Une après-midi aux Aresquiers par Julien de Clermont l’Hérault

 


Par une après-midi bien chaude, je décide de passer 2 ou 3 heures sur la plage des Aresquiers.

Ma bouteille d’eau et ma serviette dans le sac, je recherche un coin pas trop loin de la mer, mais assez tranquille pour me mettre à mon aise. C’est une plage naturiste et même gay à certains endroits mais tout de même.

Bien installé sur le dos sur ma serviette, la casquette sur les yeux, je somnole en regardant du coin de l’œil les gens passer.

Une dizaine de minutes plus tard, je vis arriver une demi-douzaine d’hommes, qui passèrent devant moi.

La chaleur aidant, mon sexe était en semi-érection et je remarquais que le regard de l’un d’eux était beaucoup plus insistant à mon égard. Quelques instants plus tard, ce dernier repassa devant moi, hésita mais posa sa serviette à côté de moi.

Il était nu et son sexe, de dimension correcte mais normale était bien érigé vers le haut.

Après un petit sourire, il s’allongea sur le ventre. Cette promiscuité m’excita à tel point que mon sexe s’étira et devint dur. Mon voisin s’en aperçut et doucement posa sa main sur mon ventre.

Une bouffée de chaleur m’envahit et presque simultanément, je levai mes genoux en les écartant. Ses caresses devinrent plus précises et entourèrent mon sexe qui tressauta à chaque passage. Je tournai la tête et je vis le sien dur et gonflé. Je le pris en main. Il était brulant.

Il me prit le sexe en main et commença un va et vient très lent et très doux. Mon bassin tressautait à chaque mouvement.

Sa main descendit sous mes testicules et son doigt caressa la peau fine aux abords de l’anus. Instinctivement je me soulevai pour que son majeur soit sur mon petit trou. Il comprit mes envies et accentua la pression de son doigt. Il s’enfonça doucement et mon plaisir s’amplifia.

Le va-et-vient était de plus en plus fort et son doigt rentrait de plus en plus à chaque poussée. Je n’en pouvais plus. Ma respiration était de plus en plus forte. Je haletais.

Il se mit sur son coude et commença à me passer un gel avec son doigt sur et à l’intérieur de mon anus. La sensation de froid était très agréable. Ensuite je le vis mettre un préservatif.

Je ne bougeais pas et j’étais entre le désir de me lever et de partir et l’envie de tenter pour la première fois l’expérience. Je suis resté collé à ma serviette sans pouvoir bouger. Il se redressa, se mit a genoux entre mes jambes en me les écartant et me regarda.

Je ne pus qu’esquisser un petit sourire. Je me donnais à cet homme sans retenue, sans honte mais avec une certaine appréhension. Il me leva les jambe en mettant mes mollets sur ses épaules et approcha le bout de son sexe au bord de mon anus. Il comprit que je n’avais jamais fait cela et il décida de me prendre avec douceur. A chaque poussée son sexe butait contre mon anus sans pourtant le pénétrer tout en ouvrant sensiblement son ouverture.

Je n’en pouvais plus et mon sexe commençait à couler. Instinctivement, avec mon doigt je pris la goutte de sperme et la posai sur mes lèvres. Il sourit et continua sa manœuvre jusqu’au moment où son gland pénétra dans mon anus. J’étais crispé au point qu’il me caressa la joue pour me calmer.

Il était rentré presque complètement et commençait un mouvement beaucoup plus appuyé et je commençais à me tordre de plaisir. Mon ventre était en feu, mes pieds, à chaque mouvement pressaient sur son dos pour qu’il s’enfonce un peu plus à chaque fois. Mon sexe coulait et maintenant c’était lui qui récupérait le sperme et qui me le faisait lécher.

Je sentis que son sexe gonflait de plus en plus et que sa jouissance allait arriver très vite. Trop vite pour moi et lorsqu’il se retira, enleva le préservatif, je lui attrapai le sexe et le rapprochai de moi pour pouvoir profiter de son éjaculation. Il se coucha sur moi et je sentis sur mon ventre de longs jets de sperme chaud, épais et collant. Sans qu’il ait eu trop besoin de me toucher, je jouis comme jamais.

Nous sommes restés quelques minutes sans bouger pour reprendre notre respiration. Mon compagnon de sexe se leva, me fit un petit signe de la main et partit comme il était venu.

A ce moment-là, je vis que nos ébats avaient attiré des spectateurs qui se trouvaient avec une forme éblouissante, le sexe prêt à exploser pour ceux qui ne l’avaient pas déjà fait.

J’étais un peu gêné de ce fait mais après quelques minutes, le spectacle étant terminé, les gens partaient sauf un qui pensait que je pouvais recommencer.

Pour une première fois j’ai été étonné de la puissance du plaisir. J’avais lu que la première sodomie était douloureuse, et bien non. Que du plaisir !

Je suis retourné au même endroit plusieurs fois dans la saison mais jamais je n’ai revu cet homme d’une cinquantaine d’années, pas très grand et un peu enrobé.

Son physique m’a été indifférent et bien m’en a pris puisqu’il me procura une jouissance extrême.

Il se préoccupa d’abord de mon plaisir avant le sien. Un jeune n’aurait pas eu autant de douceur et de délicatesse. Merci à lui pour cette merveilleuse après-midi aux Aresquiers.

Julien de Clermont l’Hérault

 

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5 réponses à Une après-midi aux Aresquiers par Julien de Clermont l’Hérault

  1. Chung dit :

    Pas de fellation alors ? Comme c’est dommage !

  2. Galile dit :

    Si tous le monde se faisait enculer, le monde tournerait mieux

  3. cadichet dit :

    Pas d’histoire, juste du sexe, assez rapide ! donc bof

  4. jacques34 dit :

    bon récit je connaissait les aresquiers ya longtemps et n’avais pas découvert les plaisirs du sexe entre hommes. Mais dans mes souvenirs je m souviens pas d coins discrets ?

    • julien dit :

      slt
      il n’y a pas de coin secret. c’était en haut de la plage a la limite des bosquets.
      les voyeurs ne m’ont pas empêché de me régaler et même je crois que cela m’a excité encore plus. je suis prêt a recommencer.

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