Une petite jupette plissée blanche par Daniel952

 

Une petite jupette plissée blanche
par Daniel952


La rencontre.

Vendredi soir. Je rentre du boulot comme chaque soir, mais ce soir est un peu spécial puisque c’est la fin d’une semaine de labeur, et il est un peu plus tôt que les autres jours. » Enfin le weekend » me disais-je et je rêvassais à ce que je pourrai faire de cette soirée, étant seul exceptionnellement.

Dans les embouteillages, une apparition me sorti de mes pensées. Une superbe jeune femme venait vers moi, insouciante dans la circulation. Mes yeux se sont portés sur sa jolie jupette plissée blanche qui virevoltais au vent à chaque coup de pédale. Elle avait des jambes superbement bronzées, ses cuisses sublimes se dévoilaient à chaque mouvement, elle ne se pressait pas, comment l’aurait-elle pu dans cette circulation.

A la faveur d’un coup de vent providentiel, sa petite jupe se souleva et me permit, l’espace d’un instant, de découvrir sa petite culotte rose admirablement assortie à son chemisier à manches courtes d’où s’élançaient deux bras fins dans lesquels je me voyais blotti. Son chemisier à moitié boutonné sur le devant laissait apparaître la naissance de ses seins aussi bronzés que ses jambes. Mes yeux se portèrent sur son cou tellement lisse et supportant avec élégance un visage splendide, une superbe petite tête blonde aux yeux bleus perçants, une bouche aux lèvres pulpeuses, un petit nez adorable, sa chevelure ondulée s’agitant dans le vent.

Je voulais arrêter le temps, tout figer l’espace d’un instant ou pour l’éternité.

Elle arriva à ma hauteur, mes yeux ne la quittaient pas et nos regards se croisèrent. Ses yeux coquins, sa bouche, son corps, tout me parlait sans rien me dire. Je m’entendis lui crier presque :

– A 19 heures je serai au ciné-club, vous viendrez ? Dite oui s’il vous plait.

Mais ma supplique se perdit dans le brouhaha de la circulation…
M’avait-elle entendue ?
Viendra-t-elle ?

Le cinéma.

18 h 45, mon regard cherchait dans la foule, mon cœur battait à tout rompre. J’aurai donné n’importe quoi pour la voir, lui parler, peut-être l’aimer… Mais je l’aimai déjà dans mon cœur.

Dans la file d’attente, j’avais l’impression d’être seul au monde, elle me manquait déjà sans la connaître. Il fallait se rendre à l’évidence, elle ne viendra pas, une telle beauté ne pouvait s’intéresser à moi, c’est dans la logique du monde, c’est cruel mais tellement réaliste.

J’entrai dans le cinéma comme un automate, cherchai une place vers le fond, je vais toujours vers le fond, on y est tellement plus tranquille. Cette fois, je fus attiré par la partie droite des places côté mur, la déprime sans doute. Il y avait des rangées de cinq places. Deux places vers le mur étaient occupées par un couple, les trois restantes étaient libres. Je laissai une place à gauche de la jeune femme et m’asseyais, laissant donc une place libre à ma droite et ma gauche. Cette dernière fut vite occupée par une femme qui me salua poliment.

Dans d’autres circonstances je m’y serais intéressé, mais là non, mes pensées étaient vers cette jolie jupette plissée blanche…

La salle s’assombrit et la pénombre cacha à peine le couple à ma droite qui s’embrassait goulument. La jeune femme était presque sur son compagnon dont les mains s’agitaient sous sa jupe. Cette scène figea mon regard sur ce couple qui se pelotait sans retenues. La jeune femme s’était rassise, mais je pouvais voir sa main entre les jambes écartées du jeune homme qui manifestement exerçait des mouvements suggestifs avec son bassin. Elle l’embrassait lui tenant la nuque, caressait son entre jambes tandis qu’il lui pelotait les seins.

Tous comptes fait, je ne regrettais pas d’être venu malgré ma déception…

Le film ne m’intéressait pas du tout, et je n’attendais que le moment où sa verge sortira de son écrin. Pour moi le film était dans la salle, tout à côté de moi.

Entièrement subjugué par les actions de ce couple, je m’aperçus un peu tard qu’une personne essayait de passer devant moi en voulant aller s’assoir à ma droite.

– Excusez-moi monsieur, je voudrais passer.

Mon cœur se mit à accélérer tout à coup, il battait si fort que j’avais l’impression qu’il frappait à ma poitrine pour sortir embrasser la superbe créature qui s’attardait contre mes jambes, dans le but de s’assoir près de moi. C’était Elle. Mais comment m’avait-elle trouvée, j’étais troublé et perdu. Comment était-ce possible ?
.
S’apercevant de mon trouble, elle me glissa dans l’oreille :

– Je vous ai vu au loin, et je voulais vous surprendre.

