Une cliente très particulière par Claire_N

Une cliente très particulière par Claire_N

Je m’appelle Martine, j’ai vingt et un ans, je suis célibataire, et depuis peu, j’ai réussi à trouver un emploi comme représentante en lingerie sexy féminine chez un grossiste.

Dans ce milieu, j’ai du mal à cacher que je suis bisexuelle, et que mes tendances penchent plus vers les femmes que vers les hommes.

Mon petit plaisir à moi c’est l’uro sous toutes ses formes, que j’ai découvert assez jeune. J’adore cela. J’adore me mouiller dans les lieux publics en pensant que peut-être on me remarquera. J’ai toujours pensé que j’allais finir par provoquer involontairement un scandale. J’ai aussi découvert la scato, ça me fascine mais je ne suis pas accro.

Un jour ma directrice m’appela :

– Martine ! Vous vous souvenez d’avoir fait votre première vente à Madame Moulenfeu ? Eh bien, cette dame est prête à passer un gros contrat avec nous. Et c’est avec vous qu’elle veut signer, uniquement avec vous. Je pense que vous réalisez bien l’importance de la mission que je vous confie ? Vous devrez déployer tous vos talents de commerciale pour nous ramener ce contrat. Vous me comprenez n’est-ce pas ?
– Oui !
– Il le faut. Vous avez rendez-vous avec elle demain à 11 h 30 au « Restaurant de la chatte ». Je compte sur vous.

Je rassurais ma directrice, et lui confirmais que j’étais prête à déployer tous mes talents pour décrocher ce contrat. Ça pourrait peut-être même être une porte vers une belle promotion.

Je me souvenais…

Alors que j’avais installé devant elle toute la lingerie susceptible de l’intéresser pour son commerce, je sentais son regard davantage intéressé par ma modeste personne que par les dessous affriolants que je lui proposais. Ses mains réussissaient régulièrement à frôler les miennes. Puis ce fut une de ses jambes qui vint résolument se glisser entre mes genoux. Elle s’en excusa mais recommença quelques minutes plus tard. Ses avances ne me déplaisaient nullement. Mais je craignais de mal interpréter ses gestes. Débutante, j’étais là pour vendre, rien de plus. J’étais sûre qu’elle ressentait mon trouble. C’était une belle femme. Plus âgée que moi certes, mais je la trouvais attirante. Fausse blonde avec des cheveux mi courts, poitrine généreuse, elle en imposait.

Le lendemain…

J’avais enfilé un joli string rose pour ne pas avoir de démarcation de culotte sur mon jeans taille basse qui mettait en valeur mes fesses et ma taille mince. Je mis ensuite un cache-cœur et un soutien-gorge qui compensait un peu mes seins que je trouvais trop petits pour mon décolleté. Un passage devant le miroir, un coup de maquillage, des talons hauts et me voilà prête. L’appréhension me rendait la bouche pâteuse et je bus deux grands verres d’eau avant de partir en voiture, puis direction le rendez-vous.

J’étais un peu en avance. Je comptais là-dessus pour me rendre aux toilettes avant l’arrivée de ma cliente, mes deux verres d’eau m’y incitaient. Je n’aurais pas à m’en excuser pendant l’entretien pour disparaître deux minutes. Cela aurait été du plus mauvais effet. Pas de chance. En arrivant à la terrasse, je reconnus Madame Moulenfeu…

– Ah… Bonjour ! Vous êtes Martine je crois ?
– Oui… Bonjour Madame Moulenfeu.
– Je vous en prie… Appelez-moi Marie. Installez-vous là près de moi. Tout va bien pour vous ? Pas de problèmes ?

Je n’osais pas lui avouer que j’avais une terrible envie de pisser. J’attendais donc un moment plus propice.

– Bon… Tant mieux. Mettons-nous au travail avant de déjeuner. Je n’aime pas être interrompue quand je suis en affaire. Mais en attendant de nous mettre à table, nous allons prendre une coupe de Champagne…

Je protestais mollement disant que je n’étais pas habituée au Champagne. En fait, je craignais fort que son pouvoir diurétique ajouté à celui des deux verres d’eau, me mette dans une situation plus qu’embarrassante.

