Une petite course 1 – par Dilom

Une petite course
par Dilom

Elle est entrée dans le magasin de lingerie sans savoir exactement ce qu’elle voulait. Juste parce que Il lui avait demandé d’acheter un petit quelque chose pour ce soir. Il lui avait dit avoir vu dans un magasin place Clichy un petit ensemble qui serait du plus bel effet. Alors elle traînait au milieu des dentelles et froufrou quand une voix venue de derrière lui susurra un doux « je peux vous aider ? »

Elle se retourne prête à envoyer paître cette vendeuse qui interrompt sa rêverie mais le plongeon qu’elle effectue dans les yeux verts qui la fixe lui ôte immédiatement toute envie de propos désagréable.

« Euh … Oui … Je cherche un ensemble.
– Avez vous déjà une idée du modèle qui vous intéresserait ?
– Non pas la moindre. Je ne sais que la couleur, blanche.
– Si je peux me permettre, je pense que le noir vous irait bien mieux ou alors rouge. Votre teint laiteux serait mis en valeur et l’homme à qui vous destiné cette vision ne pourra qu’être conquis. »

Elle a dit cela tranquillement tout en ne la quittant pas des yeux. Yasmine n’en croit pas ses oreilles. Voilà au moins une vendeuse qui donne son avis, ce n’est pas si courant de nos jours ou trop souvent ces conseillères sont surtout là pour acquiescer à tout ce qui dit le client roi.

« Vous avez sans doute raison. Ecoutez, je … Je crois que je vais vous laisser choisir. »

Alors elle voit cette vendeuse parcourir tout le magasin, prenant sur son bras nombre d’articles, en reposant certains. Parfois elle jette un regard à sa cliente, semblant juger du résultat que tel article pourrait avoir. Puis elle revient vers elle.

« Si vous voulez bien passer au salon d’essayage »

Yasmine la suit et découvre derrière un lourd rideau de tenture un espace découpé en plusieurs box.

« Venez nous allons nous installer ici »

Yasmine la suit et c’est avec surprise qu’elle entend la vendeuse tirer le rideau derrière elle.

« Tenez, essayer celle-ci, elle devrait vous aller à ravir »
« Hein… Que … Que je me déshabille devant vous.
– Oui tout à fait.
– Mais il n’en est pas question !
– Regardez moi bien ma petite dame et dites moi ce que vous voyez ! »

Yasmine détaille la brune qui se tient devant elle. Grande, les yeux étonnamment verts, un mince nez trop pincé au dessus d’une bouche presque vulgaire tellement elle est rouge. Et puis des seins et les mains … Mon dieu, elle la porte. Elle qui croyait que cela n’arriverait jamais, elle qui espérait tant que cela n’arriverait pas, la voilà prise à son propre jeu.

« Alors que vois tu ?
– Je vous voie Madame.
– Sois plus précise.
– Je vois sur vous le signe des Maîtres.
– Bien alors qu’attends tu pour te déshabiller ?

Comme dans un rêve Yasmine commence à se dévêtir, retirant son lourd manteau, dévoilant son chemisier presque transparent qui ne fait que mettre en valeur sa grosse poitrine que ne retient aucun soutien gorge ainsi que sa jupe déboutonnée haut entre les cuisses.

Ses doigts tremblent lorsqu’elle défait les boutons et retire le chemisier. Elle n’ose pas regarder cette vendeuse qui l’a peut être déjà vue dans des positions humiliantes. Puis elle fait glisser la jupe le long de ses cuisses un peu grasses. Comme elle s’apprête à faire glisser les bas un petit non lui fait retenir son geste.

« Dois je retirer mes chaussures ?
– non, garde les. Tu portes admirablement bien les talons aiguilles, cela t’affine la jambe c’est très agréable à regarder. Par contre tu vas retirer ta culotte. »

Elle hésite un instant, honteuse à l’idée du plug qui se trouve confortablement inséré dans son fondement. La vendeuse sent cette hésitation et d’un geste brusque saisit entre deux doigts un mamelon et le pince avec force arrachant à sa malheureuse victime un cri bien vite étouffé.

