Sous l’Aile de Madame et Monsieur 2 par Mondoi

Sous l’Aile de Madame et Monsieur 2 par Mondoi

Nos amoureux se retrouvent à la pause déjeuner, assis à la grande table de la cuisine avec le personnel qui bavarde de choses et d’autres. Fabien et Marie restent silencieux, encore sous le coup de ce qu’ils ont vus le matin, et surtout honteux d’y avoir pris du plaisir, l’un et l’autre se demande s’il osera en parler et s’interroge sur les changements provoqués en eux par cette vision de débauche, Marie sait qu’elle aime toujours Fabien, et lui la désire toujours, mais tous deux ressentent secrètement l’envie de découvertes sensuelles et érotiques, d’attirances envers le savoir et les jeux cochons des adultes…

Fabien a déjà été quelques fois chahuté verbalement par les femmes de la maison, allusions coquines sur son physique intime et ses connaissances sur « La Chose », Caresses furtives sur ses muscles et sur ses fesses, ces femmes plus âgées lui font un peu peur mais l’attire également par leurs formes pulpeuses. Bien que Marie soit jolie et bien faite, il a déjà eu des débuts d’érection en regardant leurs formes et en écoutant leurs propos grivois sur le sexe, pour lui, c’est une évidence que ces femmes matures en savent bien plus que les jeunes sur les différentes pratiques et subtilités des jeux de copulation…

Ainsi, un matin alors qu’il se dirige en t-shirt et boxer vers la salle de bain pour y faire sa toilette, il croise Annie, la femme de chambre, occupée à passer l’aspirateur dans le couloir, ils se font la bise et à peine est-il entré dans la salle d’eau qu’on frappe à la porte. Il l’entrouvre, c’est Annie qui vient lui demander toute souriante, s’il veut qu’elle lui frotte le dos sous la douche, son cœur en fait un bon, il hésite mais elle pousse la porte pour entrer sans attendre sa réponse, elle referme et donne un tour de clé, il sent que son sexe réagit dans son boxer, la situation lui échappe agréablement…

Il essaye bien de cacher l’excroissance de son caleçon mais déjà la femme de chambre le lui baisse aux chevilles et lui retire son t-shirt. Aussitôt sa verge se redresse et Annie le complimente sur ses mensurations en le traitant gentiment de petit cochon puis elle l’envoie sous la douche et commence à le savonner à mains nues. La toilette est délicieuse et durcit encore plus le sexe de Fabien, le faisant languir, elle lui savonne tout le corps sauf les parties intimes, au point qu’il se demande si elle va les lui laver ou s’il va devoir le faire lui-même, plusieurs fois elle lui effleure les bourses et les fesses…

C’est elle qui lui demande s’il veut qu’elle le lave « là », en désignant ses parties. Il fait oui timidement de la tête, elle ajoute qu’elle va lui laver aussi les fesses, il n’a qu’un vague souvenir de ses toilettes enfantines et redécouvre ce plaisir délicieux avec la femme de chambre. Après lui avoir enduit et massé verge et testicules de ses mains savonneuses, elle le décalotte doucement lui faisant remarquer que son gland sous le prépuce sent un peu le pipi, il rougit, les mains d’Annie glissent maintenant entre ses fesses, glissant délicatement dans sa raie et massant son anus, un endroit que Marie ne touche jamais…

La femme de chambre le fait se pencher en avant, mains contre le carrelage, elle lui écarte les fesses comme si elle les inspectait, un de ses doigts appuie contre ses plis annaux, elle lui demande de pousser comme aux WC, il obéit, et là, sans prévenir, le doigt glissant s’enfonce en lui d’une traite. Il a un hoquet de surprise, jamais on ne lui a fait une telle chose, il va pour protester mais la divine Annie lui reprend la verge de son autre main pour le masturber, il ne dit mot, surprit de trouver agréable l’addition d’une caresse à l’autre, le doigt bouge sans douleur dans son sphincter et le branle sur sa queue en rajoute…

La scène du coït sodomite masculin de ce matin repasse devant ses yeux. Il a soudain honte et peur de devenir comme eux, mais les sensations jouissives et le plaisir montant le laisse perplexe, il veut aller jusqu’au bout du plaisir que lui donne cette femme. Un plaisir tellement nouveau pour lui qu’il perd le contrôle de sa volonté, derrière lui, Annie le prévient qu’elle ajoute un deuxième doigt, pour un nettoyage plus profond, dit-elle, la chose devient envahissante, il se sent écartelé de l’anus, il pense même ressentir l’introduction de la verge du chauffeur, l’image de ses coups de reins repasse en boucle devant ses yeux…

Il pousse un râle incontrôlable, ses jambes flagellent, il éjacule puissamment sur le carrelage dans un orgasme démesuré puis il s’affaisse au fond de la douche. Pendant qu’il refait surface, il voit la femme de chambre inspecter les doigts qu’elle vient de lui retirer, elle ouvre un placard dont elle a la clé et en ressort un objet qu’il n’a jamais vu, elle lui explique que c’est une poire pour faire des lavements, pour la propreté, et qu’il en a besoin, de nouveau penché en avant, elle lui introduit l’embout dans les fesses et lui injecte par deux fois le contenu de la poire, la chaleur du liquide lui fait du bien, nouvelle découverte…

Après s’être vidé aux WC et finit sa toilette, Fabien descend à la cuisine pour prendre son café. Il y est accueilli par des sourires goguenards, la cuisinière lui demande devant les autres et d’un air entendu, s’il est content que ça soit fait et s’il a aimé ça, comprenant que la femme de chambre a déjà tout racontée, il rougit encore. Marie en est interloquée, elle est la seule à ne pas savoir de quoi il s’agit, elle le lui demande d’un regard interrogateur, mais Fabien reste silencieux, elle insiste en trépignant, la cuisinière la prend par le cou et lui dit affectueusement qu’elles vont lui expliquer… entre femmes…

***
Marie, un peu déçue et un peu jalouse, se demande ce qu’elles ont pu faire à Fabien et comprend tout à coup qu’elle a peut-être été trop curieuse, les femmes de la maison vont s’occuper d’elle, mais de quelle façon…?! À leurs façons…?! Elle se remémore avec angoisse la scène de la cuisine, espérant que ce ne soit pas comme ça, mais la douce chaleur qu’elle connait bien se réveille à nouveau en son bas ventre, ces femmes ont toujours été gentilles et protectrices avec elle, une gentillesse emprunte de douceur, voir même câline parfois, elle a de plus une certaine affection pour la servante, Gabie…

L’après-midi, l’heure de la coupure étant venue, les trois femmes et la petite Marie décident d’aller s’isoler entre elles pour faire leur pause dans les chambres du personnel, Gabie invite Marie dans la sienne, les autres les suivent. On se détend autour d’un café, on se met à l’aise en enlevant sa tenue de travail, affalées en sous-vêtements sur le lit et le sofa, seule Marie hésite à se déshabiller, pudique, même entre filles, les autres ne l’obligent pas, c’est Olga, la cuisinière, qui revient sur le sujet qui préoccupe Marie, elle invite Annie à raconter ce à quoi Fabien a eu le droit, pour son éducation…

Marie écoute sans broncher, elle est sidérée et jalouse qu’une autre femme ait pu toucher son amoureux, mais Annie est habile pour amener le sujet sur l’éducation sexuelle et l’hygiène, elle retourne la situation en demandant à Marie si Fabien a déjà osé lui toucher l’anus et si elle l’a osée aussi. Marie en devient toute rouge, elle bredouille que non, que c’est sale de faire ça, alors viennent les explications sur l’utilité du lavement, toutes les femmes sont d’accord sur le sujet, chacune donnant sa méthode et ses raisons de s’en faire un de temps en temps, propreté et constipation en sont les maîtres mots…

Marie, mise en confiance par l’intimité féminine de la conversation, se laisse aller aux confidences, elle avoue ne pas avoir fait ses besoins depuis deux jours. Gabie propose à Marie de lui faire un lavement pour qu’elle fasse et qu’elle se sente mieux au niveau de son transit, elle hésite à accepter, la cuisinière et la femme de chambre tentent de la convaincre en parlant de la propreté rectale pour les fonds de culottes et en cas de caresses amoureuses à cet endroit, pour illustrer leur propos, Annie tend ses fesses à Olga qui lui baisse la culotte et lui entre un doigt saliveux dans l’anus, il en ressort propre…

Les femmes sont aux petits soins avec Marie, elles l’entourent sur le lit, petits câlins, petits bisous, d’une voix douce et suave, chacune l’interroge sur sa sexualité : A-t-elle goûté aux femmes, prend-elle le zizi de Fabien dans sa bouche, aime-t-elle se faire embrasser le minou, Fabien lui a t’il fait l’amour dans les fesses, ont-ils fait des jeux de pipi tous les deux ? Gabie lui caresse les cuisses et sa main remonte sous sa jupe pendant que les autres femmes lui enlèvent son pull et ouvrent son chemisier, les caresses sont douces et Marie se sent fondre sans résister au bien être qui l’envahit, elle leur cède…

La main sous sa jupe vient d’effleurer plusieurs fois son minou et dans un réflexe incontrôlable, elle a ouvert les cuisses à l’attouchement, prenant cela pour une acceptation. Gabie à passé ses doigts sous l’élastique et les promène sur sa vulve mouillé, car elle mouille Marie, elle mouille sous les caresses des femmes, elle en a honte mais c’est trop bon, les mains sur sa poitrine lui font durcir les pointes. On lui ôte son soutien-gorge, sa culotte est baissée puis enlevée, on lui remonte les cuisses et le visage de Gabie disparaît sous sa jupe, une nouvelle chaleur humide lui enveloppe délicieusement la vulve…

Jamais on ne lui a fait de telles caresses, encore moins une femme. Fabien est parfois venu lui embrasser le sexe mais furtivement, sans s’éterniser, ce qu’elle ressent sous la bouche et la langue de Gabie est hors du commun. Les caresses des autres femmes sur son corps en ajoutent au plaisir, quand elles viennent l’embrasser sur la bouche, elle ne refuse pas la langue qui vient s’unir à la sienne, quand celle de Gabie vient lécher son anus, elle l’accepte sur son endroit le plus intime sans protester, elle n’est plus que jouissance, un premier orgasme la surprend et la submerge, une suave brulure se répand en son sexe…

Elle perd pied quelques instant puis reprend ses esprits, les femmes se caressent l’une l’autre autour d’elle. Gabie lui repose la question du lavement, Marie accepte, la cuisinière étale un drap de bain sur le lit et invite la jeune fille à se mettre à quatre pattes au-dessus. Pendant que Gabie va préparer le broc, Annie lui prépare l’orifice de savantes caresses digitales lubrifiées de vaseline, Marie imagine ce qu’a pu ressentir son Fabien sous ses doux attouchements, et comme lui, quand la femme lui demande de pousser comme aux WC, elle obéit et reçoit avec un gémissement le doigt dans son derrière…

La cuisinière lui caresse la fente pendant que la femme de chambre bouge son doigt en elle, passée la première impression désagréable d’écartèlement, voilà que notre Marie commence à apprécier la chose. Tout en s’occupant d’elle, les deux femmes lui demande si ça va, si elle a mal ou si elle aime, Marie dit que ça va, que c’est même agréable, Annie la conforte en lui disant que Fabien à beaucoup aimé ça et qu’elle a mis deux doigts pour lui ouvrir l’anus sans qu’il ne les refuse, proposant à Marie de lui faire pareil, la jeune fille accepte et se fait élargir, bien qu’un peu douloureux, elle en jouit de nouveau et fait pipi sous elle..

Annie retire ses doigts, provoquant le rejet d’une petite crotte. Gabie s’approche du lit et constate la chose, c’est le petit bouchon de sa constipation lui explique-t-elle, le lavement évacuera le reste. Accrochant son broc d’émail à un crochet mural, elle lui enfonce délicatement la canule et ouvre le robinet, Marie sent le liquide chaud lui gicler dans le colon puis lui envahir le ventre, la cuisinière vient écarter ses cuisses devant son visage, demande muette d’un éventuel broutage de sa part, Marie ne refuse pas et vient poser sa bouche sur les chairs humides et parfumées, Olga sent le pipi, Marie lèche quand même…

Les barrières s’effacent une à une pour Marie, jamais elle n’aurait crus accepter de telles choses, quand la cuisinière relève plus haut les cuisses présentant son anus, elle y passe la langue, timidement au départ, puis prenant assurance, elle en darde le bout et l’enfonce dedans. Annie se masturbe en regardant la feuille de rose prodiguée, puis réclame sa part de l’léchouilles anales, Olga lui cède sa place pour venir caresser la chatte de Gabie qui termine le lavement. Elle retire la canule de l’anus de Marie puis sort un pot de chambre d’en dessous de son lit, le posant au milieu de la pièce, elle invite Marie à venir s’y vider…

La jeune fille, ressentant une crampe douloureuse, n’a pas un autre choix que de venir sur le pot afin d’évacuer son lavement devant toutes les femmes, honteusement elle se vide de ce qui l’encombrait, les femmes se tripotent en la regardant faire sous elle. Jamais elle n’a fait ses besoins devant une tierce personne, encore moins devant trois, elle comprend maintenant où ces femmes la mènent, vers les jeux dégoutant qu’elle a vue l’autre jour, sans compter tout le reste qu’elles préparent à présent, sortant de leur cachette des objets à plaisir, elle sait qu’elle est leur proie et qu’elles vont tout lui faire…

– Nous allons te faire le cul Petite Fille… lui dit la cuisinière autoritaire
– Ainsi tu seras prête pour l’offrir à ton petit copain… ajoute la servante affectueusement
– Et à d’autres hommes aussi… précise la femme de chambre vicieusement
– Tu vas nous offrir ton pucelage anal en remerciement de notre gentillesse… dit la cuisinière
– C’est pour ton bien que l’on va te sodomiser… Tu aimeras ce nouveau plaisir… rassure la servante
– Et ton petit copain y passera aussi… Après nous, et les gars, c’est toi qui le lui feras… lui dit la femme de chambre.

A suivre

 

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3 réponses à Sous l’Aile de Madame et Monsieur 2 par Mondoi

  1. darrigade dit :

    Mondoi a publié sur ce site quelques textes tout à fait corrects ! Mais pas celui là qui est raté de chez raté, ne perdez pas votre temps !

  2. philip dit :

    Ben c’est mauvais, et commment voulez-vous que l’auteur s’en sorte avec un scénario de départ ressemblant a du grand n’importe quoi

  3. dunlop16i dit :

    C’est malheureusement très artificiel et très factuel et l’érotisme a du mal à en émerger malgré le vocabulaire employé

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