Une vie de soumis 4 – Quand Ysan devient Florence Par Ysan01

Une vie de soumis
4 – Quand Ysan devient Florence
Par Ysan

Rappel des chapitres précédents : Ysan c’est moi, jeune éphèbe androgyne, élève aux Beaux-arts. Depuis fort longtemps notre professeur n’était pas insensible à mon charme équivoque. Un soir où nous étions seuls dans l’atelier il m’a dépucelé et dès le lendemain a commencé mon éducation amoureuse et ma féminisation. Maintenant je ne parle de moi qu’au féminin et je suis follement amoureuse. Cette vie nouvelle où ma soumission n’est en réalité qu’une apparence, me ravit.

CHAPITRE IV

Quand Ysan devient Florence

Epuisé par nos jouissances multiples de la soirée, je me suis vite endormie dans les bras de mon amant. Le lendemain au réveil, c’était donc un samedi, il m’a annoncé le programme de la journée. En fin de matinée nous avions rendez-vous dans un grand magasin de prêt-à-porter pour choisir des vêtements « qui correspondent à ma vraie nature » et l’après-midi nous irions voir un médecin « qui avait des solutions pour développer ma féminité».

J’étais un peu inquiet par ces propos obscurs d’autant que je savais, depuis la veille, qu’à l’avenir il me faudrait toujours porter des sous-vêtements féminins et j’en avais maintenant un petit stock à ma disposition. Mon amant était lui particulièrement calme et décontracté. Il est entré dans la salle de bain quand j’étais sous la douche. Il était nu mais sa queue ne manifestait pas le moindre signe d’érection. Toujours sous la douche, je l’ai provoqué lui présentant ma croupe, ondulant des hanches, caressant mes seins.

Il n’a pas fallu longtemps pour qu’il commence à bander, j’étais fière de l’avoir excité. J’allais enfiler un peignoir et le conduire vers notre chambre, il ne m’en a pas laissé le temps. Sans un mot il m’a plaquée debout face contre le mur et s’est collé contre moi. Heureusement j’avais pris mon lavement avant la douche et bien crémé mon petit trou. J’allais être enculée dans cette position inconfortable. En vraie petite pute en chaleur je cambrais les reins pour mieux lui offrir mes fesses et faciliter son intromission. Je savais que j’allais souffrir, mais peu importe j’avais trop envie de sa bite.

D’un seul coup de rein puissant il m’a embrochée jusqu’à la garde. J’ai hurlé de douleur, mais très vite mes cris ce sont transformés en gémissements de plaisir qui se mêlaient aux rugissements de sa jouissance. Il me pétrissait rageusement les seins, me mordait violemment dans le cou. A chacun de ses coups de butoir il me soulevait. Mes pieds ne touchaient plus terre, plaqué contre le mur, je ne tenais debout qu’embroché sur cette bite énorme. Moi au physique très féminin, frêle et menu, je n’imaginais pas que je pourrais trouver ma jouissance dans des assauts aussi puissants et douloureux et pourtant quand il s’est vidé dans mon ventre tout mon corps a été parcouru de spasmes violents, une nouvelle fois j’ai eu un orgasme de fille.

Quand nous avons retrouvé notre calme j’étais délicieusement meurtrie, lui était épuisé et pourtant nous devions nous dépêcher pour rejoindre avant midi le magasin de prêt-à-porter.

– Habille toi vite Ysan, nous n’avons pas de temps à perdre. Tu mettras ton petit boxer et le caraco en soie rose, un jean, un tee-shirt et les escarpins noirs.

Depuis la veille je savais que je ne devais plus porter que des dessous féminins, mais les escarpins me surprenaient davantage, jusqu’alors je ne les avais mis que dans l’intimité, pour exciter et charmer mon amant. J’ai pourtant obéi sans rien dire.

Nous sommes arrivés à destination en fin de matinée. Les propriétaires des lieux nous attendaient sur le pas de la porte. C’étaient deux hommes très élégants et fort courtois, l’un avait une quarantaine d’années l’autre paraissait beaucoup plus jeune. Mon amant les connaissait depuis longtemps, il m’avait expliqué qu’ils vivaient en couple. Dès notre arrivée ils ont fermé le magasin « pour pouvoir s’occuper tranquillement de nous ». Ce magasin était vaste, confortable et bien achalandé, mais j’ai eu vite vu qu’il n’y avait que des vêtements féminins. Les formules de bien venue échangées, mon amant a entrepris de parcourir les rayons, faisant un premier choix et j’ai compris que je n’avais pas mon mot à dire. J’attendais patiemment jusqu’au moment où il m’a demandé de me déshabiller pour les essayages. J’allais me diriger vers la cabine :

– Ysan, je t’en prie pas de fausse pudeur, déshabille toi ici, je veux que mes amis te voient et puissent me conseiller.

J’ai obéi en rougissant. Tee-shirt et jean enlevés, j’ai remis mes escarpins et me suis retrouvé debout en petite culotte rose et caraco devant ces deux hommes que je ne connaissais pratiquement pas. Ils me jaugeaient, j’étais pour eux un charmant petit animal, une poupée qu’ils allaient s’amuser à habiller et les commentaires ne se sont pas fait attendre :

– Cher ami, toutes nos félicitations, vous avez trouvé là un éphèbe androgyne d’une rare beauté. Il doit le savoir ce petit Ysan qu’il est superbe.
– Malgré sa petite taille, il a de longues jambes admirables, la cambrure de ses reins, la rondeur de sa croupe sont parfaites, il pourra porter avec beaucoup d’élégance des pantalons très moulants style corsaire par exemple.
– Et quel grain de peau admirable, aucune pilosité, un corps fait pour être caressé. Les petits débardeurs à fines bretelles que vous avez choisis mettront en valeur la grâce de ses épaules, la finesse de son cou, mais il nous faudra coudre de faux seins à l’intérieur pour que l’harmonie soit parfaite.
– Inutile mes amis, j’ai acheté des faux seins très astucieux que l’on fixe par une pince à sein intérieure. Cela la fera souffrir un peu, mais elle adore cette petite vicieuse

Ainsi l’essayage c’est poursuivi pendant longtemps. Les deux vendeurs virevoltaient autour de moi, tous les prétextes étaient bons pour me caresser les fesses ou les seins. Mon amant impassible regardait et choisissait: pantalons, chemisiers, vestes et paletots, escarpins et bottes et même deux minijupes qui parait-il « m’allaient à ravir », je me demandais bien à quelle occasion je pourrais les porter.

A une question de mon homme, ils on répondu qu’en matière de lingerie ils n’avaient que des chemises de nuit et des déshabilles :

– Si Ysan veut bien venir dans le petit salon, nous lui ferons essayer des modèles qui ont beaucoup de charme.
– Ysan, pour essayer de la lingerie enlève ton caraco et ta culotte.
– Mon chéri tu veux que je sois entièrement nue devant ces messieurs ?
– Ysan c’est un ordre !

Toute rougissante, je me suis exécutée. Le plus jeune des vendeurs s’intéressait beaucoup à mon pubis sans aucune pilosité et cherchait à comprendre comment je dissimulais ma petite queue dans l’entre jambes. Il m’a fait essayer une superbe chemise de nuit toute en frous-frous et dentelles transparentes elle descendait jusqu’au sol mais était fendue jusqu’à la taille. J’ai enfilé le déshabillé assorti et des mules aux talons vertigineux.

J’allais et venais ondulant de la croupe, faisant la belle devant ces trois hommes manifestement très excités par ma tenue érotique. Mon amant a choisi l’ensemble rouge que je portais et un modèle noir identique. Les achats étaient terminés, il s’est alors approché de moi et m’a obligée à me plier en deux, je me tenais en équilibre instable les mains appuyées sur une chaise. D’un geste brusque il a relevé ma longue chemise de nuit, offrant ma croupe dénudée à la vue de tous :

– Mes amis, Ysan a tout fait pour vous exciter, à lui maintenant de vous satisfaire, son petit cul et sa bouche sont à votre disposition, moi je vais fumer une cigarette dehors.

Ainsi il m’offrait à ses amis. Pour la première fois j’allais être enculée par des hommes autres que lui. Dans la position où j’étais je n’ai même pas vu que le plus âgé avait immédiatement sorti sa queue. J’ai senti son gland pointé sur ma rondelle. La pénétration s’est faite sans douleur, il avait un sexe bien modeste par rapport à celui que j’avais maintenant l’habitude de prendre. Mon « sodomisateur » accompagnait ses va-et-vient réguliers de halètements sonores. J’étais satisfait de sentir qu’il prenait son pied, mais pour moi le plaisir n’était pas intense, aucun rapport avec ma jouissance douloureuse au matin dans la salle de bain sous les coups de butoirs de mon amant.

Le plus jeune nous regardait, mais son excitation était telle qu’il n’a pas pu attendre son tour. Il avait une toute petite queue, comparable à la mienne. Il me l’a mise en bouche enfoncée jusqu’à la garde sans que je risque de m’étouffer. Je le suçais consciencieusement, il poussait des gémissements de plaisir. Dans la position inconfortable où je me trouvais les deux amis eux étaient debout, face à face, ils se parlaient, commentaient leur jouissance. Moi je n’étais qu’un objet sexuel à leur disposition. Ils ont déchargé avec un ensemble parfait et j’ai tout avalé. Quand mon amant est revenu, c’est lui qu’ils ont remercié et non moi.

Il fallait maintenant m’habiller. Tous les trois étaient du même avis, avec le vestiaire acheté, il était hors de question que je sorte du magasin en garçon. J’ai compris que pour la première fois j’allais devoir circuler en ville habillé en fille. La discussion a été plus longue sur le choix de ma tenue, finalement ils ont opté pour un pantalon très moulant en lin grège qui « mettait ma croupe en valeur », un chemisier en soie et à jabot qui « dissimulait mon absence de poitrine », une large ceinture de cuir havane pour « accentuer la cambrure de mes reins », des escarpins à talons aiguilles assortis et pour terminer un blouson de daim. Ils m’ont noué un foulard coloré autour du cou pour dissimuler les morsures du matin. Enfin ils se sont bien amusés à me maquiller du noir aux yeux, du rouge aux lèvres et ils m’ont offert des boucles d’oreilles : deux grands anneaux de gitane. Me regardant dans la glace, je me suis trouvé très belle.

Mon vestiaire de fille remplissait la malle de la voiture et encore il n’y avait pas tout. Certains vêtements demandaient quelques retouches, rendez vous fut pris pour le samedi suivant. C’était l’heure du déjeuner, mon amant me conduisit dans une grande brasserie du quartier. Il y avait beaucoup de monde, quand j’ai traversé la salle en ondulant discrètement des hanches j’ai bien vu que tous les hommes me suivaient du regard. Je commençais à prendre conscience de mon pouvoir de séduction.

Selon sa formule habituelle qui avait le don de m’exaspérer il m’a conseillé de prendre un whisky puisque « je devais avoir la bouche pâteuse ». La commande du repas passée, il m’a parlé :

– Ysan tu as vu que tous les hommes sont sensibles à ton charme, mais ton prénom n’est plus adapté à ta nouvelle vie. J’ai décidé que dorénavant tu t’appellerais Florence et j’exige que tu parles toujours de toi au féminin.
– Mon chéri le prénom que tu as choisi me plait beaucoup, dans l’intimité tu m’appelleras Flo, j’adore. Maintenant je suis ta maîtresse soumise et j’en suis ravie, mais il est impossible que je revienne aux beaux-arts. Je veux bien porter des dessous féminins, mais habillée complètement en fille, c’est impossible
– Effectivement il y a là un petit problème. Il reste un trimestre et je ne veux pas que tu rates ta dernière année et ton diplôme. Pour l’instant c’est le début des vacances de Pâques tu restes chez moi, ensuite pour le dernier trimestre et bien tu seras Ysan en semaine et Florence le week-end. Ensuite nous vivrons ensemble, je te le promets.

Ainsi en avait décidé mon maître, je n’avais plus qu’a obéir. Le repas s’est poursuivi dans une conversation passionnante sur l’art. Je buvais ses paroles, mais il restait encore un rendez-vous important pour l’après midi avec ce mystérieux médecin.

Nous sommes arrivés à l’heure prévue, il n’y avait que nous dans la salle d’attente. Il ne nous a pas fait attendre. Le médecin était un homme d’une cinquantaine d’années grand, mince, élégant, beaucoup de classe :

– Bonjour cher ami, content de te voir, voici donc le jeune Ysan dont tu m’as parlé.
– Je m’excuse docteur, mais je ne m’appelle plus Ysan, mon maître a décidé que maintenant j’étais Florence.
– Votre maître a eu raison, voilà un prénom qui convient parfaitement à votre charmante nature. Veuillez vous déshabiller Florence que je puisse vous ausculter.

Mon trouble était grand à l’idée de me retrouver nue devant un si bel homme qui m’impressionnait. Le pantalon de lin et le chemisier ont vite été retirés. J’ai rechaussé mes escarpins et j’attendais debout, dans mes sous-vêtements de soie rose. J’ai bien vu que le médecin n’était pas indifférent à mon charme, mais sa réplique a été vive :

– Vous êtes très belle Florence, mais ici ce n’est pas un concours de beauté, je veux vous ausculter, déshabillez vous complètement.

Je suis devenue écarlate et me suis exécutée rapidement. Je n’avais gardé que le foulard multicolore noué autour du cou. Il s’est approché de moi et a dénoué mon foulard qui dissimulait les morsures du matin :

– Oh ! Florence vous avez été traitée sévèrement par votre maître, aviez-vous mérité une punition ?
– Non docteur, c’est moi qui l’avais excité et il m’a prise violemment.
– C’est intéressant ce que vous dites là, racontez moi tout en détail.
– Mais docteur je n’ose pas.
– Florence je suis votre médecin, il me faut tout savoir de vous. Votre maître est là pour vérifier si vous dites la vérité, parlez !
– J’étais sous la douche quand il est entré nu dans la salle de bain. J’ai voulu l’exciter en me caressant les fesses devant lui. Le résultat a été probant, il m’a plaquée debout face contre le mur et m’a prise violemment. Ses coups de butoir me soulevaient du sol, il me pinçait les seins, me mordait le cou. Ma jouissance était douloureuse, mais tout mon corps était parcouru de spasmes et j’ai eu un orgasme au moment où il se vidait dans mon ventre.
– Tout ceci est très intéressant Florence, mais cette position était particulièrement inconfortable pour votre amant, avez-vous su l’aider au moment de la pénétration ?
– Je cambrais les reins au maximum pour lui présenter mes fesses au bon niveau.
– C’est insuffisant Florence, il vous fallait prendre en main son pénis et le pointer sur votre anus. Pensez-y à l’avenir.

Pendant que je parlais le médecin avait passé sa main dans mon entrejambes et décollé délicatement l’adhésif qui maintenait ma petite queue, je n’ai pas pu me retenir, j’ai eu une érection :

– Nous allons trouver une autre solution pour dissimuler votre charmant petit sexe, Florence, cet adhésif va vous irriter la peau ces serait dommage. Je constate aussi que vous n’avez ni bourses ni testicules, avez-vous été opérée ?
– Non docteur je suis ainsi faite de naissance.
– C’est encore mieux et je comprends maintenant votre absence complète de système pileux, votre taille fine et la rondeur féminine de votre croupe.

Tout en parlant il était passé derrière moi et c’était collé contre mon dos. Je sentais son sexe en érection sur mes fesses et cela me rappelait le comportement de mon maître pendant les cours de dessin Ses bras passant au dessus de mes épaules il a commencé à palper mes seins, tout en faisant des commentaires:

– La prédisposition de sa poitrine est parfaite. Avec un traitement aux hormones on va pouvoir lui faire des seins de jeune fille. Vous aurez trois pilules à prendre tous les matins, Florence, et il faudra venir me voir tous les quinze jours pour régler le dosage en fonction de l’évolution. Maintenant montez sur la table de soins, mettez vous à quatre pattes et présentez moi vos fesses.

J’étais très excitée de me retrouver dans cette position de soumission humiliante devant ce bel homme qui m’impressionnait. Il a enfilé un gant, m’a pénétrée délicatement avec deux doigts et fouillait mon fondement tout en faisant ses commentaires :

– elle a un sphincter extraordinairement souple. Tu m’as dit l’avoir dépucelée il y a quinze jours seulement, moi qui sais comment tu es monté, elle a du te sentir passer, mais elle n’est absolument pas déchirée, félicitations l’ami ! Je vais lui mettre un écarteur pour savoir jusqu’où elle peut aller

Le médecin m’a alors introduit une sorte de gode en caoutchouc relié à un gonfleur. Sous l’effet de la pression je sentais ma petite rondelle se distendre de plus en plus douloureusement :

– Pitié ! Pitié docteur ! Arrêtez cet instrument de torture, je ne veux pas être déchirée.
– Nous sommes quand même arrivés au diamètre de six. Florence vous avez beaucoup de chance, vous pourrez prendre les plus beaux membres sans aucun danger. Pour en finir je voudrais connaître exactement votre forme de jouissance, les spasmes dont vous m’avez parlé me surprennent. Ami verrais tu un inconvénient à ce que je la sodomise.

– Je t’en prie, elle est à toi. Je vais fumer une cigarette dans le jardin.

Pour la deuxième fois de la journée, mon amant me livrait à un autre homme. J’allais être enculée par ce médecin qui m’intimidait tant. Il est allé s’asseoir derrière son bureau et a sorti sa queue :

– Florence venez me préparer.

Il avait une bite moins large que celle de mon maître, mais d’une longueur surprenante et déjà en pleine érection. Je me suis agenouillée entre ses jambes, m’appliquant bien pour sucer son gland tout en caressant des deux mains sa longue hampe. Il semblait ravi :

– C’est bien Florence, maintenant allez vous mettre en levrette au bord du canapé.

Je me suis empressée d’aller prendre la position, il s’est placé debout derrière moi et m’a pénétrée sans douleur mais après avoir un peu cherché mon trou :

– Florence c’était à vous de prendre mon sexe en main et de le guider, vous n’avez pas retenu ce que je vous ai dit tout à l’heure.
– Je m’excuse docteur.

Cette bite d’une longueur impressionnante fouillait mon ventre en profondeur, elle me tringlait, me limait au rythme de mes gémissements. Quand j’ai ressenti les premiers spasmes de la jouissance, mon « sodomisateur » me tenant fermement par les hanches a su activer les mouvements et attendre mes derniers soubresauts pour décharger violemment. Je n’avais jamais eu une jouissance aussi complète. Il a attendu le retour de mon maître pour faire ces commentaires :

– Cette petite Florence est surprenante elle vient d’avoir un orgasme de femme. Tu as beaucoup de chance ami, c’est très intéressant pour le partenaire. Mais lui arrive-t-il d’éjaculer ?
– Elle est très vicieuse, elle aime bien aussi que je la branle tout en la sodomisant.
– Tout ceci est parfait, je vais te donner des pilules qu’elle devra prendre tous les matins pour développer ses seins et il reste le petit problème de la dissimulation de son sexe. Je te propose de lui fixer dans l’entrejambe, par deux points de suture ce petit anneau extensible.

Mon amant ayant donné son accord j’ai du m’allonger sur la table de soins, jambes écartées, pour subir la petite intervention qui fut rapide et peu douloureuse. Je me suis relevée avec un pansement dans l’entrejambe :

– Florence vous reviendrais me voir dans huit jours, je vous enlèverai les points et vous montrerai comment fixer votre petit sexe. Pour l’instant il est hors de question que vous remettiez votre pantalon très moulant et votre culotte, ils vont déplacer le pansement. Ami, il faut trouver une autre solution.
– Pas de problème, ce matin nous avons fait des achats, je vais chercher une minijupe dans la voiture.

Ces minijupes achetées le matin ! Je ne pensais pas que j’en porterai une le jour même et en plus sans culotte. En voiture mes fesses au contact direct du cuir du siège me procuraient une excitation nouvelle.

Arrivés chez nous, j’avais un peu mal. Mon amant a voulu que j’aille au lit. Toute la soirée il m’a dorlotée comme un bébé. Lui souvent si sévère, je ne l’avais jamais vu aussi doux et attentionné. Il a dormi près de moi, mais ne m’a pas touchée de la nuit.

Je savais qu’au matin il devait partir en province organiser une exposition de peinture pendant les quinze jours des vacances de Pâques. Avec mon pansement dans l’entrejambe et l’obligation de revoir le médecin il était impossible que je l’accompagne. Croyant que je dormais, il s’est levé sans faire de bruit. Je suis allée le rejoindre dans la salle de bain et me suis agenouillée pour le sucer amoureusement. Il a joui très vite et j’ai avalé son sperme sans le moindre haut le cœur.

– Tu es adorable Florence, je te téléphonerai tous les soirs, mais maintenant il me faut partir.

Ainsi pendant quinze jours j’allais vivre seule dans ce bel appartement. Je n’étais plus Ysan, j’étais Florence, une vie nouvelle commençait pour moi.

à suivre

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Une réponse à Une vie de soumis 4 – Quand Ysan devient Florence Par Ysan01

  1. cuerval dit :

    Bizarre ce texte qui se voudrait bien écrit mais qui ne l’est pas, notamment au niveau des dialogues qui manquent singulièrement de naturel. Et puis certains détails agacent, pourquoi aller nous préciser qu’il s’est fait un lavement ? Et puis cette mentalité de soumis permanent, « Mon maître par ci, Mon Maître par là. De l’érotisme gnangnan !

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