« Ecoute petite salope, je ne sais pas qui est ton maître mais tu sais bien que je ne mettrai pas longtemps à le découvrir. Tu connais les règles de notre groupe, à partir du moment ou tu rencontres une personne qui porte la marque du pouvoir, tu ne lui dois qu’une seule chose, obéissance. Alors tu retires ta culotte ! »

Honteuse elle fait glisser le morceau de tissu, dévoilant à son inquisitrice sa toison grandement fournit. Alors qu’elle l’a descendu à hauteur des genoux elle entend « Stop ». Immédiatement elle interrompt son mouvement.

« Tourne toi, face au mur. Pose les mains dessus. Bien. Ecarte les cuisses. Oui je sais ta culotte te gène, écarte au maximum. Hmmm tu aimes ce plug qui te défonce ?
– Oui.
– Ton Maître ne serait pas très content de cette réponse. Que te donnerait-il comme punition ?
– Pardon Madame, oui Madame.
– Trop tard. Voyons voir à quoi il ressemble. »

Elle sent les doigts qui attrapent la base du plug et tire dessus. D’un mouvement réflexe elle serre les fesses, appréhendant la douleur qui ne va pas manquer de venir quand la partie la plus grosse passera le sphincter. Une main glisse le long de sa cuisse, remonte vers son sexe, le caresse doucement, se perd un instant dans sa toison rousse et d’un seul coup, la douleur. Son corps se projette en avant pour suivre cette main qui tente d’épiler à vif son entrecuisse.

« Décidément tu as de la chance que je ne connaisse pas ton Maître Tu vas te laisser faire sinon je te garde après la fermeture du magasin et je te promets que je te ferai payer toutes cette énergie que tu m’obliges à dépenser. Compris ?
– Oui Madame »

Aussitôt la traction sur sa pilosité s’arrête. A nouveau elle sent le plug qui glisse vers la sortie. Elle fait son possible pour ne pas penser à la situation, pour ne pas penser que c’est une parfaite inconnue qui lui fait subir cet outrage. Elle sent la partie la plus grosse qui force son anus. La douleur est là, vive, brûlante puis le vide. Elle imagine la vision qu’elle offre, sa chute de rein, ses deux fesses ouvertes laissant apercevoir son petit trou qui ne se referme pas.

« Et bien, il est plutôt volumineux, c’est ton Maître qui t’a demandé de le porter ?
– Oui Madame.
– Et tu le portes depuis combien de temps ?
– Un peu plus d’une heure Madame.
– Tu l’as déjà porté plus longtemps ?
– Oui Madame, pendant 4 heures. »

A nouveau la main glisse sur son pubis, descend légèrement sur le sexe. Un doigt inquisiteur s’introduit entre les lèvres.

« Mais c’est que tu mouilles ! Ton Maître doit être très content de toi. Bon continuons cet essayage. Tiens essaye ça. »

Sans un mot elle enfile le bustier noir avec des broderies rouges écarlates et après avoir retiré sa culotte passe celle assortie.

« Tourne que je voies comment cela te va … Pas mal du tout. J’avais raison, le noir te va à merveille. Par contre il est un peu trop couvert à mon goût. Et puis … approche. Embrasse moi. »

Surprise par cette demande Yasmine met quelques instants à réagir. Elle s’approche, se colle contre la vendeuse. De ses lèvres elle effleure la bouche gourmande qui répond à peine à son contact. Elle tente une petite langue timide qui glisse sur le rouge à lèvre et d’un seul coup elle se sent aspirer. Une langue chaude et dure prend d’assaut la sienne, s’enroule autour. Tout son être chavire. La poitrine qui s’écrase contre la sienne, ces lèvres qui la mange, ces mains qui parcourent son corps, tout concourre à l’affaiblir. Elle le sait, Il lui a si souvent reproché cette propension à se laisser aller quand le plaisir monte en elle. Les mains qui s’attardent sur son derrière se font plus pressantes, plus appuyées. Puis l’une d’elles passe devant et se perd entre ses cuisses qu’elle écarte. Durement un doigt appuie à l’endroit où se dessine les lèvres de son sexe et commence à glisser. Puis elle sent cette même main attraper l’entrejambe de la culotte et le tirer vers le haut. Elle pousse un petit cri dans cette bouche qui la mange toujours. Elle sent l’entrejambe qui glisse entre les lèvres de son sexe, puis une main qui tire les poils pour écarter au maximum ses lèvres, cette même main qui passe dans son dos et se perd au milieu de ses cheveux pour les tirer doucement vers l’arrière. A contre cœur elle abandonne cette bouche et se laisse guider par les cheveux.

Tu me sembles bien prête, assieds toi … Oui comme ça, écarte les cuisses, encore ».

Les deux mains chaudes se posent sur ses genoux et l’obligent à ouvrir davantage le compas de ses jambes.

« La tu es parfaite, peut être un peu mieux tirer les lèvres … la c’est mieux. Mais c’est que tu es vraiment humide. Tu vas m’attendre comme ça, et quoi qu’il se passe tu ne bouges pas, compris ? »
« Oui Madame ».

La vendeuse ouvre le rideau en grand, sort et le referme. Yasmine se retrouve alors seule dans ce petit box. Elle sent le mince tissu qui touche son interrupteur ultra sensible et rien que le fait d’y penser, elle mouille encore davantage.

Mais qu’est ce que je fais là ? C’est pas possible. Il faut que je trouve quelque chose pour partir, une excuse, dire qu’Il m’attend, que je vais être en retard et qu’Il ne me pardonnera pas. Oui c’est ça que je vais …

Alors qu’elle en est là de ces pensées, une tête d’homme passe par le rideau et la regarde quelques instants. Dans un mouvement réflexe devant cette intrusion de son espace elle resserre les cuisses. L’homme disparaît alors comme il était venu.

Non c’est pas possible, il m’a reluqué cet enfoiré.

Cette fois-ci le rideau s’ouvre en grand sur la vendeuse.

« Ça va ?
– Oui Madame.
– Tu as été bien sage ?
– Oui Madame.
– T’a pas finit de te foutre de ma gueule espèce de salope ! »

Yasmine ne comprend pas ce qui se passe, puis d’un seul coup elle réalise qu’elle a toujours les jambes serrées et que pire que tout, elle les frotte machinalement l’une contre l’autre pour exacerber encore un peu plus le désir qui la consume.

« Alors comme ça tu ne m’obéis pas. Tu sais ce qu’il en coûte. Ainsi je vais te punir, cela tombe bien j’ai justement ce qu’il faut pour ça. Retire cette culotte et donne la moi. Bien, ouvre la bouche. »

La vendeuse commence à lui mettre la culotte humide dans la bouche, en commençant par la partie humidifiée par ses sucs intimes.

« Voilà comme ça tu n’ameuteras pas tout le magasin. Et maintenant face au mur, non pas ce mur la, celui avec le miroir, je veux pouvoir te regarder pendant que je vais te punir. Ecarte bien les cuisses, voilà comme ça. Cambre toi, fais bien ressortir ton cul, je vais le rougir. Oh attend, j’ai une surprise pour toi. Tu ne bouges pas ! »

A nouveau Yasmine se retrouve seule. Elle sent son sexe ouvert qui coule, ses seins qui appellent une caresse qui ne viendra pas. Elle aimerait tant être ailleurs mais en même temps l’idée d’obéir à cette femme qu’elle ne connaît pas l’excite au plus haut point. La position est dure à tenir, tellement cambrée. Mais déjà la vendeuse revient. Yasmine jette un coup d’œil dans le miroir et … Elle n’est pas revenue seule. Avec elle se trouve l’homme qui tout à l’heure l’a regardé alors qu’elle était assise, offerte à tous les regards.

« Je te présente un charmant Monsieur qui veut bien m’aider à te punir. Tiens, d’ailleurs je lui laisse les rênes ».

Elle sent l’homme qui se colle à elle. A travers le pantalon le sexe dur appuie sur ses fesses. Il l’embrasse sur la nuque tout en passant ses mains sur le bustier, à hauteur des seins puis elles descendent en ligne droite sans marquer d’arrêt jusqu’à son sexe qui n’en peut plus de couler. La main reste là, sans bouger. Il semble à Yasmine que le temps s’est arrêté, elle n’est plus rien. Elle n’est plus que ce sexe qui bat contre cette main, elle n’est plus que cette fente humide qui coule abondamment. Elle ne veut qu’une chose qu’il bouge, qu’il introduise un doigt en elle, qu’il la caresse. Mais l’homme semble se contenter de ce contact poisseux. Elle tente dans un imperceptible mouvement de se caresser, de se donner un peu de plaisir. Aussitôt deux doigts la pénètrent violement, font quelques aller et retour pour ressortir aussitôt. Cette intromission subite la laisse pantelante, désireuse d’en avoir plus. A nouveau doucement elle se caresse timidement sur cette main si chaude entre ses cuisses. Elle sent la main qui se décolle. Elle attend cette brutale mais si agréable intromission le souffle coupé, prête à laisser filer l’air au moment ou il se décidera enfin à la prendre. Le coup tombe brutal lui arrachant un vrai cri. Etouffé par le bâillon c’est à peine un petit chuintement qui passe ses lèvres. Un deuxième coup arrive puis une troisième.

« Alors salope, tu ne sais pas obéir. Tu ne sais pas que ton plaisir ce n’est pas toi qui le choisit, ce n’est pas toi qui décide quand et comment, mais nous, tes maîtres qui te le donnons. Et maintenant passons à la vraie punition. Tu as désobéi à Sandrine, tu lui as mentie, tu as essayé de prendre ton plaisir. Pour tout cela tu seras fouetté à coup de ceinture, 10 coups. »

Elle le sent qui s’éloigne d’elle puis elle entend le bruit caractéristique de la ceinture qui est défaite, qui glisse dans les passants. Elle se tend, attendant avec appréhension le premier coup. Elle imagine sans peine pour l’avoir déjà vécu la morsure du cuir sur sa peau, le bruit si sec lorsque la mince lanière va toucher sa peau. Le premier coup vient enfin, presque doux, presque tendre. A peine un léger échauffement. Puis le deuxième, plus dur, plus appuyé. L’homme prend de l’assurance, il a définit en ces deux coups la bonne distance, le bon dosage. Il lui reste 8 coups pour faire sentir à cette femme aux douces rondeurs qui est le maître. Il abat son bras et écoute satisfait le bruit qui semble résonner entre les parois de cette petite cabine. Il regarde le visage de la femme dans le miroir, elle n’a pas bronché, pas bougé. A peine si son derrière a remué quand la ceinture l’a touché. Il est impressionné, lui qui est si peu habitué à se genre de pratique. Le coup suivant il le porte concentré sur l’image renvoyé par le miroir. Il sait que celui-ci est destiné à faire mal, à faire réagir cette petite garce. Et effectivement, cette fois-ci le visage s’est contracté, les fesses ont bougés, frémis. Il continue, fier de la voir se laisser aller à la douleur, heureux de l’abandon qu’il constate chez elle. Les fesses rougissent, prennent une jolie couleur aux endroits ou le cuir les frappe. Le visage de Yasmine est serré, concentré. Elle n’émet que de rares sons, tous étouffés par son bâillon de fortune. Enfin le dernier coup s’abat, plus doux mais aussi plus vicieux. Au lieu de s’appuyer sur les globes rebondis il est venu lécher furieusement son sexe dans un bruit de mouillé.

Yasmine n’en peut plus, son corps trop tendu, ses fesses trop douloureuses lui donnent envie de hurler, de crier qu’elle veut qu’on la prenne la, tout de suite. Elle veut être baiser, elle veut que le feu qui la consume soit éteint par une bite, une langue, un doigt, n’importe quoi qui puisse lui donner le plaisir que ces fous ont déclenché en elle. Comme une réponse à sa demande elle sent une main chaude et douce se posée sur les zébrures qui ornent ses fesses, les caresser et descendre dans vers ce gouffre incandescent qui ne demande que cela. Mais au lieu de lui donner ce qu’elle désire cette main remonte légèrement le long de son dos, arrive à son épaule, la serre et l’oblige à se tourner. Les jambes tremblantes elle quitte l’appuie sécurisant du mur et s’écroule dans les bras de la vendeuse. Elle sent que la culotte est tirée hors de sa bouche la laissant sèche avec un arrière goût de son propre désir. Ensemble elle s’assoit et Yasmine pose sa tête sur l’épaule de cette inconnue. Une main caresse ses cheveux tandis que des paroles réconfortantes parviennent à ses oreilles.

