Un après midi inattendu par Fred02

Un après midi inattendu par Fred02

Cette histoire se déroule par un dimanche d’été ensoleillé comme d’habitude dans le midi et, mon amie m’a invité à passer la journée dans la maison de campagne de ses parents. C’est une grande propriété avec une piscine dans le jardin à notre entière disposition. Je suis très impatient de retrouver Cécile, mon amie avec qui je sort depuis six mois, elle est blonde, 30 ans, 1m 60 environ, a de jolies seins, de belles fesses, et elle est toujours prête quand il s’agit de se faire baiser, c’est une chaude, elle adore faire l’amour. Je roule en voiture pour la rejoindre et de penser à la journée (cochonne) que j’espère passer avec elle, une érection monte en moi. J’arrive devant la maison, sonne et Cécile vient m’ouvrir. Elle est entourée dans une serviette de bain car elle se faisait bronzer au bord de la piscine et ne m’attendait pas de sitôt. Elle m’embrasse fougueusement, surprise que je sois déjà là, recule de quelques pas et enlève sa serviette. Elle me dit:

– Tu as vu, je me suis rasée le minou. C’est excitant hein ?

… et elle part dans un grand éclat de rire. Elle prend sa serviette dans la main et me guide vers le jardin. Elle traverse la maison et je la suis. De voir ses fesses s’agiter devant moi, j’en suis tout excité. Quelle déception lorsque j’aperçois sa copine Sylvie au bord de la piscine. Moi qui croyais passer un après midi à baiser, c’est foutu. Bon, cela ne servirait à rien de faire la tête. J’y fait la bise, discute un moment, puis je rentre dans la maison pour enfiler mon maillot de bain et reviens pour faire un plongeon dans la piscine où les filles me rejoignent. On se baigne pendant un petit moment, puis la faim se faisant sentir, nous sortons de l’eau pour passer à table. J’en profite pour jeter un oeil coquin sur Sylvie. Elle est vêtue d’un maillot de bain une pièce noir bien échancré qui lui va très bien. Sylvie a 35 ans, elle est brune et assez grande (1m 70). Je devine sous son maillot une paire de seins très volumineuse. On boit quelques apéritifs, et le repas étant prêt, on passe à table. On discute de tout et de rien et Sylvie qui est mariée nous dit que son mari la délaisse souvent le week-end, prétextant travailler, son fils est chez les grands-parents, et, étant seule, Cécile lui avait proposé de passer la journée avec nous. On termine le repas, les filles sont un peu pompettes car on a copieusement arrosé le repas. Cécile nous sert un digestif, puis un second, tous ses mélanges d’alcool nous montent à la tête. Nos discussions sont des délires de plus en plus dirigées sur le sexe, de grands éclats de rire ponctuent celles-ci. Tout à coup, Cécile, toujours nue pour bien bronzer comme elle dit nous lance:

– Eh bien, pourquoi vous ne vous mettez pas tout nu ? C’est super, l’air est chaud et on bronze bien !

Sylvie et moi étant un peu gênés, Cécile insiste fortement. Alors Sylvie se lève et fait rouler son maillot jusqu’aux hanches. Je vois une paire de seins énormes (au moins un 100 C) et je rentre dans une terrible érection mais assis à table, cela passe inaperçu.

– T’as vu ces gros seins Fred, je suis ridicule à côté avec mon 90C, elle doit être bonne pour la branlette espagnole.

Les filles rient et moi je fantasme à la vue de ses deux énormes obus. Sylvie tire la chaise pour se rasseoir, et Cécile lui dit:

– J’ai dit à poil, complètement à poil.

Elle se redresse et laisse glisser le maillot jusqu’à ses chevilles. Elle a une petite chatte brune, un triangle d’amour épilé à la perfection.

– Dis moi Fred, elle est vraiment bien foutue ma copine ? Me demande Cécile à qui je réponds par l’affirmative.

Alors Sylvie me regarde d’un air qui en dit long, me tape sur l’épaule et me dit :

– A ton tour maintenant

Je suis un peu gêné car je bande énormément, mais je me lève et les deux filles voient alors la bosse que fait mon maillot de bain. Elle ne décolle plus leurs yeux de mon maillot que je descends, laissant sortir mon sexe dressé à la verticale. Un court silence règne dans le jardin, les filles me regardent avec des yeux brillant d’envie, je suis vraiment gêné, nu au milieu de deux filles. Cécile pose sa main sur ma queue, commence à me branler lentement et dit :

– Regarde Sylvie comme il est en forme, mon homme, tu lui fais de l’effet.

Elle rit, me regarde avec son regard vicieux et cochon qui en dit long, se penche vers moi et commence à m’embrasser le gland, à l’agacer avec sa langue. Elle la fait parcourir sur toute la longueur de ma tige puis elle prend mon sexe entier dans sa bouche, lui fait faire des va-et-vient entre ses lèvres, tout en jouant de sa langue autour de mon gland sous le regard admiratif de Sylvie. C’est vraiment génial. On entend plus que des bruits de succions provenant de la bouche de Cécile et des râles de plaisir que je pousse. Tout à coup, surprise, une main me malaxe les couilles avec application. Ce n’est pas Cécile qui a une main occupée sur ma queue et l’autre entrain de se titiller le clitoris mais bien Sylvie qui est assis derrière moi. Cécile arrête de me sucer et me dit:

– Mon chéri, j’adore sucer ta grosse queue mais je crois que Sylvie veut essayer aussi.

Je me retourne d’un quart de tour et fait face à Sylvie. Je me masturbe tout en approchant mon sexe de son visage. Pas du tout intimidé, elle me branle un peu et avale ma queue sur toute sa longueur. Elle serre bien ses lèvres autour de ma bite et la fait aller et venir dans sa bouche en me masturbant avec ses deux mains. Cécile qui nous regarde dit d’un ton ironique:

– Il faut avoir une grande bouche pour sucer une queue aussi raide, n’est ce pas?

Sylvie approuve par un hochement de tête, me plaque la bite sur le ventre et commence à me lécher les couilles puis me dit:

– Hummmmm…. elle est belle ta queue !

Ne voulant pas en rester là, je suis excité comme ce n’est pas possible, j’attrape Cécile et Sylvie par le bras et me dirige sur la pelouse où il y a des matelas pour bronzer. Je m’allonge dessus, la queue toujours bien dressée et leur dit:

– Allez les filles, vous me sucez tellement bien la bite, vous n’allez pas me laisser dans cet état.

Elles s’allongent sur le matelas, une fille de chaque coté de mon sexe et recommencent à me sucer de plus belle. Cécile me suce la queue, me lèche le gland, lui donne des petits coups de dents tandis que Sylvie s’acharne sur mes couilles, elle les aspire, les fait rouler sur sa langue. C’est la première fois que j’ai deux filles qui me sucent en même temps, c’est vraiment le pied. Je caresse l’entre cuisse de Cécile et remonte vers sa chatte qui est trempée. Je la caresse, introduit deux doigts dans son vagin, tourne et retourne les doigts le long de ses parois et lui masturbe son clito dans un bruit de mouille impressionnant. Elle doit se régaler, ma petite cochonne de fiancée. Je la tire vers moi pour la positionner à quatre pattes au dessus de moi. Je lèche sa chatte sans poil qui mouille maintenant abondamment. Ses lèvres sont écartées, luisantes de mouille et laisse apparaître un clitoris énorme, bandé comme je ne l’avais jamais vu en six mois. Sylvie a maintenant ma queue en bouche, elle la fait coulisser entre ses lèvres, roulant sa langue sur le gland tout en me massant les couilles de ses petits doigts agiles. Cécile nous fait profiter de son plaisir:

– Aaaahhhh, oui c’est bon, j’aime quand tu me lèche la chatte, vas-yyyyyy…

Sylvie me suce comme une déesse et je ne vais pas tarder à venir alors je me dégage en basculant Cécile sur le coté et me lève. Je leur dis:

– Vous allez me faire jouir, bande de cochonnes, je vais vous le donner mon sperme.

Elle se mettent à genoux devant moi et continuent à me sucer énergiquement l’une après l’autre, se passant la bite d’une bouche à l’autre en l’avalant entièrement.

– Aaaaahhh, je viens, ouiiiii c’est boooonnnn.

Cécile me prend la bite dans la main et commence à me branler comme une folle. Je jouis, sous ses coups de poignets, deux puissants jets de sperme asperge le visage de Cécile qui continue à me branler. Sylvie se rapproche de mon sexe en ouvrant la bouche et trois autres jets lui arrivent dessus avalant ce qui lui parvient dans la bouche. Le sperme coule maintenant sur leurs joues, leurs lèvres qu’elles se nettoient en passant leurs langues dessus. Cécile me prend mon sexe plein de sperme dans la bouche, le fait aller et venir trois fois et avale une partie de ma semence puis présente ma bite encore raide à Sylvie qui l’enfourne et finit de la nettoyer. Cécile se lèche la main qui ma gratifiée d’une branlette inoubliable me fait un clin d’œil, prend Sylvie par la main qui me laisse avec ma bite ramollie mais nettoyée et elles partent se jeter dans la piscine. Je préfère pour ma part aller dans la salle de bain et récupérer au calme. Une douche froide en plein été, ça remet d’aplomb. Je passe dans la cuisine et m’assied sur une chaise pour boire une bière. Je pense à l’instant que je viens de passer et je ne sais pas si j’aurais la chance de revivre cela mais elle m’avait vraiment bien sucé ces deux petites garces. Je suis tout propre et désaltéré, je retourne nu dans le jardin en ayant toujours ce merveilleux souvenir dans la tête et là, je reste béat !!!! Les filles sont allongées tête-bêche sur le matelas, Sylvie sur le sol, Cécile dessus et elles se lèchent le minou. A la vue de ce spectacle, mon sexe reprend de la vigueur. Je m’approche et m’allonge entre les jambes de Sylvie et je commence à lécher avec Cécile cette chatte brune déjà bien trempée. Cécile voit que je veux participer aux réjouissances, elle me dit:

– Ah! Tu viens enfin t’occuper de nous, tu en as mis du temps !

Elle se couche sur le côté et me fait venir à elle pour prendre mon sexe en bouche. On est maintenant allongés tous les trois sur le côté formant un cercle sur le matelas, je lèche Sylvie qui butine Cécile pendant qu’elle me suce la bite. J’écarte les lèvres avec les doigts et commence à rentrer ma langue à l’intérieur du vagin me régalant de la cyprine qui coule à flot. Je titille son clitoris, la pince avec mes lèvres, je rentre deux doigts dans son vagin et commence à la masturber. Il n’y a plus un bruit si ce n’est des râles de plaisir et mon sexe me fait mal tellement qu’il est raide est dur. Cécile m’astique le manche comme une folle, elle branle, suce ma queue comme elle ne me l’avait jamais fait auparavant. Sylvie est toute trempée, je décide de pousser plus en avant mes caresses, j’écarte ses deux fesses avec les mains et je passe ma langue sur son anus. Comme réponse, elle me dévoile toute son intimité en écartant grandement les jambes. Je salive sur son petit trou et je présente un doigt devant son orifice. Une légère pression et mon doigt commence à la pénétrer. Je fais des va-et-vient dans son anus qui commence à se dilater. Elle prend son pied, donne de petits coups de reins pour que mon doigt aille plus profond et sa chatte que je lèche avec gourmandise mouille en abondance. Ne voulant pas la faire jouir de suite, je dégage ma tête de son entre jambe et me relève. Les deux filles me regardent d’un air surpris.

– N’ayez pas peur, je vais m’occuper de vous, je vais vous baiser toutes les deux mais pas tout de suite.

Je me déplace, m’allonge devant Sylvie et présente mon sexe devant sa bouche et elle l’avale aussitôt. Cécile a deviné ce que j’attends, elle se place de façon à pouvoir manger Sylvie tout en écartant les jambes pour que je puisse brouter son minou. Je vois que Sylvie lèche la chatte aussi bien qu’elle suce la bite car je n’avais vu que très rarement la sexe de Cécile dans cet état. Son clitoris est énorme, je le lèche et glisse un doigt dans le vagin, suivit de deux autres et je commence la masturbation. Ma langue et mes doigts sont couverts de cyprine, ça coule sur mes joues et je bois tout ce que je peux. Puis je décide là aussi de m’occuper de son petit trou, chose que je n’avais jamais osé faire depuis six mois que l’on est ensemble. Je passe mes doigts lubrifiés sur sa rosette que je lèche. Je présente un doigt et j’appuie. Son anus est plus serré que celui de Sylvie mais il se dilate aisément pour permettre à mon doigt de pénétrer.

– Ah ! Enfin tu te décides à t’occuper de mon cul, depuis six mois, tu en as mis du temps ! Me dit elle.

Je reste comme un imbécile face à ses paroles mais elles vont me décider à être plus entreprenant. Je rentre mon doigt d’un seul trait dans son cul et je commence des va-et-vient. Cécile pousse un cri puis commence à gémir des cris de plaisir étouffés par la chatte de Sylvie. Je suis un peu vexé de sa réflexion mais totalement excité et je dis d’un air sûr:

– Vous savez que je vais vous baiser bande de garces, mais en plus je vais vous enculer. Vous la voulez ma grosse queue dans vos culs de salopes !
– Que des promesses ! Répondit Cécile, et:tu ne tiendras pas le rythme ! Surenchérit Sylvie

Sur ces paroles, Cécile jouit la première, sa mouille m’inonde la figure et me coule sur les joues. Sylvie qui s’acharne sur mon gland en lui faisant des succions va me faire venir. Je la couche sur le dos, l’enjambe et place ma queue prête à exploser entre ses seins et lui dit:

– Serre tes gros seins, tu m’as tellement bien sucé qu’avant de te ramoner je vais venir dans ta bouche.

Elle s’exécute, je commence à aller et venir entre ces deux globes de chair tout en lui caressant la chatte avec une main. Cécile qui a récupéré maintenant, lèche successivement la chatte et le cul de Sylvie tout en la pénétrant de ses petits doigts agiles, Je ne vais pas pouvoir résister très longtemps à ce traitement, je rapproche la figure de Sylvie en passant un main derrière sa tête et lui met mon sexe dans la bouche ou je décharge comme un fou. Elle avale pratiquement toute ma semence et jouis à son tour sous les coups de langue de Cécile. Je me retourne, fais face à Cécile et lui dit:

– Tu peux me nettoyer avec ta langue et me faire durcir la queue pour que je puisse vous baiser ?

Elle prend mon sexe et lèche le peu de sperme que son amie lui a laissée. Je viens de jouir deux fois en très peu de temps et j’ai toujours envie de sexe. Cécile me suce, caressant mes couilles et me refait bander aussi fort. Je m’allonge, elle s’accroupit au dessus de mon ventre juste devant mon sexe, le présente devant son vagin et s’assied dessus, s’empalant entièrement. Elle pousse un cri puis commence à monter et descendre le long de mon dard dans un rythme d’enfer en gémissant de plaisir. Sylvie qui sort de la piscine se place debout au dessus de ma figure puis s’accroupit de façon que j’ai son sexe largement ouvert à proximité de ma langue. Toutes les deux poussent maintenant des cris de plaisir, s’embrassant, se mélangeant leurs langues. Sylvie se déhanche sous mes coups de langues, elle écarte les lèvres de sa vulve avec les doigts pour que je puisse aller fouiller au plus profond de son vagin avec ma langue, j’aspire son clitoris, le pince et le tire avec mes lèvres tandis que Cécile remonte à la limite de faire sortir mon gland de sa chatte et vient de nouveau immédiatement s’empaler dessus jusqu’à ce que ses fesses viennent claquer sur mon ventre dans une cadence démente. Cela dura cinq bonnes minutes, Cécile est en nage, elle commence à vaciller et je ne veux pas la faire jouir de suite. Je bloque ses va-et-vient sur mon sexe et me dégage. Je demande à Sylvie de se placer à quatre pattes. Je me place derrière elle pour la prendre en levrette, elle a un cul bien rond à faire bander un aveugle, cette cochonne ! J’écarte ses fesses de mes mains et plonge ma figure dans son cul. Elle est appétissante dans cette position, je lui lèche son petit trou, salivant un maximum dessus en prévoyant de faciliter ma sodomie. Elle a maintenant la tête et les épaules sur le matelas et les fesses relevées, et gémit de plaisir:

– Aaahhh, ouiiiii J’aime quand tu me lèches le cul comme çaaaa, ouiiiii s’il te plaiiiit fout moi ta bite, je la veut, c’est booonnn !!!

Cécile se place à quatre pattes devant Sylvie et lui dit:

– Vas y, mange moi le cul au lieu de crier

Je me redresse, tape ma bite sur ses fesses et la pénètre sauvagement. Toute ma queue disparaît dans sa chatte mouillée. Je lui ramone la chatte à grands coups de bite, lui donnant des claques sur les fesses qui lui arrachent un râle à chaque coup. Elle crie maintenant de plaisir, pénétrant l’anus de Cécile avec deux doigts. Je lui dis:

– Alors ma cochonne, je tiens pas le rythme, j’ai pas fini avec toi, maintenant je vais t’enculer !


Je porte mon pouce à la bouche, dépose de la salive dessus et le présente devant son anus qui s’ouvre sans grande difficulté. Je fait des va-et-vient, retire mon pouce pour rentrer deux autres doigts. Son anus se dilate et je continue à la baiser. Mes deux doigts s’agitent toujours dans ce petit trou, Sylvie tourne la tête, me regarde et me dit:

– Je vais jouiiir, j’en peux plus, sodomise-moi viiite

Je me retire de sa chatte humide et présente mon sexe devant son anus. Je la pénètre tout doucement, centimètre par centimètre, je vois cet anus qui se dilate de plus en plus. Je l’ai pénétré maintenant de toute ma longueur, j’attends un instant qu’elle soit complètement décontractée puis commence à faire de lents va-et-vient. Son anus est maintenant ouvert au maximum et c’est sûr, avec la facilité que j’ai eu pour la pénétrer, je me dis que je ne suis pas le premier à la sodomiser. Sylvie hurle de plaisir et me crie:

