Surprise-Partouse 3 – La punition de Carole par Enzo_Cagliari

Surprise partouse
3 – La punition de Carole
par Enzo


RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Résumé du chapitre précédent : Après une brève partouze chez Thibault avec un couple d’antillais, ceux-ci me communiquent leur adresse…

Vous vous imaginez bien que ce qui s’est passé chez Thibault ce samedi soir et ce dimanche matin a laissé des traces. En fait, je suis plutôt satisfait de la façon dont les choses se sont passées. Tous ces gens sont peut-être un peu allumés, mais se sont révélés très corrects. N’empêche que j’ai l’impression que ma sexualité a pris un virage. Des perspectives que je n’envisageais qu’à travers le filigrane de mes fantasmes se font jour.

Le début de la semaine a été calme et tranquille, ce n’est que le jeudi que l’étrange proposition de Gwladys se mit à me tarauder. Elle m’avait sans doute donné son numéro de téléphone que dans l’enthousiasme du moment, mais ça ne me coûtait rien d’essayer de l’appeler.

– Allô, c’est Vincent !
– Vincent, je ne vois pas…

Ça commence mal, non seulement c’est Gwladys qui me répond alors que j’aurais préféré que ce soit Simon, son mari, mais en plus elle ne me remet pas ! Je lui explique :

– Ah, d’accord, et tu aimerais bien que Simon t’encule, c’est ça ?

Quel romantisme !

– Ben oui !
– Hummm, tu vas lui sucer sa grosse bite noire, et après il va bien te la foutre dans le cul, et moi pendant ce temps là, je vais me branler en vous regardant…

Manifestement, les mots l’excitent.

– Je peux passer quand alors ?
– Hum, si tu venais samedi vers 18:30 heures, il y aura du monde et des surprises ?

Je donne mon accord, ça m’embête un peu qu’il y ait d’autres personnes, mais bon… Pour être très honnête, j’ai failli me dégonfler, c’est vrai qu’il y a quelque chose d’incongru de prendre un rendez-vous afin d’aller se faire sodomiser…

Ce matin, avant ma douche j’ai peaufiné le rasage de mon corps, ça m’amuse d’être ainsi tout lisse de partout… J’arrive donc vers 20 heures, une bouteille d’apéritif à la main. Gwladys m’accueille, joviale, on s’embrasse sur le bord des lèvres. Cette petite antillaise est décidément très mignonne, elle s’est habillée d’une petite robe verte à motif en tissu léger, courte et décolletée.

– Simon est en course, il va arriver d’une minute à l’autre… Et Carole et Thibault, ben on les attend.

C’est donc eux les autres invités ! Super on sera entre connaissances !

– Je parie que ton petit trou du cul, il piaffe d’impatience ! Me dit-elle en me mettant la main à la braguette.

Ça commence fort ! Ne voulant pas être en reste, je lui mets la main sur les nichons.

– Pas touche pour l’instant, par contre, moi j’ai le droit ! Reprend-elle en accentuant sa pression sur mon sexe. Hummm, je suis toute excitée, tu sais ce qu’on va faire tout à l’heure ?
– Du sexe ? Répondis-je bêtement.
– Obsédé !
– Ça c’est vrai !
– J’ai proposé à Carole de la punir pour avoir osé sucer la bite de mon mari devant moi. Elle est complètement d’accord, elle m’a dit qu’elle adorait la soumission.
– Et qu’est ce que vous allez lui faire ?
– Tu es un peu trop curieux. Tiens tu sais ce que tu vas faire, tu vas te mettre entièrement à poil, j’ai envie de revoir ton petit cul de pédé !

Ce n’est pas un problème, je me déshabille, espérant un moment que Gwladys en fasse autant, mais non…

– T’est trop mignon, toi comme ça, tout rasé… et tes gros tétons… hummmm ça m’excite.

Et la voilà qui se met à me les tripoter, à me les serrer, à me les tortiller. Du coup, je bande comme un malade !

– On dirait que ta bite est en forme, ce soir, mais tourne toi que je vois ton cul ! Oh ! Les jolis fesses ! Qu’est ce qu’elles sont belles !

Elle a vraiment l’air de les apprécier, me les caresse, puis vient me les embrasser.

– Ecarte les, j’ai envie de faire un bisou à ton petit trou du cul

Je sens sa langue s’approcher de mon œillet et le titiller, mais elle s’arrête assez vite, se relève et approche son index de ma bouche :

– Suce !

Je le fais.

– Et maintenant laisse toi faire, je vais te mettre un doigt…

Elle me farfouille le troufignon sans trop de ménagement. J’aime bien… et de temps à autre de son autre main me balance de petites fessées.

Elle finit par ressortir le doigt et me demande de le sucer à nouveau… Le problème c’est qu’il est pollué son doigt. Je refuse donc…

– Dis donc, tu ne vas pas nous faire de manières…
– C’est pas des manières, il est sale.
– Bon alors d’accord, mais dis moi que tu es une petite salope !
– Je suis une petite salope !
– Alors les petites salopes, ça suce les doigts qu’on leur a mis dans le cul…

Bon, je ne suis pas bloqué par la scato tant qu’on en reste à la lisière, et puis l’excitation arrange parfois bien des choses, je finis par obtempérer et elle me remet son doigt dans mon orifice intime

Un bruit de clé, Simon rentre, suivi de Carole et de Thibault qu’il a rencontré en revenant des courses.

Pas gênée, Gwladys continue de me doigter, me faisant tortiller d’aise.

– Ça va, fait pas vous gêner ! commente Simon, hilare !
– Où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir ! Répond l’antillaise en finissant par se lever afin d’accueillir Thibault et Carole en les embrassant sur la bouche.

Je me lève à mon tour, on se congratule, tout le monde en profite pour me peloter…

– Dis donc Carole, je t’ai embrassé, mais je n’aurais peut-être pas dû, tu viens bien ici pour que je te punisse, non ? Lui fait remarquer Gwladys.
– Ben, vas-y punis moi, je suis venue pour ça ! Répond l’autre !
– Et je vais pouvoir te faire tout ce que j’ai envie ?
– Presque… comme on en a convenu au téléphone…
– Alors à poil !

Et tandis que Carole se déshabille, Gwladys m’apostrophe.

– Dis donc, toi l’enculé, qui c’est qui t’as dis de quitter ta position ?
– Bien obligé, fallait bien que je dise bonjour…
– Mwais…. ben remet toi comme tu étais et attend moi, je reviens.

Scène surréaliste, je suis à poil, à quatre pattes par terre, tandis que Thibault habillé et Carole déshabillée aident Simon à installer les gâteaux à apéritifs…

Et voilà que Gwladys revient, elle a un tas de trucs dans les mains qu’elle dépose sur une petite table : un martinet, des pinces, des menottes, du gel, des capotes… mais c’est son accoutrement qui m’intrigue le plus, elle est entièrement nue et harnaché d’un gode ceinture… et j’ai bien l’impression que c’est pour moi… L’idée ne me plait que moyennement, c’est le sexe de Simon qui m’intéresse, pas un substitut en plastique, mais bon, l’un n’empêche pas l’autre…

De façon très érotique elle revêt le faux sexe d’un préservatif, puis fait semblant de se masturber… Bizarrement ce spectacle ne me laisse pas insensible.

Elle m’enduit le trou du cul avec du gel, elle doit forcer un petit peu pour que ça entre, ça finit par entrer, oups, ça fait un peu mal, je serre les dents, et elle se met à limer. Les trois autres se sont approchés pour jouir (si on peut dire) du spectacle. Les deux mecs se sont débraguettés et se paluchent la quéquette. Celle de Thibault s’approche de ma bouche, je la prends, finalement j’adore sa bite à celui-là, et commence à la sucer avec délectation, le seul problème c’est que les coups de boutoir que je reçois dans mon cul, me font bouger et que j’ai du mal à sucer correctement.

Gwladys finit par se retirer, me laissant le cul béant.

– Oh, le cochon, il a mis de la merde sur ton gode ! Constate Carole, qui fait semblant d’être outrée.
– Hummm, ça mérite bien 10 coups de martinet ! Répond l’antillaise.
– Moi je lui aurais fait nettoyer avec la langue ! Propose Carole !
– T’aimerais bien être sa place pour faire ça ? Répond Gwladys.
– Peut-être…
– Tu ne perds rien pour attendre, tu vas voir ce qui va t’arriver tout à l’heure…

Tout en discutant, l’antillaise s’est emparé du martinet et commence à me cingler les fesses, elle n’y va pas de main morte, mais je ne dis rien, je préfère ça que de sucer son machin… J’encaisse les dix coups et me surprend à bander… décidément qu’est ce que je découvre comme trucs en ce moment. Thibault s’était reculé, préférant sans doute attendre la fin de la flagellation pour que je reprenne ma fellation. Effectivement, il s’avance, mais Gwladys l’écarte :

– Il faut d’abord qu’il nettoie !

La salope ! Moi qui croyait y échapper… Encore une fois personne ne m’oblige à rien (du moins j’espère) je peux toujours arrêter ce cirque et quitter cette bande d’hurluberlus. Mais l’envie de jouer et de me dépasser est la plus forte… Le gode n’est quand même pas si pollué que ça, en tout cas beaucoup moins que la réflexion de Carole me le laissait présager. Je nettoie donc les traces de merde, une fois vaincu les premières réticences, ça n’a rien de terrible.

– Quel cochon ! S’écrie Carole.
– Bon, allez relève toi, on va trinquer, après on s’occupera de Carole, après Simon t’enculera, et après on verra bien, on improvisera.

On s’approche tous de la table.

– Non pas toi, Carole, les chiennes, ça ne boit pas l’apéro avec les humains, tu restes à quatre pattes, tu auras peut-être quelques miettes…

Gwladys qui venait de parler, passe un collier de chien à la belle blonde qui sans protester, entre dans son rôle, se met à genoux, et attends.

Simon fait le service, on trinque… petit moment de flottement, parce qu’on ne sait pas trop comment va s’organiser la suite, mais c’est Gwladys encore une fois qui prendra l’initiative.

– Elle veut peut-être un bretzel notre chienne ? Allez Carole fait la belle !

Carole fait ce qu’elle peut et présente ses mains en les recourbant à la façon d’un chien qui quémande…

– Aboie un peu pour voir comment tu fais !
– Wouh, wouh !
– J’espère qu’elle ne mord pas. Plaisante Simon.
– Mais, non ! répond Thibault, elle peut même te lécher la bite… ou le trou du cul, hein la chienne ?
– Wouh, wouh ! approuve Carole.

Simon ne se le fait pas dire deux fois et donne sa queue à sucer à la belle blonde qui se jette dessus comme la pauvreté sur le monde.

– Non, mais attends, tu crois que c’est vraiment une punition ce que tu lui fais faire ? Intervient Gwladys…
– T’as raison on va lui faire lécher le cul de Vincent, il doit être encore pollué, propose Thibault.

Je me positionne donc devant-elle afin qu’elle accomplisse ce qu’on lui demande.

– Dis donc, t’es un vrai cochon, dit-elle, t’aurais pu t’essuyer un petit peu, quand même…

Ben, oui, personne n’y a pensé, mais tout cela n’a pas l’air de rebuter la jolie Carole qui entreprend de me lécher l’œillet et elle fait ça, ma fois, de façon bien excitante…

Et voilà que le portable de Simon sonne !

– Ah ! vous avez pu vous libérer ? Oui, oui montez, plus on est de fous, plus on rigole… l’entend ton dire avant de raccrocher.
– Continue à lécher, ne t’occupes pas des gens qui vont entrer ! Ordonne Gwladys à Carole.

Simon ouvre aux nouveaux arrivants, on s’embrasse, on se congratule. C’est un couple, la cinquantaine, madame est une grande brune, cheveux mi-longs et légèrement bouclés, très bronzée, habillée d’un pantalon et d’un débardeur qui met en valeur de jolies épaules et qui lui moule une poitrine qu’on devine généreuse, monsieur est en chemisette rose. On fait des rapides présentations pendant que Carole continue à me lécher le troufignon, ils se prénomment Katia et Alain.

– On va juste rester une petite heure, après il faut qu’on file ! Précise Katia.
– Et bin, y’a de l’ambiance, on dirait ! S’exclame Alain.
– C’est notre esclave, ce soir, on peut lui faire tout ce qu’on veut… enfin, presque…
– Hummm, c’est vrai ça ? Je peux me lâcher ? demande Katia.

Gwladys s’approche alors d’elle et lui susurre quelque chose à l’oreille, sans doute ce qu’elle peut et ce qu’elle ne peut pas lui faire…

– Tu me passe ton martinet ? demande Katia… et apporte-moi deux bonnes pinces à linges…

Et en attendant, elle se déshabille, pas complètement puisqu’elle a l’idée saugrenue de garder son soutien gorge, j’espère qu’elle finira par l’enlever, mais la vision est sublime ! Quelle jolie femme, ma bite en est toute raide d’émotion. Par un beau mouvement d’ensemble, Simon, Thibault et Alain enlèvent aussi leurs vêtements, et j’ai la surprise de voir ce dernier se jeter à mes genoux.

– Je peux te la sucer ?
– Bien sûr !
– J’adore sucer des belles bites ! Me confie t-il.
– Moi aussi ! Me surpris-je à répondre.
– T’aimes bien te faire enculer aussi ?
– Oui, d’ailleurs je suis venu pour ça !
– On est tous des enculés ! Conclue-t-il philosophiquement en me prenant en bouche…

Putain, qu’est ce qu’il suce bien ce bourgeois ! J’en ai des frissons…d’autant que Carole continue simultanément à me lécher le cul… pas pour longtemps, Katia l’emmène sur le canapé.

– Voilà, je vais accrocher ces deux pinces sur tes tétons de salope et après tu vas te mettre à genoux là-dessus, tu baisses la tête, et tu relèves les fesses…

Carole en bonne soumise ne bronche pas pendant la pose de la première pince, mais ne peut s’empêcher de lâcher un petit cri pour la seconde. Katia la gifle en criant :

– Supporte et tais toi !
– Oui !
– Je t’ai dis demande de te taire… Ouvre ta bouche.

La belle blonde obéit, laissant Katia lui cracher au visage…

– Allez, en position…

La grande brune ne perd pas aucun temps et assène immédiatement à sa victime un coup en travers des fesses qui laissent de très explicites marques roses.

– Je vais bien te fouetter et après tu vas me sucer, et tu auras intérêt à me faire jouir.
– Vas-y fouette moi !

Elle le fait, rythmant ses coups de façon à surprendre sa victime, alternant les petites séries rapides et les pauses.

– Non, mais, regarde un peu tous ces pédés ! dit-elle, s’interrompant un moment.

Il est vrai que le spectacle est cocasse ! Thibault, Simon et moi-même sommes debout devant Alain qui nous suce à tour de rôle, tandis que Gwladys qui est passée derrière lui, lui trifouille l’anus.

J’ai peur de jouir trop vite, et puis je préfère sucer que de me faire sucer, aussi je me mets à genoux à mon tour, et comme Alain est en train de sucer Thibault, c’est vers la grosse bite noire de Simon que je jette mon dévolu. Hummm, je me régale, c’est fou ce que la texture d’une bonne queue est douce dans la bouche. Je ne m’en lasse pas, mais à un moment Alain me propose d’échanger nos partenaires. Pas de problème et me voilà avec la bite de Thibault dans la bouche, moins impressionnante, mais plus facile à sucer. Gwladys elle aussi change de victime et passe derrière moi pour s’occuper de mes tétons qu’elle serre comme un dingue. Je m’en fous, j’adore ça, et ça maintient mon érection au top.

A l’autre bout de la pièce on a droit à une sonate pour martinet et gémissements d’esclave. Le cul de la pauvre Carole est maintenant rouge comme une tomate.

