Une collègue accueillante 2 – Les crayons par G Fox

Une collègue accueillante
2 – Les crayons
par G. Fox


La fin de la semaine est arrivée bien trop vite, occupés que nous étions à découvrir nos corps et assouvir nos désirs les plus fous. Alors que nous déjeunions au restaurant le vendredi midi, elle me demandait d’un ton mi-coquin mi-triste :

– « Tu dois réellement rentrer sur Paris ce soir ? Parce que si tu restes avec moi ce week-end, je te promets des surprises en abondance et je me soumettrais à tous tes désirs. »

Le jeu en valant largement la chandelle, je lui répondis :

– « Soit, je crois que je vais accepter ton invitation. Mais j’y mets cependant une condition : tu obéis à tous mes caprices dès maintenant. »
– « Oh merci ! Tu ne vas pas le regretter, je te le promets »
– « Commence donc par mouiller ta petite culotte puis tu l’ôteras et tu me la donnes ».

Ses joues se mirent à rosir et une étincelle amusée vint briller dans ses yeux. D’un geste adroit elle releva sa jupe et je la vis se concentrer. Laissant tomber ma serviette sous la table, je me penchais pour observer son entrejambe. La coquine était rapide et sa culotte, bien visible entre ses jambes écartées, s’auréolait d’une jolie marque humide. Je repris ma place et lui adressais un sourire d’encouragement. Rapidement et avec une rare dextérité, elle enlevait ensuite sa culotte et me la tendit. L’amenant sous mon nez, je humais avec plaisir les odeurs de sa miction. Je déposais ensuite sa culotte sur la table et invitais ma collègue à me suivre. Je réglais la note au bar et me dirigeais vers la sortie, tenant ma compagne par la main, gentiment mais fermement. De rose, ses joues avaient viré au rouge vif.

– « Ma culotte ! Tu es fou ! Et en plus je connais un des serveurs ! »

Je la faisais se taire en lui plaquant ma bouche sur la sienne. Un baiser passionné où nos langues se mélangeaient de concert lui fit perdre toute velléité de colère. L’après-midi se passait normalement. Je glissais de temps à autre une main sous sa jupe pour toucher son sexe humide ou son adorable petit trou. Peu avant la fin de la journée, elle s’absentait quelques instants pour aller aux toilettes. En revenant, je vis dans son regard une lueur de joie et de perversité. Alors que je rangeais mes affaires, elle me murmura à l’oreille :

– « J’ai fait un petit pipi et un joli caca en pensant à toi et je ne me suis pas essuyée. »

En entendant cet aveu, je sentais mon sexe se dresser dans mon pantalon. Si nous n’avions pas été au bureau, je crois que je l’aurais culbutée sur-le-champ. J’avais hâte que nous rentrions chez elle pour passer ce week-end qui s’annonçait des plus torride. Sur le chemin du retour, je profitais des lignes droites et des arrêts aux feux pour lui caresser l’entrejambe. Son sexe était dégoulinant de ses sécrétions et de son urine. Les exquises odeurs qui imprégnaient mes doigts me rendaient fou. Je glissais un doigt dans sa bouche pour lui faire partager ses saveurs aromatiques.

Nous arrivâmes enfin chez elle. Sitôt franchis le pas de porte, je m’agenouillais derrière elle. D’une petite claque sur les fesses je la fis se baisser pour m’offrir la vue de son adorable petit trou. Elle écartait ses somptueux globes pour me faciliter l’accès. Ma langue mutine eut tôt fait de s’introduire dans le délicat conduit odorant. Je lui nettoyais sa petite fleur en savourant chaque seconde. Tout en continuant mon agréable travail, je glissais une main sur son sexe. Un doit mutin jouait avec son clitoris gonflé d’envie. Elle jouit dans un long frisson. Nous étions heureux. Me débarrassant rapidement de mes vêtements, je m’installais alors confortablement sur son canapé. Elle prit place par terre entre mes jambes pour me prodiguer à son tour ce baiser au nul autre pareil. Sa langue courait sur ma rosette ouverte. Après quelques minutes de ce tendre attouchement buccal elle me dit :

– « J’adore te lécher ton petit trou mais je n’apprécie pas vraiment tes poils autour de ton charmant cul et sur tes couilles. Je peux les raser ? »

Je lui donnais mon accord en songeant que j’avais souvent pensé à me raser cette partie de mon anatomie. Elle allait chercher son petit rasoir.

