Une collègue accueillante 1 par G Fox

Une collègue accueillante
par G. Fox

Lors d’un déplacement en province, à l’issue d’une journée bien chargée, un petit groupe de personnes m’invita à prendre un pot en leur compagnie. Un petit break me ferait du bien, aussi acceptais-je avec plaisir. Dans ce groupe assez hétéroclite, une femme qui devait être d’une quinzaine d’année mon aînée attira ma curiosité. J’étais souvent attiré par des femmes mûres, certainement grâce à la rencontre que j’avais faite avec une mes voisines. Souvent libres, elles offrent une disponibilité parfois très sympathique. J’aiguillais la conversation sur le mariage, la vie en couple. Bingo ! J’apprenais rapidement qu’elle était divorcée depuis de nombreuses années et qu’elle habitait une petite maison à quelques kilomètres du lieu de travail.

Après deux verres, je m’excusais auprès de mes collègues car j’avais encore du travail. Prétextant une curiosité sur mon travail, elle me demandait alors de m’accompagner. Je m’empressais d’acquiescer. J’avais dans l’idée que la nuit risquait d’être plus mouvementée que prévue. Tout en discutant de choses et d’autres je me mis à l’évaluer du regard. Assez petite, 1m 55 tout au plus, bien en chair, elle était habillée d’une façon assez classique. Si je me rappelle bien, du haut en bas ça donnait à peu près ça : chemisier blanc légèrement décolleté, des seins plantureux, une jupe sombre assez courte. Ses jambes étaient fines et gainées de ce que j’espérais être des bas. Elle était chaussée d’escarpins noirs à talon. Tout en travaillant, je pus remarquer qu’elle avait souvent des attouchements discrets mais réguliers. Tout semblait se passer suivant mes prévisions. Le travail fini, je lui proposais naturellement de partager un restaurant. Elle acceptait avec un plaisir évident. Nous nous sommes alors dirigés vers un restaurant de sa connaissance. Plus le repas avançait, plus il était clair que je lui plaisais. Son pied sur la jambe, entamant une douce caresse, finit de me convaincre. Me déchaussant à mon tour, mon pied se fit lui aussi caressant et nous finîmes le repas ainsi, nos pieds mutuels entre les jambes.

« Accepterais-tu un dernier verre dans ma chambre d’hôtel ? »
« Avec plaisir »

Une fois dans la chambre et après avoir choisi nos consommations dans le mini-bar, je la fis s’asseoir sur le lit. Lentement, je déboutonnais son chemisier. Sa chair était savoureuse sous mes baisers. Libérant un de ses seins, je fus surpris par son maintien. Le téton était dressé et appelait ma bouche. Je le suçotais, le mordillais. Ses soupirs m’apprenaient qu’elle appréciait ce genre de caresse. Mon autre main eut tôt fait d’attraper de second pour le mettre lui aussi de la fête. Après quelques minutes de ces jeux mammaires, je la fis s’allonger. Retroussant sa petite jupe, j’eus le plaisir de découvrir que ses jambes étaient gainées de bas et non pas de collants et qu’elle portait une ravissante petite culotte en dentelles. La tâche d’humidité entre ses jambes était bien visible. Je ne pus m’empêcher d’y plaquer un nez curieux et m’enthousiasmais rapidement aux effluves que son sexe dégageait. J’écartais doucement le fin tissu pour avoir une vision plus précise de la fleur que l’on m’offrait avec tant de simplicité. Sa toison était fournie. Ses lèvres étaient bien dessinées et s’entrouvraient sur son joli sexe rose et luisant d’envie. Son sexe appelait le baiser et je soudais donc mes lèvres aux siennes. Je goûtais avec joie à ce divin nectar. Son petit bouton d’amour émergeait de sa coquille et je vins donc lui titiller du bout de la langue. Elle jouit dans une longue plainte et j’aspirais avec bonheur tout son fluide.

La laissant récupérer un peu, je me déshabillais seul, puis j’allais m’étendre à ses côtés. Les yeux embués de plaisir elle me regardait. Se penchant sur moi, elle vint embrasser mes seins. Elle me couvrait le torse de baisers humides et petit à petit, sa bouche arriva au contact de mon sexe dressé. D’une langue gourmande, elle lécha mon gland qui frémit sous cette caresse. Sa bouche se fit plus dévorante et elle prit mon sexe entièrement. Alors que ma jouissance approchait, je la prévins. Elle continuait sa caresse et eut tôt fait de recevoir ma semence dans la bouche. Elle vint alors se blottir contre moi, approcha sa tête de la mienne, et nous nous embrassâmes pour la première fois. Je connaissais depuis longtemps le goût de mon propre sperme aussi profitais-je de ce baiser passionné. Nos mains partaient à la découverte de nos corps respectifs. La chose était plus facile pour elle puisque j’étais nu, aussi, pour bénéficier des mêmes avantages, je lui demandais de se dévêtir mais de conserver ses bas et ses chaussures. Je lui caressais le dos, puis les fesses qu’elle avait rebondies.

Lorsqu’un de mes doigts vint chatouiller son anus, elle écarta les jambes davantage. Je ne dissimulais pas mon plaisir d’accéder aussi à son petit trou. Je la fis se mettre à quatre pattes sur le lit et vins placer ma tête entre ses deux fesses. Ecartant les deux globes des mains, je pus avoir accès à son anus. Ma langue se fit mutine et je goûtais avec délices à ce fruit défendu. Il s’ouvrait sans réticences à mon baiser. Elle se trémoussait d’aise et poussait ses fesses vers moi, comme si elle voulait que je m’introduise plus encore. Je me redressais alors et pris place derrière elle. Je positionnais mon sexe à l’orée du sien. J’écartais des doigts les lèvres humides et m’enfonçais doucement dans son sexe brûlant. Je lui fis l’amour lentement. D’un doigt je lui caressais le clitoris. Elle gémissait de plus en plus fort. Elle jouit longuement. J’abandonnais alors son petit bouton pour venir caresser son petit trou. En passant un bras entre mes cuisses, elle vint à son tour agacer mon anus. J’appréciais tout particulièrement cette caresse. Sur le point de jouir, je me dégageais de son nid d’amour et plaçais mon gland à l’entrée de son étroit conduit. Je perforais délicatement du gland son anus ouvert. J’éjaculais longuement dans ses intestins en grognant de plaisir. Nous blottissant l’un contre l’autre sous le drap, un sommeil réparateur ne tardait pas à nous envelopper.

Au petit matin, je me levais doucement pour ne pas la réveiller, pris d’une envie matinale. Je me dirigeais vers les toilettes sans faire de bruit. Soulagé, je repris place dans le lit, constant que malgré mes efforts, elle était réveillée.

« Tu aurais dû me réveiller » me dit-elle avec une petite moue.

Sans plus d’explication, elle se ruait sur mon sexe quel se mit en devoir de lécher avec dextérité. Je n’osais y croire. J’étais tombé sur une adepte des jeux humides et je ne m’en étais pas aperçu. Cette fellation matinale trouva son apothéose au moment même où le téléphone de la chambre se fit entendre. Cette sonnerie nous ramena tous les deux à la triste réalité du monde du travail. N’ayant pas prévu d’être accompagné, le n’avais pas pensé à faire avancer l’heure du réveil de l’hôtel. Nous étions déjà en retard et bon gré mal gré, après une toilette bâclée, nous nous rendîmes au bureau. Lors d’une pause, elle vint me rejoindre.

« Quand dois-tu rentrer à Paris ? »
« Je reprends le train en début d’après-midi. Mais je reviens dans une semaine pour faire une formation dans un service. »
« Et tu resteras longtemps ? »
« C’est prévu pour 5 jours » lui annonçais-je avec un sourire coquin.
« Ne réserve pas de chambre à l’hôtel. Je me ferais un plaisir de t’accueillir chez moi. »

Cette invitation n’était pas pour me déplaire. La première partie de mon travail étant finie, je repris donc le chemin de la capitale, rêvant déjà aux possibilités que j’avais cru déceler chez ma nouvelle conquête. Quelques jours plus tard, sous un prétexte futile, je l’appelais à son bureau.

« Salut, c’est moi. Tu vas bien ? »
« Oui, j’ai hâte d’être à lundi pour t’offrir l’hospitalité… » me répondit-elle.

Ayant encore en mémoire la rapide aventure matinale, je me jetais à l’eau et lui fis part de certaines conditions à ma venue chez elle.

« Je veux que tu sois vêtue de la même façon mais à partir de maintenant, je t’interdis de te laver les merveilles que tu caches dans ta petite culotte. »
« Hum… Ca promet d’être chaud » me répondit-elle dans un souffle.

J’étais aux anges. Elle semblait toute disposée à accepter mes propositions.

C’est donc le cœur battant que je repris le train le lundi suivant, laissant errer mes pensées les plus lubriques, essayant de deviner quelles seraient ses limites. Une surprise de taille m’attendait. En effet, la formation que j’étais chargé de donner, suite à un congé maladie imprévu, devait se limiter à former une personne : elle. Cette nouvelle donne ouvrait d’alléchantes perspectives. Nous allions être libres de nos horaires et ce pendant les cinq jours que devait durer la formation. Il ne fallait surtout pas rater une telle occasion de jouir mutuellement de nos corps. En dehors de quelques attouchements furtifs, la journée s’était passée normalement. Lorsque je pris place dans sa voiture, elle me fit le plus désarmant des sourires.

« Dans quel état doit être ma petite culotte ? J’ai l’impression qu’elle me colle aux fesses. »

Cette entrée en matière était des plus prometteuse. Sitôt arrivés chez elle, une jolie petite maison perdue dans la campagne, je me penchais et l’embrassais tendrement. Nos langues se mêlaient dans un baiser passionné. Je glissais ma main entre ses cuisses pour toucher le délicat tissu. Sa petite culotte était trempée. J’approchais mes doigts de mes narines. L’odeur enivrante était forte et mettait mes sens en émoi. Cette semaine allait être inoubliable. Elle me fit ensuite les honneurs de sa maisonnette, simple mais très joliment décorée. La salle de séjour était très grande. Une table de salon en bois trônait entre une grande cheminée et un canapé un peu vieillot. Le bar, dans un coin, avait l’air très bien achalandé. En parfaite hôtesse, elle nous servit une coupe de champagne. Je pus remarquer que tout avait été préparé à l’avance, puis nous prîmes place sur le canapé.

« J’ai bien cru mourir de honte plusieurs fois ces derniers jours. J’ai l’impression que tout le monde a remarqué mon odeur particulière. Surtout hier, quand je suis allée sur le marché. Tous les hommes se retournaient sur mon passage. »
« Mais non. C’est l’odeur de l’amour que tu dégages. D’ailleurs, je vais en profiter pas plus tard que tout de suite.  »

Je me mis à genoux entre ces jambes. Caressant ses jambes gainées de bas, j’écartais doucement ses genoux pour enfin voir le résultat de ma demande. Elle avait opté pour une petite culotte de coton blanc mais la couleur avait bien évolué. Elle avait respecté mes désirs à la lettre. Une auréole humide tachait son entre jambe. J’approchais la tête plus en avant. Les arômes magnifiques exaltaient mes sens. Je plaquais ma bouche sur le tissu. Il était humide de ses sécrétions. Ce délicat mélange composé des ses fluides et de son urine me tournait la tête. Je me reculais un peu pour avoir une vue d’ensemble et lui fis remonter les jambes. Mes espérances les plus folles étaient comblées : une tâche sombre maculait le fond de sa petite culotte.

« C’est bien ce que tu voulais ? » me demanda-t-elle sur un ton inquiet.
« Oh que oui ! »

Un grand sourire vint illuminer son visage à ma réponse. Pour la conforter d’avantage, je lui pris le visage entre les mains et lui embrassais tendrement le bout du nez. L’appel de son entre jambe était trop fort et je repris donc ma place entre ses cuisses. Je léchais le coton de sa petite culotte puis j’écartais le tissu humide. Le goût de son sexe était comme celui d’un mets délicat. Ses lèvres s’ouvraient sous ma caresse buccale et je pus m’enfoncer plus en avant dans cet antre de plaisir. Je léchais comme un fou, me gavant de ce sexe si parfumé. Elle se répandit dans un flot mielleux dans ma bouche alors que la jouissance la prenait toute entière. Lui laissant reprendre ses esprits, je me rassis à côte d’elle. D’une main nonchalante, je lui caressais la poitrine dans un geste tendre. Quelques instants après, elle se levait et entreprit de me dévêtir. Les chaussures et les chaussettes, puis le pantalon. Je l’aidais à dénouer ma cravate et la laissais me caresser le torse alors qu’elle m’enlevait la chemise.

A l’issue de cet effeuillage, je me retrouvais nu, le sexe fièrement dressé. Elle prit place à mes genoux et couvrit mon membre de tendres baisers. Je savais ne pas pouvoir résister longtemps vu l’état d’excitation dans lequel je me trouvais. Sa bouche gourmande reçut mon plaisir. Après m’avoir fort délicatement nettoyé le sexe de ses lèvres et de sa langue, d’un doigt mutin elle vint caresser la corolle de mon anus. Bien que venant tout juste d’exploser dans sa bouche, une telle caresse eut tôt fait de redresser mon membre. Devançant mon envie, elle se mit d’elle-même à quatre pattes sur le canapé et retroussa sa jupe, m’offrant la vision de sa petite culotte toute tachée. J’écartais le tissu et je présentais mon sexe à l’orée de son minou trempé. Lentement je fis coulisser ma colonne de chair dans son conduit brûlant. Elle accompagnait mes mouvements en bougeant les hanches en cadence.

La jouissance fut plus longue à venir cette fois mais le cri qui la libéra déclencha mon plaisir. Je venais de jouir deux fois en moins de quinze minutes. Je me dégageais lentement pour admirer encore une fois la vision céleste des ses fesses et de sa vulve gonflée et luisante de nos fluides. Comment résister à un tel spectacle ? Impossible. Ecartant de nouveau la bande de coton poisseuse, je plaquais ma bouche sur son petit trou brun. Je crus défaillir de bonheur tant la saveur qu’exaltait son petit cul était exquise. Je comptais encore l’amener au sommet du plaisir aussi je vins lui caresser le clitoris tout en continuant ce si savoureux baiser. Son anus s’ouvrait sous ma langue comme pour me restituer toutes ses sécrétions. La combinaison de ma caresse sur son délicat bouton et de ma feuille de rose eut tôt fait de faire craquer ses défenses. Un son rauque sortit de sa gorge et je sentis son corps se tendre dans la jouissance.

De nombreuses minutes nous furent nécessaires pour retrouver notre souffle et nos esprits. Nous reprîmes donc le court de notre apéritif sans cesser pour autant de nous caresser mutuellement. Elle avait gardé son chemisier mais libéré sa poitrine du carcan de son soutien gorge, ce qui rendait plus facile mes effleurements. Tout en l’écoutant discuter de choses et d’autre, je ne pus laisser mon esprit vagabonder sur des chemins plus tortueux. Je me remémorais en effet son attitude de notre premier matin, une semaine auparavant. Avait-elle les mêmes penchants que moi pour les jeux humides ? Quelles étaient ses limites ? J’avais une semaine devant moi, j’allais donc naturellement trouver réponses à mes questions. Le champagne s’alliant à mes idées, je lui demandais :

« Où se trouvent tes toilettes ? Le champagne a fait son effet. »
« Première porte après la cuisine, sur ta droite. Mais… »
« Oui ? »
« Quand il fait aussi chaud qu’aujourd’hui, pourquoi ne pas profiter de la nature. Ma maison est isolée et tu pourrais assouvir ton envie dans la verte. »

Je n’osais croire à ses paroles.

« Viens, suis-moi. »

En effet, derrière sa maisonnée, Mère Nature dans toute sa splendeur. Le jardin était un peu à l’abandon. Le travail de la terre ne devait pas faire parti de ses attirances. Un arbre se dressait, majestueux, à quelques mètres de là. Toujours nu comme un ver, je me laissais griser de l’instant. Alors que je m’approchais de l’arbre, je la sentis me suivre. Mon cœur cognait fort dans ma poitrine. Je me retournais et la regardais. Un sourire sur les lèvres elle me dit :

« Plutôt que d’arroser cet arbre, tu ne préférerais pas une plante plus vivante ? »
« Quelle bonne idée ! »
« Attends ! »

Elle défit rapidement sa jupe en enleva sa culotte, qu’elle accrochait à la poignée de la porte menant au jardin. Me rejoignant, elle se mit dos à moi, s’appuyant sur le tronc. Elle me présentait ses fesses. Quelle invitation ! Je m’accroupis pour venir mettre ma tête entre ses deux superbes globes. Ma langue titillait son anus toujours ouvert.

« Viens ! Remplis-moi le cul ! »

Une telle requête méritait satisfaction. Je me relevais. Le sexe en semi-érection n’eut aucune difficulté à trouver sa place. Je plaquais une main sur l’un de ses seins par-dessous le chemisier et de la deuxième main libre, je luis caressais son sexe humide. Je commençais ma miction par un petit jet pour voir sa réaction. Tout son corps semblait trembler. Je me vidais complètement dans les intestins. La puissance du jet que je libérais en elle la fit chavirer de bonheur. Elle n’en finissait plus de jouir. Toujours profondément planté en elle, j’abandonnais son sexe et son sein pour lui caresser les cheveux dans un merveilleux geste d’amour. Elle tourna la tête vers moi. Elle avait les yeux embués de larmes. Des larmes de plaisir. Dieu qu’elle était belle en cet instant. Nous n’avions ni l’un ni l’autre envie de briser ce moment. Il aurait fallu qu’il dure à jamais. Mon sexe, toujours prisonnier volontaire de son étroit canal, baignait dans le liquide chaud dont j’avais rempli ses entrailles. Lentement, je me dégageais. Une partie de mon offrande en liquide s’écoula de son orifice lorsque je le libérais. Ses bas et ses chaussures furent rapidement trempés. Elle porta alors la main entre ses cuisses et s’humecta un doigt qu’elle amena à sa bouche.

« Hum… Tu es bon. »

Elle semblait perdue dans un rêve. Reprenant ses esprits elle me dit :

« Allonges-toi. »

J’obtempérais. Elle vint se placer au-dessus de moi. Quelle vision ! Lentement, elle s’accroupit. J’avais son sexe à quelques centimètres des yeux. D’un geste langoureux, elle écartait alors les lèvres de son sexe. Des gouttes de sperme perlaient de son antre et tombaient sur mon torse. Un liquide moins épais et plus chaud s’écoulait en une fine fontaine. Libérant soudainement ses sphincters, une cascade m’aspergea. Ce brusque déversement, par sa nature incongrue, mêlé à une explosion d’odeurs suggestives, me comblait de joie. Je collais ma bouche sur son sexe baveux en me laissant inonder. Oubliant toute retenue, elle hurlait de plaisir. Un plaisir bestial, naturel. Au comble de nos émotions, elle sublima alors l’instant en se soulageant la vessie. Le flot brûlant de son urine me frappa la bouche et me procura des frissons d’allégresse. D’une main elle me prit le sexe et le guida à la rencontre du sien. M’oubliant au seul profit de son plaisir, elle me chevaucha fougueusement. J’étais devenu le spectateur de son contentement. Elle jouit en s’écroulant contre moi. Il lui fallut de nombreuses minutes pour revenir à elle. Lentement elle se releva. J’en fis de même et nous nous embrassâmes tendrement au pied de l’arbre dans la lumière tombante de cette fin de journée.

Cette semaine fut en tout point inoubliable.

N’hésitez pas à me faire part de vos commentaires. A bientôt.

G. FOX

g.fox@libertysurf.fr

Ce récit est paru initialement sur le site de Revebebe en 2000. Il est publié ici à la demande de son auteur.

1 – Déplacement en province
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2 réponses à Une collègue accueillante 1 par G Fox

  1. Claire dit :

    De l’uro comme je l’adore, où l’on s’attarde longuement sur le fantasme. Emoustillant !

  2. darrigade dit :

    Un classique de l’uro qui mérite sa réputation, Bravo à son auteur

  3. sapristi dit :

    Du must ! Super excitant et très agréable

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