Une voisine troublante par Francois_urophile – Partie 2

Une voisine troublante par Francois_urophile – Partie 2

Après quelques minutes, nous reprîmes nos esprits. Nathalie se leva :

– Et si nous allions nous baigner ?
– Toutes nues ?
– Bien sûr, allez viens avec moi …

Et elle m’entraîna. Nous arrivâmes sur la plage. Des femmes ou hommes seuls, couples, familles se délassaient sur le sable ou dans l’eau, tous entièrement nus. C’était ma première expérience et j’avais l’impression que tout le monde me regardait ! Nathalie me confirma que ce n’était pas le cas. Nous entrâmes dans l’eau et nous baignèrent dans les vagues pendant près de 30 minutes. J’avais sous le nez des seins, des fesses, des chattes, des pénis, plus ou moins épilés ou poilus comme jamais je n’en avais vu et tout cela me paraissait finalement très naturel. De même, je voyais toute forme de corps : adolescents, athlétiques, un peu enrobés, … et tout le monde semblait s’en moquer et n’était là que pour profiter de la nudité ! Et la sensation si agréable quand on se baigne nue : plus jamais je ne remettrai de maillot. Nous sortîmes de l’eau et retournâmes vers nos serviettes.

– Alors, c’est comme ça les plages naturistes ? demandai-je,
– Oui, tu vois qu’il n’y a pas à se poser trop de questions, juste en profiter…
– Pourquoi tu nous as mis à l’écart de la plage alors ?
– Parce que je voulais qu’on soit tranquille et cette partie de la plage est un peu spéciale
– Spéciale en quoi ?
– Disons qu’il y a le naturisme familial, que tu viens de voir, et le naturisme plus…. libertin, si tu vois ce que je veux dire …
– Tu veux dire une plage échangiste ?
– Pas forcément, plutôt une plage pour profiter des plaisirs… tiens regarde…

Alors que je n’avais vu quasiment personne à l’aller, je découvris plusieurs couples, dont certains en « action » : de la simple masturbation de l’homme par la femme à une levrette à trois, en passant par des 69 ou autres positions, l’endroit était finalement très actif. Nous arrivâmes à nos serviettes. Je redoutai et espérai à la fois ce qui allait se passer. A peine assise, Nathalie m’embrassa sur la bouche et m’avoua :

– Marilou, depuis que je t’ai rencontré, j’attendais ce moment : j’ai très envie de faire l’amour avec toi
– Humm, je ne sais pas .. c’est nouveau pour moi… je ne l’ai jamais fait avec une fille … et Thomas…
– Allons laisse-toi faire… tu sais, je suis bisexuelle depuis que je suis ado, je connais bien la sexualité des filles et le moindre recoin de leur chatte ! … Essaie au moins une fois et tu décideras ensuite….

Je m’allongeai sur le dos en fermant les yeux. Elle écarta largement mes cuisses en les relevant. Elle se mit sur le ventre et approcha sa bouche de ma vulve :

– Tu as bien fait de te raser le minou, cela me donne encore plus envie de lécher !

Et pendant 10 minutes, ce ne fut que caresses voluptueuses avec ses doigts et sa langue sur mon entrejambe trempée. Elle me fit jouir avec sa langue comme jamais. Je me dis qu’une femme doit mieux savoir où et comment mettre sa langue sur un sexe féminin qu’un homme. Ce devait être la même chose chez les gays avec la fellation. Elle me proposa ensuite un 69 :

– Comme ça tu vas apprendre : fais-moi exactement ce que je te fais, et tu me feras jouir !

C’est ce que je fis… A un moment, je sentis la langue de Nathalie doucement glisser vers mon anus. J’eus un moment de recul, mais pris dans l’ambiance, c’était si agréable, si … excitant par le côté tabou…

– Tu aimes qu’on s’occupe de ton anus ? me demanda-t-elle.
– Avec Thomas, je n’ai jamais eu trop envie mais là c’est bon ….
– Alors fais le moi aussi, j’adore…

J’hésitai, mais comme nous sortions de l’eau, je me dis que ce devait être propre. Elle se mit à gémir dès que ma langue atteignit la corolle anale, signe qu’elle adorait cela. Puis, je sentis un doigt sur mon anus. Je me crispai :

– Non, pas par là
– Allons détends toi, tu vas aimer …. d’ailleurs regarde, nous avons des spectateurs..

Je tournai la tête et vis un couple à une dizaine de mètres. Tous les deux entièrement nus, la femme était à genoux et suçait son mari debout, tout en nous regardant. La femme me sourit et continua sa fellation. Cela me donna encore plus envie :

– Oui, je veux bien essayer ton doigt dans mon cul…

J’étais autant excitée, voire même davantage, par le fait de m’exhiber et de prononcer cette phrase crue. Je me doutais que Nathalie voudrait la même caresse et je mis mon doigt sur son anus où il fut littéralement englouti, tant le sphincter était souple. Je questionnai :

– C’est rentré tout seul … tu le fais souvent ?
– Oui, j’adore me faire enculer… par un homme ou une femme, répondit-elle crûment. Tu peux mettre plusieurs doigts.

Je fis rentrer 2 doigts, et fis des va-et-vient profonds. De son côté, elle avait enfoncé un doigt à fond et attendait que mon rectum s’habitue. J’étais pris dans une sorte d’excitation et je l’encourageai :

– Nathalie, je vais te faire jouir du cul … c’est possible ?
– Oui vas-y défonce moi le cul ! Fais-moi jouir …
– Oui, tu es une petite cochonne…

Ce dialogue cru m’excitait au plus haut point. Je la vis se cambrer au moment de la jouissance anale, ce qui m’impressionna. Je n’étais pas sûr de pouvoir jouir que par stimulation anale, mais j’avais envie de progresser. Je finis par une masturbation vaginale classique, pour jouir à mon tour.

Après ces orgasmes, nous nous allongeâmes les bras l’une de l’autre. Un gémissement nous fit tourner la tête : le couple était toujours là et l’homme était en train d’éjaculer sur le visage de la femme qui en redemandait ! Elle s’essuya le visage avec ses doigts et avala le tout. Je n’avais vu cela que dans des films porno et là je le voyais en vrai et cela avait un autre impact.

Nous avons somnolé pendant une trentaine de minutes. Très simplement, j’avais adoré le contact de son corps nu contre le mien. Tout ce que nous avions fait reculait les limites de ma pudeur.. ou de mes complexes. Je me relevai en souriant :

– Nathalie, je crois que j’ai envie de faire pipi…. et il y a du monde un peu partout …
– Eh bien, fais ici ..
– Comme ça, devant toi ?
– Tu n’as jamais fait pipi devant ton copain ?
– Si, mais discrètement, sans qu’il voie le jet ni même qu’il entende le bruit !
– Alors où est l’intérêt ? dit-elle en souriant. J’adore voir quelqu’un pisser et j’ai toujours aimé, même quand j’étais petite fille… J’aime même plus en fait …
– Comment ça plus ?
– Eh bien, la totale : pipi et caca ….
– Mais c’est dégoûtant ….
– Est-ce que mettre ta langue dans une chatte qui a transpiré, et été trempé de pipi et de cyprine toute la journée, , .. te paraît dégoûtant ? tout à l’heure, tu m’as léché le cul .. c’était dégoûtant ?
– Non, dis-je en souriant et en reconnaissant qu’elle avait touché juste, c’était juste cochon …
– Alors, regarde…

Elle se leva, s’écarta de la serviette de quelques pas et s’accroupit devant moi. Elle commença à se masturber en se caressant les seins… et je l’imitai sans m’en rendre compte, ma main s’égarant entre mes cuisses ouvertes. Un jet de pipi jaillit entre ses cuisses bien écartées. Elle mit la main dessous, recueillit du liquide, se caressa les seins avec. Elle attrapa un gobelet du pique-nique et pissa dedans pour quasiment le remplir. Une fois plein, et tout en se masturbant, elle le versa sur son visage, en en avalant une partie au passage, et le reste sur ses seins. Ma chatte était en eau devant ce spectacle.

– Attends, ce n’est pas fini…

Elle pivota, toujours accroupie, pour me tourner le dos, fesses tournées vers moi. Je me doutais de ce qu’elle allait faire. Dans d’autres circonstances, j’aurais été dégoûtée, mais là, nues en pleine nature, c’était autre chose. Je continuais à me masturber pour maintenir l’excitation. Elle lécha son doigt et se le mis plusieurs fois dans l’anus … puis elle poussa et déféqua. deux étrons vinrent s’écraser sur le sable. J’étais excitée par le fait d’avoir vu cette scène et aussi par le naturel de Nathalie qui venait littéralement de « faire caca en public ».

– Tu vois, je suis sûr que ça t’as excitée.. comme quoi, tout est une questions d’ambiance… à ton tour, maintenant !
– Tu crois vraiment ?
– Tu as envie de pipi ?
– Oh oui vraiment…
– Comment est ta chatte ?
– Inondée de mouille….
– Alors profites en.. viens ..

Elle était allongée sur le dos et se releva sur les coudes.

