j’ai pété, c’est sortit tout seul.

– Ho oui, encore, j’aime ça a-t-elle dit et j’en ai lâché quelques un sur elle, je ne me reconnaissais plus, je devenais une truie en rut, déjà, j’avais joué avec ses excréments tout à l’heure mais maintenant je voulais jouir en lui faisant dessus, comme elle m’encourageait à le faire, les barrières de la pudeur tombaient au fur et à mesure que montait mon plaisir.

Elle se mit à sucer mon clito, à le pincer avec ses lèvres, à le triturer si fort que j’eus un orgasme suivit d’une miction, j’avais honte mais je lui faisais pipi dans la bouche, elle suffoquait tellement le jet était fort et lui remplissait la gorge.

Elle me rentra plusieurs doigts dans l’anus, d’un coup, sans prévenir, elle me déchirait la rondelle et les besoins que je n’avais pas faits de la journée, descendirent vers la petite porte sans que je puisse les retenir, je sentis le premier étron passer la barrière anale.

– Ho qu’il est beau, qu’il est gros, dit-elle, encore, encore, je n’avais plus besoin de pousser, l’expulsion se faisait toute seule, j’entendais le bruit de sa bouche sur mon cul et je ne savais pas ce qu’elle faisait mais à ses grognements, elle y prenait du plaisir.

De mon côté, j’avais presque finis de lui enlever les salissures de son anus, écœurée au début de la toilette linguées, j’y avais pris goût en l’entendant se régaler de mes cadeaux odorants.
Sa main venait de rentrer entièrement dans mon vagin, un truc énorme, monstrueux, elle me fistait profondément et je jouissais d’avoir un gros morceau dans le ventre, je me remis à faire pipi pendant mon orgasme et me vidais totalement le colon sur elle.

Nous sommes restées hébétées un long moment, baignant dans notre urine et nos matières fécales, puis nous avons tout nettoyé et sommes partes ensemble chez moi pour prendre une bonne douche, à la maison, nous avons discuté de notre aventure scato, elle m’avoua que c’était sa première fois et moi de même, nous nous sommes demandée pourquoi et ne trouvant pas de réponse, nous avons dormies ensemble et avons fait l’amour le lendemain matin puis les jours après.

De temps en temps, ça nous reprend et nous passons la soirée et la nuit à nous faire dessus, elle va plus loin que moi dans les délires et je l’ai vue manger mes cacas pendant que je la masturbais, moi j’en reste au nettoyage d’anus et aux giclées de pipi, un jour peut-être…….

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3 réponses à Vendeuse de fringues par Mondoi

  1. Claire dit :

    trop c’est trop, et trop c’est pas bien

  2. Dontarrious dit :

    Non, l’auteur ne se controle plus, et ça devient trop crade !.

  3. ivanov dit :

    De la scato dans la bonne humeur, très bandant !

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