Admirablement réussie cette mise en scène, ma petite blonde était une femme espiègle et sans doute plus encore. J’étais heureux, aux anges, le couple ne m’attirait plus du tout, mais apparemment semblait intéresser ma petite copine, du moins leurs agissements.

– Dis, on peut se tutoyer si tu veux. Je m’appelle Julie, et toi ?
– Damien, balbutiai-je.
– Dis donc, ils ont faim à côté, dit-elle dans un étouffement de rire.
– Ils s’aiment, c’est beau.
– Oui c’est vrai, mais cela me trouble, pas toi ?

Elle accompagna sa question d’un mouvement de tête coquin et je senti son bras presser le mien sur l’accoudoir. Ce fut une chaleur immense qui m’envahi, que devais-je faire, la question ne se posait plus du tout pour moi, mes sens et mon Amour naissant agissaient à ma place. Je pris sa main, ou plutôt c’est elle, je ne sais plus. La situation me dépassait, nous étions attirés comme un aimant l’un vers l’autre. Je quittai sa main pour passer mon bras autour de ses épaules, ce qui attira sa tête sur mon épaule. Ma main gauche pris possession de la sienne, nous étions bien.

Elle bougea légèrement sa main, attirant la mienne pour une caresse voluptueuse sur sa cuisse qui s’écartait doucement. J’étais aux anges…

Je me permis de monter sa cuisse et je sentais qu’elle m’accompagnait dans mon mouvement vers le haut de ses jambes tout en se glissant vers l’avant de son siège. C’était une invitation ou alors je n’y comprenais plus rien…

J’approchais ma main, maintenant elle était sur sa petite culotte sur laquelle j’exerçais de légères pressions qui devinrent de plus en plus précises, sa main accentuait mon mouvement et ma caresse devenait de plus en plus notre caresse. Cela devenait super excitant, mon sexe gonflait mon pantalon… Sa tête se pencha en arrière pour recevoir ma bouche qui l’embrassa avec douceur, ma langue et sa langue se mélangeaient tandis que mes doigts étaient sur son sexe mouillé de désir. Je tentais de la pénétrer et elle m’aida avec tendresse. Mes doigts et les siens exerçaient un va-et-vient très jouissant. Je la masturbai et elle se masturbait avec moi en m’embrassant goulument.

Ce fut un vertige, ses cuisses s’écartaient encore pour accueillir nos doigts s’agitant dans son vagin tellement mouillé, c’était un délice, elle exerçait de petits mouvements avec son bassin, elle prenait du plaisir et moi aussi.

Tout à coup, elle stoppa mes mouvements et retira sa bouche comme si elle s’apprêtait à jouir mais qu’elle ne le voulait pas de peur de crier peut être, je ne sais pas, je ne la connais pas bien, bien sûr.

Le couple à côté dû s’en apercevoir car sa voisine s’approcha d’elle.

– Ça ne va pas mademoiselle ?
– Si, si, merci.

J’étais gêné mais elle me rassura d’une caresse sur ma joue et remis sa tête sur mon épaule. Ma main était restée sur son bas ventre, ce qui me permit de sentir quelques doigts contre ma main qui caressaient manifestement le haut de la cuisse de ma petite copine. Mes yeux se portèrent à cet endroit et je m’aperçus que la main appartenait à sa voisine qui se permettait une caresse que je n’aurai jamais imaginée…

– Ne t’en fait pas, j’aime ça…

Ma petite copine appréciait les caresses de sa voisine tout en m’appréciant aussi… Je cru rêver et je me rendis compte que j’appréciais aussi cette situation. Mon pantalon allait éclater tellement que je bandai dur.

La place conquise étant occupée par la main de sa voisine, je portai la mienne sur sa poitrine que j’avais négligée, tellement son désir était grand. Ses seins libres de toute contrainte étaient fermes et doux, je les caressais doucement allant de l’un à l’autre et les pressant un tout petit peu tour à tour en insistant parfois sur ses tétons grossis par le plaisir. Elle paraissait être aux anges et je craignais qu’elle ne nous arrête comme tout à l’heure tellement son désir était intense.

Ce petit jeu dura un petit moment et s’interrompit comme je le craignais.

Je vis sa voisine lui dire quelque chose dans l’oreille, puis le couple se leva et passa devant nous. Julie se leva à son tour et, me pris la main.

– Viens.