– Allons, allons ! Nous n’abuserons pas, nous allons simplement trinquer !

Difficile de refuser…

Une accorte serveuse flanquée d’un décolleté impossible nous servit les coupes et je dû évidemment en boire une gorgée. Gorgée qui fut la plus petite possible.

Marie, au contraire de moi, avait une forte poitrine et son décolleté la découvrait largement. Elle portait une minijupe rouge qui, lorsqu’elle était assise découvrait assez haut ses cuisses blanches, pour le plus grand plaisir de la serveuse qui avait apporté le Champagne et qui devait elle aussi avoir des tendances goudou. .Je déployais des ressources inouïes pour, à la fois, retenir mon envie et présenter sous le meilleur angle, tous nos produits à notre acheteuse. Comment lui vanter la beauté et l’érotisme d’un string sans penser au mien que je devais éviter de mouiller ? Comment discuter un contrat annuel avec une telle envie de pisser ? Ah ! Quelle idée elle avait eue de commander du Champagne ! Toutefois, nous semblions d’accord et la liste de commande s’allongeait. Nous en arrivions à la fin de notre catalogue et j’allais enfin pouvoir présenter le bon de commande à la signature quand elle s’écria :

– Mon Dieu ! Déjà midi ! Je vous invite à déjeuner. Entrons dans la salle.

Elle me désigna une table et s’installa en face de moi. D’un regard circulaire, je cherchai un panneau indiquant les toilettes. Mais rien de bien évident de là où nous étions. Il aurait fallu que quelqu’un me renseigne. Et puis l’autre là qui n’en finissait pas de me poser des questions… Toujours en affaire… même en mangeant ses tomates à la mozzarella !

Et moi… Comme ce n’est pas possible… Si à l’aise en uro… Habituellement… Qui n’osais pas lui dire que j’avais une foutue envie… de crainte de l’indisposer et qu’elle ne signe pas le bon de commande.

En ramassant sa serviette tombée entre nous deux, sa main caressa intentionnellement la jambe de mon jeans. Je sursautai et je sentis nettement quelques gouttes passer dans mon string. J’en étais sûre maintenant. Son insistance pour m’avoir comme interlocutrice… ses jambes découvertes… sa serviette tombée entre nous deux… sa détermination de ne pas vouloir être interrompue… sa coupe de Champagne… oui, j’en étais sûre, Marie me cherchait et je devrais la suivre en échange de sa signature.

Bordel !… Elle finira bien par avoir envie de pisser elle aussi ! D’autant plus qu’elle avait bu deux verres d’eau en mangeant après le Champagne.

Soudain, elle me donna espoir :

– Et bien… Tout cela est très bien… C’est OK. Je vous accorde l’exclusivité pour un an. Je vais signer.

Je poussais un soupir de soulagement à l’idée que j’allais pouvoir me lever et demander au premier serveur rencontré où se trouvent les toilettes. Mais Marie enchaîna :

– Une autre coupe de Champagne pour sceller notre accord.

J’avais envie de hurler : « Nooooooon ! »

Mais je pensais juste tremper mes lèvres dans le verre.

– Vous n’aimez pas le Champagne ? Demanda-t-elle.
– Si mais… J’ai encore à conduire cet après-midi… et je ne bois pas d’alcool en général.
– Pas d’inquiétude… Dans ce cas, nous prendrons le café chez moi et je signerai..
– Chez vous ?
– J’habite à deux pas d’ici. Rue Jean Labite… Attendez-moi ici. Je passe régler au comptoir et nous y allons.

Je récupérais mon porte-documents. J’avais trente secondes pour m’informer auprès du serveur. Mais c’est elle qui l’occupait. J’étais vraiment devenue sa chose, car je ne devais surtout pas la bousculer ou la contrarier. Oui… C’était cela… Une dominatrice… Elle signera si…

J’eus soudain une impression que je m’empressai de vérifier. Mon entrejambe côté gauche était mouillé sur au moins vingt centimètres. J’espérais que cela ne se remarquerait pas. Elle me rejoignit pour sortir du restaurant. Tout en marchant je serrais les jambes, en priant pour que je tienne. Seule, c’est sûr, je me serais installée derrière un buisson du parc que nous longions. Quelle tentation !

