Un rendez vous particulier 1 – Premiers pas par Etoile01

Un rendez vous particulier
1 – Premiers pas
par Etoile


C’était l’été et il faisait très chaud. Je quittais mon appartement vêtu d’une robe très légère. Je me rendais chez mon médecin pour mon check-up habituel. Arrivée à destination, j’attendis dans la pièce prévue à cet effet en lisant un magazine quelconque. Après quelques minutes mon médecin se présenta et m’invita à le suivre dans son cabinet. C’était un homme robuste qui avait la quarantaine. Doux et compréhensif il me suivait déjà depuis plusieurs années. Nous échangeâmes quelques paroles routinières puis il me fit m’allonger sur sa table d’occultation.

– Alors ? Des soucis particuliers ses derniers temps ?
– Non, tout va bien. Peut-être quelques douleurs abdominales de temps en temps.
– Ha ! Vous vous nourrissez correctement ?
– Je fais tout pour, mais vous savez ce que c’est…. Quelque fois on mange un peu n’importe quoi !
– Oui je vois ! Otez votre robe je vais regarder ça.

Je retirais mes vêtements et me retrouvais en soutien gorge et string. Il passa ses mains sur mon ventre et fit quelques gestes pour vérifier ma tension abdominale. Tout en m’auscultant il me dit :

– Apparemment tout va bien. Peut-être devriez vous surveiller un peu mieux votre alimentation.
– Je vais faire attention…promis. Mais avec cette chaleur je n’ai pas vraiment envie de manger !
– Oui je vous comprends, c’est presque insoutenable !

Ses mains continuaient leur inspection et je ne sais pas si c’était la chaleur ou la situation mais cela m’excita soudainement. J’eu brutalement envie que ses mains glissent plus bas et caressent mon sexe. Inconsciemment j’écartais légèrement mes cuisses. Mon médecin le remarqua mais ne laissa rien voir. Il continua son examen puis me dit. :

– Je vais examiner votre poitrine, nous avions remarqué une petite grosseur le mois dernier. Est-elle toujours là ?
– Je ne crois pas mais autant vérifier.

Je dégrafais mon soutien gorge et libérais mes seins. Il les malaxa à la recherche d’une anomalie. Dés qu’il eu posé ses mains mes tétons durcirent aussitôt. Ses mains se firent alors plus douces et ses gestes médicaux se transformèrent en caresses. Doucement il passa ses mains sur mes tétons, les titillant. Je fermais les yeux et soupirais doucement pour l’inciter à continuer. Voyant que je n’omettais aucune objection, il poursuivit ses caresses, prenant maintenant mes seins à pleine main. Puis il approcha son visage et sa langue vint se poser sur mes mamelons tendus. Je me cambrais et gémissait. Délicatement, il suçait mes petits bouts qui étaient déjà bien durs, puis sa main descendit doucement vers mon bas ventre. Elle se glissa sous mon string et ses doigts vinrent effleurer ma chatte. Habilement il entrouvrit mes lèvres et s’insinua à l’intérieur. Il frôla de ses phalanges mon clito qui pointait aussitôt. Sous le plaisir, j’écartais franchement mes cuisses. Ses caresses se firent plus franches, il m’enfonça alors un doigt dans le vagin, puis deux. Je mouillais de plus en plus et cela l’excita. Il fit le tour de la table et se posta face à moi. Allongée et me tortillant je regardais cet homme qui depuis de années me touchait, retirer mon string. Il écarta mes jambes et ma vulve s’ouvrit à ses ardeurs. Il se pencha et le contact de sa langue sur ma chatte offerte me fit soupirer de plaisir. Il suçait, léchait faisait entrer sa langue dans mon vagin. Il releva mes jambes et mon petit trou apparu. Sa langue courait de mon clito à mon anus et remontais, m’entraînant dans des vagues de bien-être absolu. Il se releva et la bosse dans son pantalon, laissait présager qu’il n’était pas indifférent. Il s’approcha à la hauteur de mon visage et ouvris sa braguette. Aussitôt son sexe tendu et grossi se libéra. Sans attendre je le saisissais. Sa queue était d’une belle taille et lorsque je l’enfournais dans ma bouche elle la remplissait entièrement. Je me mis vite à l’astiquer et je la sentais encore grossir. Je le suçais avec fougue, aspirant son gland et faisant tourner ma langue. Il m’encouragea à continuer :

– Oui c’est bon ! Continue comme ça ! Tu suces merveilleusement bien !

