Un petit coup de vent malicieux 2 – Cynthia reçoit par Helena Sevigsky

Bonjour, c’est à nouveau Sophie ! Cet épisode étant la suite  » naturelle  » de l’épisode précédent, il est donc conseillé de lire ce dernier avant celui-ci. Un bref résumé néanmoins pour les  » pressés « :
A la plage avec mon mari, j’ai soudain un coup de foudre pour une femme magnifique. Et voilà qu’elle m’invite chez elle. Je dois employer des arguments ultimes pour convaincre mon ours de mari de m’y accompagner !

C’est parti !

Mais c’est qu’il est revenu à la charge, le Tony ! Je crois qu’il aurait fait n’importe quoi pour ne pas y aller. Lui qu’il faut traîner dans les restaurants, le voilà qui était prêt à m’en payer un somptueux avec musique russe, balalaïkas et saumon de la Volga ! Ou alors une croisière nocturne avec champagne à bord. Ou même…le comble :

– Je te paie un super bijou, un machin dont tu as toujours rêvé ! Mais fais-moi plaisir, on ne va pas à cette soirée !
– Non mais tu as vu un peu la nana, on ne sait jamais, ça peut tourner en partouse ?
– C’est ça et tu va te faire prendre par l’autre crapaud ?
– Le crapaud, j’en sais rien ! Mais sa grenouille, je ne dirais pas non !
– Ça n’a pas de sens !
– Si !
– Et tu crois que ça me plait de te voir prendre par un autre mec ?!
– Ce n’est pas le but de l’opération mais si ça se produit, tu pourras faire des choses avec Cynthia et je t’assure que je ne te le rapprocherais pas !
– Et patati, et patata…

Je me fâchais, lui expliquant qu’il m’avait déjà donné son accord, qu’on ne revenait pas sur une décision, qu’une fois dans sa vie, il pouvait bien sortir avec moi sans ronchonner et qui plus est que c’était un cas de divorce (je bluffais bien sûr !). Il fallut bien qu’il cède !

Quand même cette longue discussion m’avait épuisé ! J’avais la réelle conviction d’agir en la circonstance par pur individualisme ! Cette occasion si je n’en profitais pas, n’était sans doute pas près de se reproduire surtout avec une nana pareille ! Il me semblait que rien au monde ne pourrait m’empêcher d’y aller.

C’est les vacances, on reste décontracté même si on est invité chez des rupins. Mais je me voulais belle. Je me mis en frais et achetais une petite robe jaune très sexy qui fit évidemment râler Tony.

– Tu ne va pas sortir avec ce truc ?
– Si !
– Vivement demain soir que tu redeviennes normale !

Il se tut, en principe il ne râle jamais bien longtemps

Et puis quoi emmener ? On ne débarque pas chez les gens les mains vides. Des fleurs mais ils allaient bientôt partir. Une énorme bavaroise trônant fièrement à la vitrine d’un pâtissier ferait donc l’affaire.

L’accueil est chaleureux, très chaleureux même, à la limite je ne trouve pas ça très naturel ! Cynthia est simplement vêtue d’un petit tee-shirt rose pâle à travers lequel pointent ses tétons déjà dressés et d’une petite culotte noire Voici une tenue qui met en valeur ses longues jambes bronzées.

On se présente, le mari de Cynthia s’appelle Pierre.

– Asseyez-vous, je vais préparer l’apéritif propose la maîtresse des lieux, puis elle se tourne ingénument vers son mari :
– Il arrive à quelle heure le traiteur ?
– Il ne livre pas, faut que j’aille les chercher, il va d’ailleurs être temps que j’y aille, c’est pas pratique à ramener ce truc là, faudrait que quelqu’un m’aide ?

C’est alors qu’il se tourne vers Tony

– Tu viens avec moi, on va laisser les femmes papoter ensemble !

La tête du Tony ! Mais je ne vois pas comment il pourrait refuser. Et voilà nos deux mâles de partis !

– On va attendre qu’ils reviennent pour l’apéro, à moins que tu ais envie de quelque chose tout de suite !

Les yeux de chatte de la Cynthia !

– Non, sauf si tu prends quelque chose, alors je t’accompagne !
– Tiens c’est une excellente idée, tu sais ce que j’ai envie de prendre ?
– Euh ! Non !
– Une douche !

J’en ai prise une il y a une heure, mais je ne vais pas lui dire :

– D’accord ?
– Pas de problèmes !
– Alors ! A poil !