Un digicode. La porte s’ouvre, et bientôt… des toilettes ?

Elle se mit à me tutoyer ;

– Entre… Mets-toi à l’aise. Installe-toi dans le divan.

J’avais une peur bleue de le mouiller. Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’elle passa devant moi de constater que l’arrière de sa jupe portait une tache d’humidité ? Cette surprise se lisait sans doute sur mon visage car elle me dit :

– Ah oui ! Tu as remarqué ma jupe ? Tu sais ton jeans, je l’ai remarqué aussi avec la tache entre les jambes. J’aime voir une fille qui mouille son jeans ! Ça ne te gêne pas, j’espère ? Et puis tutoie-moi toi aussi.
– Oui….si tu veux… Répondis-je timidement en pensant à mon contrat d’exclusivité.
– Tu vois, moi aussi j’adore pisser….Mais avant j’aime me sentir un peu mouillée. Tu es sympa Martine. On pourrait être amies….Non ?…
– Oui bien sûr !
– Tu as déjà une relation intime avec une autre femme ?
– Ça m’est arrivé, oui !
– Et tu aimes ?
– Oui !
– Et avec une femme plus âgée que toi ?

N’étant pas complètement folle je voyais très bien où elle voulait en venir.

– Non, mais ça ne me dérangerais pas du tout !
– Alors allons-y, prenons un peu de bon temps !

Bien en face de moi, elle releva sa jupe, descendit son string découvrant son sexe fraîchement épilé. Avec un petit rire, elle me l’envoya à la figure.

– Pourquoi ? Ddemandais-je ;
– Pour te faire sentir l’odeur. Tu n’aimes pas cela ?
– Si… Mais j’ai été surprise.
– Ne le sois plus. Je suis comme toi. J’aime pisser. J’aime les femmes. Alors elle sent bon ma culotte ?

Elle était souillée, une belle tache de pisse devant, mais aussi quelques trainées marrons derrière. Je humais et me régalait de cette fragrance

– Humm ! J’adore !
– Lèche si tu veux !

J’avançais ma langue et vint lécher légèrement la tache d’urine, puis m’enhardissant, je fis de même avec la tache de merde

Après cette petite fantaisie, elle vint me rejoindre sur le divan et passa ses jambes au-dessus des miennes. Elle se mit à me caresser les cheveux et le visage, palpa ma modeste poitrine. Certes des relations avec des filles j’en ai eu plusieurs, mais là, la situation était différente, C’était une cliente…. Je me suis laissé faire, nos langues s’enroulaient, nos salives se mélangeaient.

J’allais me faire gouiner par une vraie salope, mais ça ne me posait pas vraiment de problèmes.

Puis soudain, je sentis mon jeans se mouiller abondamment. Je glissais ma main entre les cuisses de Marie pour constater qu’elle était en train d’uriner abondamment sur moi.

C’est malin ! Je vais repartir comment, maintenant ?

Nous étions trempées toutes les deux. Elle se leva, enleva son chemisier et sa jupe ne gardant que son soutien-gorge. A mon tour, je retirai mon jeans trempé, mon soutien-gorge et mon string pour me retrouver complètement nue. On s’observa ainsi toutes les deux, on se plaisait mutuellement, on était bien.

Je lui enlevai son soutien-gorge pour libérer ses beaux seins dont je caressais les aréoles puis j’entrepris de les lécher et de les sucer.

Elle me fit coucher sur le sofa et elle se mit entre mes cuisses. Je reçus quelques baisers et quelques coups de langue sur ma petite chatte juste un peu dégarnie. Sa langue osa atteindre mon clitoris. J’étais au septième ciel, tout le plaisir était en moi. Mais je craignais que sous le plaisir ma vessie se libère brutalement à mon insu.

Puis nous avons changé de place, je vins sur elle pour nous manger mutuellement la chatte. Sa mouille remplissait ma bouche, je ruisselais dans la sienne. J’adorais ce goût.