Sans réfléchir je me levais, j’étais redevenu un automate qui se laissait conduire sans avoir son mot à dire, et intérieurement j’en étais satisfait.

Le taxi.

Dehors il faisait bon, et devant le cinéma les présentations devenaient obligatoires.

– Je m’appelle Carole et voici Karl mon amour.
– Julie et mon ami Damien.
– Karl va chercher un taxi ce ne sera pas long, le film vous a plu ?

Carole avait un petit air malicieux dans la voix en nous posant cette question, et n’attendit pas de réponse…

On vous emmène boire un verre à la maison, vous voulez bien ?

Julie me prenait le bras comme si nous n’allions plus jamais nous quitter.

– Pourquoi pas, dit-elle.
– Oui, on fera connaissance.

Le taxi arriva et nous évita toutes les formules de politesse qui sont souvent gênantes…

Karl s’assit derrière le chauffeur, Carole à ses côtés et Julie derrière moi, j’en étais déçu mais je n’ai rien pu faire pour être à côté d’elle.

Karl donna une adresse et le taxi démarra.

– Il n’y en a pas pour longtemps, dit Carole, ce n’est pas loin.

Après plusieurs minutes je remarquais que le chauffeur avait du mal à régler son rétroviseur, et pour cause. Il ne cessait pas de mater derrière lui. Intrigué je me retournais et compris les « réglages » du chauffeur.

Carole caressait les seins de Julie qui avait la tête en arrière et qui se caressait le haut de ses cuisses écartées.

Je me disais que décidément elles se plaisaient toutes les deux. Me remettant dans le sens de la marche, Karl remarqua mon embarra, et me tapota l’épaule.

– Ne t’inquiète pas, tout va bien.

Je le regardais, il me fit un clin d’œil complice et me glissa dans l’oreille.

– Tout va bien, on est bientôt arrivés.

Nos copines s’embrassaient maintenant et se caressaient avec un plaisir intense…

– Garez-vous là s’il vous plait, dit Karl au chauffeur.

Pendant qu’il réglait le taxi, je descendis rapidement pour ouvrir la porte à Julie. Elle remettait précipitamment son chemisier, descendit et m’embrassa tendrement sur la joue en me prenant autour de ses bras. Carole descendit à son tour et en fit de même…

Karl nous rejoignit, et bras dessus bras dessous rejoignions tous les quatre leur appartement.
Julie mis sa tête sur mon épaule en me serrant très fort mon bras.

L’appartement.

Carole ouvrit la porte, et nous laissa entrer, Karl fermant la marche.

Puis, montrant le sofa.

– Asseyez-vous, vous prendrez bien un verre.

Julie s’avança et Carole, me prenant de vitesse, s’assit à côté d’elle. Il restait deux fauteuils, je pris la possession d’un, encore un peu déçu, laissant l’autre à Karl qui était parti nous chercher à boire.

– Whisky, soda, champagne ou autre chose ?

Tout le monde opta pour le champagne, qui devrait nous faire le plus grand bien.
Carole lança la conversation.

– Vous vous connaissez depuis longtemps ?

Là il y eu un blanc, mais Julie pris l’initiative de dire la vérité et de raconter sans fausse pudeur notre jolie histoire, bien que un peu courte, mais tellement intense.

Carole et Karl nous regardaient, d’un air un peu étonné, mais rassuré par tant de franchise.

– Vous vous découvrez alors, tous les deux. Pas trop déçus l’un de l’autre pour l’instant ?…

Non, nous n’étions pas déçus mais plutôt surpris, agréablement c’est sûr, elle par la liberté que je lui laissai avec une complicité certaine, moi par le trouble que tout cela me procurai.

La conversation allai d’un sujet à l’autre, puis Carole se leva et pris Julie par le bras.

– Je te fais visiter notre petit nid ? On revient, nous adressait-elle.

Elles sortirent de la pièce et je regardai Karl qui manifestement cherchait un sujet de conversation.
Quelques minutes passèrent qui me parurent une éternité, pendant lesquelles nous parlâmes de choses et d’autres, mais je sentais bien que nos esprits étaient ailleurs.

Les filles tardaient.

– Et si nous allions voir où elles sont ? me proposa Karl.

Nous allions d’une pièce à l’autre, en évitant une pièce dont la porte restait entre baillée.

– Nous n’avons pas regardé ici, dis-je timidement.
– Oui, entre.

J’eu un moment de surprise mélangée à une évidence qui devenait criante.