Je me demandais d’ailleurs pourquoi, elle avait besoin du prétexte de la douche, puisque tout était explicite, mais bon, je suis invitée, je sais me tenir. Cynthia enlève ses vêtements en un tour de main, elle retire son tee-shirt face à moi, mais se tourne pour enlever sa culotte, étrange réflexe de pudeur inconsciente que je trouve incongru. Je me déshabille à mon tour, c’était bien la peine de me mettre en frais avec ma petite robe sexy qu’elle n’aura vu que 2 minutes sans qu’elle la remarque spécialement !

Je la suis dans la salle de bain, elle est nue devant moi, je me surprends, (on est bizarre, dès fois) à être presque plus attiré par son dos que par ses fesses. Je lui trouve le cul triste, il n’a pas ce côté joufflu, bon vivant, effronté que j’aime bien, on ne peut pas tout avoir !

Ca y est ! Nous sommes dans le carré à douche, elle me fait face, elle a le sexe épilé, je l’aurais parié ! Je ne sais pas pourquoi, mais il faut que je touche, c’est plus fort que moi, et je lui fais une chaste caresse sur le pubis du bout des doigts

– C’est mignon ! C’est doux !
– T’as vu ça ? Rasé de prés, je me suis passé un coup de rasoir il y a une demi-heure ! Je l’ai regretté après !
– Regretté pourquoi ?
– J’aurais aimé que tu me rase, ça m’aurait excité ! Mais l’idée m’est venue trop tard ! Et toi ça t’aurait excité ?

Bien embêtée, je n’ai jamais fantasmé sur le rasage de minou ! Et à priori ça ne me dit trop rien !

– Je ne sais pas, j’ai jamais fait ça !
– Toute une éducation à refaire ! Plaisante-t-elle.

Et puis l’idée lui vient comme ça !

– Et toi, tu ne voudrais pas que je rase ?

Je ne vais pas lui dire que c’est pas mon truc, d’autant plus que ça ne me dérange pas, si elle veut me raser, qu’elle me rase, c’est vraiment pas un problème !

– On va le faire après, répondit-elle, pour l’instant on va se mouiller un petit peu, ça nous fera du bien.

Et joignant le geste à la parole elle se saisit de la douchette et commence à m’asperger !

– C’est trop froid ?
– Ca va !

C’est juste un peu froid, Cynthia se douche à son tour, ses tétons s’érigent instantanément sous l’effet de la différence thermique. Que c’est mignon ! Que c’est excitant ! Je suis de celles qui trouvent qu’un corps mouillé est autrement plus excitant qu’un corps sec. Ce téton m’attire trop, dans quelques secondes il va se recouvrir de mousse. J’ai des goûts, certes, forts éclectiques, mais celui de la savonnette ne m’émoustille vraiment pas. J’espère simplement qu’elle ne va pas me jeter pour ce que vais oser lui faire ? Et puis, zut et flûte ! Qu’est ce que j’ai à me sentir sans cesse en état d’infériorité face à cette nana ? Ce n’est pas parce qu’elle a plus de fric que moi et qu’elle est mieux foutue que… Et au diable les réflexions, je me penche, je ne lui demande rien et je lui suce le téton. Mon dieu quelle sensation ! Quel plaisir de faire ça ! Quelle impression de trouble étrange ! J’en ai la chair de poule et cette fois la fraîcheur de l’eau n’y est pour rien. Parce qu’en plus de l’excitation du geste, du franchissement de l’interdit et de tout ce que vous voudrez, il vient de se passer une chose qui me bouleverse.

Cynthia loin de me repousser accepte mon geste comme une offrande et alors que je ne pensais pas m’attarder à cette taquinerie, elle en redemande, me collant contre elle, fermant les yeux en pensant à je ne sais quoi. Je passe d’un téton à l’autre, j’ose une main sur son sexe. Mais soudain elle se reprend, me repousse doucement le visage et me sourit bizarrement. J’ai véritablement l’impression à ce moment-là, qu’elle se sent coupable de s’être abandonnée, ne serait ce que l’espace d’un moment. Elle est là, son visage devant moi. Envie de l’embrasser, mais j’ai pris assez d’initiatives ! A son tour maintenant. Me contenter de lui faire comprendre. Ce ne devrait pas être trop difficile. Un regard. Mon regard. Son regard. Ma bouche qui s’entrouvre, qui laisse passer un petit bout de langue, qui s’entrouvre encore plus. Message reçu ! La voici qui me roule un patin d’enfer ! Whaouh ! Il y a combien de temps que je n’avais pas été excitée de la sorte ? Il faut voir comment elle fait ça ! Une vraie pro du jeu de langue ! Je mouille ! Je mouille ! Par contre je me demande ce qu’elle peut bien me trouver pour me faire des choses pareilles ? Ses mains ne restent pas inactives, elles me caressent partout les fesses, les seins, la chatte, les cuisses. Elle va me rendre folle. Elle a maintenant ses deux mains sur mes bouts de seins, elle les agace, les pince très légèrement, puis un peu plus fort, puis beaucoup plus fort, elle les serre, les tourne…

– Aie ! Tu me fais mal
– Excuse-moi ma chérie ! Je ne voulais pas te faire bobo !