Je le léchais jusqu’aux couilles, les gobant entièrement. Il était surexcité. Il se retira alors et dit :

– Tu vas me faire jouir tellement tu es douée ! Viens par là, j’ai envie d’essayer ta petite chatte !

Il m’attira au bout de la table et me mit à plat ventre. Les jambes dans le vide, mes seins écrasés sur le cuir de la table, mon cul lui était offert. Il saisi sa bite et je senti son gland chercher l’entrée de mon vagin. Dés qu’il l’eu trouvé et m’embrocha. Un râle puissant indiqua qu’il y prenait vraiment plaisir. Afin de l’inviter à me défoncer, je gémissais et murmurais :

– Oui, vas-y ! Défonce moi la chatte, entre ta queue jusqu’aux couilles ! Je veux la sentir bien au fond.
– Tu aimes ça, salope te faire pénétrer par une grosse queue, hein ?
– Oui ! Encore !!!

Il y mettait tout son cœur. Chaque coup de buttoir me rapprochait de l’orgasme. Ses mains agrippais mes hanches et il intensifiait la pénétration en m’attirant vers lui à chaque va et viens. Sa queue gonfla encore. Puis il lécha ses doigts et les insinua dans mon anus. Jouant avec lui, il le dilatait et je croyais défaillir. Quand il estima être le moment, il se retira et je senti son gland appuyer sur mon petit trou. Doucement il l’enfonça, il entra et en quelques coups secs il fit s’engouffrer sa queue entièrement. Il commença à aller et venir dans mon fondement de plus en plus vite. Il se déchaînait dans mon cul qu’il adorait :

– Que c’est bon de t’enculer ! Il est si confortable ton petit cul !!!

Je le suppliais de continuer, plus fort. De me pilonner encore et encore ! Il ne se faisait pas prié et me burinais comme un fou. Je sentis alors un orgasme exploser et j’hurlais. Mon anus se resserra ce qui eu pour effet de l’exciter si fort qu’il se retira et me jouis dessus. Je sentais son foutre chaud couler entre mes fesses. Il éructa de plaisir en faisant jaillir sa semence. Il régna un silence pendant que nous reprenions nos esprits. Je restais comme ça, allongé, le cul plein de foutre. Je n’avais jamais joui comme ça. J’en étais toute étourdie. Il saisi une serviette et s’appliqua à nettoyer les souillures. Puis il me dit :

– J’espère que je ne t’ai pas choquée ? Tu es si excitante que j’aurais envie de te prendre sans arrêt.
– Je ne demande pas mieux ! Tu as une queue que j’aimerais avoir en moi sans arrêt.

Il m’embrassa tendrement et je sentais qu’il aurait bien remis le couvert. Sa queue qui pendait entre ses jambes, se redressait doucement. Saisissant l’occasion, je m’en emparais et commençait à le branler. Aussitôt, elle enfla entre mes mains, et bientôt elle fut prête à servir. Je lui fis une belle fellation, à genoux devant lui. Sa bite me rendait folle. Il me prit de nouveau par tous les trous. Dans toutes les positions. Me baisant encore et encore. Je joui plusieurs fois. Nous fîmes l’amour encore plusieurs fois. Il était infatigable. Il éjacula dans ma bouche, sur mes seins, dans mon cul… Après plusieurs heures, nous étions épuisés. Lui en sueur, moi couverte de sperme. Il me proposa alors de m’emmener chez lui afin que je puisse me laver et surtout il n’avait pas envie que nous nous quittions comme ça. Je fus un peu étonnée sachant qu’il était marié.

– Ma femme ne rentre pas avant des heures.

J’acceptais, m’habillais et nous partîmes. Après quelques minutes de voiture nous arrivâmes chez lui. Sa maison était digne d’un médecin. Immense et cossu. Il faisait frais à l’intérieur et c’était très agréable après la chaleur ambiante. Il m’indiqua la salle de bain et je pris une douche bienfaitrice. Après quelques minutes, je réapparu. Il me prit dans ses bras et respira le parfum de ma peau.

– Tu es enivrante. Tu veux boire quelque chose ?
– Oui je veux bien.