– Attends… dit Marie. Ma fille a un accessoire, un double gode qu’on peut s’introduire à deux. Je vais le chercher et on va se donner du plaisir ensemble.

Et elle partit dans la chambre de sa fille, remua des tiroirs et revint vers moi.

– Tu sais Marie, lui dis-je. Toi tu as fait ton pipi. Moi le mien est toujours prêt à partir et tu as failli l’avoir à la figure sans que je le fasse exprès, je t’assure. Dis-moi où sont les toilettes ou la salle de bain.
– Attends ! Répondit-elle, on va gérer ça !.

Elle se coucha sur le plancher et me demanda de me placer debout au-dessus d’elle.

– Allez ! Vas-y, pisse-moi dessus.

Je ne sais pas ce qu’il y avait de plus agréable : arroser ma cliente qui m’obligeait à me retenir depuis si longtemps ou de me sentir enfin soulagée. Mon jet ne s’arrêtait plus. Je l’arrosais de son visage à son entrejambe en poussant plus ou moins fort et en dirigeant le jet avec mes doigts.

– Un vrai régal ton pipi, me dit-elle

Puis, Marie entra un bout du gode dans sa chatte et se mit à genoux. Je m’installai derrière elle en lui tournant le dos et je rentrai l’autre bout dans la mienne. Je me tortillais et finis par jouir bientôt rejointe par Marie.

Epuisées de plaisir, nous avions oublié que nous étions là pour boire un café.

Mais Marie préféra une troisième coupe de Champagne. Les deux précédentes ayant été éliminées, cette dernière fut la bienvenue. Nous l’avons dégusté assises dans le canapé, toutes mouillées, dans les bras l’une de l’autre.

Nous en étions là quand sa fille fit irruption en disant que sa mère n’était pas autorisée à lui emprunter son jouet, ce qui nous fit rire toutes les trois. La fille s’empara du gode et me claqua nonchalamment mes petites fesses.

– Tu ne vas pas me dire que tu as besoin du gode maintenant, laisse-le-nous encore un peu ! Protesta Marie
– Vous avez fini de jouer avec, je vous ai vu, espèces de cochonnes !
– Non on a pas fini, on ne se l’est pas mis dans le cul !
– Oh là là, qu’est-ce que j’entends ?
– Reste donc avec nous, Katia, tu ne nous déranges pas !
– Bon, bon !

J’avais remarqué la mezzanine, Marie me proposa de nous nous y rendre

Mais sur place je découvrais un voisin assis en terrasse en train de bouquiner, j’allais rebrousser chemin mais Marie m’expliqua.

– C’est monsieur Philippe, un retraité, il n’est pas méchant, juste un peu voyeur, il ne me gêne pas du tout… et puis c’est excitant de savoir qu’on nous regarde.
– Je préférerais qu’on reste à l’intérieur.
– C’est une expérience, tu vas voir c’est amusant. Vas-y caresse-toi, il va se branler en nous regardant

J’ai donc commençai à me caresser pour attirer son attention. Marie me rejoignit dans mes caresses. Pour lui prouver que je pouvais être aussi perverse qu’elle, je lui proposais de me pisser dessus à son tour. Elle ne se le fit pas dire deux fois et accroupie elle m’inonda le corps et la bouche de sa délicieuse urine.

Le voisin s’était déshabillé et s’astiquait frénétiquement sa bite en nous regardant.

– Regarde moi ce vieux cochon ! Tu sais, dés fois il lui prend l’envie de vouloir me baiser, il me téléphone, si je dis non, il n’insiste pas, il est très correct… et si je dis oui je lui demande de l’argent en échange, de temps en temps j’aime bien jouer à la pute. La semaine dernière on l’a sucé à deux, moi et ma fille.

Non mais ce n’est pas possible, où est-ce que je suis tombée ?

– Si ça t’intéresse je peux t’arranger un rendez-vous avec lui ! Reprit-elle. Il paie bien.

Elle me proposait carrément de faire la pute ! J’aurais pu me rebeller, mais je ne l’ai pas fait pour deux raisons, la première c’est que j’étais ici en mission et que le contrat n’était pas encore signé, la deuxième c’est que quelque part l’évocation de cette situation me faisait fantasmer.