Voilà qu’elle s’excuse la bourgeoise, maintenant ! On aura tout vu !

– Continue !

Elle continue, mais moins fort !

– Plus fort !
– Tu vois, tu t’habitue, tu me le dis si je te fais mal !

Prévenante avec ça !

– Encore plus fort ?
– Aie ! Non t’arrête pas ! Continue comme ça ?
– Tu aimes ça avoir un petit peu mal !
– Oui ! Fais mois mal !

Mais je suis conne, ou quoi ? Je me rends compte que je suis en train tout simplement de me soumettre. Et l’autre qui ne se le fait pas dire deux fois qui laisse tomber toute prévenance et toute précaution. Elle me les serre de toutes ses forces, les tirebouchonne carrément.

– Tu me dis d’arrêter ! D’accord ?
– Encore ! C’est bon ! Aie ! Non, n’arrête pas, encore, encore, oh que c’est bon !
– T’es maso des seins, on dirait ! Seulement des seins ?
– Oui, enfin non !
– Ben c’est oui ou c’est non ? T’aimes qu’on te domine ?
– Non ! Enfin, c’est pas trop mon truc…
– Et les fessées, t’aimes bien ?
– Si c’est pas trop fort !
– Tu en voudrais une, là, maintenant ?
– Oui !
– Demande-le-moi alors !
– Donne-moi une fessée !
– Mieux que ça !

Mais qu’est ce qu’elle veut ? Dans quel piège veut-elle me faire tomber ? Je tergiverse.

– Tu me la donneras tout à l’heure, continue à me pincer.
– Tu ne veux pas que je te domine un peu, juste un petit peu ?

Encore une fois, je préfère ne pas répondre et je louvoie.

– C’est ton truc, à toi de dominer ?
– Juste un peu, mais rassure-toi, ça ne va pas bien loin, je n’ai pas de panoplie en cuir noir, ni de cravache ! Alors tu veux qu’on essaie d’y jouer ?
– Oui !

J’ai dis  » oui « , je suis dingue, bien sûr je suis libre de mes mouvements, il n’y a rien d’irrémédiable… quoique s’il elle…

– Je ne veux pas que tu m’attache, d’accord ?
– T’inquiètes pas, on va rester dans le soft ! Mets-toi donc à genoux !

Je le fais ! Je suis dans ses griffes ! Et en plus ça m’excite !

– Renifle ma chatte ?

Si c’est ça sa domination, ça devrait se passer sans problème, j’approche mon visage de son sexe, et je lui fais un petit bisou qui se veut le prélude à des choses bien plus hard

– J’ai dis de renifler, pas de lécher !

Je me recule.

– Tu sais ce qu’on leur fait aux petites filles désobéissantes ?

Je crois comprendre.
– La fessée ?
– Tu serais trop contente ! Relève-toi et met toi les mains dans le dos !

Je le fais, ça commence à être frustrant son truc.

J’ai bien envie de te gifler !
– N’importe quoi !
– C’est un jeu Sophie ! Juste un jeu !
– Alors vas-y !

Elle m’en retourne deux, c’est vrai que ça ressemble à des gifles de cinéma, juste ce qu’il faut pour ça claque, mais ce n’est quand même pas du  » semblant  » Et puis un éclair me traverse l’esprit.

– Ne me fais pas ça devant mon mari !
– Mais, tu n’as pas fini d’avoir la trouille ! Je ne te veux aucun mal ! Allez va t’asseoir sur la cuvette des chiottes, je vais te raser les poils de la chatte.

Elle fit couler de l’eau chaude sur un gant de toilette, puis me l’appliqua sur le pubis. L’eau était légèrement trop chaude, supportable sans problème pour sa main, mais limite pour l’endroit où elle l’appliquait.

– C’est un peu trop chaud !
– Si ce n’est qu’un peu, ça devrait aller !
– C’est juste quand même !
– T’inquiètes pas ! Me répondit-elle simplement tout en continuant à mouiller, plus ça sera mouillé, moins tu seras irritée.

Elle aspergea ensuite mon pubis de mousse, puis commença à raser. Elle fit un premier essuyage pour voir ce qui restait. Il en restait un petit peu. J’eus donc droit à un second gant chaud, une deuxième application de mousse et un deuxième rasoir neuf.

– Voilà c’est tout lisse maintenant ! Ce qui faudrait maintenant c’est mettre quelque chose de stérile dessus. Voyons, que pourrais-t-on mettre là-dessus ?

