Une sortie en mer 4 – Retour à bord par Lovelace

Une sortie en mer
4 – Retour à bord
par Lovelace

Nous arrivons au bateau et j’aborde par la jupe arrière qui représente une plate-forme facilement accessible. Pierre sort le premier, et tend la main aux autres pour les aider à s’extirper de l’annexe, exercice toujours délicat, car un pneumatique est toujours un peu mou, et l’eau n’est pas non plus le plan le plus stable qui soit, et on a vite fait de se retrouver à la baille. Une fois les débarquements réalisés, j’ouvre le panneau d’accès au carré.

Je fais s’installer notre petite troupe dans le confortable cockpit et sors du bar de pont les bouteilles et les verres pour l’apéro. Je descends chercher des glaçons et de quoi grignoter. Nous reprenons la conversation là où nous l’avions laissée sur la plage :

– Vous logez à Boyardville et nous sommes ancrés juste devant, fait remarquer Pierre
– Si vous avez une chambre vue mer, on pourra se faire des signes, dit Alice en rigolant.
– Oui, nous avons une jolie chambre qui nous permet d’admirer l’océan et le va-et-vient des bateaux.
– C’est sympa aussi, dit Alice, à l’hôtel on s’occupe de rien, et puis on peut s’habiller, se pomponner, faire la grasse matinée, bref la belle vie.
– Vous n’appréciez pas plus que ça le bateau dirait-on, intervient Yann.
– Détrompez-vous, j’adore ça. Moi aussi je ressens ce sentiment si particulier que le monde vous appartient, que vous pouvez faire ce que vous voulez, il n’y a personne pour vous dire ce que vous devez et pouvez ou pas faire, quitter la superficialité du monde, pour se recentrer sur l’essentiel. (Est-ce le sexe qu’Alice considère comme l’essentiel ? pensé-je)
– Pardon je pensais avoir compris que vous regrettiez de ne pouvoir exprimer toute votre féminité à bord d’un bateau.
– Non, non, je disais ça parce que ce sont des choses superflues mais importantes pour une femme, et quand je suis à terre, j’en profite, soyez en sûr.
– Passons aux choses sérieuses, dis-je ; que voulez-vous boire ? Je peux vous proposer du whisky, du pastis, du ti punch, du Martini. Lucie ?
– Je vais me laisser tenter par un ti punch, s’il te plait, pardon je vous ai tutoyé.
– Vous, tu as raison, ce sera plus simple. Et toi Yann ?
– Ti punch aussi s’il te plait.
– Bon alors ti punch pour tout le monde, ça fera monter l’ambiance. Je branche la sono.

Joignant le geste à la parole je branche le lecteur CD et sélectionne un disque de Zouk.

– Voulez-vous visiter l’intérieur ? demande Alice
– Avec plaisir répond Lucie, tu viens Yann ?

Les voilà partis à l’intérieur, Alice, en bonne maîtresse de maison, leur montre tout. Arrivant à notre cabine elle annonce :

– Et voici le lupanar !
– Ouah ! Elle est vachement grande cette cabine s’exclame Lucie, vous tenez à combien là dedans ?
– Je ne sais pas, pour l’instant on n’a pas dépassé 2, mais je pense qu’on pourrait tenir à 5 répond Alice qui ne perd pas le Nord.
– Justement nous sommes 5 reprend Yann.
– Alors on devrait peut-être en profiter pour vérifier si je dis vrai, répond Alice avec son petit sourire coquin.
– Moi je vote pour, dit Lucie, mais on s’allonge dans quel sens pour tenir tous ?
– Qui a parlé de s’allonger ? Répond Alice, une cabine ne sert pas qu’à dormir, non ?
– Ho là là, tu as une idée cochonne derrière la tête ou je me trompe ?
– Si je n’avais qu’une idée !
– Vous en mettez du temps, m’écriais-je par la descente, on vous attend pour trinquer.
– On arrive, me crie en retour Alice, et elle chuchote à Lucie : je crois que c’est nous qui allons trinquer !

Lucie pouffe et lui répond sur le même ton :

– Je suis prête c’est quand qu’ils veulent.

Yann précède les deux filles dans la coursive et elles apparaissent sur le pont, hilares au point qu’on se demande ce qui a bien pu se passer en bas. On ne se pose pas longtemps la question, elles y répondent dès que nous avons passé un toast au bonheur.

– Vous savez quoi, les gars ?
– Non, quoi ?
– Lucie et moi on s’est roulé une pelle en se pelotant les fesses, c’est pour ça qu’on ri.
– Voilà autre chose, dis-je, te voilà bi maintenant ?
– Et alors, tu l’es bien toi !
– Tu partage ton mari avec un homo ? demande Lucie
– Non, non, Pierre n’est pas du tout homo, même très viril le garçon, mais aujourd’hui je leur ai fait découvrir qu’une queue est aussi bonne qu’une chatte.
– Qu’est-ce que t’en sais toi du goût d’une chatte ? lui demande Pierre
– Quand je vous suce après que vous m’ayez prise, j’ai bien mon goût non ?
– Hé, la conversation est en train de virer à l’obscène, là, s’exclame Yann
– Ne soyons pas hypocrites, lui dis-je, vous aviez déjà une idée derrière la tête en nous abordant sur la plage.
– Certes, on y pensait, mais là ça arrive brutalement.

Alice reprend la parole :

– Ce matin on s’est embarqués sans savoir que nous allions vivre une journée de luxure et de dépravation totale, c’est arrivé d’un coup, comme maintenant. Je me suis mise à poil et tout s’est enchaîné, j’ai dit aux gars de m’imiter et quand j’ai vu le chibre de Pierre, plein d’idées perverses m’ont traversé l’esprit.
– C’est exactement comme nous, intervient Lucie. Quand on vous a vu arriver sur la plage, j’ai remarqué tout de suite Pierre et son gros attirail et te voir Alice prendre le bras des deux gars, j’ai pensé tout de suite que vous formiez un trio et j’ai eu des visions érotiques qui m’ont titillé.
– Vous avez déjà eu des expériences à plusieurs ?
– Oui, bien sûr, on a déjà pratiqué l’échangisme, et moi j’aime bien aussi les nanas, répond Lucie.
– Et toi Yann, tu as déjà eu des expériences bi ?
– Non jamais, ça ne m’attire pas, pas encore en tout cas. Je pense qu’il faut que la mayonnaise prenne, non ?
– Nous on avait jamais eu, jusqu’à présent d’expériences hors de nos couples respectifs dis-je. On a découvert tout ça aujourd’hui et on a trouvé ça fabuleux jusqu’à présent. Vous êtes beaux, sympas, classe, on a envie d’aller encore plus loin, de découvrir encore plus dans la relation sexuelle.

Alice se rapproche de Lucie et après nous avoir cloué le bec par un « Assez parlé, agissons », lui prend la tête et lui roule une pelle devant les trois mecs interloqués.

Elle lui enlève son tee-shirt qui la couvrait jusqu’à mi-cuisses et libère ainsi ses jolis petits seins pointus. Puis elle se met à genoux et baisse son slip de bain pour l’embrasser sur le pubis.

Lucie est très jolie et bien qu’on l’ai vue nue sur la plage, le contexte étant différent, j’ai des picotements d’excitation qui me parcourent le corps. Alice se relève et, d’un geste ample, retire sa petite robe et se retrouve nue comme un ver.

– A vous les mecs, nous lance-t-elle.

Yann est le premier à se retrouver nu et nous le suivons de quelques secondes. Il est déjà très excité ça se voit, la queue en avant, presque raide. Alice se penche et la prend dans la bouche, juste pour goûter nous dit-elle. Lucie qui ne veut pas être en reste fait de même et nous lèche, Pierre et moi à tour de rôle. L’effet ne tarde pas à se faire sentir nous voilà en érection, et Lucie ne peut cacher sa stupeur, en faisant bander Pierre, de voir plus de 22 cm de chair se tendre vers elle.

« C’est époustouflant » dit-elle, « je savais que ça existait mais je n’en avais jamais vu d’un tel calibre ! »

Alice s’allonge sur les coussins du cockpit, attire Lucie et elles commencent à se caresser se peloter se lécher et terminent en 69 à se brouter le minou. Nous regardons, excités, sans trop savoir comment nous mêler à ce duo. Le premier à réagir, c’est encore Yann qui se place derrière Lucie, la plus facile à atteindre, et l’enfile. Elle émet un petit cri de surprise et se remet à brouter au rythme de la bite qui la chahute. Faute de trouver un espace suffisant je me mets face à Pierre et commence à le sucer, ou plutôt à le lécher, car, en pleine érection, il est très difficile d’avaler son bout énorme. Je lui prends les couilles, les caresse, les lèche, et je les sens durcir ; il ne va pas tarder à venir le bougre ! Je ralentis mon branlage, mais il est trop tard, l’excitation contenue depuis le début de l’après midi ne peut plus être retenue et j’ai beau le serrer à la base du pénis, il m’éclabousse d’un premier long jet, suivi de trois autres de moins en moins virulent ; ce lâcher prise est accompagné d’un cri rauque et, comme l’explosion annonçant le départ d’un feu d’artifice, il a déclenché un départ d’orgasmes multiples et successifs. Yann d’abord qui devait être excité de nous regarder s’occuper entre hommes et qui inonde la chatte de sa femme en poussant des « hooo » et des « haaa » de soulagement. Viennent nos femelles, enfin, quasiment ensemble. Lucie se relève le menton plein de mouille venue de la chatte de ma fontaine préférée.

Tout le monde se relève et reprend une position civilisée (assise autour de la table de cockpit), un air satisfait et une certaine béatitude soulignant leurs traits légèrement tirés. Il n’y en a qu’un qui reste debout, la bite en avant, c’est ma pomme, le seul à n’avoir pas joui depuis le début de l’après midi. Un sentiment bizarre me parcoure, ces milliers de petites décharges électriques sont toujours là, en même temps qu’une certaine fébrilité.

– Maintenant que vous êtes tous repus, qui veut bien s’occuper de moi ? Lançais-je à la cantonade.
– Oh, mon pauvre chéri, attends on va s’occuper de toi, me répond Alice, viens Lucie on va le faire jouir notre dernier homme !
– Ok mais après ? Ils vont tous être mous et nous on aura plus rien !
– Là, c’est que tu ne les connais pas ; c’est peut-être vrai pour Yann, et encore, mais mes deux lascars, je peux t’assurer qu’ils tiennent la route !
– Débarrassez la table les gars, Bernard, allonges toi.

Je m’exécute, et immédiatement les voilà qui se mettent à l’œuvre, me caressant du torse aux chevilles, me léchant les mamelons, le nombril et, enfin, la queue. Je ne l’ai jamais sentie aussi raide que ce soir. Elles me prodiguent d’abord des petits coups de langue le long de la hampe, sur le frein, autour du prépuce, sans oublier le bout du gland en état d’hypersensibilité, puis Lucie le gobe, d’abord le gland puis le sexe en entier et aspire, ouvre la bouche, aspire à nouveau, c’est divin. Alice la remplace et alternativement lèche le frein et avale le gland, puis gobe mes couilles et, comme elle est placée entre mes jambes, me lèche la raie jusqu’à mon œillet et me prodigue une feuille de rose d’anthologie ! Elle apostrophe Yann :

« Toi qui connais pas, viens près de moi »

Yann s’approche, elle reprend : « tiens goûte ! ».

Yann hésite, visiblement une bite ça l’attire pas !

« Goûte te dis-je, elle va pas te mordre, tu seras surpris »

Lucie le regarde amusée s’approcher de ma queue et du bout de la langue, il goûte le gland.

« Vas-y, lâche toi, prend le » l’encourage Alice

Il essaye encore, pose ses lèvres sur le bout et lèche plus franchement ; puis prenant son courage à deux mains il gobe mon gland et tente une fellation ;

« Il y prend goût, le salaud ! Il finira par partouzer avec Pierre et Bernard, si ça continue » s’amuse Alice.

En effet, il me suce franchement, mais il y met les dents et ce n’est pas vraiment agréable. Les filles s’y remettent et en femmes expertes, m’amènent très rapidement à l’éjaculation. Je n’en ai jamais eu une aussi forte que ce soir ! Je lance un jet d’environ 50 cm, un vrai geyser, moi qui n’ai d’habitude que des écoulements, je suis surpris et Alice aussi. Puis un deuxième et un troisième jet viennent compléter ma sortie, Alice et Lucie en on plein les cheveux et le visage.

Maintenant, on peut dire que tout le monde est rassasié. Je nous ressers une « rince » de TI PUNCH, et l’euphorie, monte peu à peu. Les filles se lancent dans une danse qui se veut plutôt Zouk, elles cherchent à nous émoustiller. Lucie se plante devant moi, me tournant le dos et, se penchant en avant frotte ses fesses sur mon visage, mon nez lui caressant le trou du cul à chaque passage de haut en bas. Je lève légèrement la tête et sors la langue et lui lèche la raie, de la vulve à l’œillet. Elle aime ça la cochonne et ça me fait de l’effet, en plus. Elle le remarque immédiatement et, bien que je bande un peu mou, s’assied sur mon vit, l’enfonçant jusqu’aux couilles dans sa chatte, sans arrêter pour autant sa danse, juste un peu moins d’amplitude dans les mouvements, ce qui finit de me faire bander. Alice de son côté a ravivé les ardeurs de Pierre grâce à ses frottements et agit de même que Lucie. Elle prend Yann par la main et l’amène devant elle pour lui prodiguer un pompier du tonnerre et, contrairement à ce que pensait Lucie, le revoilà en pleine forme, lui aussi. Il faut dire que l’ambiance s’y prête bien.

Comme à l’accoutumé, elle est détrempée et rejoue avec Yann le scénario du matin, et se fait prendre par Pierre et Yann en double vaginale. Il ne lui faut pas trois minutes pour exploser dans un violent orgasme, qui arrose les deux queues qui l’habitent.

« Ouhaouuuu !, Qu’est-ce que c’est bon », s’exclame t’elle, en regardant Lucie.
« Une seule te suffit », lui demande t’elle.
« Pour l’instant, oui », lui répond Lucie.
« Tu es trempée, ma queue est bien lubrifiée, veux-tu qu’on change de trou ? » Lui fais-je.
« Ça je veux bien, ma rondelle me titille un peu !

Elle se soulève, je déplace mon gland devant sa petite ouverture et elle se rassied doucement ; d’abord le gland et, une fois celui-ci avalé, elle se laisse tomber et aspire complètement ma verge.

« Hummm ! Yeahhhhh ! Je suis pleine ! » Dit-elle.
« Pour l’instant tu le crois encore, tu verras plus tard que tu as des capacités bien plus importantes ! » Lui rétorque Alice, qui, de son côté libère Pierre et se retourne pour offrir son cul à Yann » vas-y Yann, fais comme Bernard, encule-moi.

Yann lui prend les fesses, les écarte et se faisant, ouvre l’oignon d’Alice qui laisse ses sphincters au repos. De fait, il n’a aucun mal à rentrer, le cul est déjà bien ouvert. Pierre qui ne veut pas être en reste, trempe sa queue dans un verre de Ti Punch et l’offre à la bouche de Lucie, ravie de goûter à cet énorme chibre. Elle ne peut que le lécher, la bite est tellement gonflée qu’elle n’arrive pas à l’avaler. Alors, Pierre se baisse et présente son mastard à l’entrée de la chatte de Lucie et pousse jusqu’à mi-longueur. Lucie pousse un long gémissement qui ressemble à de la douleur, mais son visage présente du ravissement. Pierre et moi, habitués, maintenant à « travailler » ensemble, nous accordons et l’emmenons au nirvana en quelques minutes.

Nous nous extrayons et, assis sur les coussins, regardons Yann se démener dans le cul d’Alice qui se pâme. Ça fait deux fois qu’elle jouit de cette queue, mais Yann ne lâche pas le morceau, il a lui aussi envie de lâcher sa purée.

« Hé Yann, tu peux arrêter, tu sais, si tu jouis à chaque fois que tu bandes, tu ne tiendras jamais la nuit ! » Lui lance Pierre.

De se voir observer, plus l’intervention de Pierre, le décontenance et il ressort, mou, du cul de ma femme.

« Vous m’avez déconcentré », se lamente t’il.

Alice lui répond :

« Y a pas de mal, j’ai joui 3 fois déjà avec toi, mais Pierre a raison, il faut tenir, on n’en est qu’à l’apéro »
– Tiens et si on grignotait quelques trucs pour faire passer l’alcool ? Demandais-je
– Bonne idée, un petit en cas nous fera du bien, annonce Alice.

Je descends chercher tout le nécessaire, pâté, saucisson, beurre, cornichons, etc.

Je remonte le plateau et là, Alice et Pierre ne peuvent s’empêcher d’avoir un regard complice et amusé en voyant le saucisson, ce qui n’échappe pas à Lucie, assise en face d’eux. :

« Vous avez une idée derrière la tête, à la vue du saucisson, non ? », Les apostrophe t-elle.
« Non, pas derrière la tête ! » Réponds-je, « Alice l’a testé à l’aveugle, en début après-midi en comparaison avec celui de Pierre !
– Il faut dire qu’il y a une certaine similitude, répond Yann, as-tu reconnu qui était qui ?
– A vrai dire, non, mais j’étais tellement trempée, que je ne sentais plus grand chose. Il faudrait que je réessaye.
– Tiens, moi aussi, j’aimerai bien faire le test, pour voir ; on peut en faire un jeu, la gagnante pourrait donner un gage à l’autre, par exemple.
– Bonne idée, dit Pierre, mais d’abord, j’essaye le pâté sur du pain, avec un bon coup de rouge !

à suivre…

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2 réponses à Une sortie en mer 4 – Retour à bord par Lovelace

  1. Lothar dit :

    Dommage que dans ce texte les gens deviennent bisexuels aussi vites que si il essayait un nouveau vélo

  2. Forestier dit :

    La façon dont Yann devient bitophile est tout de même un peu facile.
    Je n’ai pour le moment toujours pas retrouvé le souffre du premier chapitre

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