– Bon, tu as eu ta dose, relève toi et mets toi face à moi pour le final, commande Katia.

Quand Carole voit alors sa tortionnaire lever son martinet vers ses seins elle comprend ce qu’elle veut faire et par réflexe porte ses mains à sa poitrine afin de la protéger.

– Retire tes mains !

Elle le fait, mais les replace aussitôt !

– Bon si tu veux tout arrêter, tu as un mot de sécurité, lui demande la brune.
– Non, non, mais…
– Mais quoi ? Tu veux arrêter, ou pas ?
– Non !
– Alors retire tes mains.

Katia lève son martinet, et cette fois Carole fait un demi tour pour se protéger.

– Bon, Gwladys, viens la tenir, sinon, je ne vais jamais y arriver…

L’antillaise se place derrière la blonde et la maintient en position en lui tenant vigoureusement les poignets. Katia arme son bras, vise la première pince à linge qui se décroche du téton. Carole pousse un cri, puis attend crânement le second coup. Katia le rate, se reprend et fait sauter la deuxième pince. Nouveau cri de Carole.

– T’as vu, elle a les cuisses toutes trempées, elle mouille cette salope ! Fait remarquer Gwladys.
– Il n’y a pas qu’elle qui est trempée, répond Carole… si tu pouvais aller nous chercher des serviettes, sinon on va noyer ton canapé.

Et tandis que Katia s’installe et que la blonde commence à la lécher, Thibault propose à Simon :

– Bon, ils nous ont bien sucé, maintenant on pourrait peut-être les enculer !

Les deux mecs se capotent, nous font mettre, Alain et moi à quatre pattes. Thibault pénètre le petit bourgeois avec une facilité déconcertante, il doit être habitué. Avec moi, Simon a plus de mal, d’abord parce en ce qui me concerne, je ne suis pas vraiment habitué, après tout ce n’est que ma troisième sodomie et mon deuxième partenaire et le sexe de celui-ci sans être énorme est tout de même une pointure supérieure.

Ça finit par entrer ! Et le voilà qu’il se met à coulisser dans mon étroit conduit. Toujours cette sensation un peu pénible au début qui disparaît assez vite au fur et a mesure que la prostate devient excitée. Je n’aurais jamais cru que c’était si bon de se faire enculer… J’aurais du commencer avant…

Nous voilà donc en méga partouze : Katia se fait sucer la chatte par Carole, elle a enfin retiré son soutien gorge et offre ses seins à Gwladys. Simon m’encule et Alain se fait faire la même chose par Thibault. Ce dernier prend rapidement son plaisir et se retire, contourne son partenaire et lui offre sa bite toujours encapotée et légèrement pollué à nettoyer, ce qu’il accepte de faire sans problème. Simon jouit à son tour. Va-t-il me faire la même chose que son voisin… Ben oui… faut surtout pas se gêner, mais je me surprends à accepter de le faire… tandis que sur le canapé, Katia crie comme une cinglée, Carole l’ayant fait jouir… Les deux femmes s’embrassent avec tendresse…

Et voilà que Alain manifeste le désir de jouir en me sodomisant à son tour ! Pourquoi pas ? Après le passage de la grosse bite de Simon, ça devrait se faire sans problème. Ça ne dure pas très longtemps (hélas), et sitôt fini je me relève, je voudrais bien jouir à mon tour.

– Un peu de patience, me dit Gwladys, tu as mérité une récompense et j’ai envie que tu me prennes, mais il n’y a pas le feu !

Pas le feu ! Pas le feu ! Je voudrais bien l’y voir elle, ce n’est pas elle qui a les bourses pleines, mais bon s’il faut attendre, on attendra…

– J’ai une de ses envies de pisser ! Déclare Katia, tu veux que je fasse sur toi ? demande-t-elle à Carole.
– Bien sûr !

Et voilà qu’on se dirige tous vers la salle de bain, mais il ne faut pas rêver, sept personnes ça ne rentre pas. Carole s’installe dans le fond de la baignoire, Katia s’accroupit au-dessus, je me faufile avec Thibault et Gwladys, les deux autres restent sur le pas de la porte.


– Tu préfères que j’évite le visage ? demande Katia.
– N’évite rien, j’ai soif !

Pour une grosse envie, c’était une grosse envie, un vrai jet d’arrosage dégringole sur Carole qui essaie d’avaler ce qu’elle peut au passage.

– Si vous avez envie de pipi, les mecs, profitez-en… propose Gwladys

Délire pour délire, j’arrose à mon tour Carole, et Thibault ne tarde pas à m’imiter. Quant à Katia, elle reste en position semblant mijoter quelque chose… c’est le cas de le dire…

– J’ai une autre envie, un peu plus consistante, je peux ou pas ?
– Bien sûr que tu peux !
– Je veux que ce soit toi qui me le demandes !
– Vas-y chie moi dessus ! Mais peut-être pas sur le visage !

Et devant l’assistance médusée la belle Katia lâche un premier étron, rejoint bientôt par un deuxième puis un dernier qui atterrissent mollement sur les seins de la belle blonde. Un mélange de répulsion et de fascination finit par me faire rebander. Je commence à avoir mal aux couilles, moi !

Et quand Katia va pour quitter la baignoire c’est Carole qui lui propose :

– Reste-là, c’est moi qui vais te nettoyer le cul… avec ma langue !
– T’es une vraie salope, toi ! Vas-y nettoie mon cul plein de merde !
– Hé, hé !
– Tu aimes ça, hein ?
– Quand je suis excitée à fond, je peux aller très loin… ce ne sont pas des choses qu’on fait tous les jours… mais en ce moment, je m’éclate !

Après quelques brèves minutes de léchage de cul, la blonde se relève et offre ses lèvres à Katia qui les accepte (pouvait-elle faire autrement ?)

Carole prend une douche… Katia et Alain se rhabillent.

– Vous prenez quand même un verre avant de partir ? Propose Simon.

Ils acceptent, on est là tous les 7 autour des bouteilles, on lève nos verres :

– On trinque à quoi ? demande Simon
– Aux enculés, bien sûr ! Répond Katia.
– Et aux salopes ! Ajoute Thibault provoquant l’hilarité générale.

Les deux zouaves boivent en vitesse, on se dit au revoir… La belle brune s’approche de moi, avec quelque chose dans la main.

– Toi, ça te dirais de passer chez nous un de ces jours ? J’aimerais bien que tu sois notre petit esclave et après tu pourras me baiser.
– Bien sûr !
– Voilà notre carte !

Le cadre du 4ème épisode est donc prêt, j’espère que je ne vous ferais pas attendre deux ans pour pouvoir le lire.

Juin 2007

Ce récit à eu l’honneur d’être nommé Prix Spécial Extrême pour 2007

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11 réponses à Surprise-Partouse 3 – La punition de Carole par Enzo_Cagliari

  1. Mathilda Stenberg dit :

    Se faire chier dessus ! Quelle délicieuse perversité !

  2. Thomas dit :

    Il faut quand même avoir quelques prédispositions » pour accepter ce genre de punition sans s’enfuir à toutes jambes

  3. Marylu dit :

    Pourquoi ce genre de récit très hard me branche autant ?

  4. Sorenza dit :

    beaucoup de personages, beaucoup de pratiques, beaucoup d’excitation

  5. Werber dit :

    Evidemment ça va un peu loin, mais le style est si agréable que ça passe sans soucis

  6. Essae dit :

    un peu limite, les pratiques, mais la plume est tellement alerte que ça passe bien

  7. Kevinbal dit :

    Parfois, la décontraction de l’écriture arrive a faire passer des choses que nous n’aurions sinon pas lu. Joli tour de force, donc !!

  8. chatillon dit :

    Délicieusement pervers, j’ai adoré et j’ai bandé !

  9. Claire dit :

    Une agréable partouze très hard et très décontractée, dommage qu’avec tous ces personnages, la confusion soit inévitable

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