« C’est bien, tu es très belle quand tu es ainsi punit, ton Maître doit être très fier de toi. »

Elle ne sait pas combien de temps elle est restée ainsi, savourant le contact de l’étoffe de la veste contre sa joue, l’odeur des cheveux de la vendeuse qui lui caresse le nez. Le feu dans son ventre ne s’est pas éteint mais elle profite de cet instant.

« Il va falloir que tu partes. Non, ne dit rien. Tu vas t’habiller, je t’offre cet ensemble, je veux que tu le portes pour sortir du magasin. »

Yasmine à contre cœur quitte la chaleur des bras qui l’entourent et se lève. L’homme n’est plus là. Qui est-il ? Juste un client chanceux ? Le patron ? Elle enfile la culotte humide de sa salive et de son plaisir. Comme la vendeuse la regarde avec insistance, elle la tire vers le haut faisant passer l’entrejambe entre les lèvres de son sexe. Alors qu’elle a finit de mettre de l’ordre dans sa tenue la vendeuse lui tend le plug.

« Je crois bien que tu as oublié ceci. Penche toi en avant, je vais le mettre ».

Yasmine pose les mains sur le banc et se cambre pour offrir la meilleure vue de son derrière. De folles images traversent son esprit, cette femme d’un seul coup paré d’un sexe énorme qui la prend sauvagement, des queues qui la pénètrent, des bouches qui se nourrissent à son sexe. Elle sent la jupe qui remonte sur son dos, la culotte largement écartée, dégagée de son sexe ouvert, trempé. Et puis … Et puis le plug qui glisse sur sa fente, et …. Et une langue qui vient doucement titillée son bouton d’amour. Elle se cambre davantage pour s’offrir à cette caresse. Le plug se fait plus lourd et glisse lentement entre ses lèvres. Elle se sent écartelé par cet objet de plaisir pendant que la langue tournicote autour de son point névralgique, le caresse, léger. Puis la langue la quitte ainsi que le plug. Elle n’en peut plus. Elle veut jouir, elle veut atteindre ces strates du plaisir qui la laisseront pantelantes. Mais déjà elle sent le bout dur et chaud se plaquer contre son anus et forcé l’étroit passage. C’est presque sans mal qu’il trouve sa place au fond de ses reins. La culotte à nouveau prend place entre ses lèvres, titillant son clitoris déjà soumis à rude épreuve. La vendeuse lui sourit et tendrement l’embrasse sur les lèvres.

« Viens, il est vraiment temps que tu partes. »

Elle lui prend la main et la guide à travers le magasin. L’homme qui l’a fouetté est là, attendant quelque chose, le regard perdu dans le vague.

« Antoine, arrête un taxi pour mon ami. Et j’ai bien vu le plaisir que tu as pris à la fouetter. Tu sais que si tu bandes sans m’en avertir tu mérites punition, nous règlerons cela tout à l’heure. »

Ainsi cet homme est l’esclave de la vendeuse. Mon dieu, elle s’est laissée battre par un esclave, quelle honte, quel plaisir !
Le taxi s’arrête devant la porte. Yasmine se retourne et dans un élan embrasse la vendeuse qui répond sans vergogne à son baiser. Puis elle franchit en quelques pas le trottoir et ouvre la porte. Au moment où elle veut la claquer la main de la vendeuse la retient.

« Maître F a bien raison de dire que tu es une vrai salope qui aime ça. Je lui dirai combien je suis satisfaite de toi. Bonne soirée. »

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2 réponses à Une petite course 1 – par Dilom

  1. Muller dit :

    Quelques clichés mais c’est très bon ! L’ambiance est bien rendue ainsi que les réactions des protagonistes

  2. mady dit :

    Dans les récit érotiques, si quelqu’un va dans une cabine d’essayage, il va passer à la casserole, et cette nouvelle ne déroge pas à ce cliché tenace, mais l’auteur s’en sort bien et sait nous fait partager son fantasme de soumission de fort belle façon.

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