Soubrette de Charme 9 – Anne, la factrice par Hélèna Sévigsky et Boris Vasslan

Soubrette de Charme
9 – Anne, la factrice
par Hélèna_et_Boris

Bien que faisant partie d’une série, cette histoire peut parfaitement se lire seule !

Ainsi donc, Gabrielle, ma patronne a adopté ce chien qu’elle a trouvé dans la forêt (voir le chapitre 7- Les chaleurs de Corinne). C’est évidemment moi qui doit le nourrir toutes les fins d’après-midi. Il est gentil, affectueux, mais un peu collant sur les bords ayant la fâcheuse tendance à s’immiscer entre mes cuisses chaque fois qu’il en a l’occasion. Situation gênante puisqu’en principe selon les souhaits de ma patronne, je ne porte jamais de culotte.

En ayant un peu marre je décidais d’en référer à ma patronne :

– Madame, je dois vous informer que votre chien devient de plus en plus collant.
– Collant comment ?
– Ben, il fout son museau entre mes cuisses !
– C’est grave ?
– Non, mais ça me gêne, je voudrais bien qu’il arrête !
– Er comment veut-tu que je fasse ?
– Je ne sais pas !
– Alors laisse-toi faire !
– Vous plaisantez ?
– Pas du tout, moi aussi il vient me renifler la chatte, je trouve ça très agréable !
– Mais madame, vous êtes une salope !

Ça m’a échappé !

– Qu’est-ce que tu viens de me dire ?
– Oh, pardon, madame, je ne voulais pas…
– Tu m’as manqué de respect. Tu vas être punie !

Ben oui, le contraire eut été étonnant

– Et tu sais ce que je vais t’infliger comme punition ?
– Non, madame !

J’ai quand même un horrible doute.

– Assis-toi sur la chaise, relève ta jupette, écarte tes cuisses.
– Non pas ça, madame !
– Ça ne va pas te tuer, et comme je te connais t’es capable d’aimer ça !
– Choisissez-moi une autre punition, ce que vous voulez…
– Si tu continues à rouspéter, la punition risque d’aller plus loin, allez, en position
– C’est trop cruel !
– Mais non !

Je me mets dans la position demandée, je ferme les yeux ! Quelle idiote j’ai été de traiter ma gentille patronne de salope !

Mais c’est vrai qu’elle est un peu salope, d’ailleurs elle mouille, elle porte sa main à sa chatte et vient m’imbiber la mienne, puis elle appelle le chien

– Trouvé (ben oui il s’appelle Trouvé), viens lécher cette pute !

Et ça y est, le chien à sa langue sur ma chatte. Je garde les yeux fermés, m’imaginant avoir affaire à un sex-toy infernal. Car pour être infernale, sa langue n’y est pas qu’un peu.

– Ouvre-toi bien qu’il puisse te lécher partout.

J’obéis sans réfléchir, sa langue recouvre tout y compris mon clitoris, je vais jouir, je vais jouir sous la langue d’un chien, je suis la reine des salopes.

– Alors c’était bon ?
– Qu’est-ce que vous m’avez fait faire ?
– Il est où le problème ! Tu y a pris du plaisir, non ?
– Mais c’est trop pervers !
– Justement c’est ça qui fait le charme ! Tu m’as trop excitée, je vais te montrer un truc !

Je m’attend au pire.

Gabrielle ouvre le frigo et en sort deux saucisses de Frankfort. Elle s’en introduit une dans l’anus, la fait aller et venir plusieurs fois, la ressort et la lèche, puis elle se la remet et cette fois c’est moi qui doit lécher. Ce n’est pas une corvée, j’aime le goût du cul de ma patronne.

Elle s’introduit la seconde saucisse, laissant la moitié dépasser de son anus, puis appelle le chien qui accoure gober la saucisse. Je rêve !

Elle couvre ensuite le chien de caresses et devant mes yeux écarquillés lui tripote la bite, un machin rouge et gluant qui bande effrontément.

– Hum je vais la sucer ! Me confie-t-elle.

Elle ne va quand même pas… si, elle le fait, elle a la bite du chien dans la bouche et lui prodigue une vraie fellation, elle a pété un câble, la patronne !

– Alors qu’est-ce que tu en dit ? Me demande-t-elle en reprenant sa respiration.
– J’en dis que vous êtes vraiment la reine des salopes !

Ça m’a échappé, à moins que ce soit mon subconscient qui s’amuse. Je sais qu’en disant ça, elle va me punir en m’obligeant à l’imiter. Peut-être le souhaitais-je après tout ?

– Tu le fais exprès Farida !
– Je ne sais plus où j’en suis !
– Ben viens sucer avec moi, ça t’apprendra la politesse.
– Avec plaisir madame !

J’ai vraiment dit ça, moi ! Je ne dois pas être bien nette en ce moment.

N’empêche que j’ai pris un plaisir trouble à sucer cette bite dégoulinante. J’ai ensuite regardé Gabrielle se faire monter par le chien. Elle ne m’a demandé de l’imiter, mais je sais que j’y aurais droit un de ces jours.

Il est bien brave ce toutou !

Il faut maintenant parler d’Anna et c’est la narratrice qui reprend le cours du récit.

Anne est grande, trop grande, aime-t-elle à dire, ses mensurations n’ont rien de standard et ses formes sont modestes. Son visage est agréable, quoique d’aspect plutôt pointu. Elle n’aime pas trop son teint trop pâle qui lui fait craindre le soleil, mais est malgré tout assez fière de ses jolis yeux bleus. Quant à sa chevelure brune, elle l’avait voulu coiffée à la garçonne ne souhaitant pas qu’une mise en volume intempestive puisse paraître la faire grandir encore davantage. Bref, elle est un peu atypique.

Anne ne parle pas de son âge, mais elle doit avoir entre 25 et 30 ans, elle vit avec un compagnon dont nous ferons connaissance beaucoup plus loin, elle n’a pas d’enfant. Elle est factrice dans une petite commune huppée des Yvelines et accompli sa tâche en vélo.

Depuis quelques semaines elle a changé de tournée et est chargée de la distribution du courrier dans la partie la plus cossue de la ville. Un autre monde… et si elle ne voit que rarement les propriétaires des lieux, elle en supporte la sous faune, la progéniture arrogante, le personnel de maison condescendant, ceux qui n’ont que le mépris du regard, ne sachant ni remercier, ni sourire. Au début c’est dur, après on s’y fait… On se fait à tout… Et puis il y a heureusement quelques exceptions, quelques personnes sympathiques, quelques bouffées d’air frais en quelque sorte dans ce monde étouffant.

Anne a eu l’idée de modifier un peu l’ordonnancement de sa tournée afin de terminer par la Rue des Lauriers, dans laquelle – pur hasard sans doute – l’accueil y est – du moins dans quelques maisons – plus sympathique qu’ailleurs.

Il s’était mis à pleuvoir ce jour-là. Tout d’un coup. Un presque orage qui n’avait pas eu le bon goût de s’annoncer… évidement Anne n’avait pas emporté de vêtement de pluie… Il ne lui restait alors que deux adresses à faire, elle évita l’avant dernière, se disant qu’elle y distribuerait le courrier un peu plus tard, voire le lendemain. Elle était trempée. Elle pourrait aussi reporter la remise de cette lettre recommandée à cette dernière adresse, mais allez donc savoir pourquoi, elle tint pour celle-ci à faire convenablement son travail.

La soubrette des lieux arrive, protégée par un parapluie. Anne la connaît maintenant un petit peu, mais elle est toujours aussi intriguée par son personnage. Une ravissante beurette à laquelle il est difficile de donner un âge, disons entre 30 et 40 ans, joli visage, les yeux noirs et profonds, une peau de miel. Des formes mises en valeurs par une tenue de servante d’opérette, la petite jupe noire, et son petit tablier blanc par-dessus, le petit haut à manches courtes et au décolleté provoquant, et pour parachever le tout, une petite coiffe blanche piquée dans sa chevelure de jais.

Qui sont donc ses « maîtres » pour exiger de leur domestique un tel déguisement ? Se demande la factrice.

Leurs échanges ne sont jamais allés plus loin qu’un sourire de politesse et de quelques banalités vite prononcées. Mais à elle seule l’aura de gentillesse de cette curieuse soubrette ravissait notre factrice.

…Oui, mais aujourd’hui, il flotte !

– Vous êtes trempée ! constate Farida
– Pas bien grave, tenez, c’est un recommandé, vous me rendrez le papelard demain…
– Entrez-vous mettre à l’abri cinq minutes en attendant que ça se calme.

Anne accepte bien sûr, et elle accepte aussi le café fumant que la soubrette lui propose ensuite.

C’est ainsi que suite à cet événement, chaque passage de la factrice s’accompagnait désormais de quelques minutes de bavardages ainsi que d’une tasse de café qui finit par devenir, elle aussi, habituelle.

Quand même, Anne restait intriguée, elle avait envie d’en savoir davantage sur cette femme mystérieuse, mais n’osait bien sûr rien demander, guettant l’occasion qui lui ferait peut-être un jour poser la question.

Et puis un jour Anne arriva avec l’index en sang ! Oh rien de bien grave, une grosse égratignure, mais enfin ça saignait, ça saignait pas mal, même !

– Je me suis écorchée sur cette saloperie de boite aux lettres, juste à côté, elle est à moitié rouillée, ils pourraient la remplacer quand même !
– Oh ! Ma pauvre bibiche ! Compatit alors Farida avec une familiarité jusqu’alors peu coutumière, je m’en vais te soigner ça !

Anne se surprit alors à s’étonner qu’une soubrette puisse se permettre de la tutoyer, avant de chasser cette pensée décidément ridicule.

Farida s’en fut alors chercher de quoi désinfecter et faire un petit pansement.

– Et voilà, c’est réparé !
– Merci, c’est gentil !
– Ça ne mérite pas un petit bisou à la gentille petite infirmière ? Se moqua alors la soubrette.

Anne lui fait alors un petit bisou sur la joue, et ajouta presque par réflexe :

– Ho ! Ça sent drôlement bon ! C’est quoi ?

Farida énonça le nom d’un parfum de marque et ajouta que celui-ci lui était fourni par ses employeurs…

La perche était tendue ! Anne la saisit !

– Ils sont sympas tes… je veux dire vos employeurs ?
– Super ! Répondit Farida sans hésiter une seconde.

Anne ne comprend pas bien, il existe certes, des gentils patrons, il existe aussi des serviteurs particulièrement zélés, mais un tel enthousiasme spontané la sidère et elle ne peut s’empêcher de le lui faire remarquer :

– Quel enthousiasme !
– Je ne vois pas pourquoi je me plaindrais, je suis très bien payée, ils sont sympas, ils me respectent et ils ne m’ont jamais obligé à faire des trucs que je ne souhaite pas…

Trop d’informations à la fois. Anne ne pige plus rien du tout… Une servante très bien payée ? Mais qui n’accomplirait pas certaines tâches ? Pourquoi ? Lesquelles ? Peut-être aura-t-elle un début de réponse en posant la question qui en fait lui brûle les lèvres depuis si longtemps :

– Mais ils vous obligent à porter ce costume ?
– Tu ne veux pas qu’on se tutoie ?
– Si, bien sûr… Mais excuse-moi de te demander ça, c’est peut-être indiscret ?
– Mais, non… En fait, je ne suis pas vraiment obligée, du moins pas en permanence, mais disons que ça fait partie du contrat !

Farida se rend compte alors que son interlocutrice est complètement larguée, mais d’un autre côté, elle se dit qu’elle s’est peut-être trop dévoilée… C’est tout à fait ça, Farida, il faut toujours qu’elle cause… Elle hésite et puis trouve sa réplique, après tout elle n’est pas obligée de dire l’exacte vérité.

– Bon je vais t’expliquer mieux si tu veux, mais je ne voudrais pas que tu sois choquée…
– Choquée ?
– Un jour en cherchant un emploi je suis tombée sur une annonce, c’était un truc du genre : « couple très bon standing cherche soubrette peu farouche… L’expression « peu farouche » m’a amusé, je me suis renseignée et voilà !

Quand même, Anne vient de comprendre, du moins elle espère avoir compris ! Choquée, non, ce n’est pas son genre, mais surprise et amusée, oui certainement.

– Ça veut dire que ton employeur est « très libre » avec toi ? C’est ça ?
– C’est en effet comme ça qu’on peut résumer les choses.
– Ils sont marrants ces grands bourgeois… et sa femme ne dit rien ?
– Mais non, la patronne est aussi coquine que lui, ils jouent tous les deux en fait.
– Tu veux dire qu’avec la patronne, tu… euh… aussi…
– Ben, oui, mais ça ne me dérange pas du tout, j’ai toujours été un peu portée sur ce genre de chose.

Ça va alors très vite dans la tête de la factrice, des images se forment, des brides de souvenirs, contradictoires parfois, elle revoit ainsi les deux « gouines » dont tout le monde se moquaient dans son immeuble quand elle était petite, deux femmes restées laides dans sa mémoire, mais aussi ces improbables lesbiennes de cinéma visionnées sur l’un des rares DVD X qu’il lui avait été donné de regarder, improbables, certes, mais elle avait été incroyablement excitée et avait littéralement sauté sur son compagnon à la fin du film. Et puis aussi ces attouchements adolescents avec une camarade du collège, ça n’avait pas été bien loin et elle y avait mis fin, estimant que ce comportement l’emmenait vers ce qu’elle considérait comme de l’anormalité, elle l’avait toujours plus ou moins regretté, et parfois dans ces fantasmes, quelques corps féminins venaient s’inviter. Elle aimait d’ailleurs à se dire qu’à l’occasion pourquoi pas… mais elle ne recherchait pas. Toutes ces images se superposent, s’emmêlent dans un maelström incroyable, sa gorge devient sèche, l’adrénaline monte. Et elle d’habitude si réservée, se surprend à dire :

– Avec une femme… ouais, peut-être que j’essaierais un jour !
– Et je serais ton genre ? Lui répond la soubrette reprenant par jeu, la balle au bond.
– Arrête, je rigolais ! Répond Anne.

Farida n’insiste pas, ce n’était d’ailleurs pas son intention, et elles parlent alors d’autres choses.

Ce bref échange a perturbé Anne, elle se dit qu’elle a peut-être raté quelque chose, qu’elle aurait pu aller plus loin dans la conversation, rien que pour voir jusqu’où l’autre irait… De toute façon, elle ne lui aurait pas sauté dessus ! Pourquoi avoir reculé après avoir eu le courage d’avouer ses penchants, cela ne tenait pas debout, et puis comment relancer maintenant la conversation ?

Le lendemain, Farida la reçoit en l’embrassant sur la joue. Son parfum fit naître une nuée de sensualité chez la factrice qu’elle ne sut pas gérer. Elles sirotèrent leur café en parlant de tout et de rien mais en tout cas de choses sans doute bien loin de leurs véritables préoccupations du moment.

La factrice ne reviendrait maintenant que le lundi. L’image de la soubrette devenait envahissante, obsessionnelle y compris au cours de cette matinée du dimanche où son compagnon lui fit l’amour et fut surpris de trouver chez son amante bien plus de répondant qu’à l’accoutumé.

Lundi

Et le lundi matin en se préparant, elle se dit qu’aujourd’hui il devrait se passer forcément quelque chose, elle se maquilla un tout petit peu plus que d’habitude, mit un peu de laque pour ne pas que sa coiffure se dissipe, se vêtit d’un chemisier, elle qui n’en portait pratiquement jamais – elle se dit que s’il devait arriver quelque chose elle prendrait plus de plaisir à être déboutonné que retroussée – et s’aspergea légèrement avec un parfum dont elle n’usait d’habitude presque jamais. Elle accomplit sa tournée avec fièvre, se précipitant, maudissant ceux qui la faisaient attendre, pressée d’arriver là où son destin la conduisait.

Elle sonne, la porte s’ouvre automatiquement, elle franchit la trentaine de mètres nécessaire pour parvenir jusqu’à l’entrée de l’office. Pourvu qu’elle soit là, on ne sait jamais elle est peut-être malade ou partie faire une course ou occupée ailleurs… Et puis même si elle est là, il ne faudrait pas qu’elle ait ses règles, qu’elle soit de mauvais poil, ou tout simplement qu’elle soit indifférente… Mais pour l’instant la voici rayonnante, et cette fois c’est Anne qui l’embrasse chastement. Les pulsions sont trop fortes, Anne va craquer.

– Mon dieu quel parfum, ça me rend folle !

La factrice lui caresse les bras !

– Tu as la peau douce !

