Un couple volontaire par Bibilove

Un couple volontaire
par Bibilove


Nous sommes Joëlle et moi un couple de jeunes trentenaires dans la force de l’âge. Ensemble depuis maintenant dix ans, nous pratiquons depuis trois ans l’échangisme dans des clubs de notre région ou directement avec un ou plusieurs couples lors de soirées privées.

Nos physiques plutôt avantageux font que nous sommes sollicités par les libertins en tout genre. Joëlle, 33 ans et une grande brune d’1 mètre 75. Ses seins généreux sont toujours mis en valeur soit par de amples décolletés, soit par sa chute de rein qui me fit faillir lors de notre première rencontre. Ses fesses sont parfaites (enfin selon moi). Légèrement rebondi mais pas trop ferme, son cul a été fracassé plusieurs fois par les bites les plus ardues mais ses fesses restent fidèles à elles-mêmes, douces et accueillantes. Son visage aux lèvres pulpeuses et aux yeux en amande ont toujours fait de moi, le plus heureux des hommes.

Quand à moi, sportif à mes heures perdues, je me maintiens bien et suis légèrement musclé avec un torse légèrement en V. Mais ce qui plait le plus à ces dames (et messieurs), c’est mon sexe fier et droit de 22 centimètres et qui en a fait craquer plus d’une (et d’un). Joëlle adore jouer avec et ne prend jamais vraiment son pied sans mon vit planté jusqu’à la garde dans ses entrailles, au plus profond de son cul. Alors je commence de longs va-et-vient rapides jusqu’à ce qu’elle cri comme une chienne en chaleur et que j’explose en elle. Souvent, elle s’épanche alors au dessus de ma bouche et j’aspire ma propre semence. Puis, nous nous étreignons dans un long baiser crémeux.

Le libertinage nous à aussi fait découvrir nos penchants bisexuels. Ce fut lors d’une soirée avec un couple anglais. L’homme de ce couple s’était mis à me lécher la bite sans crier gare alors qu’il défonçait la moule de ma femme, qu’elle me suçait et que sa propre femme me mangeait l’oignon. A ma grande surprise, je l’avais laissé faire tellement j’aimais ce qu’il me prodiguait. Il m’avait alors sodomisé sous le regard de Joëlle qui se faisait lécher la chatte par l’anglaise. Je l’avais ensuite sodomisée alors que son mari enculait ma Joëlle.

Joëlle étant une fan des gangs bangs (auxquels je participais également), je m’étais mis en tête de subir moi-même ce genre d’assauts d’hommes en rut. J’étais devenu un fan de la pine, que ce soit dans la bouche ou dans mon cul. Depuis ma rencontre avec le couple anglais, j’avais pris un paquet de queues dans mon fondement, de toutes les tailles, de tous les diamètres et de toutes les couleurs.

Nous avons donc décidé avec Joëlle d’organiser un gang bang en couple, chacun se faisant démonter l’un à côté de l’autre. Nous avions ainsi convaincu 8 hommes, tous avec des pines d’au moins 18 centimètres, de venir à notre club favori un soir de semaine. Une salle nous avait été réservée à cette intention.

Le grand soir était donc arrivé, j’allais déguster car je voulais avoir chacune de ces 8 grosses queues dans ma bouche et mon cul au moins une fois. De ce côté-là, je n’allais pas être déçu. Nous entrons donc Joëlle et moi dans la salle réservée et les 8 hommes étaient déjà là et complètement nu. Se trouvait un jeune homme de 25 ans avec une longue pine fine et des abdos d’enfer. Un gros black se tenait près de nous et son pieu était si gros que je ne pensais même pas être capable de le mettre en bouche. Les autres étaient des hommes d’une quarantaine d’années avec de belles bites.

Nous nous sommes alors soumis aux volontés de ces hommes. Trois d’entre eux s’approchèrent de Joëlle et ils la tirèrent vers une couche pour lui défaire ses vêtements. Je voyais alors ses seins à l’air avec ses tétons de dressant fièrement. Le plus jeune d’entre eux vient alors lui coller la bite à son visage et Joëlle se précipita pour lui gober son gland turgescent. Joëlle a toujours était une gourmande. Elle commença ses mouvements de pompage en faisant de long-aller retour avec sa bouche fermée autour de la verge de l’homme. Elle aimait faire des gorges profondes et je ne m’en plaignais pas. Un autre homme s’approcha à son tour, la bite en avant.

Mais à peine ai je eu le temps de voir Joëlle se saisir de cette deuxième bite, que le grand homme black me fis me mettre à genoux et m’ordonna de le pomper. Je ne me fis pas prier. Je saisi son énorme pieu (24 centimètres) avec ma main et commença à le branler. Je le décalottai et fus surpris par le fumet délicat de ce pieu d’ébène. Trouvant surement que je devais être lent, il me saisit la tête avec ses deux mains et m’enfonça sa bite dans la bouche jusqu’à ce qu’elle vienne buter contre ma trachée. Il me retira et me sourit en m’indiquant qu’il souhaitait tester la profondeur de ma gorge. Il rit. Les deux autres hommes se sont rapprochés et ont à leur tour demandés à se faire pomper le dard.

Je m’y attelai de ce pas. Je jouais avec ma langue avec chacune de ces bites. J’avais une bite dans chaque main et une dans la bouche. J’alternais les queues, passant de l’une à l’autre quand l’un des hommes me tirait vers lui. Certains me baisaient la bouche en me tenant la tête avec leurs mains. Il passait chacun leur tour de ma bouche, ma main à celles de Joëlle. Je prenais aussi deux pines dans la bouche en même temps. L’un me força à lui gober les testicules. Je lui léchais les bourses pendant qu’un autre forçait Joëlle à lui faire une longue gorge profonde. Et c’était le grand black qu’elle suçait !