Katia vint ensuite nettoyer avec sa langue la chatte de sa mère en se régalant des dernières gouttes de pipi.. Quand elle eu fini elle reprit le double gode et nous demanda à sa mère et à moi de nous mettre en levrette cul contre cul, elle nous lubrifia bien nos anus avec sa délicieuse petite langue avant de nous introduire ce joujou diabolique qui nous fit jouir au bout de quelques minutes.

– Hum, ça m’a donné envie de faire caca, tu veux regarder Martine ?
– Avec plaisir !
– Je suis sûr que tu aimerais me lécher le cul après ?
– Bien sûr !

Marie alla chercher une feuille de papier journal et s’accroupit dessus, me tournant le dos et m’offrant le magnifique spectacle de ses jolies fesses bien rebondies. Son anus s’ouvrit, je le sentis pousser et soudain un bel étron en sortit et vint s’écraser sur la journal.

– Alors ça t’as plu ?
– Oui ! Tu as fait une jolie merde.!

Elle prélève un petit morceau de l’étron, le porte à sa bouche et le léché légèrement en me regardant finement dans les yeux..

– Humm, tu veux goûter ?
– Peut-être pas, mais je vais te lécher le cul !
– Ce sera la même chose !
– Oui bien sûr ! Allez, donne je vais le faire !

J’ai donné un bref coup de langue, puis j’ai nettoyé son anus, j’ai trouvé ça très bon et très excitant.

Rassasiées, il nous fallait une douche, et c’est ensemble que nous sommes allées dans la salle de bain, Marie et moi. Sa fille vint nous rejoindre et après m’avoir embrassée sur la bouche, en fit de même avec sa mère tout en lui pelotant et lui embrasant la poitrine.

La dernière coupe de Champagne faisait son effet. Je pris la main de Marie et la glissai entre mes jambes pour la gratifier d’un dernier pipi en conclusion.

Katia avait la même taille que moi. Elle me prêta un de ses jeans et aussi un string en soie, rouge et blanc.

Une fois séchée et rhabillée, je ressortis mon bon de commande et mon contrat d’exclusivité.

– Ah ! C’est vrai s’excusa Marie… On allait l’oublier.

Et elle signa les deux exemplaires sans même les relire.

On s’embrassa d’un tendre baiser complice et je pris le chemin du retour. :

– Alors Martine ?… Comment ça s’est passé ? S’enquit la directrice
– Mais très bien Madame… Elle a signé !
– Super on va arroser ça, je vous invite chez moi on va déboucher une bonne bouteille Champagne.

Encore du champagne ! Qu’est-ce qu’il va encore m’arriver ?.

Martine-secrétaire (Québec)

Postface : le texte original écrit par Martine a disparu de la circulation. J’ai essayé de le reconstituer à l’aide d’un brouillon de publication. Martine peut évidemment nous joindre pour toutes remarques, corrections ou rectifications.
Claire_N

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4 réponses à Une cliente très particulière par Claire_N

  1. Lise du sud dit :

    Oh, la cochonne !

  2. Irma dit :

    C’est ce qui s’appelle pousser très loin la consciences professionnelle, à moins que ce soit son désir forcené d’obtenir un avancement grâce à la signature du contrat.
    Mais du moment que tout cela se passe entre personnes consentantes
    Le récit est très chaud mais assez malhabile dans son argument ! Je en vois pas pourquoi Martine s’empêche d’aller aux toilettes. Et puis comme par hasard, elle est pisseuse et elle rencontre une pisseuse. Mais bon on pardonne, c’est excitant, c’est le principal.

    • Claire dit :

      En littérature on appelle ça une facilité de scénario, tout le monde le fait (Victor Hugo, Alexandre Dumas, Emile Zola, Eugène Sue, Balzac…). Alors effectivement c’est l’histoire d’une pisseuse qui rencontre une pisseuse, ce n’aurait pas été le cas, le récit n’aurait pas été celui-ci.
      Bises ♥

  3. Chastaing dit :

    Un joyeux délire humide un peu pénalisé par une écriture amaldroite

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