Un dîner mondain Par Macha

…Je pensais faire carrière dans l’hôtellerie …
Mais une petite aventure m’a fait changer de voie …

J’avais répondu à une annonce pour servir à table dans un dîner mondain. Je sortais de l’école hôtelière et je pensais que c’était un moyen de me « faire la main ». Je me retrouve un soir à sonner à la porte d’une maison un peu isolée. J’étais venue en scooter. Je me dis que ces gens-là doivent avoir de l’argent, vu le standing de la maison et les voitures de luxe devant la porte. Je sonne donc, une employée de maison m’ouvre la porte. Elle me fait entrer. J’entends des voix d’adultes dans le salon. Je me dis que les invités ont du commencer l’apéritif. Elle me fait entrer dans un bureau et me dit que « le Maître » va venir tout de suite.

Il arrive, la quarantaine, cheveux poivre et sel, barbe, carrure assez importante. Il m’accueille d’un sourire bienveillant.

Il me fait asseoir et commence à me parler de mes gages, de ce que j’aurais à faire et il prend des infos pour remplir ma fiche de paie. Tandis qu’il parle, je réalise que, derrière lui, il y a une petite fenêtre donnant sur une chambre. Dans cette chambre, j’ai la stupéfaction de voir deux femmes qui font l’amour ensemble. Elles sont comme folles, l’une et l’autre, se broutent le minou, se godent avec toutes sorte d’objets. Tandis qu’il me parle, je n’arrive pas à détacher mes yeux de ce spectacle et je sens mon sexe s’inonder. L’homme ne semble pas s’en apercevoir. Il me dit que je devrais mettre une tenue de « soubrette », qu’une servante va me donner. Il aimerait aussi que je l’appelle « Maître » devant ses invités. J’acquiesce à tout ce qu’il dit, trop occupée à cacher le désir qui m’envahit.

Il me fait sortir, j’ai juste le temps de voir qu’une des femmes, dans la fenêtre, est en train de manger la chatte de l’autre, à quatre pattes devant elle, lui offrant son postérieur. Une jeune servante, très jolie, me demande de la suivre. J’arrive dans une pièce. Il y a un jacuzzi au milieu. Elle me dit de me déshabiller et de prendre un bain, avant de me changer. Le Maître l’exige. Je suis très étonnée par ces demandes. Mais je m’exécute. Je me déshabille, un peu gênée d’être devant cette fille, d’autant plus que ma petite culotte est toute mouillée. Je me plonge dans le bain. La servante me dit qu’elle s’appelle Nelly. Elle s’approche et sans me demander quoi que ce soit, se met à me savonner le dos. C’est bon, je ferme les yeux, je suis si bien. Ses mains vont et viennent sur ma peau. Le savon glisse bientôt sur mes reins, puis mes fesses. Je me mets à genoux pour lui faciliter la tache. Sa main savonne mes deux fesses, les écarte pour aller à l’intérieur. Le contact du savon sur mon petit anus me fait comme une décharge. Elle s’attaque maintenant à mes cuisses. Je sens à nouveau le désir me gagner. De sa main, elle m’écarte plus encore les cuisses. Je me laisse faire. Puis sa main armée du savon remonte jusqu’à mon sexe. Elle passe alors le savon sur ma fente humide. Je ne peux m’empêcher de gémir de plaisir. Elle continue et, subitement, sans que je sache si elle l’a fait exprès, je sens son pouce glisser dans ma chatte. Elle s’excuse et se retire. Je voudrais tellement qu’elle recommence, ma fente est en feu mais je n’ose pas lui demander. Elle me savonne alors les seins, en restant derrière moi. Je gémis de plus belle, tandis qu’elle me titille le bout des seins. C’est une sensation tellement exquise. Ses mains redescendent vers mon sexe et caressent ma petite chatte qui n’en peut plus. Je me frotte dans ses mains. Avec le savon, elle m’écarte les grandes lèvres, puis les petites. Puis je sens le savon s’introduire dans mon trou, comme un gode C’est divin, j’ai envie de hurler à ce moment là, j’ai comme des frisons. Je commence à onduler des fesses autour de ce savon qui pourrait me procurer tellement de plaisir. Mais subitement, elle le retire en disant:

– « Si le maître nous voyait ! »

Elle se dépêche de me rincer. Elle prend la douche et la passe sur mon corps. Quand le jet atterrit sur ma chatte, titillant mon clito, je suis au bord de l’orgasme. J’ai l’impression que des dizaines de doigts me caressent. Mais Nelly arrête et entreprend de me faire sortir du bain. Elle me sèche chaque partie du corps, tamponnant ma chatte. Je la supplie de me satisfaire, mais elle refuse: si tu savais tout ce qui t’attend. Ne sois pas trop gourmande, me prévient-elle. Elle sèche mes seins gonflés de désir avec une infini douceur. Je suis au supplice.

Puis elle m’affuble d’un string trop petit pour moi, qui me rentre dans la fente (mais je ne m’en plains pas !) et d’une robe très moulante. Alors elle me dit de descendre et d’aller servir le Maître. Il n’aime pas qu’on soit en retard et j’ai déjà dix minutes de retard. Il risque de me punir. Avant que je parte, elle prend ma main et la glisse dans sa culotte. Sa chatte est trempée. Je glisse un doigt dans son vagin tout doux et je commence à la doigter Elle gémit, fait pénétrer sa langue dans ma bouche, puis me supplie de descendre. Nous nous reverrons avant mon départ.

C’est le sexe trempé et tout gonflé dans ma petite culotte trop serrée que je me rends au rez-de-chaussée où le Maître et ses invités m’attendent. J’étais toute tremblante de désir…

Fin

Macha

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2 réponses à Un dîner mondain Par Macha

  1. Bitos2 dit :

    Bon début, mais nous aurions aimé que cela continue et que la narratrice s’en aille sucer la bite du maître de maison et plus si affinité

    • Eddy dit :

      Ben oui c’est frustrant mais si quelqu’un veut écrire la suite que l’auteur (l’auteure, l’autrice, on finit par plus savoir) ne nous a jamais adressée, il sera le bienvenu

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