Carole était allongée en travers du lit, son chemisier ouvert, la tête de Julie entre ses cuisses magnifiques, les genoux sur la moquette. Elle s’activait avec délice sur le sexe de sa nouvelle amante. Sa langue pénétrait le vagin de Carole qui se caressait ses seins. La vision était splendide, j’en conviens un peu frustrante, mais splendide.

J’eu le loisir de contempler Carole, une petite brunette aux cheveux mi court, ses yeux marrons en amande nous regardaient avec supplique, une main tendue vers nous, nous faisant signe de nous approcher. Ses seins superbement tendus appréciaient ses propres caresses, son petit ventre se tendait et se détendait au rythme des coups de langue de Julie donc la tête blonde se mélangeait entre ses cuisses bien galbées. Je pus admirer le corps Julie entièrement nue. Je pouvais voir ses seins, ses tétons grossis par ses envies appelaient des baisers brûlants, son dos lisse se terminait par des hanches et un fessier superbement galbé, légèrement en arrière, ses petits pieds bougeaient en même temps que sa bouche sur les lèvres mouillées du sexe de Carole.

Karl ne parût pas étonné et me regarda d’un air complice.

– Tu peux te mettre à l’aise si tu veux.

Il accompagna ses paroles en retirant sa chemise. Il était musclé à souhait et aussi bronzé que sa compagne que je pouvais admirer à moitié nue.

Le champagne aidant, cette vision torride m’aida à retirer également ma chemise, pendant que Karl enlevait son pantalon. J’étais comme dans un rêve, un délicieux rêve.

Une bosse enflait le sous vêtement de Karl et trahissait une envie montante. A cause de cette vue, j’enlevais également mon pantalon et le jetai sur la petite jupe plissée blanche de Julie. Bientôt le chemisier de Julie, de Carole et nos sous-vêtements la rejoignirent.

Pendant ce temps les jeunes femmes avaient changées de place. Maintenant Julie était allongée sur le dos, ses cuisses écartées accueillant la bouche gourmande de Carole qui à son tour enfonçait avec délicatesse ses doigts et sa langue dans le sexe de Julie dans des vas et viens jouissifs.

C’en était trop, d’un œil complice Karl et moi nous approchâmes du visage de Julie. Sa bouche pris la verge de Karl tandis que sa main attrapa mon sexe.

Elle se mit à me masturber doucement pendant qu’elle suçait le sexe de Karl avec un réel plaisir, puis elle changea et je pus apprécier la chaleur de ses lèvres sur mon sexe brulant.

Carole continuait à lécher la chatte dégoulinante de Julie qui agitait ses hanches pour amplifier le mouvement.

Ceci dura un petit moment, changeant de sexe au gré de son envie, Julie dû sentir ma jouissance arriver car elle arrêta ses mouvements.

Elle m’attrapa la nuque pour approcher mon visage contre le sien, quitta la verge toute bandante de Karl et me susurra dans un souffle à l’oreille :

– Suce-le, je suis sûr qu’il va adorer, et moi aussi…

Je n’eus pas le temps de réagir, encore moins de réfléchir. Elle approcha ma bouche du sexe tout gonflé de Karl. Sans rien comprendre, je me surpris à entrouvrir mes lèvres et j’accueilli sa verge couverte de mouille mélangée à la salive de Julie dans ma bouche. Je fus encore plus surpris de faire des va-et-vient avec ma tête et de lécher son gland avec ma langue.

Je goutai avec plaisir ce jus si nouveau pour moi, et c’est avec étonnement que je me surpris à apprécier. Et plus j’appréciais, plus mes mouvements de tête s’accompagnaient des mouvements de mes mains qui le branlai avec un plaisir montant de plus en plus en puissance. Karl aussi appréciait, il avait des mouvements de hanche d’avant en arrière qui accéléraient.

Des petits cris dans un souffle dénonçaient son plaisir.

Julie avait sa tête si proche de ma bouche et du sexe de Karl qu’elle le lui léchait à chaque mouvement, je sentais sa langue contre ma bouche, sur le sexe de Karl.

Ceci dura, dura, et ce qui devait arriver, arriva…

Karl, dans un râle révélateur, joui dans ma bouche. J’accueillis son sperme sans me retirer, en en avalant un peu malgré moi.

Carole enfonçait avec précision ses doigts dans la chatte de Julie qui gémissait de plaisir, les ressortaient et les rentraient de nouveau, pénétrant encore plus loin dans son vagin.

Julie, comprenant évidement la jouissance de Karl, nous sépara et pris ma bouche à pleine bouche. Ma langue accueillit sa langue, elles se mélangeaient faisant passer le sperme de Karl de ma bouche à la sienne. Elle le goûtait, aspirait cette jouissance, m’embrassant goulument.