Il nous servi un verre et nous nous essayèrent. Nous discutâmes de tout et de rien, nous dévorant des yeux. Puis la porte d’entrée s’ouvris et sa femme apparue. C’était une belle femme blonde, élégante. Il l’accueilli détendu :

– Chérie ! Tu as passé une bonne journée ?
– Epuisante ! Répondis-t-elle
– Laisse-moi te présenter Sacha, une de mes patientes.

Elle me tendit la main et avec un grand sourire :

– Enchantée Sacha, c’est toujours un plaisir de rencontrer les patientes de mon mari, surtout quand elles sont charmantes comme vous.

Un peu étonnée de la décontraction de la femme, je bredouillais un merci.

– Bon, je vais prendre un bain, déclara-t-elle, et elle fila à l’étage.

Nous restâmes à discuter. Ses yeux allaient et venais de ma bouche à ma poitrine et je le sentais de nouveau excité. Il se leva et me demanda de le suivre. Hésitante, je lui emboîtais le pas. Nous montâmes à l’étage et il se dirigea vers la salle de bain. Je me demandais bien où il voulait en venir. Il ouvrit la porte et m’invita à entrer. Sa femme était allongée dans la baignoire, de la mousse recouvrait son corps. J’étais très gênée. Il me fit m’approcher.

– Chérie, ça te dit pour te délasser ?
Elle me regarda de haut en bas :

– Peut-être, déshabille-la pour voir.

Il m’ôta alors ma robe et mes dessous. Je me retrouvais nue devant cette femme, ma chatte rasée de prêt.

– Hum, ma fois ce que je vois est bien apetissant. Viens me dit-elle

Je m’avançais et entrais dans le bain. Le médecin prit place sur une chaise pour nous observer. Une fois assise dans l’eau chaude, elle approcha sa main et me caressa les seins.

– N’ai pas peur, je ne vais pas te manger, ou peut-être un peu, mais là tu n’auras pas mal.

Je souris et me détendais. Elle pinça mes tétons qui durcirent aussitôt. Délicatement elle caressait ma poitrine. Puis elle me fit me lever et m’adossa au carrelage. Elle s’agenouilla dans la baignoire. Elle écarta alors mes grandes lèvres et aussitôt aspira mon clito. Elle commença à me lécher avec délectation. Je faisais face à son mari qui avait sorti sa queue et se branlait en nous regardant. Revoyant cette bite qui m’avait fait tant jouir, je senti mon plaisir décupler. Sa femme me lécha longuement en m’enfonça ses doigts dans la chatte. Puis elle m’embrassa goulûment, sa langue cherchant la mienne. Je percevais le goût de ma chatte et ça me faisait encore plus mouiller. Son mari déposa alors, au sol, une grande serviette de bain.

La femme sortie de la baignoire et me tendit la main. Je l’a prit et elle m’aida à descendre. C’était une belle femme, aux formes parfaites. Elle m’allongea sur le sol et releva mes jambes et les écarta. Ma chatte était de nouveau exposée mais cette fois aux assauts d’une femme. Je tournais le dos à son mari et elle, lui faisait face. De cette manière il pouvait tout voir. Elle écarta mes lèvres et me suça de nouveau. Fourrageant sa langue bien profond, Elle léchait aussi bien que son mari et je su alors d’où lui venait ce talent. Elle me doigta, me pénétrant à fond tout en m’aspirant l’abricot. Je me tordais sous l’émotion et la suppliai de continuer. Son mari continua de s’astiquer en jubilant devant ce spectacle. Il lui tendit alors un gode qui imitait une grosse queue de mâle qu’elle pouvait s’attacher à la taille.

– Vas-y prend la ! Je veux que tu la baises comme une chienne !

Elle s’en vêtit et me mis à quatre pattes. Se saisissant du faux sexe elle l’orienta vers ma chatte. Elle l’englouti dans mon vagin, me tenant fermement par les hanches et elle me baisa frénétiquement. Ses seins ballottaient sous les coups qu’elle me donnait. Son mari était de plus en plus excité et se masturbait furieusement. Je criais sous ses assauts, j’adorais ça ! ! Puis en direction de son mari elle déclara :

– Chéri, tu veux la prendre par son petit trou ? Je sais que tu adores ça !

