Sublime Maîtresse par sandratvtg

Sublime Maîtresse par sandratvtg

Un sourire enjôleur au coin des lèvres, Sandra m’entraîne dans sa chambre.Elle aime prendre l’initiative lors de nos ébats.

– Aujourd’hui, c’est toi qui fais la fille, me dit-t-elle en me lançant un regard charmeur.

Son penchant lesbien fait qu’elle me désire souvent en femme.

– Déshabille toi vite ma chérie ! Ajoute-t-elle avec impatience.

Dans son armoire débordante de lingerie, elle choisit avec soin les dessous qu’elle me destine.

– Essaye ces ravissantes petites choses, me susurre-t-elle à l’oreille en me tendant un ensemble de dessous vaporeux.

Je la laisse m’agrafer une guêpière ornée de quatre paires de jarretelles et remplir mes bonnets 105/D de prothèses en silicone. Ayant un poids de 500 gr chacune, elles me provoquent d’agréables sensations quand je les sens bouger à chacun de mes pas. Ma taille élancée me permet de supporter aisément cette poitrine de rêve qui me transforme physiquement et mentalement en femme.

Puis, Sandra remonte deux affriolantes jarretières le long de mes cuisses en provoquant sans le vouloir mon érection. Heureuse de m’avoir excitée, elle me presse tendrement les bourses.

– Ton gros clito m’impressionne ma belle.

Me voyant succomber à ses caresses, elle en profite pour glisser sur mes hanches une adorable culotte ouverte qui lui laisse un large accès à ma grotte.

Les frottements du satin sur mon gland me mettent dans tous mes états. Une robe de nuit fendue jusqu’à la taille et des talons aiguilles achèvent ma métamorphose.

Sandra se colle contre moi en m’embrassant à pleine bouche. Son genou remonte le long de mes cuisses en pressant ma queue qui laisse échapper quelques gouttes de sève. Puis, elle saisit un plug qu’elle me vrille dans les fesses.

– Cela devrait te faire patienter !

Assise devant le miroir de sa coiffeuse, je relève ma robe de nuit sur ma taille pour lui montrer ma verge dressée plaquée contre ma guêpière.
Frottant mes cuisses l’une contre l’autre, je contracte mes muscles internes sur le plug pour amplifier le désir qui monte dans mes reins.

– Regarde, ton jouet me fait déjà de l’effet, lui dis-je en souriant.

Pendant ce temps, Sandra me maquille les yeux avec du mascara et du fard à paupières tout en gardant un regard sur mon sexe en érection. Elle souligne mes lèvres d’un rouge vif et me coiffe d’une perruque blonde bouclée très glamour. Puis, elle rentre ma queue entre mes cuisses en la fixant avec un adhésif.

– Tu dois te sentir plus femme maintenant, me dit-t-elle en m’accompagnant devant le miroir.

En effet, ma transformation est totale.

J’admire le fin gazon de mon triangle de Vénus en étant satisfaite de ne plus voir mon sexe.

– Je te trouve craquante ma chérie, nous allons prendre bien du plaisir ensemble ! S’exclame-t-elle.

Je fais quelques pas campée sur mes talons aiguilles en roulant des hanches. La glace murale me renvoie l’image d’une amazone parée de tous les symboles de la féminité. Je ne me lasse pas de contempler ma taille prise dans ma ravissante guêpière et mes seins serrés dans mes balconnets.
Ils sont si lourds que mes bretelles de soutien-gorge s’incrustent dans ma peau.

Cela a failli me trahir un soir au lit avec mon épouse qui s’étonnait de ces marques sur mes épaules et surtout des empreintes de jarretelles bien identifiables sur mes cuisses.

Sous le prétexte d’esthétisme, j’avais obtenu son accord pour m’épiler régulièrement le corps en lui cachant que j’aimais aussi me travestir et me faire prendre comme une femme. Il m’a fallu beaucoup d’imagination ce soir-là pour détourner en partie ses soupçons.

Je suis un cadre commercial qui passe souvent mes nuits à l’hôtel.

J’emporte toujours avec moi un sac contenant mon nécessaire de maquillage, perruque, seins en silicone, dessous coquins, escarpins et aussi mes principaux jouets. (gode-ceinture, vibro, rosebud, vacuum, plug gonflable…)

Comme il est très rare qu’une femme partage mes fantasmes, il m’arrive parfois d’inviter un travesti ou une fille vénale à venir me rejoindre dans ma chambre en leur faisant part de mes penchants.

Avant la rencontre, je me réserve toujours une heure pour me préparer. Devant la glace, j’ai toujours beaucoup de plaisir à me transformer en bourgeoise BCBG qui s’apprête à passer la nuit avec une copine lesbienne.

Ma préparation achevée, je m’allonge sur le lit pour mettre en place mon fémidom. J’écarte la fente de ma culotte ouverte pour enfoncer mon préservatif féminin dans ma grotte. Pour pimenter la séance, je fixe sur mon gode ceinture mon calibre préféré en le glissant sous l’oreiller.

Je brûle d’impatience de voir ma belle de nuit avec cet impressionnant phallus attaché à sa taille. En l’attendant, je me masturbe comme une fille en me servant de mon pénis comme d’un clitoris et de mon cul comme d’un vagin.

Lorsque l’on frappe à ma porte, j’enfile une robe de nuit transparente sur ma guêpière en étant heureuse de pouvoir me montrer en femme devant ma visiteuse.

C’est au retour de l’une de ces aventures que ma compagne m’a posé ses questions embarrassantes en découvrant les marques de mes bretelles de soutien-gorge et de jarretelles sur ma peau.

Mais, revenons à Sandra.

Impatiente de commencer, elle me pousse dans un fauteuil en s’agenouillant entre mes jambes. Plongeant sa tête dans mes dessous, elle mordille le plug qu’elle m’a plantée dans les fesses.

– Tu mouilles déjà beaucoup Carole, s’étonne-t-elle en voyant ma culotte satinée tachée de sperme.

Sans attendre, elle m’entraîne dans sa chambre. Profitant de mon équilibre instable sur mes talons aiguilles, elle me culbute sur son lit. Relevant mon déshabillé sur mes hanches, elle s’allonge sur moi en serrant mon gland turgescent entre ses cuisses gainées de nylon.

– Je vais te faire découvrir mes talents, me dit-t-elle en retroussant sa robe.

Avec perversité, elle fait glisser sa chatte le long de ma hampe jusqu’à ce qu’un orgasme fulgurant m’emporte en me faisant exploser entre ses cuisses.

Sandra contemple avec satisfaction les épaisses coulées blanchâtres accrochées comme des guirlandes à ses bas. Puis, prenant une serviette dans sa table de nuit, elle s’essuie l’entrejambe en me disant :

– Attends-moi un instant, j’ai une surprise pour toi.

Elle réapparaît très vite en tenant dans la main une curieuse ceinture hérissée d’un triple gode.

Elle a un sourire au coin des lèvres en voyant ma surprise.

– Nous allons nous gouiner entre femmes, m’assure-t-elle en agitant son étonnant jouet sous mes yeux.

Elle laisse tomber sa robe à ses pieds en retirant sa culotte en dentelle.

Je contemple sans me lasser cette fille superbe qui ne porte plus que son corset, ses bas et ses cuissardes.

Elle plonge le premier gode dans sa chatte en étouffant un gémissement de plaisir. Me fixant d’un regard trouble, elle appuie le second contre sa rosette en l’enfonçant lentement dans ses reins.

– Ces deux godes vont coulisser en moi quand je vais te baiser, me dit-t-elle avec excitation en ajustant soigneusement les harnais sur ses hanches.

Elle est très excitante avec ses seins dressés et la taille serrée dans son corset rose et noir.

– Regarde, je t’ai réservé le plus gros, me dit-t-elle en me faisant face.

J’aperçois alors avec surprise l’énorme pieu qu’elle me destine.

– Je suis sûre que tu n’as jamais été prise par un tel calibre, s’exclame-t-elle.

Me défiant du regard, cambrée sur ses talons, elle caresse avec perversité ce gode monstrueux qui retombe lourdement sur ses genoux.

Je suis maintenant allongée sur le lit et mon cœur bat la chamade lorsque cette envoûtante femme phallique s’approche de moi. Je n’arrive pas à détacher mon regard de cette queue massive qui bat contre ses cuisses au rythme de ses pas. Son diamètre va croissant en atteignant neuf centimètres à sa base. Je distingue nettement les grosses veines saillantes qui courent sur sa hampe. Je suis effrayée à la pensée d’être prise par un tel calibre.

Debout, sanglée dans son corset, Sandra l’empoigne à deux mains. Elle bascule son bassin d’avant en arrière en donnant de puissants coups de reins dans le vide pour me faire comprendre ce qui m’attend.

– Il est gonflé de sève, me dit-t-elle en pressant les bourses de ce phallus hors norme.

Avant que je puisse réagir, un jet puissant fuse en épaisses coulées blanchâtres sur mon visage. Puis, Sandra vient se coucher à mes côtés en m’allongeant sur le ventre.

Elle effleure d’un doigt les renflements qui entourent mon anus et qui témoignent de mes nombreuses expériences anales.

– Eh bien ma belle ! Je vois que tu as l’habitude de te faire enfiler.

Elle explore longuement ma rosette avec sa langue en me faisant gémir de plaisir.

– Mets-toi sur le dos, m’ordonne-t-elle quelques instants plus tard.

Elle lubrifie mon fourreau avant de glisser ses doigts l’un après l’autre dans ma culotte ouverte. Puis très vite, c’est sa main gantée de latex qui s’enfonce dans mes reins.

– C’est la position la plus efficace pour te pilonner la prostate

Je regarde fascinée la queue monstrueuse qu’elle vient de poser sur mon ventre. Sa taille va de mon pubis jusqu’à la hauteur de mes seins, mais c’est surtout son diamètre qui me donne des frissons.

-Tu seras la première que j’embroche sur un tel pieu, m’affirme Sandra en l’engageant entre mes cuisses.

Empoignant mes talons-aiguilles, elle soulève mes jambes en m’écartant les cuisses.

J’ai une envie irrésistible d’être prise par ce sexe impressionnant quand je le sens glisser dans le sillon de mes fesses. Puis, sous la pression, mon œillet s’ouvre peu à peu comme un fruit mur.

Son diamètre croissant me dilate à l’extrême et je soulève mon bassin pour mieux m’empaler. Chaque centimètre me comble d’un nouveau plaisir.

Je croise mes jambes dans son dos pour garder mon bassin soudé au sien pendant qu’elle me pilonne à grands coups de reins.

– Tu as maintenant une queue de deux kilos plongée jusqu’à la garde dans ta chatte, me confirme-t-elle.

Faisant de larges mouvements circulaires avec son bassin, elle me fouille le ventre en sentant vivre les deux autres godes dans ses orifices. Parfois, elle sort de mon fourreau et attend que mon œillet se referme pour me transpercer à nouveau. Peu à peu, je sens le désir monter dans mes reins et j’écarte les cuisses pour qu’elle puisse m’embrocher sous tous les angles.

Mes râles de plaisir ne tardent pas à résonner dans la chambre.

– J’ai trouvé ton point G, me dit Sandra en voyant quelques gouttes séminales sortir de mon gland.
– Ta queue va bientôt exploser, rajoute-t-elle en me masturbant.

A peine a-t-elle terminé sa phrase que mon sperme jaillit entre ses doigts en inondant ma guêpière. Peu après, Sandra se lève et détache son gode ceinture en s’exclamant :

– J’aimerai aussi avoir une prostate pour jouir davantage quand on me sodomise.
– Maintenant, c’est à ton tour de me donner du plaisir.

Je l’allonge sur le dos en lui murmurant à l’oreille ce que je compte lui faire. Ses yeux brillent de désir en découvrant le plug que je tiens à la main. Elle laisse échapper un gémissement quand je le plonge dans ses fesses.

– Ce jouet va comprimer ta chatte de l’intérieur en la rendant aussi étroite que celle d’une vierge.
– C’est génial, je vais donc pouvoir te serrer plus fortement la queue, me dit-t-elle avec excitation.
– Viens vite, je n’en peux plus d’attendre, me supplie-t-elle en prenant ses talons à deux mains pour écarter les cuisses.

Lorsque je la pénètre, elle croise ses jambes dans mon dos pendant que sa chatte humide et avide de sexe me dévore la queue avec une rare voracité. C’est un véritable gant de soie qui aspire et me serre le sexe. Pendant de longues minutes je m’active en elle avec ardeur en la faisant gémir de plaisir. Puis, je lui retire son plug en l’allongeant sur le côté pour prendre ses fesses.

Tout en lui pilonnant les reins avec ma queue, je fais aller et venir un gode dans sa chatte en posant un vibro sur son bouton d’amour. Cette triple stimulation ne tarde pas à la faire décoller. Je m’active longuement dans ses reins jusqu’à ce qu’elle jouisse en m’inondant le ventre de cyprine.

– Quel pied ! S’exclame-t-elle en s’allongeant sur le dos. Maintenant reste dans mes fesses et laisse-moi faire, me dit-elle en empoignant mon gode préféré.

Sandra sait qu’elle doit me sodomiser pour que ma queue reste bien dure. Aussi, elle s’assoit dessus en me tournant le dos pour pouvoir me goder en même temps.

La pénétration anale est devenue pour moi une dépendance autant psychique que physique car c’est en étant prise et forcée que je me sens vraiment femme. Il est loin le temps où je me demandais comment on pouvait avoir du plaisir de cette manière.

A califourchon sur mon ventre, Sandra pilonne mon point G avec une efficacité diabolique. S’activant de plus belle, elle fait vivre le gode dans mes reins jusqu’à ce que j’explose dans sa chatte. Elle se relève un instant plus tard en épongeant le sperme qui coule de ses fesses.

– Eh bien ma chérie, tu m’as noyée, me dit-t-elle admirative en enfilant sa jupe.
– Maintenant, repose toi quelques minutes et regarde-moi.

Assise dos au mur, elle écarte les jambes en me fixant de ses yeux de braise. Elle s’enfonce un gode dans la chatte en posant un vibro sur son bouton d’amour. Au bout d’un moment submergée par le plaisir, son regard se voile.

Elle est vraiment très belle…

Je contemple sans me lasser ses seins dressés dans son corset, sa jupe retroussée sur son ventre et ses bas à couture sortant de ses cuissardes.

Elle fait durer son plaisir et finit par jouir dans une succession de spasmes. Toujours brûlante de désir, elle se met en levrette sur le lit, la croupe surélevée et la tête dans les draps.

– J’ai encore envie de toi, me dit-t-elle insatiable.

Excitée par cette vision, j’écarte ses fesses à deux mains en posant ma queue contre son œillet.

– Maintenant, ne bouge plus et laisse-moi faire, m’ordonne-t-elle les yeux brillants de désir.

Elle vient s’embrocher elle-même sur ma verge en entamant de lents et puissants va-et-vient. Puis, elle accélère le rythme en faisant claquer ses fesses contre mon ventre. S’apercevant que j’ai de plus en plus de mal à me contrôler, elle se colle contre moi en tortillant de la croupe pour m’achever. Dans le même temps, elle glisse sa main entre mes cuisses en tirant sur mes bourses pour me coller contre elle. Ne pouvant plus me retenir, je donne un dernier coup de rein.

Transpercée par le poids de mon corps, Sandra a le souffle coupé quand je la cloue sur le matelas en déchargeant ma sève au plus profond de ses reins.

Nous faisons une pause en imaginant des jeux de rôles pour nos prochaines rencontres.

Prise d’une inspiration soudaine, elle se lève et sort d’un tiroir un plug gonflable vibrant d’une redoutable efficacité.

– Allonge-toi sur le dos, m’ordonne-t-elle avec une lueur perverse dans le regard.

D’un geste précis, elle le plonge dans mes reins en le gonflant rapidement. Une douleur aiguë me submerge lorsque le ballonnet me dilate les entrailles. Sandra continue à presser la poire pour le faire grossir.
La tension dans mon ventre devient insupportable. Ma maîtresse pose alors un vibro sur mon frein pour associer le plaisir à la douleur. Lorsque quelques gouttes de sève perlent à la surface de mon gland, elle me comprime la racine du sexe en s’exclamant :

– Je t’interdis de jouir maintenant.

Pendant un long moment, elle fait varier la pression du plug en me dilatant à l’extrême. Puis, elle finit par le retirer de mes fesses. Un instant plus tard, je la vois lubrifier avec inquiétude le pieu qu’elle me destine.

– Il est trop gros, lui dis-je en protestant d’une voix faible.
– Sois sans crainte, il finira bien par rentrer, me dit-t-elle en riant.
– Je l’ai recouvert d’un préservatif anesthésiant que j’ai mis à l’envers pour que tu ne sentes pas la douleur quand il te défoncera la chatte.

Je tremble d’appréhension et de désir lorsqu’elle s’allonge tête bêche sur moi en appuyant le gode contre ma rosette.

Elle sourit en voyant mon visage exprimer successivement la surprise, la crainte, le plaisir. Très déterminée, elle parvient à engager de quelques centimètres le gland monstrueux dans mon fourreau anal.

La voyant faire une pause, je me relâche pour souffler un instant. C’est le moment qu’attendait ma perfide Maîtresse pour m’empaler.

– Tu as un cul splendide, s’exclame-t-elle sans pouvoir détacher son regard du long cylindre qui s’enfonce lentement dans mes reins.

En me voyant m’agiter, Sandra serre ma tête entre ses cuisses pour garder le contrôle.

A moitié étouffée, je me calme très vite. Elle sourit en voyant dans quel état elle m’a mise. Ma queue humide est tendue de désir. Elle sait qu’elle ne peut plus la toucher sans la faire exploser.

Elle prolonge alors mon plaisir par d’imperceptibles pressions sur le gode qu’elle sent tressauter dans sa main au rythme de mes contractions anales. Le moment venu, elle me prend dans sa bouche en m’enfonçant le gode jusqu’à la garde.

Pendant que je me vide dans sa gorge, Sandra étouffe mes râles de plaisir en collant sa chatte contre mes lèvres. Après cette séance torride, je reste allongée, les cuisses écartées, en gardant l’énorme gode vrillé dans mon ventre sous le regard de ma maîtresse qui adore me voir empalée de la sorte.

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4 réponses à Sublime Maîtresse par sandratvtg

  1. trans Lucille dit :

    Tout ce que j’aime, moi aussi j’aime me faire dominer de cette façon

  2. José dit :

    Domination et transsexuelles ! Voici un cocktail gagnant pour ce texte aussi bien écrit qu’excitant

  3. jean93001 dit :

    Bonjour

    j’aime beaucoup votre histoire et aimerai aussi la vivre – Bises Jean

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