– « Tu ne vas pas me raser à sec quand même ? »
-« Non bien sûr » me répondit-elle, sur un ton coquin.

Elle me fit m’asseoir sur le bord du canapé, les jambes bien écartées, pour lui donner facilement accès à mon petit trou impatient. Faisant mine de s’asseoir sur moi, elle se baissait jusqu’à frôler mon sexe tendu. Un puissant jet d’urine vint inonder mon membre, mes couilles et ma rosette. Elle se mit ensuite à la tâche. Délicatement, elle entreprit de me débarrasser des poils qu’elle jugeait superflus. Elle maniait le rasoir avec dextérité et quelques minutes lui suffirent pour rendre mes testicules et mes fesses aussi glabre que le jour de ma naissance. Je ne résistais pas à l’envie de me caresser pour constater l’effet ainsi produit. La sensation était agréable (je dois dire que j’ai conservé cette habitude et, de temps en temps, avant une petite séance solitaire, j’aime à me raser intégralement). Sa bouche vint se coller sur mon petit trou tout lisse et sa langue prit tendrement le chemin de mon étroit conduit. Libérant mon petit cul, elle prit mon sexe en bouche. Un puis deux doigts me remplirent bientôt d’aise. J’inondais sa bouche de ma semence. Me laissant béat de plaisir, elle recrachait mon sperme dans mon anus ouvert. Ainsi lubrifié, elle entreprit alors une puissante enculade. Prise d’une folie perverse, c’est sa main entière qu’elle enfonçait dans mes entrailles tout en se caressant de sa main libre. La jouissance la prit d’un coup, la laissant pantelante, la tête sur mon ventre et sa main toujours bien plantée dans mon fondement. Je la laissais ainsi quelques minutes, l’admirant dans toute sa beauté post-jouissance.

Elle reprit rapidement ses esprits et me jeta un regard tendre de complicité et de bonheur. Mon sexe à demi bandé se trouvait à quelques centimètres de sa jolie frimousse. Laissant libre court à la folie du moment, j’aspergeais son doux visage d’un jet d’urine. Sa bouche s’ouvrait pour recevoir mon don en liquide. Son regard me disait :

– « Donne-moi plus. Donne-moi tout. »

Elle retira alors sa main de mon cul et vint se nicher amoureusement contre moi. Le reste de la soirée se passa d’une façon beaucoup plus calme. Après un léger repas, nous nous endormîmes rapidement, non sans avoir fait l’amour d’une manière toute traditionnelle.

A notre réveil, le soleil était déjà haut dans le ciel et la chambre était inondée de lumière. Respectant notre rituel du matin, elle se levait avant moi et ne tardait pas à revenir avec deux tasses de café. Déposant le café sur la table de nuit, elle s’allongeait à mes côtés. Sa bouche vorace entreprit une fellation matinale des plus agréables. Je ne retenais pas longtemps et quelques minutes suffirent pour remplir sa bouche de ma semence. Elle me tendit ensuite ma tasse et prit la sienne. Elle recrachait alors mon sperme dans nos deux tasses, nous offrant un café crème, conformément aux habitudes que nous avions prises ces derniers jours. Habituellement, nous nous levions pour nous doucher et partions au travail, mais aujourd’hui, le week-end commençait… Nous bûmes notre café tranquillement. Je la caressais d’une main distraite, jouant avec la pointe de ses seins qui se dressaient sous mes attouchements. Après l’avoir excitée ainsi quelques instants, je la fis se mettre à quatre pattes sur le lit, son adorable postérieur devant mon visage. J’écartais ses deux globes pour découvrir sa rosette ouverte et luisante. J’y glissais bientôt une langue fouilleuse. J’adorais le goût exquis de son anus. Mon sexe de nouveau raidi d’envie remplaçait ma langue dans le chaud conduit. Tout en entamant un lent va et vient entre ses fesses, je caressais son clitoris turgescent. Son plaisir fut rapide à venir et déclencha le mien. Je restais planté bien profondément en elle. J’attrapais alors ses tétons et je me mis à les faire rouler entre mes doigts. J’aimais agaçais ainsi ses seins que je savais être sensible. Sans la prévenir, je vidais puissamment ma vessie dans son cul. La vague de chaleur de mon urine, joins aux douces tortures exercées sur ses seins déclenchât une nouvelle fois son plaisir.

Je m’allongeais alors sur le dos. La coquine vint se placer au-dessus de mon visage et, libérant son sphincter, déversât le contenu de ses intestins sur moi. Elle se vidait aussi sa vessie. J’étais trempé de nos urines mélangées. Je plaquais ma bouche sur son sexe ruisselant. Je me désaltérais à sa source. Une fois la fontaine tarie, je l’amenais au plaisir d’une langue experte. La journée s’annonçait sympathique. Après un copieux petit déjeuner agrémenté de caresses bien agréables je lui proposais un jeu de mon invention. J’avais remarqué, quels jours avant, une grande boîte de crayons de couleurs qu’elle réservait à l’anniversaire de la fille de l’une de ses amies. Munis d’un jeu de cartes et de la boîte de crayons, nous étions allongés sur le côté de telle façon que nous puissions avoir accès à nos sexes et culs respectifs. La règle du jeu était divinement simple : une banale bataille. A chaque fois que l’un de nous gagnait le pli, il enfonçait un crayon dans l’anus de son adversaire. Les attouchements étaient nombreux. Elle avait sept crayons plantés dans son joli petit cul, j’en avais cinq quand la sonnette de sa porte d’entrée se fit entendre. Elle se leva, non sans faire une petite grimace, se mit un vieux pull sur le dos et se dirigea vers la porte. La vision des crayons sortant de ses jolies fesses était des plus agréables. Elle tira alors le pull pour s’en faire une sorte de petite robe de laine. Elle reparut bientôt, le rouge aux joues.

– « Toi et tes conneries !!! »

Je compris aussitôt en voyant qu’elle était accompagnée d’un homme que je reconnus comme étant l’un des serveurs du restaurant.

– « Vous avez oubliez ça hier » nous dit-il en souriant et en exhibant fièrement la culotte de mon amie.

Je devais avoir l’air un peu idiot, allongé sur le tapis, nu, les crayons bien visibles dans mon petit trou. Ma compagne fit rapidement les présentations tout en enlevant son pull. Je compris de suite qu’ils se connaissaient profondément. Sans autre manière il se dévêtit rapidement. Plutôt bien foutu, sa queue dressée nous montrait qu’il entendait profiter lui aussi des largesses de notre hôtesse. Mon amie lui expliqua les règles de notre petit jeu qu’il accepta bien volontiers.

– « Comme il arrive en cours de partie, il faut lui mettre sa part de crayons ! ».

Notre nouvel ami s’allongea alors à nos côtés. Ma compagne plongea sa tête entre les fesses du serveur pour lubrifier son petit trou de sa salive. D’un regard elle m’invita à m’associer à ce délicat travail. Voici donc notre serveur, les jambes largement écartées, se faisant lécher sa petite rosette odorante. Quatre crayons furent bientôt plantés dans son fondement, pour son plus grand plaisir de toute évidence. Une belle queue comme la sienne attire le regard et les bouches gourmandes.

Abandonnant notre partie de carte, nous nous sommes placés tête-bêche pour une fellation mutuelle. Ne voulant pas rester en reste, mon amie vint se placer derrière moi, m’ôtait les crayons et se fit un devoir de me lécher l’anus que j’avais grand ouvert. Il fut le premier à jouir dans ma bouche. Sa semence était épaisse et abondante. Un vrai régal. J’en avalais une partie puis recrachais le reste dans la bouche de ma compagne dans un baiser baveux. Je jouissais à mon tour dans la bouche du serveur qui, lui, n’en perdit pas une goutte.

– « Je suis désolé mais il faut que j’y aille. Je reprends le service dans un quart d’heure »
– « Quel dommage ! J’avais deux mecs vicelards rien que pour moi »
– « Je repasserais après mon service, vers 22 heures. Ok ? »
– « Pas de problème pour nous deux » lui répondis-je.

La journée était bien partie et la nuit s’annonçait des plus prometteuses.

N’hésitez pas à me faire part de vos commentaires. A bientôt.
G. FOX
g.fox@libertysurf.fr

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3 réponses à Une collègue accueillante 2 – Les crayons par G Fox

  1. Lise du sud dit :

    J’ai adoré lire ce joyeux délire C’est tellement bon de lécher un trou du cul un peu avancé !

  2. Chastaing dit :

    Décrire un tel fantasme sans tomber dans le crade, c’est beau !

  3. Claire dit :

    Cet auteur a une imagination débordante ! Je retiens le coup des crayons, je trouve ça excellent. Vraiment très bon 😉

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