L’homme ne se fit pas prié, le pantalon en bas des jambes, il s’approcha. Sa femme se coucha alors sous moi et elle m’empala sur le faux sexe, elle me donna plusieurs coups dans cette position, pendant que je sentais les doigts de son mari écarter mes fesses et dilater mon anus. Puis n’y tenant plus il m’encula fermement. Cette double pénétration me fit jouir aussitôt, ce qui fit redoubler d’ardeur mon médecin. Il s’appliqua à me pénétrer bien profondément, pendant que sa femme levait et abaissait son bassin pour faire s’enfoncer l’engin. Elle me caressait les seins et se délectais de me voir gémir.

– Tu aimes ça, te faire baiser par tous les trous ? Me souffla-t-elle.
– Ho, oui !!!
– Ca t’excite, n’est ce pas, mon mari qui t’encule ?
– Oui, c’est bon. Ho mon dieu !!!! Ouiiii !!!
– Vas-y, chéri, continue, elle va encore jouir cette chienne !!

Elle se retira, et laissa son mari me buriner le cul. Elle s’approcha de lui pour nous regarder en se caressant la chatte.

– J’adore te voir les enculer, ces petites chaudasses. Lui dit-elle
– Et moi j’adore quand tu me regardes leur en mettre plein le cul !

J’entendais leur dialogue et leurs paroles me firent jouir encore. Je senti gonfler la queue de l’homme dans mon cul et je su qu’il allait décharger sa semence. Il se retira et dit :
– Venez, toutes les deux me finir avec vos bouches.

Nous nous mirent alors, toutes les deux à ses genoux et la femme prit la verge tendue et me le fourra dans la bouche

– Suce le bien, oui comme ça !

Elle lui léchait les couilles. Il prit soudain sa queue entre ses mains, se branla et nous envoya, dans un jet puissant, son foutre chaud sur le visage. J’en avais tout autour de la bouche, sa femme également. Elle se tourna vers moi et m’embrassa en léchant le liquide et j’en faisais de même. Nous restâmes à nous lécher et caresser quelques instants, puis elle me dit :

– Viens, nous allons nous laver.

Son mari quitta la pièce et nous retrouvèrent dans le bain tiède mais pas désagréable après ces ébats torrides.

En nous lavant, elle m’avoua que son mari et elle amenaient souvent des jeunes filles chez eux pour baiser. C’était souvent lui qui les trouvaient et qui les testait, et si il estimait qu’elles pouvaient leur donner satisfaction, il les ramenait.

Je comprenais mieux son attitude quand elle me vit. Ce que je trouvais étrange c’est qu’il ne m’avait fait des avances que maintenant, car cela faisait plusieurs années que je le voyais.

– Je pense que tu lui plais beaucoup et qu’il n’osait pas. Les autres filles qu’il ramène sont souvent des petites chiennes en chaleur qui le cherche. A part aujourd’hui… je pense que les températures caniculaires y sont pour quelque chose. D’ailleurs, tu me plais beaucoup à moi aussi, sous ton air ingénue, tu es une vrai nymphomane qui s’ignore et si tu veux nous pouvons t’apprendre à aimer le sexe. C’est une chose merveilleuse quand tu sais l’apprivoiser et que tu le connais.

– Ce que j’ai vécu aujourd’hui ne m’était jamais arrivé et je dois dire que j’y ai pris beaucoup de plaisir. Dis-je.
– J’en suis heureuse, dit-elle. Veux-tu rester dîner avec nous ce soir ?
– J’en serais très flattée.
– Très bien, alors séchons-nous. Je vais te trouver quelque chose de propre à te mettre.

Nous quittâmes la salle de bain. Elle m’invita à la suivre dans sa chambre et elle ouvrit son dressing. Elle sortie une robe blanche, très transparente et très courte.

– Avec cette chaleur, mieux vaut être habillée légèrement, non ?
– Tout à fait, répondis-je en souriant.
– Et puis, ne mettons aucun dessous, nous serons plus à l’aise.

Elle passa à son tour une robe longue, fendue jusqu’à la cuisse. Elle était vraiment très sexy. Nous descendîmes rejoindre son mari qui buvait un verre au salon. A notre vue, il siffla et nous complimenta sur nos tenues. Nous le remerciâmes.

– Chérie, j’ai proposé à Sacha de rester dîner. Lança-t-elle à son mari. Et puis je lui ai proposé de faire son éducation sexuelle si elle voulait. Qu’en penses-tu ?
– Je n’y vois aucune objection, c’est une très bonne idée.
– Très bien, rejoint le, me dit-elle, je vais m’occuper du dîner.
– Voulez vous de l’aide ? Demandais-je
– Non, tu es notre invitée, à ce titre je te demanderais de ne rien faire.