Nos têtes s’agitaient comme pour mieux mélanger cette saveur.

Carole, continuant à masturber Julie, prit ma verge et la suça, tourbillonnant sa langue autour de mon gland.

Je soulevais mon bassin pour mieux recevoir ses baisers, revenait et me soulevais encore et encore. Elle sentait que j’allais jouir et accéléra ses mouvements, elle goûtait ma queue, l’aspirait. Julie m’embrassant en mélangeant le sperme de Karl qui ressortait de nos bouches, Carole me suçant et me suçant encore et encore, je ne pus résister plus longtemps et éjaculais dans la bouche de Carole qui me reçut en m’attirant les fesses pour mieux me maintenir dans sa bouche. Ha, quelle jouissance.

Julie s’aperçut tout de suite de mon plaisir et quitta ma bouche pour m’embrasser ma poitrine, mon ventre, ma verge, et pris la bouche de Carole qui quitta ma bite devenue trop sensible.

Elles s’embrassaient si fort, leurs langues mélangeant mon sperme avec celui de Karl. Elles agitaient leurs bouches dégoulinant de nos semences.

Karl et moi étant hors-jeux, les deux amantes frétillaient de plaisir. Elles se caressaient leurs seins, leurs ventres, leurs chattes toutes gluantes de leur mouille, leurs fesses qui s’écartaient pour s’offrir au plaisir. On avait l’impression que mille doigts pénétraient leurs intimités, s’agitaient pour mieux ressentir la volupté de leurs deux corps s’abandonnant à leur jouissance.

Leurs caresses étaient belles à voir, elles en profitaient au maximum, leurs bouches et leurs langues bougeaient frénétiquement, s’aspirant mutuellement laissant s’échapper nos spermes qui coulait sur leurs joues.

Je regardai Karl qui, devant un tel spectacle, se masturbait et redonnait de la vigueur à son sexe.

Ma main descendit sur ma verge et je me masturbais aussi ce qui eut pour effet de durcir mon sexe. Karl me regarda et nos yeux donnèrent le même message. « Allons les rejoindre » criaient-t-ils !

On s’approcha de nos deux amantes qui continuaient leurs douces caresses.

– Tu peux faire plaisir à Carole, je suis sûr qu’elle te désire, me dit doucement Karl.

Je pénétrai doucement le vagin de Carole, mélangeant les doigts de Julie avec ma bite toute gonflée, Karl en faisait autant avec Julie qui gémissait de plaisir. Elles continuaient de s’embrasser pendant qu’elles nous recevaient en écartant encore plus leurs cuisses et levant leurs jambes sur elles pour nous faire pénétrer encore plus loin.

Julie laissa la bouche de Carole pour se retourner à quatre pattes, son fessier bien cambré pour recevoir la queue de Karl dans son sexe ouvert et gluant de sa mouille. Karl la pénétra loin dans son ventre, la soulevant, ressortait de son sexe humide, replongeait dans son intimité. A chaque mouvement, Julie poussai des petits cris de bonheur et de jouissance. Les voir, les entendre, nous excita Carole et moi au plus haut point, et nous nous miment à accélérer nos mouvements de vas et viens, je lui prenais ses seins, mélangeant mes mains avec les siennes, puis elle masturba son clitoris et sa jouissance augmenta. Ses cris, ses gémissants se mêlaient à ceux de Julie et aux nôtres. Je sentais ses doigts pénétrer dans son vagin avec mon sexe.

Karl maintenait les seins de Julie en les pelotant et la pénétrait très loin pour enfin éjaculer dans son corps qui tout entier jouissait dans un orgasme criant. Ils s’écroulaient tous les deux épuisés de plaisir partagé. Carole et moi étions de plus en plus pris dans un tourbillon d’amour et d’excitation. Je pénétrais et ressortais de son sexe qui en voulait encore et encore. Elle accéléra les mouvements de sa main ce qui déclencha des mouvements de plus en plus rapide de mon sexe. J’éjaculais enfin à mon tour dans la belle Carole qui fut secouée de spasmes dans son orgasme délirant. Nous nous écroulâmes à notre tour, épuisés par tant d’amour.

Post scriptum : Si je n’ai pas décrit d’usage de préservatif dans mon texte, il est bien évident qu’une telle protection est malgré tout indispensable pour le bien de toutes et de tous…

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

2 réponses à Une petite jupette plissée blanche par Daniel952

  1. Harivel dit :

    Malgré quelques petites maladresse, j’ai beaucoup aimé ce texte bien écrit

  2. bastpel dit :

    Merci pour ce texte réussi.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *