Une voisine troublante par Francois_urophile – Partie 1

Une voisine troublante par Francois_urophile – Partie 1

En vidant le dernier carton, je ne pus m’empêcher de me remémorer tout ce que nous avions fait pour en arriver là. Cela faisait quasiment un an que nous préparions ce déménagement et nous étions enfin au bout, en ayant traversé toutes les épreuves habituelles de ce type d’opérations. Nous sommes rencontrés durant nos études de commerce et finance et nous avions tous les deux décidé de commencer à travailler en région parisienne, région plus propice pour trouver un emploi. Après 5 ans de travail intensif, l’idée d’un déménagement en province s’était petit à petit faite jour. Et tout s’accéléra avec une proposition de mutation intéressante pour mon compagnon, vers cette ville du Sud-Ouest. Nous n’avons pas mis longtemps à nous décider, car finalement tout nous attirait : la proximité de l’océan, de la montagne, le climat… Seule l’absence de connaissance dans la région, que ce soit au travers de nos familles ou de nos amis, aurait pu nous faire hésiter, mais finalement, nous étions convaincus de pouvoir tisser de nouvelles relations assez rapidement. J’avais démissionné de mon travail et j’avais prévu d’attendre d’être sur place pour chercher à nouveau du travail, pour être certaine de faire le bon choix.

Je m’appelle Marilou et j’ai 28 ans : je suis brune, avec les cheveux courts et les yeux clairs. Mon compagnon, Thomas, 28 ans également, est plutôt grand, brun aux yeux marrons. Nous sommes tous les deux assez sportifs. Sur Paris, nous avions l’habitude de fréquenter une salle de sport et le week-end, d’aller nous aérer dans les forêts environnantes. Et nous avions bien l’intention de poursuivre ces activités, notamment en profitant des grandes plages de la région.

Pour déballer les cartons et ranger les affaires, j’avais juste enfilé un short en jean et un top à manches courtes et étais resté pieds nus. En ce mois de juillet, il faisait déjà plutôt chaud. Thomas m’aidait à ranger le matin avant de partir au travail et le soir en rentrant. Ma présence à la maison permettait d’accélérer les choses, car j’ai personnellement horreur de vivre dans les cartons. Thomas rentra le soir et je pus lui annoncer fièrement :

– Regarde Thomas, je viens de ranger le dernier carton ! nous sommes maintenant officiellement chez nous !
– Bravo, me répondit-il en souriant, je vais prendre une douche et je viens t’aider à finir.

Il partit dans la salle de bain et je continuais à ranger les dernières affaires et à plier les cartons pour les jeter. Il revint dans la pièce, avec une simple serviette nouée autour des hanches. Il s’approcha et m’embrassa sur la bouche. Je lui rendis son baiser et nos langues se touchèrent. Je sentis sa main dans mon dos se glisser sous mon top puis passer devant. J’ai une poitrine assez menue, ce qui me permet de me passer de soutien-gorge la plupart du temps. Il me murmura à l’oreille :

– Tu sais, il y a une tradition : pour être vraiment chez soi, il paraît qu’il faut faire l’amour dans toutes les pièces ! Pour l’instant, nous n’avons fait cela qu’au lit !
– Et d’où tiens-tu cette tradition ?
– Je crois que je viens de l’inventer ! Qu’est-ce que tu en dis ?
– Tu sais, je trouve toujours que c’est plus pratique et confortable dans le lit ….
– Allons, on pourrait changer…

Il poursuivit son baiser et sa main se fit plus insistante, et me caressai maintenant les seins sous mon top. Il me poussa vers le canapé et m’y fit asseoir. Il souleva mes bras et en profita pour retirer mon vêtement. J’étais maintenant seins nus. Il me poussa dans le fond du canapé, déboutonna mon short et le retira, ôtant également ma petite culotte dans le même geste. Cette fois, j’étais toute nue, offerte. J’avais toujours eu du mal avec la nudité, non pas que j’avais honte de mon corps, mais je trouvais cela réservé à la chambre et à la salle de bain. En revanche, depuis notre première fois, j’ai toujours fait l’amour entièrement nue. Thomas me taquinait souvent sur son envie de me voir rester en petite tenue quand nous étions à la maison, voire même toute nue. Mais je n’avais jamais vraiment donné suite à ses demandes. Thomas se pencha sur moi et commença à me lécher les seins, tout en me caressant les cuisses et en remontant vers l’entrejambe. Puis, sa bouche descendit sur mon ventre pour venir sur mon minou. Je n’avais pas cédé à la mode et je gardai quelques poils sur ma vulve. Il commença à lécher partout et j’adorai sa façon de faire, ce qui me fit beaucoup mouiller, comme d’habitude. Il remplaçait régulièrement sa langue par ses doigts pour me masturber et faire monter le plaisir. Il se releva et ôta sa serviette : il apparut entièrement nu, le sexe tendu, déjà décalotté par l’excitation. Je m’assis sur le bord du canapé : il s’approcha et je le pris en bouche. Je le suçai pendant cinq bonnes minutes en lui caressant les fesses, les cuisses et les couilles. Je sentais le gland très gros dans ma bouche et je passai ma langue dessus, tout en faisant des va et vient. Puis, il vint s’asseoir dans le canapé, le pénis toujours dressé. Je vins m’empaler sur son sexe, et commençai à remuer les fesses, alors qu’il me caressait les seins, le dos et les fesses. Je prenais du plaisir, ma chatte bien remplie et bien mouillée. Thomas glissa un doigt dans ma raie et s’approcha de mon anus. Je lui pris la main et la reposa sur mes seins. Il se montrait insistant de ce côté-là, mais c’était clairement quelque chose qui ne m’attirait pas. J’accélérai le mouvement de mes fesses pour chercher l’orgasme, qui finit par venir à ma plus grande satisfaction. C’était maintenant au tour de Thomas de jouir. Je me dégageai de son sexe puis me remis assise dans la canapé, jambes écartées. Il me pénétra par devant, puis accéléra le mouvement jusqu’au spasme : il ferma les yeux tandis qu’il libérait son sperme dans ma chatte. Il retira son sexe, m’embrassa amoureusement.
Je lui dis doucement :

– Je crois que c’est une bonne tradition, tu avais raison. Je vais prendre une douche à mon tour !
– D’accord mon poussin, me répondit-il, je commence à préparer le diner.

J’allai dans la salle de bain et entrai dans la douche. Je me savonnai partout, et notamment entre les jambes pour nettoyer le sperme qui coulait de mon vagin. J’enfilai un peignoir court, genre veste de kimono. Dans la cuisine, Thomas s’affairait. Il était resté nu.

– Tu ne pourrais pas enfiler quelque chose, tu sais que je n’aime pas …., lui dis-je
– Je ne comprends pas, c’est pourtant agréable, tu devrais vraiment essayer .. mais d’accord, pour te faire plaisir.

Il sortit de la cuisine, et revins avec un tee-shirt et un jean. La soirée fut agréable et nous allâmes nous coucher. A noter que Thomas avait su me convaincre au moins sur un point : celui de dormir nue, comme lui.

Les premières semaines de notre vie sur place se déroulaient pour le mieux, organisée par le travail de Thomas, mes recherches d’emploi et nos promenades du week-end. Nous étions ensembles depuis environ dix ans. Nous nous sommes rencontrés pendant nos études et nous nous sommes plus tout de suite. Je n’avais quasiment pas eu d’expériences avec des garçons auparavant, si ce n’est quelques baisers furtifs. C’est avec Thomas que j’ai découvert le sexe, et il a été très attentif de ce côté-là. Il n’avait manifestement pas été élevé aux films X, ce qui était plutôt bien, contrairement à ce que me racontait mes copines à l’époque : leur copain leur donnait des fessées, voulait jouir sur leur visage ou les sodomiser dès leur premier rapport ! Résultat : nous faisions l’amour régulièrement et cela me donnait satisfaction, même si c’était sans doute un peu toujours pareil. Même la routine peut s’installer dans ce domaine !

J’étais toujours dans la recherche d’un club de sports à proximité, afin de reprendre une activité régulière. Un après-midi que j’étais seule à la maison, on sonna à la porte. C’était un livreur qui apportait un paquet pour l’appartement voisin, mais dont les occupants étaient absents. Le livreur était embêté car il ne pourrait pas revenir. J’acceptai de prendre le colis. Une fois le livreur parti, j’allai coller un post-it sur la porte voisine pour indiquer que j’avais repris le colis. Je revins chez moi et regardai le paquet : il était adressé Mme Nathalie Leroux. J’essayai d’imaginer son âge en fonction du prénom.. et je me disais plutôt autour de 40-45 ans. J’étais en train de lire quand on sonna. Je vérifiai ma tenue : chemisier blanc, jean corsaire, pieds nus. J’ouvris la porte et une femme se tenait dans l’encadrement : assez grande, blonde, environ 40 ans (j’avais raison …), yeux marron et cheveux mi-longs. Elle portait une robe assez décolletée, ce qui me permis de constater une poitrine assez généreuse. La mienne étant plutôt petite, j’ai toujours tendance à considérer que celle des autres est énorme ! Ses jambes nues étaient bien bronzées et elle portait des tongs fines, mettant également en valeur ses pieds bronzés.

– Bonjour, je m’appelle Nathalie, je suis votre voisine. Je viens récupérer mon colis. Merci beaucoup !
– De rien, le voilà, lui répondis-je en lui remettant le colis
– Pour vous remercier, voudriez-vous venir prendre un thé ou quelque chose chez moi ?
– Volontiers, lui dis-je en pensant qu’il fallait que l’on développe nos relations de voisinage !

Je me dirigeai vers la porte en regardant par terre, cherchant de quoi me chausser.

– Venez pieds nus, ça ne me dérange pas !

Je souris, et l’accompagna dans son appartement. Bien décoré, l’appartement semblait plus grand que le nôtre. Elle m’installa dans le salon et commencions à discuter de tout et de rien. Je compris qu’elle avait un compagnon mais qu’ils n’habitaient pas ensemble. Nous en vînmes à discuter de nos activités. Je lui parlai de ma recherche d’un club pour reprendre une activité sportive. Elle m’indiqua qu’elle fréquentait un club depuis plusieurs années et elle proposa de me le faire découvrir dès le week-end suivant. Ce que j’acceptai.

J’en parlai à Thomas, qui était ravi que je puisse sortir et reprendre des activités. Le samedi matin, je rejoignis Nathalie au club. Elle me montra les installations, les différents appareils, les vestiaires, la (petite) piscine et les saunas / hammams ainsi que les salles de massage. J’avais droit à un abonnement temporaire de quelques semaines, le temps de me faire un avis avant de confirmer. Nous commençâmes par nous changer et nous allâmes dans la salle de gym pour une première séance. Je portai un collant sans pieds et un haut de sport, tout comme Nathalie. Nous déroulâmes les exercices pendant une heure. C’était bon pour une première fois. Nous retournâmes aux vestiaires pour prendre une douche et nous changer. Je préparai ma serviette et mes affaires de rechange pour aller dans la cabine de douche, quand je vis Nathalie se déshabiller très naturellement et, une fois nue, vint se placer devant moi et me proposa de montrer les douches. D’autres filles étaient également nues dans les vestiaires, mais je n’avais d’yeux que pour Nathalie. Sa nudité confirma qu’elle avait une poitrine vraiment généreuse mais encore très ferme et je remarquai sa vulve entièrement lisse.

J’étais impressionnée par la beauté de ce corps nu, mais surtout par le naturel de Nathalie qui ne semblait pas se soucier des personnes autour. Je m’enfermai dans la cabine pour me laver, alors que Nathalie restait dans les douches collectives, sans rien cacher.

La scène se reproduisit à chaque fois que je passai au club et je finissais par attendre avec une certaine impatience ce moment où je la voyais se mettre nue devant moi. La scène revenait devant mes yeux chaque fois que je me mettais moi-même nue dans ma salle de bains et même au moment de faire l’amour avec Thomas. Cela franchit un cran supplémentaire lorsque Nathalie me proposa une séance de sauna avant de prendre notre douche. Je passai au vestiaire pour me déshabiller dans une cabine et ressortir avec une serviette autour du corps, au-dessus des seins. Nathalie, quant à elle, avait également une serviette autour d’elle, mais uniquement autour de sa taille, laissant sa poitrine libre. Je marchai à côté d’elle, jetant des coups d’œil réguliers sur ces seins magnifiques. Elle prit machinalement ma main tout en parlant, ce qui me troubla. Nous entrâmes dans le sauna pour nous installer sur les bancs en bois. Je me mis à transpirer instantanément, sous l’effet de la température et n’étant en fait pas très habituée. Nous étions seules dans le local surchauffé. Deux autres femmes entrèrent et s’installèrent. Elle retirèrent leurs serviettes. Je notai qu’elles étaient en maillot de bain 2 pièces. Je me penchai vers Nathalie :

– On ne doit pas être en maillot de bain, ici ?
– Oui, en théorie. Mais comme les hommes et les femmes sont séparées, pas de problème. on fait comme on veut !

Et elle joignit le geste à la parole : elle retira sa serviette et apparut nue. Les autres femmes ne semblaient pas faire attention. A son tour, elle me dit :

– Tu devrais aussi te mettre à l’aise, tu aurais un peu moins chaud.

Elle commença à tirer un peu sur ma serviette, comme pour m’inviter à me dénuder. Je commençai par ouvrir la serviette et libérer mes seins. Je jetai un coup d’œil étant persuadée que tout le monde me regardait, … mais ce n’était pas le cas. Puis, je finis par ouvrir complètement la serviette. Je gardai inconsciemment les jambes très serrées. Nathalie posa sa main sur ma cuisse :

– Détends-toi, tu es toute crispée.. ici, il faut se détendre !

Le contact me fit tressaillir. Je tournai la tête et je la vis essuyer la sueur sur sa peau. Ses seins étaient luisant sous les gouttes de sueur, jusque sur les tétons. Elle passait ses mains partout, les épaules, les bras, mais aussi les seins, qu’elle massait longuement, puis les cuisses et l’intérieur des cuisses qu’elle écartait généreusement. Cela me permis de voir son minou : tout lisse, lèvres fines et ouvertes. Elle passait également ses mains sur sa vulve ruisselante. Alors qu’elle ne faisait que des gestes naturels, j’avais l’impression qu’elle se masturbait devant moi, sans pudeur. Ce qui ne manquait pas d’humidifier encore plus mon entrejambe. Heureusement, mes poils ne permettaient pas de voir cette excitation. Je me détendais et commençais à écarter les jambes en répétant les mêmes gestes que Nathalie. Elle se pencha et me caressa l’épaule :

– Voilà, détends-toi. On est ici pour éliminer, caresse-toi bien partout. Si je peux me permettre, tu as gardé des poils sur le minou. C’est rare aujourd’hui… tu n’aimes pas ça le maillot intégral ? ton copain non plus ?
– Je ne sais pas trop … je n’ai jamais vraiment essayé.. répondis-je un peu timidement.
– Regarde, fit-elle

Et elle passa sa main sur son sexe, écartant les lèvres.

– C’est très excitant …. dit-elle, puis tout bas : entre nous, j’adore que ce soit lisse quand je me caresse et quand on me lèche …

Cette confession intime renforça mon excitation et les pensées osées m’envahirent : je voyais Thomas me lécher et appréciant ce sexe lisse, mais je me voyais aussi la tête entre les jambes de Nathalie pour sentir cette texture sur ma langue.

Après cette séance qui m’avait perturbée, je revins chez moi. Thomas étant sorti faire des courses, je me précipitai dans la salle de bain et fermai la porte à clé. Je baissai mon jean et ma culotte et, sans même les enlever entièrement, je commençai à me masturber, penchée sur le lavabo. Je me surpris à rentrer deux doigts sans problèmes, tant ma chatte était mouillée. Cela faisait plusieurs mois que je ne m’étais pas masturbée et là, d’un coup, j’avais envie d’un orgasme. J’activai encore le rythme dans mon sexe tout en me caressant les seins. Je revivais la scène du sauna dans une vision beaucoup plus sexuelle, en imaginant même la participation des deux autres femmes que l’on ne connaissait pas.

L’orgasme me saisit et me fit me cambrer. Je m’assis dans la baignoire et repris mon souffle. Je fis couler l’eau pour prendre un bon bain et continuer à me détendre. La pensée me trottait dans la tête et je finis par me décider : assise au bord de la baignoire, j’écartai les cuisses, pris la mousse à raser de Thomas et en recouvris tous les poils. Je pris un rasoir et entamai le retrait de tous les poils pubiens. Un fois le rasage terminé, je passai le jet de la douche, et déjà là la sensation était différente ! Je pris un peu de crème apaisante et l’étalai sur mon nouveau minou de petite fille. La sensation de douceur me donna l’envie de me faire jouir encore une fois, et cette fois l’orgasme vint très vite. Cela faisait peut-être 10 ans que je ne m’étais pas autant masturbée en si peu de temps… et j’en étais encore retournée.

Le soir même, et les soirs suivants, lorsque Thomas me léchait quand nous faisons l’amour, je ne voyais que le visage de Nathalie et c’est sa langue que je senti sur mon sexe. J’oubliais : quand Thomas a découvert mon sexe lisse, il n’a rien dit mais j’ai senti à l’action de sa langue que cela l’avait bien excité. La dureté de son érection en attestait également… Je ne pouvais m’empêcher de repenser à tout cela, tous les jours. Et je ne finissais par attendre uniquement nos séances de sauna et le passage au vestiaire.

Une semaine plus tard, Nathalie me fit une proposition à la sortie du club :

– Si tu veux découvrir la région, nous pourrions aller ensemble à l’océan, il y a plein de beaux endroits à découvrir. Tu es d’accord ?
– Oui, c’est une bonne idée. Dis-moi ce que je dois emmener !
– Très simple : maillot de bain, serviette et crème solaire. Et de quoi manger si on reste la journée !
– D’accord… à samedi !

Le samedi suivant, Nathalie sonna à notre porte. J’en profitai pour faire les présentations :

– Thomas, voilà Nathalie, notre voisine qui m’a fait découvrir le club de sport.
– Enchanté, Nathalie. Merci de nous aider à découvrir la région. J’ai du travail. je vous laisse entre filles, vous m’emmènerez une autre fois, dit-il en souriant
– D’accord, je vous enlève Marilou.

J’avais mis un tee-shirt et un short par-dessus mon maillot de bain et chaussé des tongs. Le reste de mes affaires était dans un petit sac à dos. Nathalie avait mis un grand teeshirt faisant minirobe et étaient pieds nus :

– Tu ne mets pas de chaussures ?
– Non, jamais le week-end l’été…
– Et même en ville ?
– Oui, bien sûr… je t’initierai si tu veux, dit-elle en souriant

Un peu surprise, je la suivis dans le garage et nous roulâmes 45 minutes en direction de l’océan. Nous nous garâmes sur un petit parking en lisière de pinède.

– Tu vas voir, c’est un coin très tranquille ! me dit-elle

Nous descendîmes de la voiture et nous dirigeâmes vers le chemin de sable qui menait à l’océan. J’ôtai mes tongs pour être plus à l’aise dans le sable. Après quelques mètres, elle se tourna vers moi :
– On peut se mettre à l’aise à partir de là…

Et sans attendre ma réponse, elle ôta son tee-shirt. A ma surprise, elle était nue, à l’exception d’un mini string dont la ficelle disparaissait entre ses globes fessiers. Le blanc du string se détachait nettement sur sa peau bronzée. L’absence de marques, que j’avais déjà remarquée au club sous la douche, apparaissait comme une évidence : elle devait être adepte du bronzage intégral. Et je commençai à me douter de là où elle m’emmenait… Immédiatement, je ressentis une onde de chaleur m’envahir. A mon tour, j’enlevai tee-shirt et short pour apparaître en maillot de bain deux pièces. Nous avançâmes vers la plage. J’avais les yeux rivés sur les fesses musclées et bronzées, sans marques, que je voyais devant moi. Arrivées sur la plage, assez fréquentées, Nathalie m’invita à la suivre :

– Nous allons aller un peu plus loin, c’est plus tranquille..

Nous traversâmes encore quelques sous-bois pour arriver dans les dunes en arrière de la plage.

– On va se mettre là pour être tranquille, dit Nathalie.

Nous installâmes nos serviettes et nous installèrent. Après quelques minutes, Nathalie m’avoua :

– Tu sais, j’aime bien venir ici parce que le naturisme est autorisé…
– Tu es naturiste, toi ?
– Oui, bien sûr. Tu sais ici, il y a de nombreuses plages naturistes et je pratique depuis toute petite…

Et immédiatement, elle tira sur les ficelles de son string qui tomba à ses pieds. La voir nue en pleine nature était encore plus excitant que dans le sauna. Allongée sur le ventre, elle parlait de tout et de rien, mais je ne pouvais m’empêcher de regarder ses courbes, son dos, ses fesses, ses seins.. même ses pieds nus m’excitaient !

– Quand on est naturiste, le risque, ce sont les coups de soleil aux endroits sensibles ! Si tu venais me mettre de la crème dans le dos…
– Oui, si tu veux, répondis-je en hésitant un peu.

Elle me tendit la crème et je fis couler le liquide blanc sur son dos et commençait à étaler. Inconsciemment, je massai uniquement les épaules. Elle me dit en souriant :

– Tu sais, je pense que c’est assez protégé ici… descends un peu … encore… encore … oui, voilà, sur les fesses et sur l’intérieur des cuisses

Je m’exécutai, prenant des luxes de précautions pour ne pas toucher le sexe.

– Un coup de soleil sur la chatte, ça fait vraiment mal, dit-elle en rigolant. Mets-en aussi là !
Finalement, je passai les doigts sur sa vulve, tandis que la mienne se liquéfiait littéralement.
– Voilà, c’est bien. A ton tour maintenant, allonge-toi sur le ventre..
Je m’exécutai. Elle vint se mettre à genoux, de part et d’autre de mes fesses.
– Il faut que tu sois à l’aise ! Je vais te débarrasser …

Elle dégrafa mon soutien-gorge et baissa mon bas de maillot de bain pour libérer mes fesses. Je me sentis soumise, prête à obéir. Je sentis le froid de la crème solaire sur le dos et les doigts de Nathalie l’étaler partout. Elle passait partout, des épaules aux cuisses en passant par les fesses et l’intérieur de la raie. Elle s’écarta pour avoir accès à ma vulve et y déposer également de la crème. Après avoir fini d’étaler la crème, nous nous retrouvâmes à genoux, face à face et pour ainsi dire seins contre seins. Nathalie me regarda dans les yeux en souriant :

– Il reste encore un endroit à protéger !

Elle prit la bouteille de crème et en versa deux noisettes sur chacun de ses seins bronzés.

– Vas-y, étale tout ça. J’aimerais que tu les fasses toi-même … ….

Une bouffée de chaleur m’envahit. Ce dont je rêvais depuis des jours allait se réaliser. Devant mon hésitation, elle attrapa ma main et la posa sur son sein et commença à le masser avec. Je commençai à masser les deux seins et fut agréablement surpris par la sensation. Moi qui avais seulement l’habitude du toucher de mes petits seins, là, j’avais de la matière entre les mains !. Je répandis de la crème sur mes seins pour qu’elle me rende la pareille… et elle se mit à la tâche. Nous étions là toutes les deux, nues dans la nature, à nous caresser les seins. Nous nous regardâmes, et sans hésiter, nos lèvres se touchèrent pour finir par un baiser sensuel, avec la langue …

à suivre

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3 réponses à Une voisine troublante par Francois_urophile – Partie 1

  1. c’est très bien écrit
    sensuel ;l’auteur nous fait miroiter une suite allant en crescendo
    et vivement cette suite ^^

  2. Pilouface dit :

    Le récit est bien amené. L’excitation monte peu à peu. On se sent bien dans la peau des personnages. J’attends la suite avec
    Impatience .

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