– Approche ta chatte que je te lèche

Je m’approchai jusqu’à ce que sa langue touche ma vulve..

– Vas-y pisse, vides toi..
– Oui, ma chérie… voilà….

Je fermai les yeux et me vidai en plusieurs jets. Je constatai qu’elle mettait sa bouche pour capter le maximum de liquide, ce que je trouvai hyper cochon, mais excitant. Une fois ma vessie vidée, je m’apprêtais à me lever :

– Attends, tu n’as pas autre chose à me donner ?
– Tu veux dire faire caca ?
– Oui exactement …
– Je ne sais pas …
– Tu as aimé tout à l’heure…
– Oui je dois avouer que ça m’a un peu retourné…
– Alors fais m’en profiter à ton tour ….
– D’accord…
– Mets-toi plutôt à quatre pattes, je verrai mieux !

J’obéis et me positionnai. Je senti Nathalie juste derrière mes fesses. Je fermai les yeux et poussai. Je sentis mon anus s’ouvrir et un étron expulsé. Je n’entendis pas le bruit de la matière tombant sur le sol. Je me retournai : Nathalie l’avait dans la main et se caressait les seins avec, tout en se masturbant. Cela dessinait de grandes traînées marron. Elle semblait en transe et redoublant sa masturbation, n’hésitant pas à enfoncer ses doigts souillés dans sa chatte. Elle finit par un orgasme magistral. Après avoir repris nos esprits, nous nous essuyâmes autant que possible et retournâmes dans l’océan pour nous nettoyer complètement, en évitant quand même les rencontres sur le chemin.

De retour à nos serviettes, nous nous allongeâmes nues dans les bras l’une de l’autre et Nathalie m’avoua :

– J’ai beaucoup aimé cet après-midi… Tu m’as impressionnée. D’habitude, cela met beaucoup plus de temps pour s’initier aux jeux de pipi / caca, et j’y vais très progressivement mais là j’ai senti que tu étais prête et qu’il fallait un peu précipiter les choses, si on ne voulait pas regretter ensuite !
– C’est vrai que j’étais très excitée et que tu m’excites depuis des semaines. Et peut-être que je suis un peu coincée de ce côté-là finalement …. tu sais que je me masturbes chaque fois que je reviens du club ?
– Pour te faire une confidence, moi aussi..
– Et quand mon copain me lèche, je pense que c’est toi !
– Il faudrait peut-être l’inviter dans nos jeux … dit-elle en riant…
– Je ne suis pas sûr, même si je sais qu’il rêve de m’enculer …. c’est son truc qui revient régulièrement !
– Tu pourrais lui faire la surprise…en lui demandant toi de t’enculer !
– Mais j’ai peur d’avoir mal, il a une grosse bite
– Je te préparerai, ma chérie… tu passeras me voir !
– D’accord …

Et on s’embrassa longuement sur la bouche.

Nous retournâmes à la voiture après nous être rhabillées. De retour à la maison, je saluai Thomas et allai prendre une douche. J’allai me coucher tôt. Il avait probablement envie de faire l’amour, mais j’avais eu trop de sensations dans la journée. J’eus du mal à m’endormir tant les sentiments et sensations se bousculaient. Fallait-il arrêter ? ou en parler avec Thomas ? voir même l’embarquer dans cette relation ? La nuit devait porter conseil…

Dans les semaines qui suivirent, un rythme s’installa : aller au club avec Nathalie, revenir et me masturber.. et continuer à faire l’amour avec Thomas, même si à chaque fois, mes fantasmes me ramenaient inévitablement à Nathalie, son visage et surtout son corps aux courbes si excitantes.

Un jour, alors que nous sortions du club, Nathalie me proposa :

– Serais-tu d’accord pour venir prendre un thé chez moi ? Finalement, tu n’es jamais venue depuis qu’on se connaît…

J’hésitai, car je me doutai que cela pouvait entraîner assez loin … mais sur le moment, l’excitation était trop forte. C’était un des jours où Thomas avait des réunions de travail qui se terminaient tard, donc je n’aurais pas besoin de me justifier.

– D’accord, avec plaisir …

Nous arrivâmes dans son appartement. bien décoré et confortable : murs clairs, moquette au sol. Nathalie se mit pieds nus et je l’imitai, pour profiter de la douceur de cette moquette.

– Installe-toi dans le canapé, me dit-elle, le temps que je fasse chauffer l’eau et que je me mette à l’aise..
– D’accord, prends ton temps…

Machinalement, je regardai les magazines et ouvrages qui étaient disposés sur la table à proximité. Je tombai sur plusieurs exemplaires de La Vie au Soleil, magazine que je ne connaissais pas, et qui traitait manifestement de la vie naturiste. Je les feuilletai et je découvris une vision de la vie naturiste. J’en avais eu une première approche lors de notre passage à la plage, mais là je me rendais compte qu’il y avait bien d’autres aspects : nu pour faire du sport, nu pour faire ses courses, nu pour aller au restaurant, nu pour recevoir des amis, nu en famille avec ses enfants, … Aucune image sexuelle, mais un sentiment de bien-être … qui devait bien mettre en bonnes conditions pour une vie sexuelle épanouie. Nathalie revint dans le salon, portant un plateau avec une théière fumante, deux grandes tasses et une assiette de gâteaux. Elle s’était changée, et portait une veste de kimono courte et assez ouverte sur sa poitrine qui laissait peu de doute sur le fait qu’elle était nue dessous. Elle se pencha pour poser le plateau, ce qui me donna une vue encore plus appuyée sur ses seins. Je lui montrai la magazine :

– Mais tu es vraiment naturiste, alors ?
– Oui, tu as vu… j’ai été élevée dans ce milieu, et j’ai continué.
– Donc tu vis nue ?
– Oui, dès que je peux…..

Et joignant le geste à la parole, elle retira sa veste de kimono et, comme je l’imaginais, apparut entièrement nue. Elle ajouta :

– J’ai toujours été habituée à ça et je ne pourrai pas m’en passer… d’ailleurs si ça te tente, tu peux te mettre à l’aise … je me sentirai plus à égalité !
– Tu crois ? toi, tu t’entendrais bien avec Thomas, il ne pense qu’à vivre à poil… mais lui pour d’autres raisons, je pense..
– Hum intéressant.. allez, il commence à faire chaud ici ..

Je me levai et allai dans la salle de bains. J’aurai pu me déshabiller devant elle, mais je trouve que cela est plus ambigu que d’apparaître directement nue. J’ôtai rapidement mes vêtements et revins dans le salon. Elle lança :

– Voilà, c’est mieux comme ça ! Tiens, mets ça sous tes fesses…

Elle me tendit une serviette pliée.

– Tous les vrais naturistes le savent, on s’assoit toujours sur une serviette, pour des raisons d’hygiène…
– OK je comprends..
– Et comme j’ai vu comment tu mouillais, je ne voudrais pas que tu tâches mon canapé, ajouta-t-elle en riant

Je m’assis à côté d’elle. Je n’étais quand même pas complètement à l’aise. Pour moi, être nue, cela signifiait : « je vais prendre une douche » ou « je suis chez le médecin » ou « je vais faire l’amour » voir même et depuis peu « je suis à la plage »….. mais pas beaucoup d’autres choses. Et là, je discutais tranquillement avec une amie, en tenue d’Eve, en buvant un thé. Je questionnai :

– Raconte-moi ton éducation naturiste, je trouve cela tellement étonnant …
– J’ai eu la chance de naître dans une famille qui était très ouverte et très à l’aise avec cela, ce qui était assez révolutionnaire à l’époque. Mes parents habitaient dans le coin et vu la taille des plages, il était possible de s’isoler et de se mettre tout nu… c’était finalement assez répandu dans cette région, je crois. En ajoutant l’époque 68, le retour à la nature, une influence des pays nordiques qui venaient de plus en plus en vacances dans cette région et qui étaient toujours tout nu sur la plage, je pense que cela a contribué…
– Et tu te souviens de quoi quand tu étais petite ?
– Déjà, tout bêtement, c’est de ne pas avoir à choisir comment s’habiller. Mes parents, et ils sont toujours naturistes, ne nous ont jamais forcés en obligeant à la nudité… Mais eux étaient toujours nus à la maison… et quand on a été élevée comme cela, on a tendance à imiter. On allait en vacances dans les premiers villages naturistes. Pour les enfants, c’était rassurant de voir, dans ces villages, qu’il y avait d’autres parents qui vivaient tout nus avec leurs enfants et que son père et sa mère n’étaient pas des « détraqués » !

Nathalie attrapa un album photo sur la table et commença à me montrer les pages. Elles étaient pleines de photos de famille, à la maison, en vacances, à la plage, au sport etc… La seule différence par rapport à un album de famille était que tout le monde était nu ! Je reconnus Nathalie petite fille, puis de plus en plus grande.

– Et quand tu as été ado ? c’est souvent compliqué, demandai-je. Moi-même, je n’aimais pas qu’on me voit toute nue…
– Oui, c’est vrai. Mes frères et sœurs ont arrêté à cette époque, même si j’ai eu l’occasion de re-pratiquer avec elles récemment. Moi pas, j’ai toujours continué. J’allais même travailler en village naturiste comme job d’été ! Je pouvais rester toute nue pendant 2 mois 24h/24, alors que le reste de l’année, je devais quand même m’habiller pour aller à l’école …! Mais à peine revenue de l’école, une douche et à poil jusqu’au lendemain. Nous avions une piscine et je crois que je n’ai jamais mis de maillot dedans !
– Et avec les garçons ? difficile de draguer toute nue, non ?
– Oui, c’est vrai … On dit toujours que les naturistes distinguent la nudité « naturelle » et la nudité « sexuelle », mais quand on est ado, c’est un peu différent… c’est d’ailleurs pour cela que j’ai eu mes premières expériences avec des filles…
– Ah bon, raconte … si tu veux bien…
– Oui, pas de problèmes. Je n’en ai pas honte au contraire. C’était en job d’été, j’avais 17 ans, avec ma colocataire, enfin celle avec qui je partageais le logement. Comme moi, elle ne s’habillait jamais, même le soir quand il faisait un peu frais. On parlait souvent de sexe… et on se masturbait chacune soir sous les draps, dans le noir. En fait, on savait très bien ce que faisait l’autre et petit à petit, on s’est mis à le faire l’une devant l’autre … et ça a dégénéré !
– C’est-à -dire ?
– On a baisé ensemble… j’avais même acheté des revues érotiques à la recherche d’histoires ou de pratiques de lesbiennes pour ne pas avoir l’air idiote ! On était un peu timide au début quand il s’agissait de mettre les doigts ou la langue, mais on a vite appris !
– Humm ça commence à m’exciter …
– Oui, on faisait l’amour quasiment tous les soirs et l’on essayait plein de choses, en toute confiance. C’est là que j’ai découvert le plaisir par derrière, par le cul je veux dire, quand elle me mettait des doigts ou des objets dans les fesses….

Je serrai les cuisses, de peur qu’elle voit que je commençai à mouiller. Je poursuivis :

– Et avec les garçons ?
– C’est arrivé un peu plus tard. J’étais en vacances avec mes parents et des amis à eux qui avait un fils un peu plus âgé que moi. Cela faisait deux semaines que nous étions ensemble et nous avions fini par nous embrasser… Contrairement à ce que l’on croit, tous les hommes ne bandent pas dans un village naturiste … souvent, ils sont impressionnés et ne bandent pas du tout ! Nous nous promenions tous les soirs dans les sous-bois près de l’océan. Lui remettait généralement un short et je restai toute nue … et petit à petit, c’est arrivé : on s’est masturbé, je l’ai sucé, il m’a léché et on a fini par faire l’amour. Ensuite, il restait nu le soir et cela facilitait encore plus les choses… On a varié les positions, c’était et c’est toujours très agréable de faire l’amour dehors…
– Oui, je vois… Et tu préfères les hommes ou les femmes ?
– Ça dépend des périodes… en ce moment, je suis plutôt femme..

J’avoue que j’attendais cette réponse. Elle se pencha, m’embrassa dans le cou et sa main alla directement sur mes seins, puis entre mes cuisses

– Mais tu es toute mouillée ! Ce sont mes histoires de naturistes qui t’ont excitées ?
– Oui, parfaitement …

à suivre

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4 réponses à Une voisine troublante par Francois_urophile – Partie 2

  1. Chastaing dit :

    Appréciant et goûtant moi-même ces petites perversions vous pensez bien que j’ai adoré ce texte bien écrit et sans surenchère crados.
    Vivement la suite !

  2. Claire dit :

    Il n’y avait pas grand-chose dans le premier chapitre, mais suffisamment pour me donner envie de lire la suite, je n’ai pas toujours apprécié la prose de cet auteur inégal auquel je reprochais une tendance au prosélytisme quasiment militante. Mais après trois ans d’absence, ce nouveau texte étonne, c’est nettement bien mieux maîtrisé, la relation entre les deux femmes est fort bien décrite et le passage scato, introduit avec tact m’a profondément troublé.

  3. James01 dit :

    C’est une histoire, il ne faut pas chercher la vraisemblance et elle est très bien comme ça. Dans la réalité si quelqu’un , se mettait à chier comme ça devant un autre dans 90% des cas, il y aurait une rejet (écœurement, dégout, fuite). Mais c’est vrai qu’une partie des gens, et sans doute plus qu’on ne le croit n’a pas de rejet devant la merde, je pense par exemple au personnel soignant mais il peut y avoir d’autre raisons. Moi j’aime bien regarde ma femme en train de chier.

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