Je m’avançais vers le salon. Le mari me demanda si je voulais un verre, lui répondant par l’affirmative, il me servi une double dose de whisky.

– Cela va te requinquer un peu. Je sais de quoi je parle, je suis médecin.

Il ria et nous allâmes nous installer sur le sofa.

– Ma femme t’apprécie beaucoup, en général, les filles que nous ramenons partent dès nos envies assouvies. Mais toi c’est différent… je ne saurais dire pourquoi.
– Votre femme dit que sous mon air ingénu, je suis une nymphomane qui s’ignore.
– C’est très juste, elle t’a bien jugée. Je crois que tu plais à ma femme car tu dois être un peu comme elle. C’est une vrai nymphomane tu sais. Elle a beaucoup travaillé pour se dominer. Mais elle ne peut pas rester un jour sans faire l’amour. Et quand elle se déchaîne c’est une vraie tornade sexuelle. Et moi j’adore ça. Je dois dire que je suis aussi énormément porté sur la chose. J’adore glisser mes doigts dans les petites chattes humides.

Et pour illustrer ses paroles, il glissa sa main sous ma robe. J’écartais un peu les cuisses et il ouvrait mes lèvres. Je mouillais tout de suite.

– Soulève ta robe, que tu puisses voir.

Je m’exécutais.

– Voilà qui est mieux. Tu vois comme c’est beau une chatte.

Il écartait mes chairs et me caressait. Ma vulve était luisante.

– J’adore la regarder, la toucher, enfoncer mes doigts, comme ça. Au début un peu, puis progressivement plus profond.

En voyant ses doigts disparaître dans ma vulve je gémis.

– Oui, c’est ça ! Regarde comme c’est beau. Prend ma main et amuse-toi !

Je m’en servi alors comme d’un gode, la faisant aller et venir dans mon vagin. Au fur et à mesure il ajouta des doigts. De deux, il passa à trois, puis quatre. Je forçais car je voulais la faire entrer entièrement. L’idée de la voir disparaître complètement m’excitait terriblement. Jamais je n’avais envisagé ce genre de pratique sexuelle.

– Cela s’appel le fisting, me dit-il. Tu verras que ça peut t’apporter un très grand plaisir. Ma femme est une experte dans cette pratique.

Sur ces mots, elle entra et me regarda. Assise, les jambes écartées, ma chatte ouverte et humide je me sentais un peu gênée. Elle souri et dit :

– Quel beau spectacle !
– N’est ce pas chérie ! dit l’homme. J’expliquais à notre amie ce qu’était le fisting.
– Très bonne idée. J’adore cette pratique ! Je te montrerais ce qu’est un bon fisting. Tu ne seras pas déçue ! Mais dans l’immédiat, allons manger !

Nous passâmes à table. Le repas se passa sans encombre et nous discutâmes de choses et d’autres. Mais surtout de sexe !

Après le repas, nous nous installâmes au salon et la femme nous servi un digestif.

– Cette soirée est très agréable, déclara-t-elle. Je te propose de rester pour la nuit. J’aimerais que nous poursuivions nos discussions. Et puis je me suis engagée à t’apprendre les subtilités du sexe, et ce n’est pas en une soirée que je pourrais tout t’enseigner. C’est le week-end, donc nous avons tout notre temps ! Qu’en penses-tu ?
– Hé bien… j’accepte, vous avez piqué ma curiosité.
– Très bien. Alors trinquons !

Nous bûmes et la soirée se poursuivi dans une ambiance chaleureuse.

Quelques heures plus tard, légèrement enivrées, la femme proposa que nous allions nous coucher. Elle se leva, et nous lui emboîtèrent le pas. Nous montâmes à l’étage et elle m’emmena dans leur chambre.

– Tu ne vas pas dormir seule cette nuit. Je veux que tu restes avec nous.

Apparemment elle avait déjà décidé de tout. Je me pliais alors à ses exigences. Je me déshabillais et me glissais sous les draps. Quelques instants plus tard ils me rejoignirent. Ils se mirent de chaque côté de moi. Cette situation était étrange mais en même temps très excitante. Ils ne mirent pas longtemps à me caresser. La femme m’embrassa en me pelotant les seins. Son mari écarta les draps et entrepris ma chatte. La femme frottait ses seins sur les miens. L’homme effleurait mon clito qui durcissait très vite.