– Aahhh ouiii ! Tu me détruis avec ta grosse queue, ouiiii c’est bon, t’arrête surtout pas,ouiiii

Après quelques instants, je fais maintenant des mouvements plus en rythme. Cécile s’est agenouillée face à moi et écarte les fesses de Sylvie, ce qui me permet de la sodomiser jusqu’au dernier centimètre. Elle a les yeux rivés sur le cul de Sylvie que je bourre comme un dingue. Excité comme un fou par cette sodomie, je me retire et dis à Cécile :

– Regarde le cul de ta copine comme il est bien ouvert, dans cinq minutes, ton petit trou sera dans le même état.

Sylvie toujours à quatre pattes répond :

– Vite, mets la moi, je vais jouir

… et je replante mon sexe au plus profond de son cul et reprend une cadence rapide. Cécile lui branle maintenant son clitoris et Sylvie jouit rapidement, hurlant sa jouissance:

– Aaahhh, c’est booooonnn, ouiiiiii

Et elle se laisse tomber sur le matelas, toute haletante, me laissant avec ma queue en pleine érection.

– Aller ma chérie, c’est à toi maintenant, je vais te sodomiser !

Cécile qui est vierge de cet orifice est réticente en voyant le trou du cul de Sylvie,

– Non, je veux pas, ça va me faire mal !

Et Sylvie lui dit :

– Mais non, c’est un peu douloureux au début mais après, tu vas prendre un pied d’enfer surtout qu’il fait ça très bien. Je vais m’occuper de toi

Elle fait placer Cécile à quatre pattes et commence à lui lécher le trou du cul en salivant un maximum. Je me place devant Cécile et lui présente ma bite qu’elle suce entre deux râles pour ne pas que je débande. Sylvie active maintenant ses deux doigts qu’elle fait aller et venir dans l’anus de Cécile que je vois se relâcher. Elle présente un troisième doigt qu’elle rentre avec facilité et me demande de m’allonger sur le sol. Je suis bandé au maximum, mon gland est rouge et gonflé d’avoir ramoné le cul à Sylvie et ce n’est pas fini. Cécile se place sur moi et présente son anus mouillé de salive à ma queue. Sylvie me prend la bite, branle mon sexe une dizaine de secondes et le pointe devant la rosette à Cécile et la fait asseoir. Elle appuie, hésitant un peu, le gland pénètre, elle pousse un cri, peut*être de douleur, mais ne bouge pas. Un court instant d’attente et elle commence à s’asseoir sur mon sexe dressé. Elle est vraiment très étroite, j’ai des difficultés à faire avancer mon gland au fond de son cul, mais avec beaucoup de patience, j’ y arrive. Elle est maintenant empalée sur toute la longueur de mon sexe et démarre un timide va-et-vient qui lui arrache maintenant des cris de plaisir:

– Aaahhhh c’est boooonnnn, vas yyyy, continue, encule moiiii…

Je la prends par la taille et la soulève pour accélérer le rythme, putain que c’est bon. Sylvie s’est accroupie devant nous et lèche le clitoris de Cécile tout en me malaxant les couilles. Je n’en peux plus, ces caresses divines plus l’étroitesse du lieu qui me serre le gland ont raison de moi. Je jouis tout mon sperme dans le cul de Cécile qui active son mouvement sur mon sexe. Elle se raidit d’un seul coup et jouit comme une folle. Epuisée, elle se couche sur moi, gardant mon sexe en elle. Reprenant nos esprits, on part tous les trois à la salle de bain faire une toilette commune, on remet nos vêtements, puis, vu l’heure tardive, on raccompagne Sylvie à sa voiture. Elle nous remercie de la journée qu’elle a passé, nous embrasse pour nous dire au revoir en nous fourrant sa langue dans la bouche et nous dit qu’elle espère bien passer un autre après midi en notre compagnie. Je l’espère moi aussi, mais ça, c’est pour la prochaine fois.

FRED.

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2 réponses à Un après midi inattendu par Fred02

  1. follereau dit :

    Nouvelle très classique, hétéro standard avec un peu de lesbos, de trio et de sodo. Ça n’a pas grand chose a voir avec la ligne éditoriale de votre site mais il faut avouer que c’est bin torché

  2. agnes dit :

    Une bonne surprise, je ne m’attendais pas à ce que ce récit m’excite autant, c’est vraiment du bon triolisme (un poil macho quand même, mais ça passe bien) 😉

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