Trans-formation 3 – La révélation par alamour

Trans-formation 3
La révélation
par alamour

Après un début de week-end qui aura bouleversé ma vie, me voilà travestie par Sandra, la femme que j’aime, qui s’est révélée être une transsexuelle. Le dimanche arrive, plein de surprises… La première vient d’une question, en apparence anodine, que me pose Sandra au réveil :

– Tu connais ton point G ?

J’avais entendu que les femmes possédaient un point G. Même si j’étais transformé en femme depuis deux jours, le point G ne pouvait s’installer comme ça… Devant mon air étonné, Sandra continua :

– Je vais te le faire découvrir.

Rejetant les draps, Sandra dévoila nos intimités. Elle me demanda de m’allonger sur le bord du lit, sur le dos, en levant mes genoux et gardant mes pieds sur le lit. Sautant hors du lit, elle s’enduisit le majeur de la main droite de lubrifiant et s’approcha de mon œillet.

– Tu vas jouir comme tu ne l’as jamais fait, Marie-France, sans que je touche à ton sexe.
– Jouir du cul ?
– Absolument, dit-elle en enfonçant sans douceur son doigt.

Après l’énorme anus picket que j’avais connu, la pénétration semblait légère. Toutefois, je sentis le bout de son doigt s’agiter en moi.

– J’ai trouvé ton point G. Comme tous les hommes, ma chérie, tu possèdes un point G dans ton cul, sous la vessie : c’est la prostate.

Sandra appuyait fermement sur un lieu très précis de mon anatomie intérieure, le massant doucement mais fermement. Je commençais à trouver cela excitant sans pour autant bander plus.

– Ta prostate a la taille d’une châtaigne. Elle grossit, tu es sensible du cul, petite cochonne, dit Sandra sur un ton enjoué. Elle durcit, c’est parfait, tu devrais faire un malheur tout à l’heure avec mes copines.
– Tes copines ?
– Attends de voir le type de jouissance qui arrive, je t’expliquerai plus tard.

Effectivement, je fus étonné : je sentis une grande envie d’uriner et, au lieu de ça, je jouis du sperme dans une quantité qui me sembla énorme, d’un jet continu.

– Marie-France, c’est superbe, ton petit cul réagit parfaitement. Nous allons nous régaler avec toi.

N’osant poser trop de questions, faisant une confiance intégrale à Sandra, j’acquiesçais en me posant des questions sur la suite de la journée.

– Tu te nettoies en profondeur, Marie-France, finit par annoncer Sandra, ton petit cul compris, quitte à utiliser un lavement, me dit Sandra en me présentant une poire anale. Pas de vêtement ni de maquillage ce matin, tu restes comme tu es.
– J’enlève le vernis sur mes ongles ?
– Non, malheureuse, tu le gardes, ce sera ton seul habit avec le parfum et la perruque, bien sûr.

Après une douche et le lavement, je me présentais face à Sandra, parfumée largement de Chanel No 5. Elle m’embrassa tendrement et finit par avouer :

– Nous allons jouer aux « Douze coups de midi ». J’ai invité douze copines trans comme moi ou travesties comme toi. Tu seras à la fois le but et la récompense du jeu. J’en serai l’arbitre.
– Quelle est la règle de ce jeu ?
– Très simple : chacune de mes copines aura 30 secondes pour te faire jouir du cul. Celle qui gagnera aura la possibilité de t’utiliser pour son plaisir personnel. Les autres regarderont, mais elles restent généralement peu passives…

La salle de jeu se situait dans le salon, meublé avec une table basse au centre d’un genre un peu particulier. D’une matière peu courante puisqu’il s’agissait d’un lit avec sommier et matelas, sa forme était arrondie et elle pivotait sur elle-même. Sandra me demanda de m’y installer, après avoir lubrifié mon trou de plaisir, attendant ses copines qui ne tardèrent pas à arriver. Quand, tournant doucement sur mon lit, je dénombrais douze femmes, Sandra prit la parole :

– Pour les « Douze coups de midi », c’est Marie-France, une novice qui vous accueille. Je rappelle la règle : on ne touche pas à son sexe, on a trente secondes pour la faire jouir autrement. Tous les coups sont permis à une condition : pas de persécution, de torture, seulement de l’amour.

Le tirage au sort a désigné l’ordre des candidates, c’est parti avec Margot en premier. Une rousse avec un joli minois s’avança. Elle tenait à la main un godemiché d’une grande longueur, mais très fin, qu’elle enfila facilement, trouvant du premier coup ma prostate. Ne sachant trop quelle attitude employer, je m’étais résolue à profiter de chaque concurrente ainsi que de son sex-toy éventuel et vivre ce jeu pleinement puisque c’était le bon plaisir de Sandra. La deuxième et la troisième candidate à ma jouissance anale n’avaient pas de toy. Avec le doigt, elles arrivèrent à trouver plus rapidement la zone sensible. La quatrième et la cinquième, hasard du tirage au sort, proposaient le même objet : un vibromasseur, réglé au maximum, qui me fit beaucoup d’effet, surtout le second qui lança des vibrations qui se ressentirent presque douloureusement au bout du gland tuméfié. La sixième, ultra féminine dans son déshabillé orange qui ne cachait rien de ses formes nues, arriva avec un ustensile très original. Une sorte de petit godemiché avec à la base comme un « S ». J’ai appris son nom ensuite, il s’agit de l’ « Arenos ». Après me l’avoir introduit, j’ai senti une pression légère sur mon point G, mais aussi une poussée fortement agaçante entre l’arrière de mon sexe et le trou d’amour, lieu très sensible chez moi. Contrairement aux premières concurrentes, elle me demanda de me trémousser sur place et, pour m’encourager, elle monta sur la table debout pour me montrer sous sa minijupe son sexe au repos et son trou d’amour empli du même objet que moi. Les trente secondes passèrent trop vite à mon goût. Sandra intervint :

– C’est fini, Claudette, récupère ton engin et laisse la place à Louisa.

En attendant qu’elle récupère l’arenos, j’en profitais en me dandinant, toujours couchée. La septième candidate, Louisa, ressemblait à une sorcière. Tout de noir vêtue, elle tenait à la main une baguette qui, au lieu d’être magique, était ponctuée de boules, de la plus petite à la plus grosse, à la façon des boules de geisha. Un plug progressif très joli. Dès l’introduction de cet engin, je sentis que je ne pourrai pas tenir plus longtemps. Déçue pour les cinq candidates suivantes et pour les jouets que j’aurais pu découvrir, je jouis en sifflant tant l’orgasme était violent et régulier. Il fallut attendre près d’une minute après que Louisa ait sorti son engin pour que la jouissance cesse. Sandra déclara que Louisa était victorieuse et allait pouvoir profiter de moi, mais Claudette intervint en plaidant sa cause :

– Ce n’est pas elle qui a gagné, c’est moi. Elle n’a eu qu’à introduire son engin pour obtenir la jouissance alors que le mien avait tout préparé. Je revendique une victoire également.

Après réflexion, Sandra capitula :

– Vous avez gagné toutes les deux, Claudette et Louisa, à vous de profiter comme vous l’entendez de Marie-France !

Après concertation, les deux trans me positionnèrent sur le dos, toujours près du bord de la table. Claudette m’ordonna :

– Interdiction de jouir avant moi, petite salope !

Elle vérifia la bonne tenue de mon sexe qui n’avait pas diminué depuis la jouissance anale et, après m’avoir sucé, déposa un préservatif avec la bouche. De son côté, Louisa, qui avait sorti ses vêtements, se trouvait devant moi, en guêpière et bas noirs, le sexe brandi recouvert d’une capote. D’un coup d’œil, elles décidèrent du départ. Louisa me pénétra et commença une longue série de va-et-vient en ahanant. Claudette, passive, s’agenouilla face à moi et fit entrer mon sexe à la place de l’ « Arenos » qu’elle ôta au dernier moment. Elle se positionna pour que mon gland frotte sa prostate à travers le périnée. Je la sentis durcir progressivement. Mon regard se porta sur l’assemblée qui nous entourait. Sandra, comme ses dix copines, s’étaient déshabillées, en partie au moins, et toutes frottaient leur propre clitoris en regardant le trio que nous formions, Claudette, Louisa et moi. La première à jouir fut Sandra. Elle s’approcha de moi et envoya sur mes seins plats de grandes giclées de sperme. Du coup, la jouissance devint quasiment collective. Louisa enleva précipitamment son préservatif et jouit sur mes testicules, ce qui me donna envie de la suivre, mais il fallait attendre Claudette… Alors que le sperme de toutes ces trans commençait à recouvrir mon torse épilé, Claudette ajouta son râle à celui des autres, libérant un long jet fin de sperme bien blanc. Elle se leva, Sandra se précipita pour enlever la protection autour de mon sexe. Ceci, ajouté à l’excitation ambiante, me fit jouir instantanément, à longues saccades sur mon ventre. Mon torse ruisselait de traînées de sperme. Sandra, de sa main aux longs ongles rouges, les mélangea sur tout mon corps puis enjoignit ses copines à me nettoyer. Treize langues se mirent à me lécher sur tout le corps, quelques doigts et mains en profitèrent pour palper les endroits sensibles. J’étais aux anges ! Je ne vis même pas les invitées se rhabiller et repartir, juste Sandra qui m’embrassait en me félicitant :

– Tu a s été parfaite, Marie-France, tu es un amour de fille. Mais la journée n’est pas finie. Nous avons d’autres invités bientôt…

A suivre…

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *