Souvenir croustillant de Bretagne (mais pas une pâtisserie !) par Jean-Marc04

La dispute s’amplifiait .

Tranquillement installé à la terrasse du Café des Amis, sirotant un petit panaché bien frais, mon attention fut attirée par des mots un peu forts ;

– Si vous ne payez pas ce que vous devez, j’appelle la police !
– Mais puisqu’on vous dit que l’on vient de nous piquer notre fric ; je ne retrouve pas mon portefeuille dans le sac de ma copine.
– On m’a déjà fait le coup, vous payez ou j’appelle les flics !

Je me retournais, et vis un jeune couple en discussion animée avec le garçon de café ; la tension montait.
– Excusez moi, combien vous doivent-ils ?
– Ben, çà fait 8 €uros.
– Tenez, voici 12 €uros avec ma consommation.
– Bien, merci monsieur.

Les deux jeunes me regardent, un peu interloqués

– Merci monsieur, mais il ne fallait pas, on se serait débrouillés en appelant un copain
– On vous a vraiment piqué votre fric ?
– Oui, oui on n’est pas des voleurs vous savez !

Ils avaient l’air sincères et adorablement naïfs ;
Elle devait avoir à peine 18-19 ans, une petite robe d’été légère, mini, mini , des cheveux noirs coupés très courts à la garçonne, les yeux cachés par de grosses lunettes noires très mode, et un joli tatouage représentant un scarabée sur le haut de l’épaule droite
Lui sans doute du même âge, le classique jean et le tee-shirt débardeur, avec également un tatouage sur le biceps droit, une tête de chien-loup.
Des lunettes de soleil posées sur les cheveux, un sourire et un air sympathique.
Tous les deux d’ailleurs faisaient un petit couple branché et fort sympathique.

– C’est pas de chance, c’est sûr ! ! vous êtes d’ici ?
– Oui, on est en vacances pour 15 jours avant de travailler pour l’été ; on vient de passer le bac.
– Et alors, c’est bon ?
– Oui, on l’a eu tous les deux !
– Félicitations, et que faites vous à la rentrée ?
– Nat va aller en fac de lettres préparer une licence d’anglais, et moi je vais essayer médecine
– Au fait , moi je me présente ; je m’appelle Eric, mes enfants habitent dans la région ; je suis de Paris
– Moi c’est Nathalie, et mon copain c’est Jérôme ;
– Enchanté.
– C’est sympa quand même de nous avoir dépanné, mais on va pas pouvoir vous rembourser
– C’est rien, c’est rien ! Mais au fait, vous êtes copains – copains ou un peu plus ?

Nathalie, avec un très joli sourire, relève ses lunettes ; le choc : des yeux clairs, verts et immenses, rieurs et coquins à la fois

– On est ensemble depuis presque 2 ans !
– C’est chouette, vous faites un très joli couple, croyez en mon expérience de papy ! ! Au fait, çà vous intéresserait de gagner un peu d’argent ? histoire de vous refaire par exemple !
– On dit pas non, mais comment ?
– Ecoutez les enfants, vous avez quel âge au fait ?
– J’ai 18 ans et demi, et Jérôme aura 19 ans dans un mois.
– Bien, bien, mais je ne sais pas si je peux vous parler de çà !C’est un peu personnel, cela m’embête un peu.

Je faisais mine d’être gêné, pour les tester ; mais ils étaient si beaux que je me lançais très vite :
– Ecoutez, c’est un peu délicat ; je pense que si vous êtes ensemble, vous devez bien vous retrouver des fois en situation un peu … intime !
– Qu’est ce que vous appelez par là ? Vous voulez savoir si l’on baise ?

Ces jeunes m’étonnerons toujours !
– C’est un peu çà en effet, je n’aurais pas osé le dire comme cela.
– Et çà vous intéresse ?
– Je ne voulais pas être indiscret. ( quel hypocrite je fais !)

Nathalie attrapa la main de Jérôme, et d’un geste précis, sans honte ni pudeur, la posa sur son ventre, et même un peu plus bas.
– Il est à moi, il peut tout me faire
– C’est vrai çà ? Tout, vraiment tout ?
– Ben oui, tout

Elle me tendait la perche, peut-être pas si innocente que çà.
– Ecoutez, c’est vrai que je suis un peu vieux, ma femme est partie il y a bien longtemps, et je n’ai plus trop l’occasion de m’envoyer en l’air (j’avais décidé de me jeter à l’eau, sur le même ton que la jolie brune) Si je vous ai proposé de l’argent tout à l’heure, c’est pour vous regarder faire l’amour. Seulement vous regarder.
– Non, c’est pas vrai ! !

Aïe,aïe,aïe ! ! !

– Si cela vous choque, on n’en parle plus, sinon c’est 100 € pour vous regarder.
– Vous voulez me voir à poil, me regarder baiser avec mon copain pour 100 € ? Cà va pas la tête ?
– Pourquoi, c’est pas assez ?
– J’ai pas dit çà, mais quand même, c’est un peu bizarre votre truc ! Et vous ne voulez que regarder ; vous ne me toucherez pas, c’est sûr ?

Le Jérôme ne mouftait pas ; il triturait nerveusement la main de sa copine
– Ecoute, on peut pas faire çà quand même, lui glissa-t-il doucement ; c’est dégeulasse
– Oui, mais on a besoin de fric, non ?

On approchait du but.

– Ecoutez, je double la mise : 200 €, mais vous faites un peu des cochonneries, hein ?
– Quoi par exemple ?
– Tu le suces, tu te fais enculer,je sais pas moi ! c’est OK ?
– C’est vrai que c’est un peu spécial votre plan ; bon d’accord pour tout, pour 250 € je vous rajouterai une petite spécialité.
– On peut savoir ?
– Non, c’est la surprise.
– D’accord les jeunes, on va où ?
– Suivez nous.

Main dans la main, (qu’ils sont mignons) Nathalie et Jérôme m’emmènent dans les vieux quartiers du village .
– Jérôme a un appartement au 10 de la rue Basse, sous les toits ; il fait un peu chaud, on n’a pas la clim !
– Cà ira, çà ira, c’est parfait

Durant les quelques minutes de marche, j’eus le temps de détailler la jeune personne ; de taille moyenne, un peu rondelette ; sa robe courte laissait voir de jolies jambes bronzées, deviner des cuisses un peu charnues, et un derrière bien rond comme je les aime ! quant à son buste, il semblait assez modeste, mais bon , cela semblait jeune et ferme.
Jérôme avait un petit cul assez sexy, moulé dans son jean ; de taille moyenne aussi, mince et brun , très méditerranéen.

– On arrive.

Les trois étages furent vite gravis ;il faisait vraiment très chaud dans l’appartement, tout petit en effet..
Le lit trônait au fond, recouvert d’un joli dessus de lit méditerranéen, à côté d‘une grande douche en vieux carreaux couleur terre de Sienne.
Le coin cuisine, bien agencé, était à droite en rentrant.
Une table ronde était au centre de la pièce.
Assez coquet.

Nathalie m’invita à m’asseoir prés de la table
– C’est chez toi , Jérôme ?
– C’est l’appartement de ma grand-mère ; elle est partie en maison de repos ; c’était trop haut pour elle, de toutes manières.

La jeune fille était très à l’aise, ce qui n’était pas le cas du copain, silencieux et pensif.
– Il fait drôlement chaud ; mettez vous à l’aise. je vous sert quelque chose ! un coca ?
– Va pour le coca.

Je posais deux billets de 100 € et un de 50 sur la table.
– Voilà, comme convenu

Nathalie rafla prestement les billets

– Vous savez, c’est pas notre habitude, mais on a besoin d’un peu de fric pour les vacances ; Il n’y en a pas un peu plus ? Je te laisserai toucher pour 50 de plus.
Jérôme intervint, cette fois , assez agressif:

– C’est non, Nat j’ai plus envie.

– Arrête mon cœur, c’est pas terrible de baiser pour un peu de fric.

D’un geste rapide, Nathalie se campa devant moi et passa rapidement sa robe par dessus la tête.

– Pas touche, donc, c’est promis ?.
– OK ma fille, je serai sage.

Quelle jolie garce ! Pas de soutien gorge, et deux petits seins aux pointes très brunes et dressées ; quel régal ! !
Un ventre juste un peu rond, avec le piercing classique du nombril, des hanches superbes, des cuisses charnues comme entrevues dans la rue. Un petit slip blanc , suffisamment transparent pour deviner une toison bien noire et fournie.

Quand elle se retourna pour entraîner Jérôme vers le lit, ses belles fesses rondes à la manière des femmes noires , moulées à la perfection par sa culotte qui se perdait un peu entre les deux globes charnus.

– Déshabille-toi chéri, et regarde moi

Nathalie s’allongea sur le lit, écartant les jambes face à moi, et passait doucement sa main droite sur la partie bombée de son bas-ventre ; elle se caressait à travers le tissu , puis sur les cuisses, très près de l’entrejambe ; de son autre main, elle se tripotait alternativement les mamelons, les pinçant pour les faire pointer de plus en plus.

Jérôme, résigné, avait baissé son jean, enlevé le tee-shirt.
Surprise, il bandait déjà à moitié, son slip ne pouvant cacher le début de son érection. La situation ne devait finalement pas le laisser indifférent ! !

Il s’approcha du lit, Nathalie se releva à moitié, s’approcha du garçon debout devant elle, et sans hésiter, se mit à malaxer doucement le sexe de Jérôme à travers le slip.

– Tu bandes déjà mon cochon ! Viens que je m’occupe de toi.

Elle baissa doucement le vêtement, découvrant un fort joli sexe presque raide ; de taille correcte, foncé de peau, une touffe de poils très noirs surmontant des couilles rondes et pleines ; un bijou !

Sans hésiter, elle s’approcha de la queue dressée, la prit à pleine main, et fit ressortir le gland violacé ; elle le prit en bouche et se mit à le sucer lentement, branlant en même temps le sexe de sa main gauche.
Elle glissa sous son slip sa main droite, cherchant du bout des doigts son propre sexe, et , sans hésiter, se caressa doucement le bas ventre.
Je ne voyais que sa main cachée dans la culotte, mais c’était très bandant.

– Tu ne veux pas enlever ta culotte ?
– Si vous voulez.

Elle abandonna sa fellation, se mit debout et descendit son slip d’un geste naturel ; quelle superbe touffe, bien noire elle aussi et fournie comme je les aime !
Elle attrapa à nouveau le sexe de Jérôme, et l’engloutit.

Tout cela m’excitait ; je passais une main discrètement sur mon pantalon, et frottant à travers le tissu ma propre queue bien durcie.
Nathalie vit mon geste, s’arrêta de sucer

– Regarde Jérôme, ce vieux cochon, il se touche !
– Tu es marrante ma belle, çà m’excite vos cochonneries
– Vous avez promis de ne pas toucher.
– C’est vrai, mais je peux me toucher moi non, et me branler en vous regardant ?
– Si vous voulez mais n’approchez pas !

J’ouvrais prestement ma braguette et sortit mon sexe maintenant bien raide ; je le prit de ma main droite, et me mis à le caresser doucement.

Nathalie, qui suçait à nouveau son copain, n’en perdait pas une miette ; elle fixait ma queue dressée, tout en suçant Jérôme ; je n’avais pas à rougir de la comparaison.

Jérôme, jetant quelques coups d’œil vers moi, excité à fond, se mit à littéralement baiser sa nana dans la bouche ; je voyais sa queue s’enfoncer et ressortir sur un rythme de plus en plus rapide que le garçon imposait par les mouvements de son bassin.

– Arrête de faire çà, tu vas juter ; baise moi plutôt.

Nathalie entraîna le jeune mâle sur le lit, écarta largement les cuisses, nous dévoilant une vulve poilue et noire fendue d’une bouche luisante et rouge.

Jérôme plongea son sexe profondément, jusqu’à la garde, et de mit à limer sa copine comme un jeune fou ; en plus du spectacle extrêmement excitant de cette belle queue qui entrait profondément et ressortait dans un rythme d’enfer, avant de replonger, un clapotis obscène se faisait entendre ; Nathalie, mouillée comme une bête, ne pouvait cacher son excitation, et se faisait besogner avec fougue.
Je me branlais sans prendre leur cadence, car sachant me maîtriser (c’est l’expérience de l’âge, ma fois!) je voulais goûter le spectacle jusqu’au bout.

Nathalie, qui menait les débats, repoussa tout à coup Jérôme, se retourna, se mit à quatre pattes en tendant son cul de façon obscène.
On voyait entre ses fesses, les poils noirs de sa vulve, mouillés par le désir.
Jérôme l’agrippa par les hanches, s’enfonça comme un fou dans le con offert et se mit à pistonner ; son ventre en heurtant les fesses rebondies claquait sur la peau nue, et les fesses de Nathalie dansaient ne folle samba, malmenées par son jeune amant.

– Encule la !

Je n’avais pas pu me taire, avide de voir la queue forcer le petit orifice de Nathalie.
Elle fit une grimace que je ne compris pas d’abord, apparemment furieuse ,me regarda
– De quoi je me mêle ; vous avez peur de ne pas en avoir pour votre argent ?
– Non, non, mais j’aimerais que tu te fasses enculer ; vous l’avez déjà fait au moins ?

La réponse me paraissait évidente, à voir l’ardeur des deux baiseurs.

– Evidemment, mais laissez nous faire ; regardez d’ailleurs, mon cul est tout ouvert ; vas-y, Jérôme, enfonce moi tes doigts comme tu sais faire.


Jérôme sortit sa queue luisante et toujours fièrement dressée ; Nathalie se rapprocha, tendant son derrière, tout en saisissant le membre dressé , le caressant vigoureusement ,le léchant aussi.
Jérôme enfonça un, puis deux, puis trois doigts dans le con mouillé, et pistonna un moment ; un bruit insolite se faisait entendre, un clapotis prouvant si cela était nécessaire l’humidité du lieu.

– Vas y maintenant, défonce moi le cul.

Ahuri par tant de perversité, je vis un doigts luisant de mouille pénétrer l’anus brun de Nathalie, bordé de poils noirs et frisés ; un second, puis un troisième doigt forcèrent doucement le passage.
– Encore plus, enfonce, enfonce !

Le garçon ajouta le petit doigt, et je le voyais pousser assez fort ; le cul s’ouvrait, s’arrondissait autour des quatre doigts ; la paume suivit, et il cessa d’enfoncer quand la base du pouce atteint l’anneau de chair.
A part le pouce, quasiment toute la main de Jérôme était enfoncée dans le cul de Nathalie ; doucement d’abord, puis de plus en plus vite, il entrait et sortait sa main de l’orifice dilaté, et brillant de mouille.

La fille appréciait ; bizarre pour une si jeune gamine me demandais-je.
Elle branlait au même rythme la verge dressée , c’est à dire de plus en plus vite et fort.
Tous les deux soufflaient, et moi-même je m’astiquais sur ce même tempo, au bord de la jouissance malgré ma volonté de ne pas finir avant eux !

Nathalie ondulait des hanches, poussant son derrière vers la main du garçon qui continua à la pistonner un bon moment
– Oui, c’est bon, oui, vas-y fort, oui c’est bon, j’aime ta main, enfonce bien, fort, oui, fort, encore ! !
– Je vais jouir, vite avale moi.

Elle se précipita sur la queue, l’engloutit presque jusqu’à sa base, bougea la tête dans un large mouvement de plus en plus rapide ;
Jérôme, qui avait laissé a main engagée dans l’anus de Nathalie, se mit à gémir, puis à rugir de plaisir.
Nathalie fit sortir la queue , et, ouvrant la bouche largement , posa le gland turgescent sur sa langue, et se mit à branler comme une folle
Dans un dernier rugissement, son copain juta dans sa bouche, sur sa figure, en plusieurs jets saccadés de liquide blanc et épais.

Je ne pouvais plus me retenir, quelques va et viens vigoureux de ma main firent jaillir de ma queue plusieurs jets de sperme qui giclèrent sur mon ventre, mon pantalon et ma main.

Nathalie se retira brutalement, arrachant littéralement la main de Jérôme toujours enfoncée dans son cul ; l’anus, brillant et dilaté de façon obscène, palpitait, rouge, béant au milieu des poils noirs tous mouillés ;

– Viens boire mon cochon

Jérôme se mit à genou, tendit la figure vers le ventre de Nathalie qui s’était mise debout, les cuisses ouvertes, le ventre en avant.

– Viens toi aussi m’intima-t-elle.

Tiens, elle me tutoie dans l’excitation, me dis-je.

Je m’approchais, le sexe toujours raide et encore maculé de sperme.

– Mets toi à genou à côté de Jérôme.
– Que fais-tu ?
– Tu vas voir, c’est ma surprise ; allez buvez tous les deux, buvez ma pisse chaude.

Et dans la foulée, elle se mit à nous pisser sur la figure, pas un petit pipi timide , mais un jet dru et continu qu’elle dirigea par ses mouvements de bassin tantôt vers la bouche de Jérôme qui lapait avidement le liquide chaud et odorant, tantôt sur mon visage et ma bouche que j’ouvrais tout comme mon voisin, avide de goûter à ce divin nectar.

Elle pissa longuement, et nous eûmes droit à tout jusqu’à la dernière goutte.

Quand la douche dorée s’arrêta, Jérôme, en habitué, alla lécher la fente velue, pour en retirer toutes les gouttes de pisse qui y perlait.

Puis Nathalie se baissa, lécha le gland de Jérôme et le membre déjà un peu ramolli ;
Puis elle se retourna vers moi, un peu penaud avec ma queue maclée de sperme qui débandait.
Elle prit ma queue dans la main, la tritura un moment pour en faire sortir le gland encore luisant et bien rouge ; et se mit à la nettoyer à petits coups de langue.

– Mmmh, c’est pas mauvais pour une queue de vieux ;

Elle m ‘abandonna après un petit bisou furtif sur le bout de mon sexe.

– On vous offre quelque chose à boire ?
– Volontiers un Perrier pour diluer un peu le goût de ta pisse, ma chère. C’était très bon d’ailleurs.
– Mais au fait, comment à votre âge vous avez déjà ces pratiques un peu perverses quand même ; je sais pas, mais se faire sodomiser avec presque toute la main, se pisser dessus, avaler le foutre de son copain c’est pas commun à 18 ans ! !
– Ben vous savez, les films de cul, c’est pas fait pour les oies blanches ; on a commencé à en regarder il y a déjà un an passé ; le père de Jérôme a un stock dingue de films allemands et hollandais, avec beaucoup de pipi, mais aussi des chiens et des chevaux.
Au début, çà nous a choqué, même dégoûté ; mais en voyant le plaisir des acteurs porno, on s’est dit qu’on pourrait essayer ; on a commencé à se regarder faire pipi et même caca (des fois c’est excitant aussi) puis on s’est arrosé, puis on a un peu goûté, et voilà ! !
– Vous n’avez quand même pas essayer avec des animaux ?
– Non, non, çà c’est un peu trop ; et pourtant des fois, quand je regarde les actrices porno sucer ces grosses bites rouges et se les enfiler, cela me fait des choses dans le ventre !

– Et toi Jérôme, qu’en dis-tu ?

– Avec les chiens, cela ne me plaît pas, mais me faire arroser de pisse et la boire, j’aime bien ; et Nathalie aime tant cela que je veux lui faire plaisir.C’est vrai qu’elle est plus vicieuse que moi ; c’est elle qui veut toujours regarder les films cochons, et en les regardant, elle me caresse, m’excite et souvent après, me demande de faire pareil ! C’est super une copine comme cela !

– Cà je le crois volontiers ; mais comment vous pouvez faire tout çà devant un étranger, comme moi ?
– C’est pas souvent, c’est a deuxième fois ; la première, c’était en camping avec un copain ; nous avons fait des trucs sans trop se cacher ; il nous matait, et s’est mis à se branler tout en nous regardant.
– Cela nous a excité, et ce jour là on a joui comme des bêtes au lieu d’être gênés ; le copain s’est lâché aussi ; j’ai adoré regarder sa queue et son gland qu’il faisait bien sortir, et de le voir gicler pendant que Jérôme m’enfilait devant et derrière.
– Comme aujourd’hui d’ailleurs, cela nous a chauffé au maximum de faire des trucs devant vous, devant un vieux
– Enfin, un vieux ! un vieux ! !
– Oui mais vous pourriez être notre père, pas vrai ?
– Certes, mais j’ai pas des envies d’inceste vous savez !
– Peut-être qu’inconsciemment, j’ai des idées bizarres à ce propos ; pas me faire sauter par mon père, mais par un oncle qui lui ressemble ; il est un peu plus vieux que mon père, je l’ai surpris il y a 3 mois à poil dans le jardin, entrain de jouer au voyeur ; il matait mes parents qui s’envoyaient en l’air, et il avait sorti une queue énorme, et il se branlait .Je l’avais regardé jusqu’au bout, vu quand il avait juté plusieurs jets blanchâtres ; cela m’avait excitée, et j’ai fini par me caresser, la main dans la culotte ; et j’aurais eu vachement envie de sucer cette grosse queue, et même de me l’enfiler ! !

La conversation, en peu surréaliste, divergea ensuite sur les loisirs qu’ils allaient se payer avec mes sous ; on se sépara bien copains ; j’eus droit à la bise de Nathalie, qui me remercia d’avoir respecté ma parole, et de n’avoir pas cherché à intervenir ; mais pour achever de me donner des regrets, elle me glissa dans l’oreille « et pourtant, je pense que mon cul aurait adorer se faire remplir par ta belle queue ! »

Quelle garce décidément ! !
J’ai en conséquence gardé quelques regrets , mais d’autres très jolis culs, blancs, noirs, asiatiques ou métis (c’est les plus beaux !) ont eu l’insigne privilège de s’ouvrir sous la pression de mon sexe bien bandé.
Et cela m’a permis de vous raconter cet épisode croustillant d’un séjour en Bretagne, il y a bien quelques vingt ans.

J’imagine Nathalie dans sa quarantaine, certainement toujours aussi chaude et perverse, mais qui a dû rendre bien des hommes heureux avec son beau derrière fort accueillant, avec ses séances de douches dorées que finalement bien des hommes apprécient, et même des femmes,( j’ai quelques histoires à ce propos !)

Où es-tu belle Nathalie ? Es-tu toujours avec le discret mais efficace Jérôme ? As tu des enfants ?

Que de questions sans réponses, mais quel joli souvenir à vous raconter.

Jean-Marc

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7 réponses à Souvenir croustillant de Bretagne (mais pas une pâtisserie !) par Jean-Marc04

  1. Hureault dit :

    Pute un jour, pute toujours

  2. Lachenais dit :

    Je me suis bien branlé la bite en lisant cette belle histoire cochonne

  3. Paillasson dit :

    Que c’est jouissif une douche dorée qui sort d’une motte poilue qui doit être embaumee d’un nectar délicieux

  4. Fabrice dit :

    J’aime bien les récits avec du sexe décontracté comme celui-l)

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