– Viens chérie, j’écarte sa petite chatte pendant que tu la lèches.
– Hummm ! Volontiers ! répondit-elle réjouie.

Elle se mit alors à me lécher pendant que son mari maintenait ma vulve ouverte. Il jubilait de voir sa femme s’activer sur mon minou. Cette situation m’électrisait. Puis la femme se redressa et me dit :

– Montre-moi ce que tu sais faire. Je voudrais évaluer tes compétences en matière de sexe !

Elle s’allongea sur le dos et écarta ses cuisses. Sa vulve était luisante et attendait mes caresses. Je m’approchais et délicatement, posais mes lèvres sur son con. Ma langue s’insinua et je léchais cette chatte offerte. Le parfum délicieux de son intimité m’enivrait. Son mari se tenait à nos côtés et devant cette exhibition il avait entrepris de se masturber. Sa queue bandée était belle et la femme lui demanda d’approcher pour la sucer. Levant les yeux, je vis cette femme avaler la bite de son homme. Cette image m’encouragea et je voulu lui donner un maximum de plaisir. Je m’appliquais donc à la lécher avec soin en lui enfonçant mes doigts. Les contorsions de son corps me stimulaient et m’incitaient à continuer. Je la pratiquais depuis plusieurs minutes quand elle me dit :

– Tu es vraiment douée et j’aime ça ! Maintenant mon mari va nous baiser toutes les deux.

Elle me demanda de me mettre à quatre pattes. Puis elle me chevaucha, frottant sa chatte sur mes fesses. Je sentais son souffle dans mon cou. Elle chuchotât à mon oreille :

– Je veux que tu prennes ton pied. Je veux te sentir trembler de plaisir quand mon mari va te pénétrer.

L’homme se plaça derrière nous et je senti sa queue ouvrir le passage de ma chatte. Sa bite entra d’abord doucement. Progressivement il accentua ses assauts pour enfin me défoncer entièrement. Mes gémissements excitaient la femme qui m’exhortait à crier plus fort. Il s’activa quelques minutes puis il pénétra sa femme. D’entrée il lui donna des coups violents. Elle aimait être prise brutalement, elle voulait sentir cette queue la défoncer à fond. Je me caressais pendant qu’il l’a baisait. Sentir sur moi cette femme se faire niquer de la sorte me stimulait. L’homme revint vers moi et enfonça de nouveau sa pine. Il fit des vas et viens, de l’une à l’autre pendant de longues minutes. Nous étions toutes les deux enflammées et chaque coup de bite nous transportait. Chaque fois que son mari me baisait, la femme se lâchait :

– Tu la sens bien, n’est ce pas ? Dis lui de te l’enfoncer plus fort ! Je veux t’entendre crier !
– Ouiiii ! C’est bon !!!…Laboure-moi le con !!! …. Plus fort !!!

L’homme nous explosait chacune notre tour. Puis la femme dit :

– Met lui dans le cul !

Elle m’enfonça deux doigts dans le con pour récolter ma mouille et humidifia mon anus. Puis elle prit la bite de son mari et l’enfonça dans mon cul qui s’ouvrait. La pine entra et très vite l’homme me burina. La femme se masturbait en nous regardant. Je joui presque aussitôt. La femme me suivi et joui à son tour. L’homme ne tarda pas à nous imiter. Quand la femme vit qu’il allait jouir, elle écarta mes fesses, et ouvra mon anus. L’homme se branla quelques instants et sa bite finie par cracher son jus chaud et épais. La femme me lécha alors le petit trou, avalant tout le sperme de son mari.

Fatigués, nous nous endormîmes, chacune de chaque côté de l’homme, nos mains posées sur sa queue.

Le lendemain, je fus réveillée par la sensation d’une queue dans ma chatte. Couchée sur le côté, l’homme était allongé dans mon dos et doucement il fit entrer sa bite dans mon con endormi. Doucement il fit des mouvements de va et viens. L’esprit encore embué je me laissais faire, appréciant ce réveil en douceur. Progressivement j’accompagnais ses mouvements, sa main passa alors à l’avant et il me caressa, frottant et pinçant mon clitoris. Il resta de longues minutes ainsi à me faire l’amour jusqu’à ce que je jouisse. Il ne tarda pas et sa semence inonda mon con.

– Bonjour, me dit-il, bien dormi ?
– Surtout bien réveillée, lui répondis-je

Il m’embrassa et se leva pour aller se laver. Je lui demandais où était sa femme en constatant son absence.

– Elle est partie tôt, elle devait faire du shoping.

Je restai allongée mon esprit vagabondant. Une fois qu’il eu fini, ce fut mon tour de me doucher. Je prenais plaisir à rester sous l’eau chaude. Puis je m’habillai et descendais rejoindre l’homme. Il me servi un café et nous discutâmes :

– Es tu contente d’être ici ? Me demanda t-il
– Oui, énormément.
– Et en ce qui concerne le sexe ?
– Hé bien je dois dire que c’est une expérience très enrichissante. Je n’ai qu’une petite expérience et à vos côtés je prends conscience qu’il existe tant de manière de prendre du plaisir.
– Ho que oui ! Et puis avec le temps tu imagineras d’autre façon de prendre ton pied.

La porte s’ouvrit soudain et la femme apparu les bras chargés.

– Bonjour ! Lança t-elle, alors bien dormie ! J’espère que le réveil a été doux.

Rougissant, je lui répondais qu’il avait été des plus agréables.

– Bien, dit-elle, de mon côté j’ai fait quelques achats. Elle sorti d’un sac une magnifique robe violine en mousseline.
– Tiens, c’est pour toi. Mets-la, je suis impatiente de te voir avec.

Sans pudeur, je me dévêtais et passais la nouvelle robe.

– Magnifique ! S’exclamât-elle, n’est ce pas ? Qu’en penses-tu, chéri ?
– Superbe !
– Bien, si tout le monde est prêt, nous allons pouvoir y aller. Sacha, nous allons rendre visite à un ami et bien sûr tu nous accompagne.
– Si vous voulez, pas de problèmes.

Quelques kilomètres plus tard, nous arrivions devant le portail d’une superbe maison. Après avoir sonné, un homme vint nous ouvrir.

– Mais amis, quel plaisir de vous voir. Entrez !
– Je te présente Sacha, dis la femme, elle demeure quelques jours chez nous.
– Enchanté mademoiselle, me dis l’homme en me baisant la main.

Il était de haute taille et d’une silhouette athlétique.

– Venez, allons au salon. Je vais vous présenter à mon associé.

Nous entrèrent et un homme fumait en attendant. A notre arrivé il se leva et s’approcha. Nous fument tous présentés. Puis il nous invita à nous asseoir et nous proposa un verre. Mes hôtes et lui entamèrent une discussion. Pendant ce temps, je regardais à la ronde la décoration qui était de très bon goût. Puis je remarquais l’autre homme qui me dévisageait. Son regard était insistant et j’avais l’impression qu’il me déshabillait. Il était bel homme et son regard était envoûtant. La femme s’en aperçu et dit :

– Il semblerait que notre jeune amie ne vous laisse pas indifférent, lançât-elle à l’homme.
– Effectivement, répondit-il, je la trouve ravissante.
– Merci, dis-je
– Nous faisons sont éducation, mon mari et moi.

Je fus étonnée de ses propos, mais me doutais que ce n’était pas innocent
– Ha bon, dis l’homme, et dans quel domaine ?
– Sexuel, lança-t-elle avec un large sourire

L’homme souri et dis :

– Et vous avez prévu une leçon aujourd’hui ?
– Bien sûr ! C’est pourquoi nous sommes là.

La femme me demanda de me lever et de m’approcher de l’homme. Arrivée à sa hauteur, l’homme assis, souleva ma robe. Il observa ma chatte rasée, puis passa un doigt entre mes lèvres pour en vérifier l’humidité. Il déboutonna, alors son pantalon et sorti sa verge qui commençait à bander. Sans qu’il eu à parler je m’agenouillai et commençait à le sucer. Progressivement, sous mes coups de langue, je sentais gonfler sa pine. Sa queue était d’une taille impressionnante….

A SUIVRE…

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

3 réponses à Un rendez vous particulier 1 – Premiers pas par Etoile01

  1. Verdon dit :

    Le texte est sympa et l’histoire agréable, même si ça ne se déroule pas toujours comme cela dans le temps et l’action (se serait trop beau), mais les descriptions bien commentées sont très vraisemblables. Malheureusement l’auteur sur la fin….nous laisse sur notre faim…!Trois hommes et deux Dames il y avait de quoi faire une suite bien agréable !

  2. Chandernagor dit :

    Pas trouvé la suite

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *