Tendre voisine chapitre 2 par G Fox

Tendre voisine
chapitre 2
par G. Fox

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

« Où suis-je ? » telle fut ma question lorsque j’émergeais. Allongé sur mon tapis, dans mon salon, recouvert d’un simple drap. Je me remémorais rapidement ma folle journée.

« As-tu passé une bonne nuit, cher voisin ? » me demanda ma voisine.

Entièrement nue, elle me faisait face, seulement chaussé de mules. Je remarquais alors qu’elle avait eu la délicatesse de nous préparer un café. Celui-ci nous attendait sur la petite table de salon. Elle s’assit à côté de moi et d’un geste quasi théâtral, souleva le drap qui me recouvrait. La vision de ses formes généreuses ajoutée à mon habituelle érection matinale fit qu’elle me trouva le sexe dressé.

« Hum ! Je vois que tu n’as rien perdu de ta superbe » me dit-elle en souriant.

Se baissant, ses yeux rieurs rivés aux miens, elle prit mon sexe à pleine bouche. Faisant lentement coulisser ses chaudes lèvres le long de ma hampe, elle commençait une superbe fellation matinale. Quelques minutes d’un tel traitement furent suffisantes pour que mon plaisir vienne emplir sa bouche. Elle continuait encore quelques instants sa caresse buccale. Quelle agréable façon d’être réveillé. Elle se dégageât ensuite délicatement.

« Tu m’excuse quelques instants » lui dis-je. « Une envie urgente … »

Sans un mot, elle se mit alors à quatre pattes, puis posant sa tête à même le tapis, prit ses deux globes fessiers dans les mains, les écartant dans une offrande sans équivoque. Assez péniblement (j’ai toujours les deux mains bandées), je me mis à genoux entre ses fesses. Mon sexe en semi érection, luisant de salive et de sperme, put sans grande difficulté trouver une place de choix dans son anus ouvert. Presque religieusement, pour répondre à sa muette invitation, sans un mot, je libérais ma vessie d’un long jet brûlant dans ses entrailles. De longues secondes furent nécessaires pour me vider entièrement. Je me retirais alors doucement, gardant les yeux sur son petit trou ouvert et humide. Je la vis se contracter les fesses pour garder en elle mon urine chaude. D’un geste elle m’invita à m’asseoir. Elle disposait alors deux tasses pleines d’un café un peu refroidi face à moi, puis elle prit place devant moi. En s’asseyant, ses muscles fessiers se relâchèrent un peu et je pus voir le fruit de mon offrande s’écouler lentement sur mon tapis, entre ses fesses. Toujours sans un mot, elle inclinât alors la tête au-dessus de ma tasse, entrouvrant légèrement la bouche, elle laissait s’écouler mon sperme en un fin filet. Elle refit la même opération au-dessus de la sienne. Satisfaite, je la vis alors avaler ce qui lui restait dans la bouche.

« J’adore le café crème » me dit-elle alors, retrouvant la parole.

Je fus pris d’un grand rire sonore auquel elle ne tardât pas à se joindre. La matinée commençait bien. Après avoir bu notre café crème, elle s’occupât alors de mes soins. Je dois dire qu’elle faisait ça avec le plus grand soin et la plus grande douceur. Profitant quelques instants de mes mains enfin libres, je lui caressais le visage du bout des doigts. Appliquant les consignes que lui avait données l’infirmière, ma tendre voisine me rebandât les mains, non sans avoir déposé un délicat baiser dans chacune de mes paumes. Les soins terminés, elle me fit m’allonger sur le tapis (Il était irrémédiablement bon pour la poubelle). Elle s’accroupit au-dessus me mon visage. Elle m’offrait sa vulve à déguster. Tout en observant ce délicat coquillage humide, je constatais que son anus, toujours contracté, libérait mon urine presque au goutte à goutte. Elle avait pris une couleur un peu plus foncée… Souriant intérieurement, je soulevais la tête jusqu’à mettre ma bouche au contact de son sexe parfumé. Ma langue passait le long de ses lèvres puis allait titiller son clitoris gonflé d’envie. Je la sentais tendue. Elle voulait sans doute prolonger un maximum ce moment avant d’arriver à la jouissance. Son souffle se fit plus fort. J’accentuais mes caresses. Ma langue la pénétrait par moment, puis retournait énerver son bouton de plaisir. Sa jouissance fût indescriptible. Tout en elle se relâchât. Pour la première fois un grand cri accompagnât son plaisir. Libéré par le plaisir, son anus s’ouvrit largement et il m’aspergeât de tout le liquide dont je l’avais rempli. La forte odeur de mon urine mélangée à celle de ses intestins me fit devenir fou. Je plaquais alors ma bouche sur son anus pour profiter de cette douche troublante. Après avoir repris un peu nos esprits, elle se mit en devoir de me nettoyer le visage et le torse avec le drap de ce liquide mélangé à des petits bouts de ses matières fécales. L’instant était troublant et magique. L’odeur nous enivrait tous les deux.

« Tu n’es vraiment pas banale comme femme » lui dis-je le sourire aux lèvres.
« Non c’est vrai. Mais quelque chose me dit qu’avec toi tout est possible. Avouer à son compagnon habituel certains penchants n’est pas chose évidente. »

J’en s’avais quelque chose.

« Je sais que je ne vivrais jamais avec toi. Tu le sais aussi. Si je peux te soigner ces deux semaines et aller avec toi au bout de certains de mes phantasmes, pourquoi ne pas en profiter ».

Je ne trouvais rien à lui répondre, si ce n’est de pencher ma tête et de l’embrasser longuement et passionnément.

Je vivais les jours suivant comme dans un rêve. Nous profitions l’un de l’autre dans une parfaite complicité. Tout aurait pu être merveilleux si ce n’étaient mes mains mais sans mon handicap, je n’aurais certainement pas goûté à des instants d’une telle félicité.

Le samedi suivant, elle m’annonçait un peu triste qu’elle avait rendez-vous avez son jules du moment. Elle ne le voyait que très rarement. J’acceptais donc de mauvaise grâce à passer la soirée seul. Deux heures après son départ, ma sonnette tintait. C’était elle, rouge de colère.

« Quel mufle ! Il est arrivé, m’a à peine embrassé ! Il m’a culbuté sur mon lit et en deux minutes il avait fini son affaire. Quel con ! Et en plus il avait l’air satisfait. Je l’ai foutu à la porte ! ».

J’étais très heureux de la retrouver aussi rapidement. N’étais pas en train de m’accrocher à cette femme ?

Nous prîmes place sur mon canapé et elle vint se blottir contre moi. Je la sentais furieuse. Je décidais donc de ne rien dire et la laisser se calmer.

« Fais-moi l’amour s’il te plait » me demanda-t-elle d’un ton suppliant.

Elle se dévêtit rapidement, et s’allongeât sur le canapé. Prenant ma tête à deux mains, elle la dirigea entre ses cuisses ouvertes. Mon sursaut ne la surpris guère.

« Ne t’inquiètes pas, je le force toujours à mettre un préservatif. »

Je restais stupéfié. Ni elle ni moi n’avions à aucun moment pensé à nous protéger. Une confiance sans doute née de notre complicité.

Son sexe était d’une couleur vive, et je compris que l’assaut qu’elle venait de subir n’avait pas réussi à humidifier son conduit d’amour. Je soufflais délicatement sur cette fleur irritée. Ses lèvres s’entrouvraient doucement tels les pétales d’une rose à la naissance du jour. Je pus constater rapidement le résultat de mes attentions. Sa sève commençait à huiler son sexe. Ma langue vint rapidement en contact de ce fruit parfumé et lentement je me mis à la lécher avec douceur. Son plaisir fût long à venir et il fût bref.

« Merci. Tu es si doux…  »

Ce compliment me fît réellement plaisir. Je baissais alors la tête un peu plus pour atteindre son œillet délicat. Elle se soulevait pour me faciliter le passage. D’abord titillant le pourtour de son anus, puis me faisant plus pénétrant, je goûtais les saveurs interdites de ses fesses. De temps en temps je revenais sur son sexe pour boire à la source, source qui n’en finissait pas de ruisseler, me donnant la preuve de la qualité de mon baiser anal. Doucement je perçais du bout de la langue l’anus ainsi offert. Son plaisir fût plus fort cette fois et, se redressant, elle me le fît savoir en m’embrassant goulûment. Nos langues se mélangeaient et sans même m’avoir touché, je me sentais proche de l’éjaculation. Elle me fit m’installer confortablement sur le canapé et prit place entre mes fesses. A son tour elle se mit à me souffler sur le sexe érigé et sur les testicules. Des frissons de volupté m’envahissaient. Délicatement, elle vint poser ses lèvres sur mon petit trou qu’elle embrassa tendrement. Sa langue à son tour se fît perforante et une douce sensation m’envahit. Tout en s’amusant à me lécher l’anus, elle se mit à me branler d’une main. Comment garder une quelconque maîtrise dans ces cas là ? Je jouis rapidement, m’aspergeant le torse de mon sperme chaud. Se redressant, elle se mit à laper ma semence. Tout en ce faisant, une main vint remplacer sa bouche entre mes fesses et elle m’introduisit un doigt mutin dans mon fondement. J’ai bien cru que j’allais jouir de nouveau. Le nettoyage terminé, un baiser vint me faire partager le goût de mon sperme.

« Je nous sers un petit apéritif ?  » me demanda-t-elle.
« Oui, volontiers ma tendre voisine »

Elle m’abandonnait quelques instants pour revenir rapidement avec les verres et les boissons.

« Un whisky-pipi-coca ? »
« Bien sur ! »

Après avoir préparé la partie classique du breuvage, elle approchât alors un verre entre mes cuisses.

« Je veux que tu sois le donateur aujourd’hui ».
« Et bien sers-toi »

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Elle me prit le sexe redevenu à sa taille habituel et le plongeât dans le verre. Elle regardait ce spectacle avec une joie non dissimulée. Le contact du liquide froid sur l’extrémité de ma verge la fit se rétracter davantage. Ma voisine se mit à rire.

« Tu mériterais une bonne fessée pour avoir rigolé » lui dis-je en souriant.
« C’est quand tu veux ! »
« Dès que mes mains seront guéries, je te rappellerais çà ! »

Me concentrant de nouveau à la tache qui m’était incombée, de finissait de remplir les verres de mon urine chaude. S’apercevant que mon envie n’était pas comblée et engloutit mon sexe dans sa bouche. Petit jet par petit jet, je lui faisais don du reste. Je pouvais lire dans ses yeux une profonde gratitude d’exhausser ainsi ses penchants, qui il faut bien le dire étaient aussi les miens. Après avoir fini de lui inonder la bouche, elle se redressa et vint plaquer sa bouche sur la mienne. Elle me reversa un peu de mon urine pendant que nous échangions un fougueux baiser. Pendant que nous sirotions chacun nos verres, elle m’avoua certains de ses désirs, n’osant à peine me regarder. Je trouvais cette nouvelle pudeur de sa part un peu étrange car nous étions déjà allés assez loin en matière de phantasmes.

« Jusqu’où es-tu prêt à aller ? »
« C’est à dire ? Soit plus explicite. »
« Il se peut que tu trouves ça sale… »
« Dis toujours. »
« Eh bien…. J’aimerais aussi que tu m’offres quelque chose d’un peu plus consistant. Depuis maintenant une semaine que je t’essuie les fesses… »
« Oui …. »
« J’aimerais que tu fasses sur moi ! Voilà ! Maintenant je l’ai dis. Tu n’es pas fâché au moins ? »
« Non bien sur, c’est vrai que j’adore quand tu t’occupes de mon petit trou. Le liquide c’est plutôt sympa… Mais le solide… » tout en lui répondant, je ne put m’empêcher d’y voir l’un de mes propres phantasmes.
« Bon laissons faire les choses. Je te promets d’y réfléchir. Pour l’instant, ressers-nous donc ton délicieux breuvage, mon verre est vide ».

Souriante, certaine de m’avoir associé à ces désirs, elle nous resservit. Après avoir complété nos boissons d’un peu de son urine, elle m’offrit sa vulve humide à lécher. Je m’appliquais alors à recueillir les dernières gouttes de sa miction, tout en lui chatouillant le bouton d’une langue gourmande. Sa jouissance me pris par surprise tant elle fût rapide. Cette femme avait vraiment des dons pour le plaisir assez peu répandus chez la gente féminine. Quelques verres plus tard, elle m’annonça avoir un peu faim. Elle nous prépara alors une petite collation. Après avoir pris place de part et d’autre de la table, je sentis un pied baladeur remonter le long de mes jambes et venir caresser mon entre jambe. L’accès n’était pas aisé d’autant que de mon côté j’essayais d’en faire autant.

« Attends !  » me dit-elle. J’ai une idée.

Se levant, elle prit une deuxième chaise, l’installa à côté de la première et s’assit sur les chaises, une fesse sur chacune. J’avais ainsi accès directement à son entrecuisse. Trouvant l’idée ingénieuse, j’en fis autant. Son pied fouineur eut tôt fait de venir caresser doucement mes testicules. Tendant un peu plus la jambe, son gros orteil vint me titiller l’anus. Assis dans cette position, il était ouvert et disponible. J’imitais ses caresses et mon orteil quitta son sexe pour lui aussi venir forcer son passage étroit. C’est donc ainsi, un gros orteil dans nos anus respectifs que nous avons fini notre petit repas. Outre le plaisir, je me rappelle avoir pensé que c’était un excellent exercice pour les abdos. Une fois nos assiettes vides, elle dégagea son orteil et me lançant une de ses œillades coquines, disparut sous la table. Alors que j’étais toujours à califourchon sur les deux chaises, en se contorsionnant, sa langue pris la place occupée quelques instants plus tôt par son pied. Après quelques minutes d’un savoureux baiser elle changea de position. Sa tête en mes jambes, elle pris mon sexe en bouche. Un doigt mutin vint remplacer sa langue dans mon anus. Je soupirais d’aise tant ce double attouchement me plaisait. Mon plaisir arrivait à son paroxysme quant elle ajouta deux doigts. J’éjaculais longuement dans sa bouche vorace. Ses doigts fouillaient sans ménagement mes entrailles. Mon sexe toujours emprisonné dans la bouche, je décidais d’essayer le lui faire plaisir. Bien qu’un peu gêné par ses doigts dans mon anus, je contractais mes sphincters pour libérer mes intestins. Gardant les doigts profondément enfoncés, elle libéra mon sexe juste le temps de me dire dans un souffle rauque :

« Donnes moi tout ! »

Oubliant tout préjugé, la folie du moment eut raison de moi. Sa bouche fut de nouveau pleine de mon urine et ses doigts furent plongés dans la masse molle de mes excréments qui tentaient vainement de s’extraire de mes entrailles, prisonniers qu’ils étaient par ses doigts. Dégageant ses doigts de mon anus, le flot fut enfin libéré. M’écartant un peu pour contempler le fruit de nos folies, je la vis assise entre mes cuisses, me regardant de ses yeux plein d’amour. Elle se caressait le ventre et les seins de ses mains couvertes de mes déjections.

« Oh merci mon cher voisin. Merci. »

Je la sentais prêt des larmes, larmes de bonheur d’avoir obtenu de moi la réalisation de l’un de ses phantasmes. Toujours en se caressant, elle reprit place entre mes cuisses et d’une langue habile se fit un devoir de me nettoyer. La relevant doucement, je la fis s’asseoir sur moi. Tendrement nous nous échangeâmes un long baiser aux saveurs particulières.

J’attendais avec impatience le jour où je pourrais de nouveau profiter de mes mains pour pouvoir à mon tour explorer son corps qui allait me livrer ses secrets. Ce jour est arrivé plus tôt que prévu et je me ferais un plaisir de vous en donner lecture.

J’attends toujours vos réactions et vos commentaires. A bientôt.

G. FOX

g.fox@libertysurf.fr

Ce récit est paru initialement sur le site de Revebebe en 2000. Il est publié ici à la demande de son auteur.

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2 réponses à Tendre voisine chapitre 2 par G Fox

  1. Naf Naf dit :

    Pourquoi je n’ai pas une voisine comme-ça, moi ?

  2. Claire dit :

    Fantasmes extrêmes ! Oui bien sûr mais quel talent pour les évoquer !

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