Elle me regarde avec un air ingénu ! Je ne vois pas pourquoi un simple after-shave masculin ne suffirait pas, mais apparemment elle à une autre idée derrière la tête.

– Un petit peu d’urine, voilà qui serait une bonne idée !

Dingue ! Elle est dingue ! Je suis chez une dingue !

– Tu ne t’es jamais fais pisser dessus ?

Je ne vais pas lui dire non, il nous arrive parfois avec Tony de jouer à des jeux uro. C’est vrai que je trouve ça amusant, et même plus, alors pourquoi cette réaction de rejet, parce que c’est une femme qui m’en parle ? Mon raisonnement ne tient pas debout !

– Je constate que tu ne dis pas non ! Et de toute façon tu n’as rien à dire, notre petit jeu n’est pas fini !
– Alors vas-y !

Cynthia me fait serrer mes cuisses, puis viens me chevaucher, elle se baisse légèrement, puis pisse. Je suis beaucoup plus troublée que je ne veux le laisser paraître L’urine atterrit sur mon ventre et s’éparpille en un large delta un peu partout, sur mes cuisses et sur mon pubis. Elle l’étale avec ses mains, me masse un petit peu, puis se retire. Mais c’est pour mieux revenir. Elle écarte mes cuisses, s’agenouille devant moi, plonge son visage dans mon intimité et entreprend de me lécher les chairs avec la langue. Mes chairs baignées de son petit pipi ! La position est à vrai dire peu pratique.

– Allez viens, on va se mettre sur le canapé !

Voilà qui me paraît être une excellente idée. On se dirige vers le living, je suis devant elle et soudain je reçois une grande claque dans le cul.

– Je l’avais oublié celui-là ! Il est trop tentant !

La certitude d’avoir un plus beau cul que le sien me remonte en mémoire, mais je garde l’information pour moi !

– Encore !

Elle m’en balance quelques autres, plutôt fortes, mais manifestement elle a envie de jouer à d’autres jeux. Je rougis vite des fesses. J’imagine la tête de Tony quand il va me découvrir avec les fesses toutes rouges et le minou rasé

– Euh ! Nos maris ne vont peut-être pas tarder !
– Justement on va les exciter ! Tu sais ce que tu va faire, tu va me faire jouir devant eux !

L’idée n’était pas pour me déplaire. L’un des fantasmes récurant de Tony était de vouloir me faire raconter ce que j’aurais fait avec une femme. Je n’avais jamais eu l’occasion de le lui faire concrétiser. Là, il aurait du  » direct « . Et puis, je lui devais bien cela, à Tony, pour le remercier d’être finalement venu.

– Et toi ça ne va pas te bloquer ?
– Non, non !

C’est en fait autre chose qui m’embêtait, il était clair qu’en allant chez elle, je savais pertinemment que c’était pour faire dans son intégralité ce que nous n’avions pu qu’esquisser sur la plage. J’étais par contre loin de penser que la soirée commencerait de la sorte, et servirait de prélude à une partouze classique. Or, l’idée de faire l’amour avec Pierre ne me disait trop rien, non pas que le personnage me repoussait, loin de là, mais je n’étais pas attirée, tout simplement ! Mais enfin si c’était le prix à payer, pour la petite séance avec Cynthia, je saurais m’accommoder de la chose. J’en étais là dans mes réflexions quand un bruit de porte se fit entendre.

– Continue, on n’a rien entendu ! Me chuchote Cynthia
– Ben faut pas vous gêner les nanas ! S’esclaffa Pierre en rigolant.
– Regardez-nous, ça va vous exciter, et nous aussi, mais vous regardez, c’est tout ! On ne touche pas !
– Tu as vu j’ai un minou tout neuf ! Lançais-je, complice à Tony

Mais ça n’a pas l’air de le tourmenter plus que ça. Les deux hommes se sont assis et regardent incrédules le spectacle de nos corps emmêlés. Je ne les qu’entrevoie, Pierre à sorti sa queue et se la masturbe, en y jetant un bref coup d’œil je me dis qu’après tout porter les lèvres à ce charmant organe ne sera finalement pas une corvée. Quant à Tony, il est extérieurement fort sage.

Le corps de Cynthia est un véritable aphrodisiaque. Elle se donne à fond dans ce qu’elle fait. C’est la même femme qui me faisait mouiller mon maillot de bain en jouant à la balle, hier avec moi qui est là, avec le même dynamisme, la même façon de faire jouer les courbes de son corps. Et puis cette peau douce, ce parfum… Son corps est parfait, presque parfait ! Oh ! Elle doit se surveiller, ça doit y aller les régimes, les coupes faim et les menus « weight watcher » le tout entrecoupé de séance de fitness, de remise en forme, de thalasso machin chose, mais elle à l’intelligence de ne pas faire dans l’excès, ses membres n’ont rien de squelettiques, et elle a même un petit ventre. Elle reste tout à fait « pelotable », comme dirait, je ne sais plus qui ! Oh ça pour être pelotable elle l’est et j’y vais, je n’hésite pas, je touche, je caresse, je pelote quoi, je m’enivre de son contact, je sais très bien que je vis une expérience rare, autant la vivre à fond !

Nous gesticulons tellement que ce serait vain de tout décrire, elle m’entraîne dans un tourbillon inimaginable, je subis complètement ses désirs, mais quel délice, quel enivrement que de subir les assauts de ses mains, de ses doigts, de ses lèvres, de sa langue. Je dois mouiller comme je l’ai rarement fais, mais ce qui m’émeut au plus profond de moi-même c’est qu’elle n’est pas en reste.

A un moment j’ignore ce qu’elle veut faire, mais voici que je m’éjecte du canapé et que je me retrouve par terre les quatre fers en l’air. Tout le monde rigole franchement. Cynthia se lève un instant et m’invite à me coucher sur le dos.

– Prête pour le final ?

Je ne réponds pas, je ne veux pas que ce soit le final, je veux que ça dure des heures encore, toute la nuit s’il le faut. Cynthia se met en position de 69 sur moi ! Je me fais la réflexion que dans cette position ses fesses que je trouvais fort quelconques en position debout deviennent, elles aussi magnifiques. Après tout, peut-être l’expression  » arrondir les angles « , est-elle venue dans des circonstances analogues, un jour à Lesbos dans les îles grecques ?
Ce cul, je lui lèche, je lui renifle, je suis au cœur de son intimité la plus personnelle. Ou pour parler crûment à deux centimètres de son trou du cul. Non plus deux centimètres, zéro centimètres, parce qu’à présent ma langue lui farfouille carrément l’anus. Mon dieu qu’est ce que je mouille ! Et la Cynthia qui s’acharne sur mon clito. Ça m’embête de partir avant elle, alors à regret je quitte son petit trou pour atteindre de ma langue son clitoris. Et c’est alors le délire ! Nos mouvements se synchronisent, nous ne sommes plus qu’une, nous sommes en symbiose et nous éclatons à l’unisson… D’autres auraient marqué une minute de récupération, pas Cynthia qui se détend comme un diable de sa boite, se retourne, vient sur moi et me tend ses lèvres que j’accueille bien sûr comme vous pouvez l’imaginer.

Pierre applaudit avec enthousiasme, lâchant un moment sa bite bandée qu’il n’a cessé de tripoter pendant notre prestation. Tony applaudit aussi mais assez gauchement, émergeant d’un profond trouble ! On le comprend le pauvre biquet.

– Pouh ! Ca donne chaud tout cela ! Alors les garçons, ça vous a plu le spectacle ?
– Superbe ! Acquiesça le mari.
– Qu’est ce que tu fous, Pierre ? Tu ne vas pas te branler tout seul quand même ?
– Mais, ma bite est la disposition de ces messieurs-dames

Je la regarde mieux et m’aperçois que l’individu a les testicules complètement épilés. Drôle d’impression ! Mais ce qui est encore plus bizarre c’est cette façon appuyée de parler des  » Messieurs-dames  » ! J’ai bien entendu  » messieurs-dames  » ? Cynthia se lève, désigne le canapé aux deux hommes

– Bon ! Vous aviez cru que c’était gratuit ? Ben, pas du tout, à votre tour les gars, de nous faire un petit spectacle, installez-vous, on vous matte !

La tête de Tony !

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises. Je pensais d’abord que Cynthia serait excitée de voir deux mâles se branler l’un à côté de l’autre, et je me disais  » chic cela m’éviteras d’avoir à m’envoyer Pierre « , mais je compris vite mon erreur, il ne s’agissait pas de cela ! Lorsque Pierre mit la main à l’emplacement du sexe de Tony, celui-ci devint blanc, vert, je ne sais plus trop, mais il n’avait plus la bonne couleur.

– Euh, c’est pas trop mon truc !
– Justement, laisse toi faire, ce sera encore plus excitant ! rétorque Cynthia

C’est ce qui s’appelle avoir réponse à tout. Malgré tout, je trouve ce genre d’attitude particulièrement gonflée. Je n’ai aucune idée des statistiques mais il me semble tout de même que dans 90% des cas, ce genre d’approche est condamné au fiasco (allant du refus poli, jusqu’à la réaction d’humeur) Et voici que Tony abat plutôt gauchement une nouvelle carte.

– Je ne suis pas très en forme, je suis désolé, mais je crois que j’aurais besoin d’un petit truc… Si vous aviez une aspirine…

Non ! Il ne va pas me faire ça ? Je me sens remontée à bloc ! Je n’ai pas du tout envie qu’il me foute en l’air cette soirée si bien commencée. J’interviens brusquement :

– Je crois en effet qu’il a besoin d’une aspirine, et après, il va être en super forme, il va pouvoir vous offrir un super spectacle.

Tony ne comprend plus ! Il me regarde avec un air de chien battu. Il a l’air de vouloir me dire :  » je lance un appel au secours, et toi tu m’enfonce !  » Je soutiens son regard. Il cherche quelque chose à dire. Vite ! Intervenir ! Eviter qu’il ne dise quelque chose d’irréparable. Qu’il se taise ! Je lui attrape la main, je le tire, je l’entraîne dans la salle de bain. Les deux autres en reste ébahis !

– Ne vous inquiétez pas, on revient tout de suite… et en superforme !

Le Tony tente de balbutier quelque chose !

Tais-toi, je t’en pris, Tony ! Tais-toi !

Puis je le regarde dans les yeux, le plus durement possible :

– Ecouté pépère ! Tu m’avais promis d’être sage ! Alors je te le répète une dernière fois, tu ne va pas me gâcher pas ma soirée, sinon ça va aller vraiment très très mal !
– Je ne …
– Parle doucement s’il te plait !

Il chuchote à présent !

– Tu ne m’as pas dit qu’il faudrait que je fasse le pédé !
– Tout de suite les grands mots, ça ne te gène pas pourtant de garder certaines photos sur ton disque dur !

Du coup, il bredouille, j’enfonce le clou !

– Et la perspective de caresser les nichons de Cynthia, ça ne motive pas ?
– Bon t’as gagné pour ce soir, mais il faudra qu’on en reparle, je ne t’ai jamais vu comme ça ?
– D’accord on en reparlera ! Allez, viens ! Fais-moi un bisou !

Tony me fait un petit bisou, je lui demande de m’en faire un mieux que cela, il s’exécute !

– C’est bon, passe-toi l’eau sur le visage et on retourne à côté !

Tony a manifestement décidé de jouer le jeu, et c’est tout sourire qu’il débarque dans le living

– Ca va mieux ? lance Cynthia, goguenarde
– C’était juste un coup de chaud, un peu de flotte, ça va déjà mieux.
– On reprend là, où on en était resté ?

Sans rien dire, Tony, se rassied sur le canapé, je le sens tout de même un peu fébrile. Pierre lui remet la main au sexe, celle resté libre tentant de redonner vigueur à son propre membre qui pour l’instant est quelque peu débandé. Cela m’amuse d’observer le regard de Tony qui n’en peut plus de regarder le corps de Cynthia mais qui de temps en temps louche sur la bite de son mari. C’était bien la peine de nous faire toute cette comédie !

Pierre tire alors sur le bermuda de mon époux, le slip suit le même chemin. Et voici mon Tony, la bite à l’air en train de se faire branler par un autre homme, et ça m’excite, ça m’excite, je suis comme au spectacle, j’attends la suite ! Et pourquoi comme au spectacle, je SUIS au spectacle ! Je me surprends à me toucher le minou d’une main, l’autre caressant chastement la cuisse de Cynthia. Cette fille à la peau d’une incroyable douceur. Du velouté de chez velouté ! Elle ne me fait rien en retour, ça ne m’étonne qu’à peine, c’est le genre  » je fais ce que je veux quand je veux ! « . Bon alors cette suite ? Si seulement Tony pouvait participer un peu plus. Ce que j’aimerais le voir avec une bonne pine dans la bouche. Et pourquoi pas avec une pine dans le cul ! Mais voilà que je mouille, à fantasmer et à essayer d’anticiper les événements.
Pour l’instant, on n’en est pas là, Tony se fait toujours branler par le mari de Cynthia, il ne prend aucune initiative, peut-être faut-il le pousser un petit peu, oui c’est ça, poussons-le un petit peu :

– Tony ! Branle un peu Pierre, il ne demande que ça ?
– A bon ! Tu… veux ? Demande-t-il à ce dernier ?

L’autre à la bonté de ne pas sourire à cette question qui allait de soi et lui répond par un sourire d’invitation. Tony attrape donc la queue de l’homme et la branle à son tour. J’ai du mal à rester tranquille. Si ces messieurs vont plus loin je vais craquer. Mais je veux qu’ils aillent plus loin. Pierre ne tente rien, ce n’est pas Tony qui va le faire ! Et si j’osais ? J’ose !

– Suces-le, Tony !

Je n’en crois pas mes yeux, l’excitation change décidément beaucoup de choses. Un regard interrogateur de Tony vers Pierre. Ce dernier qui approuve. Et hop ! Voici mon mari en train de faire des bisous sur la bite du compère ! Ce n’est pas vraiment une fellation, mais ça en prend le chemin. J’ai vraiment l’impression qu’il a envie de la sucer, mais il tarde à franchir le pas. Il promène ses lèvres sur la hampe, s’égare un moment sur ses testicules glabres, mais ne s’y attarde pas, il remonte la hampe toujours en se contentant de faire bisous-bisous. Il arrive au gland, il est beau ce gland ! J’espère que je pourrais en profiter tout à l’heure même si ce n’est pas mon principal sujet de préoccupation ! Il l’embrasse.

Je jette un très bref coup d’œil vers Cynthia à qui je caresse toujours la cuisse, elle a les yeux écarquillés, les doigts sur ses bouts de seins qu’elle se tortille ! Quelle santé !

Tony a progressé dans ses mouvements d’approche et se sert maintenant de sa langue, il lèche cette bite partout, laquelle réagit fort bien en se tenant très droite. Du coup le gland est encore plus beau, lisse, violacée, brillant, arrogant, une merveille ! Comment va faire Tony pour ce priver encore plusieurs secondes d’un appendice aussi mignon, aussi trognon, aussi érotique ? J’ai envie de l’encourager d’un « aller Tony ! » Mais je ne tiens pas non plus à être ridicule ! Tony écarte un moment son visage de la pine de son partenaire, mais sans la lâcher, il la regarde, semble se décider à prendre une décision et tout d’un coup plonge la bouche ouverte, gobe le gland, le garde quelques moment en bouche sans aller plus loin, le travaillant probablement de la langue, puis commence la fellation en règle. Je n’en peux plus, je mouille comme une folle. Il me paraît impensable de rester sur ma chaise à ne rien faire. Je regarde à nouveau Cynthia, mais elle semble avoir oublié ma présence. Je ne sais pas quelle initiative prendre ? Alors comme une conne je n’en prends pas. ! Il faut savoir se tenir chez les gens, et je me caresse le minou toute seule comme une grande fille.

Au bout de… (Au bout de je ne sais pas combien de temps, difficile de compter dans ses moments-là). Pierre fait signe à Tony d’arrêter. Puis il change de position, Je crois deviner qu’ils vont intervertir les rôles. Mais pas du tout. Pierre se met à quatre pattes et cambre les fesses devant Tony ébahi !

– Suce mois le cul !

Mais ça va pas la tête ! Il en demande de trop ! Faut tout de même pas exagérer ! Ils cherchent l’incident ou quoi ? Toute cette affaire va se terminer en nœud de boudin, mon excitation est partie je ne sais pas où et par réflexe, j’en suis déjà à regarder ou j’ai mis mes affaires. Il faudra bien que je les récupère quand nous allons partir en catastrophe dans les secondes qui vont suivre. Je cherche le regard de Tony qui m’adresse un signe que je ne saisis pas bien : Sourire ? Grimace ?

Et me voici clouée sur ma chaise ! Je ne comprends plus ! Je suis abasourdie ! Tony après avoir fais quelques chastes bisous sur les fesses du monsieur est en train de lui faire une véritable feuille de rose. A un mètre de moi la langue de mon mari virevolte à l’entrée de la cavité anale d’un mec !

Comme dirait le penseur de Rodin « Heureusement que je suis assis(e) ! »

Mais ce n’est pas tout, j’ai cru un moment qu’il faisait cela par bravade, il en serait bien capable, non pas du tout, il bande comme un cerf de compétition ! Qu’est ce qu’elle est belle sa bite en cet instant ! Qu’est ce que je l’aime mon Tony en ce moment, j’en ai presque les larmes aux yeux ! Et puis le bouquet, j’entends la voix de Pierre demander :

– Ca t’embêterais de m’enculer !

Cette fois, il demande, la pratique est donc facultative, il va pouvoir refuser et on va passer à autre chose !

Mais voici que Tony se revêt le sexe d’un préservatif sortit de je ne sais où ! Ce n’est pas vrai, il va le faire ! Mon Tony, mon nounours qui va sodomiser un mec ! Non, je ne veux pas le croire. Mais si ! Et l’introduction s’est passée fort vite. Il l’encule ! Il le sodomise, il lui fout sa bite dans le cul ! Pincez-moi, je rêve ! Et puis cette pensée farfelue qui me traverse l’esprit « Ce serait encore plus excitant si les rôles étaient inversés » Tony n’en peut plus, je me demande avec inquiétude s’il se rend compte de ce qu’il fait, si après la jouissance il va pas nous faire le coup de la repentance ! On va bientôt savoir ! Dans l’état d’excitation où il est, il ne devrait pas tarder à jouir.

Et c’est à ce moment là que j’entends un cri ! Ce n’est pas Tony, non c’est à côté de moi Cynthia qui s’est fait jouir, qui a gueulé comme une damnée et qui est maintenant pantelante sur sa chaise. Elle me sourit ! Chic elle me sourit ! Je souris à mon tour, elle est aux anges la Cynthia ! Et que ma modeste personne et mon nounours de mari contribuent à sa félicité présente me comble d’aise !

Un grognement ! C’est justement le nounours qui vient de jouir dans le cul de l’autre zouave. Il se retire, j’appréhende sa réaction. Non ! Ca à l’air d’aller ! Il se rassoit assez épuisé !

– Ca donne soif toutes ces conneries !
– Et tu voudrais pas qu’on inverse les rôles ? lui demande Pierre

Ben voyons ! Je la sentais venir, celle-là !

– Tout à l’heure peut-être ? On verra, pour l’instant je boirais bien un petit coup !

C’est vrai ça ! Il serait peut-être temps de nous servir l’apéro, ils ne vont pas le faire mourir de soif mon Tony.

Cynthia se lève assez mollement de son siège ! Qu’est ce qu’elle est belle, je ne me lasse pas de la regarder :

– On a du champagne, tout le monde en prend ? Sinon, il a du whisky !

Non, tout le monde opte pour le champagne, je suis sûr qu’il sera bon et c’est autrement plus désaltérant que le whisky !

Cynthia va chercher la bouteille, les coupes ainsi qu’un plateau de machin-bidules pour l’apéro. Je reconnais bien là l’humour alimentaire de certains bourgeois. Le champagne doit être cher, voire très cher, mais pour ce qui est des petits gâteaux, on fait dans le très ordinaire !
On lève nos verres !

– Aux vacances ! Dira simplement Cynthia.

Aucune allusion vaseuse, je n’en reviens pas !

– Avec tout ça je n’ai pas joui ! Dira Pierre, se tenant son sexe maintenant à demi débandé !
– Et alors ? C’est ton problème le nargue sa femme.

Il se passa alors quelque chose d’inimaginable, Pierre de quelques mouvement de masturbation fit rebander correctement son membre, il lance alors à la cantonade :

– Si quelqu’un veut sucer quelque chose de salé avec l’apéritif ?

Je me dis c’est le moment d’y aller, et je m’approche de lui afin de mettre cette belle pine dans ma bouche ! Mais Tony m’a devancé ! Non je ne rêve pas, Tony m’a devancé et il est en train sans hésitation cette fois si de tailler une pipe à notre hôte. Je me positionne à côté de mon mari.

– Je peu goûter ?
– Vas-y

Je gobe à mon tour la bite du mari de Cynthia. Que c’est agréable, c’est vrai que je n’en ai pas sucé des centaines des bites dans ma vie, je manque donc d’éléments de comparaison, mais celle ci me semble fort correcte. J’avais cru que Tony m’avait cédé la place, non il attend. Mais il m’énerve, je la garde cette bite, qu’est ce qui lui prend ce soir, après avoir joué les vierges effarouchées voilà qu’il fait dans la surenchère. Mais non, il y a peut-être moyen de s’arranger. Alors libérant la pine de ma bouche je lui agace le gland de ma langue légèrement sur le côté, laissant la place à mon mari de faire de même du sien. Sous l’action de cette double caresse, Pierre ne tardera pas à éjaculer, nous projetant sa semence sur nos visages.

– BRA-VO ! Scandera Cynthia avec un enthousiasme qui faisait tellement plaisir à voir, que je me jetais dans ses bras.

Nous nous étreignons tendrement. On me tape sur l’épaule ! C’est Tony.

– Et moi alors ? dit-il hilare.
– Mais non je te ne t’oublie pas mon biquet ! Et je l’étreins à son tour.
– Allez, on se ressert une coupe et après on se met à table ! La soirée n’est pas terminée ! Ce soir Cynthia reçoit !

FIN ( ? )
© Hélèna Sevigsky
helenesevigsky@hotmail.com
Première publication sur Vassilia, le 10/03/2001

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3 réponses à Un petit coup de vent malicieux 2 – Cynthia reçoit par Helena Sevigsky

  1. Olive dit :

    Cynthia mène la barque et elle la mène fort bien

  2. Keitel dit :

    superbement bien torché

  3. muller dit :

    Même si le déroulement est très prévisible, il faut bien reconnaître que c’est bien amené !

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