Urobi par regasu31

Urobi
par regasu31


note du webmaster : malgré les apparences, ce récit est vassilien, il faut simplement le lire jusqu’au bout…

Il m’arrive parfois de me faire un shampooing en dehors du moment où je me douche. Pour ce faire, le plus souvent complètement à poil, en dehors de la baignoire, le pommeau de douche à portée de main, une serviette pliée au bord pour épargner mes genoux, je suis penché en avant, les yeux fermés bien sûr, et c’est ainsi que je me lave les cheveux.

J’étais dans cette position ce jour-là, la radio émettant un bon rock à un puissant volume, et j’en étais au rinçage quand soudain je sentis deux mains puissantes m’agripper les hanches ! J’allais gueuler et me rebiffer mais dans la seconde qui suivit, une bite de bonne dimension et d’un diamètre respectable me transperça le cul ! Wouaaaaaah ! Les questions et les réponses se télescopèrent alors dans ma tête : qui était-ce ? Je ne connaissais pas ce membre. Comment est-il entré chez moi, je vis seul ? J’ai dû oublier de fermer la porte à clé. Mais pourquoi chez moi ? Je n’avais pas de réponse… Mais j’éludai rapidement ces questions sous l’effet des coups de boutoir que me délivrait cet homme. Je me cramponnais au bord de la baignoire pour lui permettre de me pénétrer à fond. Et il y allait le bougre, et il y allait ! La tête penchée, je cherchais à voir derrière moi. Mais je ne pouvais pas me redresser, le type me maintenait baissé en appuyant d’une main entre mes « homoplates ». Je ne pouvais voir que les jambes du mec et son pantalon descendu sur ses chevilles. Ah si, zut : sur le côté, une autre paire de jambes terminée par des chaussures… de femme ! Merde, ils sont venus en couple !

Au bout d’une bonne dizaine de minutes, alors que je sentais les premières gouttes de préjute couler de ma queue et courir sur mes cuisses, le type commença à grogner. Il n’allait pas tarder à jouir dans mon cul. C’est à ce moment que retentit la voix de la femme :

– « Oui, vas-y, bourre-le bien, il aime ça, cette salope ! »

Je n’aurais pas dit le contraire ! Effectivement, ses râles se firent de plus en plus puissants, couvrant la radio, jusqu’à l’explosion finale, que les voisins ne purent pas ne pas entendre !

Je commençais à sentir des courbatures quand il relâcha sa pression sur mon dos. Je pus alors me redresser et me retourner pour faire connaissance avec mes visiteurs. Mais aussitôt, le type me fit une clé aux bras, m’immobilisant. J’avais quand même eu le temps de voir sa tête. Pas mal le mec, pas mal du tout. Et la nana était assez canon, elle aussi. Passant une main entre mes fesses et son copain, elle lui retira la capote, me pinça le nez, ce qui m’obligea à ouvrir la bouche pour respirer, et vida le contenu du condom dans ma bouche. Jamais je n’aurais pensé qu’une paire de couilles puisse contenir une telle quantité de sperme ! Je gardai un moment la liqueur en bouche afin d’en évaluer le goût, puis l’avalai avec délectation…

Le type me relâcha les bras. Il commençait tout juste à débander. Je m’accroupis alors pour y remédier. La fille était en train de se dessaper en vitesse, visiblement pressée de participer au jeu. J’allais commencer à sucer son copain, mais il me fit signe en me montrant le WC, qu’il avait un besoin plus urgent. D’un regard, je le dissuadai d’utiliser cette cuvette et je le fis monter avec moi dans la baignoire. Je m’accroupis à nouveau et pris sa queue en main. Il vit le signal et commença à pisser. Un jet dru me frappa la poitrine. Je le dirigeai sur toutes les parties de mon corps, me relevai, me retournai et me fit arroser la raie du cul. Mon anus étant encore béant, il est bien rentré l’équivalent d’un verre de pisse chaude dans mes entrailles, douce sensation… Je tentai de me faire un shampooing avec le reste, mais la source était tarie !

C’est à ce moment que je m’aperçus que la fille nous avait rejoint dans la baignoire. Comme le fou-rire et le bâillement, l’envie de pisser est communicative ! Je compris que c’était son but, je m’allongeai au fond de la baignoire et la fis venir au-dessus de ma tête. Deux petites secondes d’attente et un magnifique jet doré m’inonda le torse, puis le visage. Je tendis vite les bras, attrapai la fille par les hanches, l’obligeant à s’accroupir au-dessus de ma bouche grande ouverte qui recueillit avec délice ce champagne doré… J’en avalai un maximum, la bouche pratiquement collée à sa chatte, et je laissais le surplus couler dans mon cou.

L’opération m’avait moi aussi donné l’envie de pisser et je me laissai aller. Le type s’agenouilla aussitôt et prit ma queue dans sa bouche. Sensation incomparable de pisser dans un espace clos, comme une bouche, un cul, une chatte ou une capote… Nos trois vessies étaient maintenant vides et il nous fallait trouver autre chose si nous voulions continuer à jouer ensemble !

Mais mes nouveaux amis n’étaient pas en panne d’imagination ! La nana sortit d’un sac à portée de sa main une capote qu’elle me tendit, un gode-ceinture dont elle s’affubla en deux temps, trois mouvements et un tube de gel qu’elle passa à son compagnon qui s’en badigeonna la rondelle. La suite des opérations n’était pas difficile à deviner : tous trois à genoux dans la baignoire, elle au milieu, moi derrière elle et lui devant, chacun aura son plaisir !… Je la laissai commencer : elle planta son gode en douceur mais fermement dans le cul de son partenaire qui fit un Aaaah ! de contentement. Elle poussa jusqu’au bout, jusqu’à ce que les couilles en silicone de son jouet touchent celles de son mec. À moi ! Bien bandé, je saisis les fesses de la nana et j’enfonce ma queue dans son vagin. Nous démarrons en même temps, bien synchronisés sans en être convenus… Formidable ! Quel ensemble ! Dire qu’on ne se connaissait pas une heure et demie avant ! On lime depuis trois minutes quand la fille me crie :

– « Dans mon cul, mets-la dans mon cul, j’adore !»

Je sors vite de sa chatte et l’introduction dans son anus, facilitée par sa cyprine en quantité sur ma capote, se fait sans problème. Je m’enfonce avec volupté dans son conduit étroit, et l’on continue ainsi dix minutes à jouer au petit train. Le mec, au risque de glisser dans la baignoire, ne se tient que sur une main, tandis qu’il se branle de l’autre… En fait, c’est elle qui donne le rythme : elle avance, elle encule, elle recule, je l’encule !

Nous jouissons presque en même temps, elle d’abord en hurlant son plaisir, puis moi et aussitôt le mec qui, nous entendant crier, lâche son foutre dans la baignoire. Ayant décidément horreur du gaspillage, il recula un peu vers sa copine, toujours à quatre pattes, baissa la tête et, comme un chien, lapa tout son propre jus…

Épuisés, nous nous relevâmes pour une douche bien méritée et combien nécessaire ! La fille en profita pour me rouler un patin d’enfer, et nous sortîmes de la baignoire…

— * —
Une fois bien installés au salon devant un apéritif, Juliette et Roméo me firent part de leur vif intérêt quand, deux semaines plus tôt, ils découvrirent sur un site de rencontre, l’annonce ainsi libellée que j’avais fait passer :

«Homme bi, sans tabou, aimerait concrétiser un fantasme très original avec homme bi sans tabou. Merci de me contacter sur msn.»

Suivait mon adresse email.

J’eus six ou sept réponses, mais seule celle du pseudo Roméo retint mon attention. Cet homme me sembla tout de suite intéressant, clean et bien dans sa tête. Nous avons dialogué plusieurs jours avant de mettre au point mon scénario. Je donnais mon adresse et le plan sommaire de mon appartement. Pendant quatre jours de suite, je ne fermerai pas ma porte d’entrée à clé de 18 h à 18 h 15. Mais je ne saurai pas quel jour il aura choisi pour… perpétrer son forfait ! J’aurais donc eu à me shampooiner trois jours de suite, puisque c’est le troisième qu’il avait choisi…

La surprise, c’est qu’il avait convaincu Juliette, sa compagne, de se joindre à lui (si je puis dire !). Il s’excusa de cette initiative, mais je le rassurai rapidement en lui disant que la fête n’en avait été que plus belle…

Après un frugal repas improvisé, je leur proposai de faire connaissance avec ma chambre, ce qu’ils acceptèrent avec enthousiasme…

Inutile de vous dire que nous nous revoyons souvent pour des plans à trois, sans forcément de scénario prévu !…

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2 réponses à Urobi par regasu31

  1. Caranba dit :

    C’est en fait très malhabile, déjà on ignore au début le sexe du narrateur, c’est embêtant ! Puis ça commence par un forçage débile à tel point que je me demandais ce que le récit foutais sur ce site qui milite pour le consentement mutuel, et en plus ce genre de situation ne me fait pas bander. Puis vient l’explication comme un cheveu sur la soupe. Pas bon le récit.

  2. Azrael dit :

    Pas trop mal et bien arrosé

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