L’improvisation est totale, Farida plonge son regard dans celui d’Anne et la regarde droit dans les yeux avec un sourire conquérant.

– Tu m’as l’air en pleine forme !
– Je ne sais pas ce que j’ai, je suis tout excitée !
– Alors embrasse-moi mieux.

Laquelle voulût mettre ses lèvres sur l’autre la première ? On ne saurait le dire, mais elles se collèrent l’une contre l’autre. Le goût du rouge à lèvres de la beurette ne parut pas trop agréable à la factrice, mais déjà l’autre entrouvrait la bouche accueillant la langue fureteuse qui venait la visiter. Le baiser devint passionné, fougueux, ardent. Et puis comme saisie d’une sorte de décharge électrique, Anne se retire d’un coup.

– Qu’est-ce que je fais ? Je suis folle !
– Mais non, laisse-toi aller, tu as envie, tu ne fais de mal à personne !
– Tu dois me prendre pour une dingue !
– Le sexe n’est jamais dingue quand on se respecte ! Enonça alors Farida avec un ton doctoral qui pourrait paraître incongru dans un tel moment de fougue.
– Ça va trop vite, Farida !
– Qu’est ce qui va trop vite ? On n’a rien fait !
– Justement je ne veux pas qu’on aille plus loin !
– Alors on se donne cinq minutes, si au bout de cinq minutes, tu veux arrêter, je n’insisterais pas ! Répondit la soubrette, très joueuse.

Anne se demanda ce qu’elle pourrait bien répondre à une telle proposition, mais savait-elle elle-même ce qu’elle voulait vraiment ?

– Sorcière !
– Je sais ! Répond simplement Farida en replongeant vers la bouche de la factrice.

Les mains d’Anne sont à nouveau sur les bras de la soubrette, « Si la peau est déjà si douce ici, comment doit être le reste ? », elle hésite, envie de prolonger ces instants, de ne pas brûler les étapes, mais d’un autre côté, elle est dévorée par le désir, et tandis que sa partenaire lui pelote désormais la poitrine par-dessus son chemisier, elle plonge dans le décolleté de Farida faisant jaillir deux magnifiques seins à la peau dorée. Anne se demande comment ces merveilles ont pu jaillir si vite devant ses yeux qui n’en peuvent plus d’admirer ses deux beaux globes dont la rotondité se reflète à la lumière du jour. Les aréoles très brunes sont un petit peu irrégulières et parsemées de petites excroissances, les tétons sont trapus, épais, bruns très foncés et ont l’air d’implorer la bouche de la factrice qui s’y précipite sans demander à Farida si cela ne la dérangeait pas ! La déranger, oh, non cela n’a point l’air de le faire, si l’on en croit les petits gémissements qu’elle pousse alors.

– Mordille-les !

Quand même Anne s’inquiète :

– Et tes patrons ? S’ils nous surprenaient ?
– Monsieur travaille, madame est en repos, mais elle est partie je ne sais où, on ne risque rien… c’est dommage d’ailleurs !
– Pourquoi c’est dommage ?
– Parce que je pense que ça les aurait amusés, mais sois sans crainte… Et si tu continuais ce que tu étais en train de faire…

Anne revient sur les tétons de la soubrette et entreprend de les mordiller sans excès, Farida se pâme, mais finit par se dégager :

– Si on se mettait dans un coin plus confortable ?

Farida pensait d’abord emmener son amante d’un jour dans sa chambre de bonne, mais changea d’avis en chemin, trouvant beaucoup plus pervers de la conduire dans l’une des chambres à coucher de ses patrons (oui l’une des chambres, car ses messieurs dames faisaient souvent chambre à part). Elle choisit donc la chambre de Madame et emprunta au passage une grande serviette dans la salle de bain, car il n’était pas question d’aller salir le couvre lit.

– Et ben dis donc ! S’exclama la factrice.
– Ben, oui c’est pas du Conforama ! On se met à poil ?
– O.K. je me jette à l’eau !
– A mon avis tu t’en sortiras ! Plaisanta la soubrette.

Une fois nues elles se jetèrent sur le lit et s’enlacèrent. Leurs bouches s’unirent de nouveau. La factrice ne savait pas trop quelle direction donner à ses mains, mais elle faisait confiance à sa partenaire pour la guider.

Farida lui caressait les jambes.

– J’aime bien tes cuisses ! Commenta-t-elle
– Mes cuisses, qu’est-ce qu’elles sont mes cuisses ?
– Je sais pas, je les aime bien !
– Alors caresse-les !
– Ben c’est ce que je fais, et tu vois je vais remonter jusque-là !
– Ce n’est plus mes cuisses, ça ?
– C’est quoi alors ?
– Un minou !
– Moi j’appellerais ça un pubis, le minou c’est là ! Répondit Farida en y mettant la main. Hum c’est tout mouillé par-là, tu es tout excitée ma jolie !
– C’est de ta faute !

La soubrette changea alors sa position afin de venir lui lécher la chatte !

– Oh ! Qu’est-ce que c’est bon ! Continue ! T’arrête pas.

…et soudain

Un bruit de porte !

C’est Gabrielle, la maîtresse des lieux ! Elle n’aurait pas dû être là… mais elle y était ! Anne affolée, cherche à cacher sa nudité.

– Et bien Farida, on se sert de mon lit sans autorisation ?
– Oh ! Pardon, Madame !
– Tu seras punie, Farida !
– Oui ! Madame
– Et, je peux savoir qui est cette gonzesse ?
– La factrice, madame !
– Drôle de façon de distribuer le courrier.
– Je, je crois, que je vais me sauver ! Balbutie la factrice, rouge comme une pivoine, en essayant de s’envelopper dans la serviette.
– Je vous serais reconnaissante de laisser cette serviette tranquille. Mais ne paniquez donc pas, je ne vous chasse pas, je ne vous blâme pas non plus !
– Il faut que j’y aille ! Reprend la factrice complètement déstabilisée.

Elle lâche la serviette, se tourne et entreprend de ramasser ses vêtements.

– Vous avez de bien jolies fesses, savez-vous ?
– Je suis désolée, je vais partir !
– Je vous répète que vous n’avez pas à être désolée, si vous voulez partir, partez, si vous voulez rester, restez.

Elle ne répond pas et toujours de dos se remet son soutien-gorge.

– Votre soutien-gorge est mal agrafé ! Mentit Gabrielle, attendez, je vais vous aider.

Elle se pointe derrière elle, dégrafe le soutif et lui empaume les seins.

– Non ! Non ! Laissez-moi ! Ne me touchez-pas !
– Ce que vous faisiez à deux, on peut aussi le faire à trois… ils sont très doux tes seins, tourne-toi !
– Non, laissez-moi, je vais partir.
– Tu n’as pas envie de faire des choses coquines avec une belle bourgeoise ?

Elle lui attrape les bouts de seins, les pince.

– Arrêtez, s’il vous plaît !
– Tu n’aimes pas ?
– Je suis désolée, il faut que je parte ! répète-t-elle.
– Farida, peux-tu expliquer à ta copine que nous aimerions qu’elle reste !
– Anne, Madame Gabrielle veut simplement jouer avec nous, laisse-toi faire !
– Je ne sais pas…
– Et bien, justement, laisse toi faire !

Gabrielle contourne la factrice, lui fait face :

– Déshabille-moi !
– Vous déshabiller ?
– Oui !
– Je suis désolée…
– Je le vois bien que tu es désolée, on va finir par le savoir, mais déshabille-moi, J’ai envie de tes mains sur mon corps.
– Vous vous méprenez sur mon compte, je ne suis pas ce que vous croyez, j’ai juste eu un moment d’égarement avec Farida.
– Je ne t’ai pas demandé de me raconter ta vie, je t’ai demandé de me déshabiller ! Lui répond Gabrielle avec le plus envoutant des sourires.
– Bon, d’accord, mais je dois être folle, finit par dire Anne, vaincue et résignée.

Elle commence par enlever le haut de Gabrielle en le faisant passer par la tête, approche ses mains du soutien-gorge, les baladent un très court moment sur l’échancrure avant d’atteindre le dos à la recherche de l’agrafe. Ça y est, c’est dégrafé, elle dégage les bretelles, les jolis seins de la maitresse des lieux et leurs gros tétons sont désormais devant son nez… On devrait dire devant sa bouche.

– Suce-les !

Elle n’hésite pas, et se met à lécher et à sucer frénétiquement et alternativement les deux petits bourgeons offerts.

– Hummm, elle est bonne ta bouche, laisse un peu mes nichons, je vais y goûter.

Anne ne comprend pas, mais se laisse faire quand Gabrielle cherche sa bouche. Le baiser est long, et cette fois Anne est réellement entrée dans le jeu.

– Vous alors ! Dit-elle ensuite.
– Quoi « Moi alors ! » ? Sourit Gabrielle
– Vous embrassez bien !
– Il y a aussi deux ou trois autres trucs que je ne fais pas si mal que ça, n’est-ce pas Farida ?
– Bien sûr, Madame.
– Enlève-moi le reste, Anne !

Elle lui baisse son pantalon, puis son string.

– Allez embrasse-moi les fesses, j’adore ça !

Anne joue avec les fesses de la bourgeoise, les caresses, les malaxe, les embrasse, les lèche. Gabrielle se demande si la factrice va être assez hardie pour lui écarter les globes et s’approcher de son trou du cul. Elle se met sur le lit en levrette, tout en lui demandant de continuer. Faudra-t-il l’aider un peu ? Non, ce n’est pas nécessaire, le doigt d’Anne est maintenant très près de la rosette…

– Je peux !
– Bien sûr !

Et la voilà qui lèche le fion de la bourgeoise ! Farida en a un peu marre de faire banquette et caresse le dos de la factrice, puis ses fesses, puis sa langue lui fait ce qu’elle fait à sa patronne. La position est amusante, une sorte de petit train des lèche-culs !

– Hummm ! Qu’il est bon votre cul ! Ose dire Anne, à présent de nouveau complètement excitée.
– Ah ! Bon, qu’est-ce qu’il a de spécial mon cul ?
– Je ne sais pas, j’aime bien son odeur !
– Mets-moi un doigt !

Anne se suce l’index et le fait aller et venir dans le trou de Gabrielle. Farida fait la même chose à sa place et la factrice s’en tortille le popotin de plaisir.

La soubrette rigole, parce que connaissant bien comment fonctionne sa patronne dans ses moments-là, elle la sait parfaitement capable de demander à Anne de se lécher le doigt quand il aura fini de s’agiter dans son fondement.

– Renifle ton doigt !

Elle le fait comme dans un état second. Gabrielle se retourne, approche sa langue de l’index fureteur.

– Viens, on va le lécher à deux !

Etonnant spectacle, qui ne dure que quelques instants, bien sûr à cet exercice, les langues se frôlent, et le patin devient inévitable.

– Etale-toi sur le lit, tu vas me faire jouir, et pendant ce temps-là Farida va s’occuper de toi.

La soubrette s’immisce donc dans la chatte de la factrice, tandis que cette dernière se retrouve le visage collé sur le sexe de Gabrielle qui s’est semi accroupie à cet endroit.

L’intimité d’Anne est ruisselante, Farida s’en pourlèche, amuse sa bouche sur les replis de ses lèvres, puis avisant le clitoris érigé, le titille de l’extrémité de sa langue. La factrice réagit très vite, son corps s’agite et de son côté elle accélère la pression sur le bouton de la bourgeoise.

– C’est bon, c’est bon ! Dit cette dernière qui dans ces moments-là ne brille pas par son originalité littéraire.

Farida temporise un peu de façon à ce que sa patronne jouisse la première. Elle ne tarde pas à le faire dans un hurlement insolite. Alors la soubrette termine son travail envoyant Anne rejoindre Gabrielle au septième ciel. Les deux femmes s’enlacent tendrement, s’embrassent encore.

Farida un peu frustrée par la tournure des événements, mais dont l’excitation est loin d’être calmée entreprend de se masturber. Sa patronne finit par s’en apercevoir !

– Et bien Farida, tu fais quoi ?
– Je me masturbe, madame !
– Ma pauvre, on ne va pas te laisser comme ça, couche-toi sur le lit, je vais m’occuper de ta petite chatte, pendant qu’Anne va te sucer les nichons, vous voulez bien, Anne ?

Bien sûr qu’elle veut bien, et tandis que la factrice s’amuse à gober les tétons de la soubrette, Gabrielle se régale de sa chatte tout en lui doigtant le cul. Curieusement Farida est un peu longue à venir, mais l’explosion finale n’en est que meilleure.

– Oh ! La la, quel coup de folie ! Commente Anne en se rhabillant et histoire de dire quelque chose.
– Il n’y a pas de mal à se faire du bien !
– Je vous laisse, ils doivent s’inquiéter de ne pas me voir rentrer à la Poste. Merci pour tout.

Elle s’en va comme une sauvage, pas de bisou, même pas de véritable aurevoir.

– Dommage qu’elle soit partie si vite, j’aurais bien discuté un peu, cette fille a du potentiel, ça se sent, je suis sûre qu’on pourrait faire plein de choses avec ! Elle t’a confié des trucs ?
– Non, pas grand-chose !
– Bon, tu vas t’arranger, pour la faire venir en dehors de ses heures de travail, je veux que cette fille soit mon esclave pendant au moins une heure. Et dans un deuxième temps je l’offrirais à mon mari. Tu te sens capable d’organiser tout ça, Farida ?
– Bien sûr, Madame, comptez sur moi !

Mardi

La séance de la veille l’a profondément marqué, le soir c’est elle qui a sollicité son compagnon pour qu’il la prenne, et pendant qu’il lui faisait l’amour elle se remémorait tous les instants passés avec Gabrielle et Farida. Elle appréhendait un peu sa visite d’aujourd’hui. Qu’allaient-elles se dire ? Elle n’était même pas obligée d’y passer aujourd’hui, puisqu’il n’y avait pas de courrier pour eux !

Elle y passa quand même.

Farida et Anne s’embrassent chastement sur les joues.

– Ça va ?
– Oui !
– Alors, ça t’a plu, le petit délire d’hier ? Demanda la soubrette avec un joli sourire complice.
– C’était un moment de folie !
– Tu recommencerais ?
– Je ne sais pas…
– Tu ne dis pas non ! Tu aimerais bien lécher à nouveau le cul de ma patronne, hein, dis-le !
– Arrête, tu vas m’exciter !
– Et puis lui mettre un doigt que tu lécheras ensuite… t’aimes ça, hein ?
– Oui, je peux être très cochonne quand je suis très excitée
– J’ai envie de voir tes fesses !
– Je n’ai pas le temps, là !
– Pourquoi tu ne viendrais pas en dehors de tes heures de service ?
– Ça pourrait se faire ! Minaude la factrice.
– OK, on en reparlera, montre-moi juste tes fesses, comme ça toute la journée je pourrais y penser !
– Bon vite fait !

La factrice baisse son pantalon, mais garde son string, puis tend son fessier à Farida. Cette dernière y dépose un « chaste » bisou, puis l’air de rien lui claque le cul !

– Aïe !
– Tu aimes les petites fessées ?
– Quand c’est pas trop fort, oui !
– Et la domination tu aimes bien ?
– C’est quoi ?
– Tu joues à l’esclave pendant une heure, et le maître ou la maîtresse, ils peuvent te faire ce qu’ils veulent.
– Tout ce qu’ils veulent ? Pas n’importe quoi, quand même ?
– Mais non, C’est un jeu, il suffit de bien s’entendre au départ alors sur ce qui est possible ou pas !
– Ah ! J’ai jamais essayé !
– Je vais te faire une proposition. Tu es libre demain en fin d’après-midi ?
– Euh, oui !
– Alors, ma patronne t’attendra à 17 heures précises, tu sonneras cinq minutes avant, tu te mettras entièrement nue ici, puis tu monteras dans sa chambre, elle sera en levrette sur le lit, tu ne diras rien, tu te mettras derrière elle et tu lui lécheras le cul.
– Arrête de dire des bêtises, tu vas me faire mouiller.
– C’est pas grave ! Alors d’accord ?
– C’était sérieux ? Je ne sais pas !
– Mais si tu viendras ! Ne passe pas demain matin, tu en profiteras pour nous apporter le courrier l’après-midi !
– Je ne sais pas, allez, j’y vais, à demain peut-être
– A demain… 17 heures, tiens, ça c’est mon numéro de portable… En cas d’imprévu.

A ce moment, Anne ignorait encore si elle honorerait ce rendez-vous insolite, mais bien sûr, elle ne cessa d’y penser, y compris en sollicitant le sexe de son compagnon. Celui-ci ne comprenait pas cette série d’incroyables poussées libidineuses !

Farida était curieuse, vers 11 heures du matin, elle se mit en faction devant la fenêtre de la cuisine.

Anne termine sa tournée, elle a du courrier pour Gabrielle et son mari, le distribuer maintenant n’engage à rien, rien ne l’empêchant de revenir l’après-midi. Ne pas le distribuer est en revanche un signal fort. Elle ne sait que faire, s’approche de la boite aux lettres, hésite, avise la sonnette, mais ne l’actionne pas. Elle donne un coup de guidon et disparaît dans la direction opposée.

Gabrielle est partie s’occuper de sa galerie d’art, rue de Seine à Paris.

– Je crois que ça va être bon ! Confie la soubrette à sa patronne au téléphone.
– On verra bien, si ça se confirme, tu auras une prime !
– Merci madame !
– Tu resteras avec nous, je rentrerais vers 16 h 30 et je te veux dans ma chambre à 16 h 50

A l’heure dite, Farida découvrit sa patronne entièrement nue, le visage maquillée avec soin.

– Renifle-moi le cul, Farida, j’ai l’impression qu’elle aime les odeurs un peu fortes, j’aimerais bien lui faire plaisir.
– Ça sent effectivement un peu fort, je suppose que Madame ne s’est pas essuyée à fond.
– Tu supposes très bien ! Je vais me mettre un anus-picket dans le cul, je lui dirais de jouer avec, de me l’enlever et de le sucer… Oh ! Je sens que ça va m’exciter tout ça !
– Elle ne devait plus tarder, je vais descendre l’accueillir.
– Vas-y Farida, euh si elle n’est pas là dans un quart d’heure, tu me rejoindras, tu la remplaceras.
– Bien sûr, puisque c’est moi le bouche trou !
– Farida ! Je ne te permets pas !

Gabrielle balance deux petites gifles à la pauvre soubrette, lui faisant payer sa franchise, puis lui crache au visage. C’est un jeu, il n’y a dans ce geste aucune cruauté.

– Pardon madame !
– File, il va être l’heure.

A 17 h 05 Anne n’est pas arrivée ! Farida est un peu vexée par ce que lui a proposé sa patronne. Elle pense un moment que si Anne ne venait pas, ça lui servirait de leçon à la Gabrielle… Mais non la voilà qui arrive ! Alors la dissuader de monter ! Et c’est cette pauvre Farida qui va servir de défouloir ! Non, ce n’est pas une bonne idée…

– Tu es en retard, déshabille-toi vite !
– Je ne sais pas si je vais le faire, tiens, voilà le courrier !
– Elle t’attend, Anne, je viens de la voir dans sa chambre, elle est superbe !
– J’ai peur que ça aille trop loin !
– Si ça va trop loin, tu prétexteras une migraine et tu t’en iras… mais à mon avis tout se passera bien.
– Tu crois ?
– Dépêche-toi, son mignon petit trou du cul attend ta bonne langue !

Cette fois, elle est vraiment décidée, elle se déshabille à toute vitesse. Elle marque son étonnement quand Farida lui passe un collier de chien autour du cou, mais se laisse faire.

– Allez en route !

Anne entre dans la chambre, elle est subjuguée par le spectacle de Gabrielle qui lui expose sa croupe, le sex-toy planté dans son joli cul bronzé.

– Bonjour ! Balbutie-t-elle.
– Vous êtes en retard, Anne ! J’ai horreur de ça !
– Désolée, madame, j’avais mal estimé le temps qu’il me faudrait pour venir…
– Je ne veux pas le savoir, Farida, prend la grande baguette qui est sur la commode et donne-lui en dix coups sur les fesses.
– Pas trop fort, alors ! Indique la factrice.

Si Farida sait très bien manier les instruments qui servent à fouetter, c’est que Gabrielle a été une excellente professeure ! Elle commence donc par un coup moyen destiné à tester la résistance de sa victime.

– Aïe !

C’est un petit « aïe », ça ne lui a pas fait trop mal, elle augmente un peu, non là c’est trop fort, elle a donc trouvé la bonne frappe du premier coup, elle continue ainsi, trois coups, quatre coups, elle alterne les fesses… dix coups… ce devrait donc être terminé, mais la soubrette se livre à l’une de ces facéties préférée : elle frappe un onzième puis un douzième coup avant de reposer la baguette.

– Farida, tu ne sais plus compter ! Se moque Gabrielle.
– Parfois j’ai du mal ! Répond la soubrette avec une insolence feinte.
– Viens devant moi, mets ton visage devant le mien et ouvre ta bouche !

Farida sait ce qu’il va se passer, trois fois de suite, Gabrielle lui crache dans la bouche. Anne assiste fascinée à cette scène, elle est infiniment troublée, partagée entre répulsion et attirance…

– Allez, Anne viens me retirer ce machin qui est planté dans mon cul ! Et prends bien ton temps, tu le retires doucement avec des petits mouvements circulaires… Oui comme ça c’est bon…. Aaaah, enfonce-le un peu maintenant, et ressors le… Encore, continue comme ça ! Aaaah, vas-y retire-le. Aaah ! Alors tu le trouves comment mon cul tout ouvert ?
– C’est, c’est…. Très excitant !
– Il est ouvert pour toi, lèche-le maintenant !
– Je le mets où le gode ?
– Garde-le dans ta main pour l’instant. Viens, je veux ta langue dans mon trou.

Anne n’hésite pas et plonge sa langue dans cet œillet offert ! Elle se régale, et puis psychologiquement lécher le cul « merdeux » d’une bourgeoise, c’est pour elle assez fort.

– L’odeur, ça va ? demande Gabrielle.
– C’est assez… envoûtant !
– Envoûtant, c’est bien la première fois qu’on me dit que l’odeur de mon cul est envoûtante. Lèche aussi autour, je n’ai pas dû m’essuyer à fond tout à l’heure quand j’ai fait caca.
– Mais c’est déjà fait, chère madame ! Ironise Anne.
– Et c’était comment ?
– Votre merde a un joli petit goût.
– T’es vraiment une belle cochonne, toi !
– Pas tant que ça, je suis cochonne seulement quand je suis très excitée.
– Tu as toujours le gode dans la main ?
– Oui !
– Il est comment ! Je veux dire au niveau propreté ?
– Il est moyen !
– Ça veut dire quoi ?
– Qu’il est un peu merdeux !
– Nettoie-le ! Avec ta bouche !
– Juste un peu alors !

En fait de » juste un peu », Anne complètement partie dans ce trip sexuel, lèche le machin jusqu’à ce qu’il soit complètement récuré.

– Je suis vraiment une salope ! Commente-t-elle.
– Viens m’embrasser ! Lui dit Gabrielle.
– Je crains d’avoir un goût particulier dans la bouche ! Je viens de lécher le gode…
– Et alors ?

Les deux femmes excitée comme des puces se roulèrent alors un patin peu conventionnel.

– Je peux vous demander de me faire quelque chose ? Demande Anna
– Dit toujours !
– J’aimerais bien que vous me crachiez dans la bouche comme vous avez fait avec Farida !
– Ce n’est pas un problème !

Anne ouvre sa bouche, comme dans un état second et accepte les projections de salives comme s’il s’agissait d’une offrande.

– T’aimes ça, hein ? Et si je te pissais dans la bouche !
– Oui, oui, quand vous voulez !
– Et bien, ne perdons pas de temps allons-y, suis-moi la salle de bain c’est par là… Allez dans la baignoire, Anne, et ouvre bien la bouche, quand je pisse, je pisse !

Cela n’a vraiment pas l’air d’être une corvée pour Anne, elle ouvre une large bouche et avale tout ce qu’elle peut tandis que le reste lui dégouline sur la poitrine et sur le ventre.

– Tu ne vas pas me dire que c’est la première fois que tu fais ça ? demande Gabrielle.
– Non, c’est mon copain qui m’a initié, au début ça me dégoûtait, après ça m’a amusé, et maintenant j’adore ça !
– Et il en d’autres des pratiques un peu particulières, ton copain ?
– Dès fois quand il m’encule, il aime bien qu »après je lui nettoie le zizi.
– Je vois… C’est tout ?
– A peu près ! Il aime bien aussi qu’on lui mette un gode dans son cul !
– Ah ! Ah ! Que des godes, pas des vrais bites ?
– Non, mais tel que je le connais, il ne dirait peut-être pas non !
– Hum, tu sais à quoi je pense, Farida ? Lui demanda sa patronne.
– Oh ! Oui ! Répondit la petite beurette.