Me vint alors l’idée de nous réunir Joëlle et moi. Les 8 hommes se mirent en cercle autour de nous. Nous courions d’une pine à l’autre au bon désir de ces messieurs. Nous avions toujours nos deux mains sur deux queues différentes et une autre dans la bouche. Soudain l’un d’eux émettra un bruit rauque. Je compris qu’il allait jouir d’un instant à l’autre. Le problème était que Joëlle pompait déjà le dard de cet homme. A ce bruit je me précipitai vers lui. Joëlle comprit, elle sortit la pine de l’homme de sa bouche, me laissait la place. Elle se mit alors à masturber cet homme au bord de la jouissance tandis que je gobais son gland avec mes lèvres. De violents jets de sperme m’atterrir au fond de la gorge et je bus ce nectar jusqu’à la dernière goutte.

Joëlle et moi avons procédé de la sorte pour chacun des sept autres hommes. J’avais toujours aimé le sperme et me régalais à chaque fois qu’un homme me jouissait dans la bouche, surtout lorsque sa pine sortait directement de mon fondement.

Afin de récupérer, les hommes commencèrent à profiter du corps de ma Joëlle. Ils lui tâtaient ses seins, lui lécher les tétons. Elle se faisait aussi lécher sa chatte qui commençait à sérieusement mouiller. Un autre homme lui mettait des doigts dans le cul et la forçait à les lui lécher. Alors, elle réclama qu’une pine, et une grosse, vienne la démolir. Un homme s’approcha d’elle et l’embrocha violement. Il la souleva de la couche et embrocha sur son vit. Il commençait à la démonter debout, elle agrippée à ses épaules. Elle mouillait tellement que de la cyprine se répandait sur le sol.

Un autre homme vient alors se placer derrière elle. Elle lui présenta sa rosette et l’homme lui mit un doigt dans le cul. Immédiatement il en mit en deuxième puis il prit sa bite en main et embrocha pour la seconde fois Joëlle. Elle était aux anges, la double pénétration était sa position favorite. Les deux hommes y allaient franchement. Il la soulevait à deux et la relâchait. Elle coulissait alors sur les deux grosses queues jusqu’à la butée. Puis chacun leur tour, il la pistonnait. L’homme se retira de son cul, remplacé immédiatement par un autre. Celui qui venait de sodomiser ma compagne approcha sa bite de moi et me dit de le sucer et de bien gouter au cul de ma femme. Je ne me fis pas prier et le pompa comme si je m’étais abstenu depuis un siècle. Un autre homme me dit de me mettre à quatre pattes. Il se plaça derrière moi, se mouilla le doigt et l’enfonça dans mon cul. Je lui dis d’y aller directement, que j’adorais me faire déchirer l’anus. Je sentis alors sa queue entrer petit à petit dans mon cul. Il resta planté là, à me regarder sucer la bite d’un homme et ses copains qui se relayait pour baiser ma femme, chacun dans un trou et chacun me présentant sa bite à sucer après l’avoir fourré bien profond dans le fondement de Joëlle. Joëlle se faisait d’ailleurs à présent prendre en sandwich sur la couche, en levrette ou de face. Et elle criait. Ces cris étaient de temps en temps interrompu par une bite qui venait lui remplir la bouche.

L’homme planté dans mon cul commença alors de petits va et vient puis très vite, il accéléra afin de prendre de l’élan et de bien m’enculer. Ca me brulait le cul mais dieux que c’était bon. Je jouissais du cul. Il accéléra encore la cadence et lâcha la purée au fond de mes entrailles. Je me levai alors d’un coup et vient présenter mon cul au dessus de la bouche de Joëlle. Le sperme de l’homme coulait alors directement de mon cul. Elle adorait ça.

Nous nous sommes alors mis face à face en levrette. Nous ne faisions alors chacun sodomisait mais nous embrassions comme des amants juste retrouvés. Les hommes tournaient à tour de rôle dans nos culs. Nous nous partagions une ou deux bites ma femme et moi et nous les sucions avec envie. De temps en temps, nos fesses recevaient de franches claques ce qui renforçait mon faible penchant de soumis. Les hommes lâchaient chacun leur tour leur sperme dans mon cul (c’était la consigne du soir). Mais je gardai le sperme de chacun des huit hommes dans mon cul. Lorsque le dernier eut vidé ses bourses, Joëlle passa derrière moi. Elle aspira tout le sperme mis me fit un long baisé et nous nous partageâmes la semence.

Les hommes nous quittèrent ravis. Je n’avais toujours pas joui. Joëlle le savait très bien. Elle se mit alors à genoux et me pompa le dard avec sa grande bouche pulpeuse. Elle gardait mon membre dans bouche et bougeant sa langue autour de ma hampe. Elle me fit alors m’allonger sur le dos, la bite dressée. Elle vient alors s’empaler le cul sur ma bite et remontait à l’aide de ses jambes. Je me faisais masturber par son cul. Puis elle s’assit, ma queue complètement dans son fondement. Puis elle se mit en levrette et me dit de la prendre comme une bête. Je mis alors ma bite dans son con brulant et la démonta. Je jouis puissamment. Elle mit alors sa chatte sur ma bouche et m’ordonna de la nettoyer.

Le sperme que je préfère, c’est le mien…

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Une réponse à Un couple volontaire par Bibilove

  1. Baruchel dit :

    Des légos qui s’emboitent, un auteur qui a beaucoup d’estime pour lui même et pour sa bite dont il connait la dimension par cœur.
    Malgré deux ou trois descriptions pas trop mal foutues , je n’aime pas trop ce texte

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