Une sortie en mer 1 – Prise de Contact par Lovelace

Tout à commencé le plus simplement du monde.

– La météo s’annonce favorable pour ce week-end, si nous allions faire une ballade en mer ?

Sitôt dit sitôt fait, Alice et moi préparons nos sacs et nous voilà partis au port. Arrivés, nous embarquons à bord de notre voilier et commençons à ranger nos affaires et les victuailles prises en chemin.

Je remonte sur le pont pour vérifier que tout est prêt pour l’appareillage. A ce moment arrive mon ami Pierre, nous engageons la conversation au sujet de notre destination, lui ne peut sortir en mer, une avarie de moteur le contraint à rester au port.

– Pas de problème, je demande à Alice si elle est OK et tu viens avec nous !

Alice, comme je m’y attendais n’y voit aucune objection, et nous appareillons.

Ce que je ne soupçonnais pas, c’est qu’elle avait une idée derrière la tête la garce ! La chaleur de l’été devait s’être répandue dans sa culotte, car ce qui allait arriver était plus qu’inattendu.

Au bout d’une heure de route, étant suffisamment éloignés de la côte, elle décida de faire un peu de bronzing sur le pont, mais totalement nue, exposant à nos regards ses belles fesses charnues et ses magnifiques gros seins, appelant à la caresse.

Pierre me jeta un regard quelque peu étonné, car bien que nous nous connaissions depuis pas mal d’années, jamais Alice ne s’était montrée ainsi. Elle était maintenant allongée sur la plage arrière, nous offrant en spectacle sa chatte totalement épilée. Pour ma part, je n’aime pas manger des poils lorsque je m’occupe d’elle et comme nous avons les mêmes goûts, je suis également totalement épilé à partir du bas ventre de face comme de dos.

– Hé les gars, nous apostrophe-t-elle, faites donc comme moi, c’est super agréable, le vent est chaud, ne soyez pas coincés !

On se regarde, Pierre et moi et, après tout, on estime qu’elle n’a pas tort. Nous voilà en quelques secondes dans le même état qu’elle, nus comme des vers, et c’est vrai que c’est super agréable. Ce n’est pas la première fois que je pratique le nudisme en voilier, mais les autres fois, j’étais seul.

Pierre a fait le mariole, mais maintenant, il est bien obligé d’exposer la marchandise ! Cela dit, il n’a pas à avoir honte, il un service trois pièces de très belles dimensions, les bourses charnues pendant d’environ 10 centimètres et sa queue qui, au repos, mesure bien 18 cm !

Çà ne passe pas inaperçu aux yeux d’Alice qui ne peut s’empêcher de le flatter de cette constitution généreuse et lui lance dans un éclat de rire :

– Holà mon bon Pierre, tu es monté comme un âne, si en plus tu sais t’en servir, on doit te surnommer «au bonheur des dames», non ?

Pierre rit à son tour, mais ne peux s’empêcher de rougir légèrement à ce compliment.

– Tu aimerais bien en avoir une comme çà tous les soirs dans ton lit hein ? Lui dis-je.
– Ma foi, je pense que ça ne me déplairais pas de sucer un tel boudin et surtout de me faire sodomiser avec ! (Alice adore la sodomie et m’a amené à l’aimer aussi et nous nous enculons réciproquement dans nos jeux sexuels)

On est rentré dans le vif du sujet sans l’avoir prémédité, c’est venu comme çà, avec les circonstances, le soleil de ce beau mois d’août et l’air marin. Pierre, qui rebondit après avoir été décontenancé, lui lance un :

– Ça ne tient qu’à toi de l’essayer, si Bernard est d’accord bien sûr !
– On n’a jamais rien partagé depuis qu’on est marié, il est temps de corriger le tir, dis-je ; Alice occupe toi de mon ami, fais-nous plaisir.
– Et moi aussi, il faudra me faire plaisir, répond-elle en empoignant d’une main ferme la queue de mon ami.

Elle le branle quelques instants pour le faire gonfler et le met en bouche alors qu’il commence à prendre un sacré volume. Au point qu’au bout d’une minute, Pierre bandant fermement, elle n’arrive plus à l’avaler sans se provoquer des hoquets. Pour ma part, je ne reste pas bras ballants et après avoir branché le pilote automatique, je m’agenouille entre ses jambes et lui lèche la chatte goulûment. Elle est visiblement déjà très excitée et comme c’est une femme que l’on peut cataloguer de fontaine, elle mouille abondamment. Les effets de mes caresses buccales ne tardent pas d’ailleurs à faire leur effet, elle part dans un violent orgasme qui m’inonde la bouche. Je me délecte de son nectar, mais le jeu ne s’arrête pas là.

– Bernard, laisse la place à Pierre, j’ai envie de me faire mettre par cette grosse queue (développée-elle mesure bien 22 centimètres !).

Aussitôt dit aussitôt fait, Pierre se place entre les jambes d’Alice et malgré ses proportions entre sans effort dans le vagin inondé, et commence à la besogner. Je me déplace vers la tête d’Alice pour me faire sucer à mon tour, mais là quelle n’est pas ma surprise quand ma queue se trouve léchée par deux langues ! – j’amorce un léger mouvement de recul, mais Alice me retient par les fesses et demande à Pierre de me prendre dans sa bouche. Je ne lui savais pas de penchants bitophiles ; cela dit, je trouve sa caresse très agréable et me laisse faire avec plaisir.

Alice s’excite encore plus devant cette scène et ne tarde pas à jouir à nouveau.

– Je ne sais pas pourquoi, j’en ai eu envie. Dit Pierre
– Ne te justifie pas, c’était rudement bon

Tout à coup elle nous repousse et nous somme de nous diriger vers le salon de pont, qui est plus confortable.

– Venez mes chéris, on va se mélanger sur les coussins ; Pierre, Allonges toi que je m’asseye sur ta queue ; elle joint le geste à la parole et s’enfile le pieu de mon ami jusqu’à la garde ! Bernard vient ; y a de la place…

Je me mets à genoux et glisse ma queue raide dans sa chatte détrempée. Une sensation merveilleuse m’envahit, chaleur douceur et surtout je sens la bite de mon pote contre la mienne ce qui est hyper excitant ! Nous coordonnons nos mouvements pour amener Alice à un troisième orgasme en l’espace d’un quart d’heure, et nous sommes au bord de l’explosion. Nous sortons ensemble pour éviter de jouir aussi, car nous avons encore envie de lui en donner plus.

Alice se met à quatre pattes et demande :

– J’ai envie de me faire enculer, Pierre tu veux bien ?
– Avec plaisir, mais on va d’abord te préparer.

Nous commençons à tour de rôle de lui lécher le trou du cul afin de la lubrifier. Je lui enfile deux doigts dans la chatte pour récupérer sa mouille et je les glisse dans son œillet qui se dilate très facilement, normal nous pratiquons çà depuis tellement longtemps ! – Pierre est ébahi de voir comme son petit trou s’ouvre largement et il se met en place pour la pénétrer. Son gros gland devant le trou béant, il pousse légèrement et Alice impatiente recule vivement et avale d’un coup le bout turgescent. Alors Pierre y va franchement et enfile Alice jusqu’à la garde :

– Hooooo, Pierre, c’est bon, vas y bourre moi elle est bonne ta queue ! Enfonce tout ouiiiii.
Pierre y va maintenant à un rythme effréné et ses couilles claquent lourdement la chatte d’Alice en faisant un bruit mouillé.

Devant ce spectacle, je ne sais ce qui me passe par la tête, mais je ne peux me retenir de les attraper et de les caresser, puis, je me mets à genoux et le lèche tout du long de la raie culière. Il a l’air d’aimer çà, le bougre :

– Vas-y Bernard, continue c’est bon, bouffe-moi les couilles, lèche-moi le cul, Hummmm.
– Les salauds, s’exclame Alice, vas-y encule le pendant que tu y es !
– Tu veux, Pierre ?
– Oui, on se fait le petit train (arrière !)

Je me place derrière lui et je le prépare en le lubrifiant avec la mouille que je récupère dans la chatte d’Alice ; le voyant prêt à me recevoir, je place mon gland devant son trou et pousse lentement, jusqu’à sentir céder une légère résistance, mon gland est passé. Je mouille le reste de ma queue avec le foutre d’Alice et je m’enfonce. La coordination n’est pas évidente, mais après quelques secondes, on y arrive et là, c’est l’extase ! Après quelques minutes de va et vient, Alice explose à nouveau et Pierre, qui n’en peut plus décule, et lui arrose les fesses de trois gros jets de sperme.

Je ne veux toujours pas me lâcher, aussi, je décule également et m’assois à côté de la tête d’Alice toujours à quatre pattes.

– A toi de jouir maintenant, me dit-elle en me prenant la bite à pleine main. Elle me branle vivement et je crache enfin tout le jus que j’ai dans les couilles. Elle lèche ma queue dégoulinante et récupère tout ce qu’elle peut, le long de ma verge, sur mes couilles, et sa main, avec délectation.

C’est ma première expérience bi et je la trouve exceptionnelle.

A suivre