Anne s’est essuyée et les trois femmes sont revenues sur le lit. Gabrielle se couche sur le dos et demande aux deux autres de lui offrir un quart d’heure de caresses.

Farida qui a l’habitude de ce genre de choses opère un massage tout symbolique des épaules, et du dos. Anne est un peu gauche, mais commence néanmoins à peloter les fesses de la bourgeoise avec application. Les quatre mains se baladent partout, les pieds, les mollets, les cuisses, les bras. Mais c’est bien évidement le cul qui reste l’endroit le plus sollicité.

– Farida, 10 coups !

C’est rare mais ça arrive quand Gabrielle est extrêmement excitée, elle demande alors à sa soubrette de lui cingler les fesses. Farida adore ! Fouetter sa patronne lui donne pendant ce trop court moment une satisfaction sans doute plus psychologique que sexuelle.

Elle tape fort ! Rien à voir avec les caresses de cravaches qu’a reçu Anne tout à l’heure. Le cul de la bourgeoise s’est orné de trainées rougeâtres qui mettront plusieurs heures à disparaître.

Gabrielle se retourne !

– Allez, on reprend !

Ce sont les massages et les caresses qui reprennent, Anne a jeté son dévolu sur la poitrine de la bourgeoise, tandis que Farida lui lèche son sexe dégoulinant de mouille. Gabrielle se met à gémir, de plus en plus fort, de plus en plus vite, sa respiration se saccade, le sang monte au visage et au cou, la bouche devient sèche, puis un cri, le corps qui se soulève de quelques centimètres, puis elle retombe vaincu par sa propre jouissance, heureuse !

Elles sont toutes trois allongées sur le lit, Gabrielle au milieu, une sorte de pause en fait, agrémentées de petites caresses

Le portable de Gabrielle se met à sonner, quelle idée de l’avoir emportée ici ! Et elle répond en plus !

– Oui, René, je suis dans ma chambre avec Farida et une autre jeune femme… Mais bien sûr que tu peux monter…

Ça sent la mise en scène à plein nez ! Farida rigole intérieurement, mais pas Anne qui est devenu verte et qui se lève et murmure un :

– Je ne me sens pas très bien, je vais peut-être vous quitter !
– C’est comme tu veux, je vais te présenter à mon mari et après, tu pourras partir.

Anne n’en revient pas de pouvoir déguerpir à si bon compte. Mais déjà la porte s’ouvre, René entre :

– Alors, c’est la fête ici ?
– René, je te présente Anne, c’est notre factrice.
– Euh, bonjour Monsieur, balbutie cette dernière, en tentant de cacher sa nudité avec son jeans qu’elle vient de ramasser.
– Cette fille est une coquine absolument délicieuse, elle à la peau très douce et elle lèche comme une fée.

Anne qui a dû être caméléon dans une vie antérieure est maintenant écarlate comme un coquelicot.

– Je dois partir…
– Certes Anne, tu veux partir et c’est ton droit le plus strict, lui répond Gabrielle, J’espère que nous nous reverrons, mais je voudrais que tu répondes à une question !
– Oui !
– Tu as aimé être mon esclave ?
– Oui, mais…
– Oui ou non ?
– Oui !
– Alors, s’il te plaît, accorde moi cinq minutes de plus et après, tu pourras partir !
– Je ne peux pas partir maintenant ?
– Bien sûr que si, tu n’es pas prisonnière, mais je te demande cinq minutes de plus.
– J’ai un peu peur, madame !
– Regarde-moi dans les yeux, Anne !
– Oui !
– Donne-moi ces cinq minutes !
– Je ne sais pas !
– Si ! Tu le sais, réponds-moi !
– D’accord répondis ! Anne dans un souffle.

Et alors, il se passa quelque chose d’extraordinaire, Anne sans que personne ne le lui demande, laissa tomber le jean qui lui servait de paravent et exposa sa nudité devant René.

Elle se redresse, fière, presque hautaine !

– OK, je vais rester cinq minutes de plus ! Mais que va faire Monsieur ? Partir ? Nous regarder ? Ou participer ?

Gabrielle qui en a pourtant vu d’autres paraît décontenancée, le jeu lui échappe.

– A ton avis ? Finit-elle par répondre.
– Mais mon avis importe peu, je ferai ce vous me demanderez, avec infiniment d’obéissance, et juste pendant cinq minutes et ensuite je quitterai ce lieu !
– Je crois que cette jeune femme mérite une leçon ! Intervient René.
– Pas du tout ! Intervient Gabrielle, Anne je te félicite pour ton attitude, tu n’es plus mon esclave, pendant ces cinq minutes tu peux faire ce que tu veux, je t’y autorise ! D’accord René ?
– Oh, tu sais moi, je suis très joueur ! Allez Anne ! C’est toi la chef !

Anne n’en revient pas, elle semble réfléchir quelques secondes, puis s’adressant à René.

– Je vais donc demander à Monsieur de bien vouloir se déshabiller !

René s’exécute, il a le sexe semi bandé.

– Hum ! Monsieur a une bien belle bite, Madame doit se régaler quand il lui met dans le cul !
– Anne vous êtes vulgaire ! Plaisante Gabrielle.

Mais Anne ne peut pas répondre, elle a la bouche pleine, elle est d’ores et déjà en train de prodiguer une superbe fellation à René qui se pâme d’aise.

Bientôt l’homme pousse des petits cris, Anne le libère, et prend très rapidement la queue dans sa main et la masturbe à peine. Quelques secondes après ses seins sont aspergés de son sperme.

– Belle pipe, un peu court, mais bien : Commente le maître de maison.
– Les cinq minutes sont terminées, je crois, c’est dommage, j’aurais bien fait un petit truc !
– Tu peux prolonger ces cinq minutes autant que tu veux, ce n’est pas un problème, répond Gabrielle.

Les yeux d’Anne pétillent alors de malice, elle demande alors à Gabrielle et à René de se mettre au coin, chacun d’un côté de la pièce, le visage tournée vers le mur, puis elle appelle Farida.

Les deux femmes s’embrassent, se caressent se retrouvent très vite en soixante-neuf, les chattes sont baveuses, les clitoris sont érigés, les bouches sont gourmandes. Mélange explosif ! Explosion de jouissance ! Tendres Baisers !

– Bien joué ! Dira simplement Gabrielle quittant son coin sans qu’Anne ne lui ait dit de le faire.

Cette dernière ne répond que d’un sourire, puis s’approche de ses vêtements afin de se rhabiller. Gabrielle s’approche d’elle la cravache à la main, faussement menaçante :

– A genoux ! Lui ordonne-t-elle.
– Ah ! Le jeu n’est pas terminé ?
– Pas tout à fait, tu es toujours restée mon esclave, si on a inversé les rôles un moment c’est que j’ai bien voulu !

En disant ça elle pince avec force les tétons de la factrice qui gémit de douleur.

– Ouvre ta bouche !

Anne se prête au jeu comme tout à l’heure en recevant la salive de sa dominatrice. Gabrielle lui porte la main à la chatte.

– Tu mouilles encore ! Mais t’es une vrai salope !
– Ben faut dire que les circonstances…
– T’aimerais qu’on te lèche encore ?
– Peut-être !
– Et si je te faisais lécher par le chien ?
– Peut-être pas quand même !
– T’as essayé au moins ?
– Pas envie !
– Farida va chercher le chien.
– Je ne veux pas… proteste Anne
– On ne va rien te faire, tu vas juste regarder !

La soubrette revient avec le chien et le dirige vers Gabrielle qui lui offre sa chatte à lécher.

– Qu’est-ce que c’est bon de faire lécher par un chien ! Anne tu nous diras quand tu voudras essayer.
– Je suis obligée ?
– On ne t’oblige à rien du tout. Juste deux ou trois coups de langues et ce sera bon.
– Moi au début je ne voulais pas le faire, maintenant j’adore ça ! Ajoute fort opportunément Farida
– Bon juste un peu !

Et le chien vint alors lécher Anne qui pousse d’abord un « Oh  » de surprise avant de se laisser faire et d’apprécier cette douce caresse contre nature.

– C’est vrai que ce n’est pas désagréable, oh, aaahhh.

Elle a jouit, elle se redresse, chancelante

– Vous n’étés que des bourgeois pervers et dévergondés, mais je vous adore !
– Alors tout va bien !
– Tu reviendras n’est-ce pas ?
– Peut-être… Pourquoi pas ?
– Tu as une photo de ton copain ?
– Une photo, oui ! Pourquoi ?

Elle farfouille dans son sac, montre le cliché à Gabrielle

– O.K. ça colle. Quand tu reviendras, je veux que ce soit avec ton copain. Je veux que René l’encule devant toi !
– C’est de la folie, il ne voudra jamais !
– Tu trouveras bien le moyen de le convaincre !
– Je ne crois pas.
– Allez, je te libère, Farida, prépare-nous des rafraîchissements dans le salon, toutes ces bêtises nous ont donné soif !

Quelques minutes plus tard, René prenait congé de la factrice en l’embrasant chastement, Gabrielle fit de même mais en glissant dans sa main un joli petit billet de banque

– Non, je n’ai pas fait ça pour de l’argent ! Proteste-t-elle, un peu par réflexe.
– Je sais mais on vient de s’apercevoir qu’on a toujours oublié de donner un pourboire à notre factrice préférée, plaisante la belle bourgeoise.

La proposition de Gabrielle excite Anne. Le soir elle fait l’amour avec son mari, elle a sorti le gode et le sodomise avec. Elle tâte le terrain.

– Tu aimes ça te faire enculer, hein mon salaud ?
– C’est vrai que c’est bon !
– Et pourquoi tu n’essaierais pas une vraie bite ?
– Faudrait une occasion !
– Et si je te la trouve, moi l’occasion ?
– Pourquoi tu as rencontré quelqu’un ? Je ne suis pas jaloux, mais si tu as couché avec un mec je n’ai pas envie de le connaître.
– Mais non, écoute je vais te raconter une belle histoire !
– Après !
– Non maintenant, je vais te raconter tout ça pendant que je remue le gode dans ton petit cul de pédé !

Une semaine plus tard

On sonne, Farida ouvre, C’est Anne et Faustin, son copain.

Il est mignon son copain, très clair de cheveux, très fin, un peu biquet. On n’a pas de mal à deviner que dans ce couple c’est Anne qui porte la culotte.

Farida les installe dans les grands fauteuils du Salon. Faustin se demande où il est tombé et n’est pas trop rassuré.

Gabrielle fait son apparition, elle est très élégante, vêtue d’une jolie petite robe noire à bretelles, très décolletée. Elle embrasse Anne sur la bouche, puis s’approche de Faustin qui gauchement lui tend la main :

– Je vous en prie, embrassons-nous ! Propose Gabrielle. Ne bougez-pas.

Elle dépose alors un chaste baiser sur les lèvres du jeune homme subjugué.

– On vous sert quelque chose ? Thé, café, bière, vin, jus de fruit.
– Euh, un Coca ! Suggère Faustin.
– Ben, non on n’a pas l’article…
– Un jus de fruit alors !

Et tandis que Farida retourne en cuisine préparer les boissons, René fait son apparition, il ne s’est pas changé en rentrant du travail mais a déposé son veston et sa cravate. Lui aussi embrasse Anne sur les lèvres. Puis il s’amuse à déconcerter Faustin l’embrassant également, puis en lui pelotant les fesses avec ce commentaire :

– Humm… Ça va être pour moi, tout ça !

En attendant les boissons, puis en les buvant, ces braves gens s’échangent quelques banalités d’usage (miracle de la météo qui permet toujours d’engager la conversation). Puis subitement Gabrielle se lève, s’approche de Faustin, tournicote un peu devant lui :

– Vous me trouvez comment ?
– Heu, très belle !
– Merci. Est-ce que je vous excite ?
– Euh… Oui !
– Vérifions ! Reprend Gabrielle en lui plaçant la main sur la braguette.

Faustin sait à présent que la spirale infernale est enclenchée, le point de non-retour est atteint, il ne sortira d’ici qu’après s’être fait sodomiser. S’il veut tout faire cesser, c’est maintenant ou jamais. Anne a l’air à son aise. Gabrielle accentue sa pression sur son entrejambe. Faustin bande comme un âne. Gabrielle se redresse, s’éloigne d’un mètre :

– Viens ! Déshabille-moi !

Faustin se lève tel un zombi, passe derrière la maîtresse de maison, s’autorise à lui caresser les bras, puis dézippe la fermeture dorsale. La petite robe noire tombe à terre. Gabrielle s’est gainé les jambes de bas noirs retenus par un porte-jarretelles de la même couleur, le string et le soutien-gorge sont assortis

– Allez, continue !
– J’enlève quoi maintenant !
– Ce que tu veux ? Ah tu es bien embêté, qu’est-ce que tu aimerais voir en premier, ma petite chatte, ou mes beaux nichons ?
– Je vais commencer par le haut ! Décide Faustin.

Il enlève le soutif après s’être bagarré une bonne minute avec les agrafes, puis reste là béat devant cette poitrine magnifique qui semble le narguer.

– Je peux toucher ? Trouve-t-il l’audace de demander.
– Vas-y ! Aujourd’hui c’est la fête !
– Les embrasser aussi ?
– Aussi !

Il ne se le fait pas dire deux fois, il caresse, il pelote, il embrasse, il lèche, il suce, il se déchaîne. Il ne s’arrête plus… à ce point que Gabrielle doit lui rappeler :

– Tu n’as pas fini de me déshabiller !

Le jeune homme est confus, il quitte à regret cette douce poitrine, et se penche un peu pour faire descendre la culotte. Il s’aperçoit alors qu’elle est pas mal mouillée devant. Il en éprouve une grande fierté se figurant qu’il a fait mouiller madame en lui triturant les seins. Mais il a ensuite comme un doute quand il tient l’objet entre les mains. Il le porte à son nez et renifle. Et, oui, c’est bien ça, Madame a fait quelques gouttes de pipi dans sa culotte ou alors elle a oublié de s’essuyer.

– Lèche !

Comment ne pas obéir ? Il s’accroupit et introduit sa langue dans le fouillis de ses grandes lèvres qu’il écarte ensuite de ses doigts. Odeur de mouille, odeur d’urine, odeur de femme. Tout cela rend fou notre Faustin qui va encore une nouvelle fois être frustré par l’ordre de Gabrielle :

– Lèche derrière, maintenant !

Et hop, Faustin contourne la dame, et peut maintenant contempler son joli fessier. Comme il l’a fait précédemment pour les seins, il pelote, et ses lèvres et sa langue vont partout. Mais il sait très bien quelle sera la finalité de ce passage à l’arrière. Il écarte les deux globes, puis fonce langue en avant dans l’œillet qu’il pourlèche tant qu’il peut.

– Stop ! Mets-toi à poil maintenant, et toi aussi Anne !
– Complètement !
– Tu n’es autorisé qu’à garder tes chaussettes !

Et voilà tout le monde à poil, René aussi qui en a profité. Faustin qui est resté debout lorgne vers la bite du maître de maison, il est rassuré de constater qu’elle n’est pas surdimensionnée. Gabrielle s’approche de lui et lui met la main sur son sexe.

– Mais que voilà une jolie bite ! Commente-t-elle. En la branlant légèrement. Humm, je crois que je vais y goûter.

Elle se penche et embouche la quéquette du jeune homme qui se pâme d’aise au rythme des va-et-vient savants de la bourgeoise. Mais au bout de quelques courtes minutes, elle fait une pause, se retourne.

– Mais, Anne vous manquez à tous vos devoirs, au lieu de me regarder sucer votre mari, allez donc sucer le mien.
– A vos ordres, Madame, répond la factrice qui de façon très décontractée s’en va donc pratiquer une fellation à René.

Si Anne n’a pas été gênée de voir Faustin, son compagnon se faire sucer par « une autre », il n’en est pas de même pour ce dernier qui circonspect assiste au spectacle de sa copine engloutissant le sexe de ce bourgeois quinquagénaire.

– Ça t’excite, hein de voir ta copine faire des pipes ! Lui dit Gabrielle
– Je ne sais pas… balbutie-t-il.
– Mais si, ça t’excite sinon tu ne banderais pas.

Voilà qui rend notre Faustin dubitatif. Mais quand Gabrielle reprend sa gâterie, il se pose déjà moins de questions. Sa langue et ses lèvres agissent avec frénésie à ce point que notre jeune homme profère des « c’est bon, c’est bon ! » Mais l’objectif de la bourgeoise n’est pas de le faire jouir de suite. Elle stoppe une nouvelle fois, prend Faustin par la main, et l’emmène tout près du fauteuil où sa copine opère.

– Tu as vu comme elle suce bien René, c’est une bonne petite pute, d’ailleurs on va la payer pour ça ! Alors Anne, dis-nous si ça t’a excité de faire une pipe à mon mari devant Faustin.
– Bien sûr que ça m’excite !
– OK, relève-toi, Faustin va prendre ta place.
– Heu…
– Quoi « Heu » ? T’es venu pour ça, non ?
– Oui mais c’est quand même la première fois !
– Tu ne vas pas te dégonfler, non ? Nous serions très déçus et Anne également ? N’est-ce pas Anne ?
– Allez, vas-y tu en meurs d’envie ! Ajoute cette dernière.

Un coup d’œil circulaire, mais qui pourrait venir à son secours ? Même pas Farida qui est restée habillée et qui rigole dans son coin, attendant « sagement » qu’éventuellement on lui demande de participer.

– Peut-être qu’une petite fessée le motiverait ! Suggère Anne.

Faustin réfléchit à toute vitesse, une fessée il n’est pas contre, mais il se rend compte que ces atermoiements sont en train de tout compliquer inutilement, alors qu’il a quand même accepté de venir pour ça, alors il plonge sa bouche vers la bite à René et se met à la sucer.

L’atmosphère est de nouveau détendue. Faustin après quelques hésitations sur la technique à employer se met à effectuer des coulissage buccaux agrémentés de petits coups de langues. Il y prend rapidement goût et se dit qu’il a vraiment été con d’hésiter comme il l’a fait.

Anne et Gabrielle sont au spectacle, mais cette dernière n’est pas passive et ne cesse pas de peloter la factrice.

– On va peut-être passer à autre chose, c’était pas mal ta pipe pour un débutant. Dit René.

Il se lève, demande au jeune homme de se placer en levrette sur le tapis. Faustin a désormais balayé toutes ses hésitations et se met en position. René lui lèche un peu le cul, puis lui introduit un doigt.

– Tu aimes ça mon doigt dans ton cul ?
– Oui !
– Je vais t’enculer maintenant, tu le sais ?
– Bien sûr !
– Tu en as envie !
– Oui, j’en ai envie !
– Farida, prépare-moi ce petit cul s’il te plait.

La soubrette enlève rapidement sa tenue, et vient remplacer René derrière Faustin, elle le gratifie d’abord d’une longue et savante feuille de rose destinée à lui entrouvrir l’œillet, puis elle glisse un premier doigt, puis un deuxième, faisant pousser au jeune homme des soupirs d’aise. Elle les retire puis barbouille ensuite son anus de gel intime.

– Voilà ce petit cul est prêt, Monsieur René !
– Je vais donc pouvoir l’enculer ?
– Oui, monsieur René !

Ce dernier s’encapote, se présente à l’entrée du conduit anal, rate ses premières tentatives, mais finit par pénétrer…

– Humpf ! Dit Faustin, commentant ainsi son dépucelage anal.
– Ça va ? S’inquiète René, tout en commençant à faire des va-et-vient.
– Humpf ! Humpf !

Le début est un peu bizarre pour Faustin, mélange de douleur et de gêne. Mais René n’est pas un sauvage, il sait ce qu’il fait, et attend que le jeune homme s’habitue à ses coups de boutoirs pour accélérer la cadence.

– Ça va, c’est bon ?
– Oui, c’est bon !

René le lime ainsi pendant une bonne dizaine de minutes, il se retire sans avoir joui, car il a d’autres idées en tête.

Avisant la bite de Faustin qui bandouille, il se la met en bouche afin de la faire rebander.

Faustin se demande comment un homme pourrait le remettre en érection de cette façon-là, mais René en a déjà sucé des bites, et pas qu’un peu, et il sait parfaitement faire. Une minute a sans doute suffi à rendre à Faustin sa vigueur de jeune homme. Il n’en revient pas Faustin !

Et il en revient encore moins quand René lui tend une capote, puis se met à son tour en levrette.

– A ton tour de m’enculer !

Ce n’est pas son fantasme à Faustin, il est plutôt passif, et cette perspective n’a pour lui rien d’érotique, il hésite, ne sait pas trop comment faire pour se défiler.

– Je crois que je vais en rester là, j’ai un peu mal à la tête… commence-t-il.
– Quand on est en partouse, on est parfois amené à faire des choses qu’on aime moins que d’autres, mais les convenances exigent que l’on s’y prête. Alors mon petit bonhomme tu vas nous faire plaisir, tu vas laisser tomber ton mal de tête imaginaire et tu vas immédiatement enculer mon mari ! Lui dit Gabrielle.
– Bon d’accord, mais j’ai déjà débandé…
– Ça ce n’est pas un problème ! Répond Gabrielle en mettant le membre dans sa bouche.

Une minute plus tard, la vigueur de la bite de Faustin était retrouvée, il s’encapote et sans hésiter cette fois s’en va limer le derrière de monsieur René.

– Ne jouis pas ! Lui demande Gabrielle, le final ce sera pour moi.

Voilà une perspective qui réjouit notre Faustin qui ralentit son rythme puis sur un signe de Gabrielle, décule.

– Viens, on va se régaler ! Dit cette dernière à Anne en l’invitant à lécher la bite encapotée et pas très nette du jeune homme.

Quelques minutes après, Faustin sodomisait Gabrielle. Tandis que René manifestement épuisé se faisait faire une pipe par Anne.

Voilà, nos deux bourgeois ont bien joui, Les hommes sont crevés. Alors Anne se dirige vers Farida et lui dit simplement !

– Ils sont tous « out », si on pensait enfin à nous !
– Viens dans ma chambre ! Lui répond la soubrette.
– Et si Gabrielle t’appelle ?
– Elle ne m’appellera pas ! Viens vite j’ai trop envie de toi.

Fin

Alençon, mars 2010 © Boris et Helena

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

15 réponses à Soubrette de Charme 9 – Anne, la factrice par Hélèna Sévigsky et Boris Vasslan

  1. Jocelyn dit :

    Ah, si ma factrice était dans ce genre de dispositions…

  2. Reine dit :

    Bonjour Vassilia. Je suis Reine, un travesti très féminin et très docile., j’ai il y a peu de temps, essayé avec un chien, j’avoue que cette expérience m’a beaucoup plus.
    Continuez à nous raconter des histoires avec des chiens, mais leur faisons pas de mal, ce sont des braves bêtes

  3. Georges dit :

    Moi ma factrice elle ne monte pas les recommandés ! La poste c’est plus ce que c’était !

  4. Lucia dit :

    L’introduction est fabuleuse ! Le reste aussi d’ailleurs !

  5. Chung dit :

    La photo e cette belle femme poilue m’a fait bander, je me suis branlé en la regardant ! Oh lala !

    • Eddy dit :

      Pour information, cette très belle femme est un modèle anglais née le 9 août 1959 à Liverpool, elle se nomme Georgina Smith

  6. Muller dit :

    Tout ce qu’on aime dans ce récit magnifiquement écrit alliant humour, décontraction et érotisme torride voire extreme

  7. Valere dit :

    Une pépite !
    Je me suis branlé branlé à fond en lisant cette belle histoire

  8. Sorenza dit :

    Tout ce qu’on aime, et sans prise de tête
    Erection garantie

  9. Baruchel dit :

    de la perversité de bon aloi comme on les aime ici, on suce de la bite, on se pisse dessus dans bonne humeur et l’allégresse, Alleluia !

  10. Darrigade dit :

    Là, les auteurs on fait très fort… pour notre plus grand plaisir ! 😉

  11. Claire dit :

    D’une perversité inoui, mais c’est respectueux, plein d’humour, bref comme dirait notre webmaster, c’est vassilien

  12. muller dit :

    Excellent récit, c’est bien écrit, c’est très hot, c’est bien bravo !

  13. sapristi dit :

    Un superbe récit très vassilien, bien écrit et très excitant. Je vous le recommande

    • Verdon dit :

      Lecture sympa, en effet. Belles situations possibles et agréables à vivre ! Ce genre de personnes apparemment coincées dans les mondanités savent très bien s’offrir en petites apartés de belles réjouissances en profitant bien sûr du cul des petites gens qui les servent avec une soumission et un silence exemplaires. Il suffit de savoir se faire admettre.

Répondre à Darrigade Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *