Soubrette de Charme 8 – La visite de Guylaine par Hélèna Sévigsky et Boris Vasslan

Soubrette de Charme 8 – La visite de Guylaine par Hélèna Sévigsky et Boris Vasslan

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Il arrivait parfois que Gabrielle ma patronne me demandait de l’accompagner aux toilettes, et après qu’elle ait pissé devant moi, elle exigeait parfois que je lui nettoie la chatte avec ma langue. Je me prêtais volontiers à cette délicieuse fantaisie…

Et ce jour-là…

J’avais le matin nettoyé les toilettes, et remarquant que le dérouleur de papier était vide, j’avais pris soin de le recharger. C’est une heure après que ma maîtresse m’ordonna :

– Farida, rejoins-moi dans les toilettes !

Je n’étais pas très loin, je la vois se débarrasser de sa robe de chambre et y entrer nue, puis s’asseoir. Comme j’en ai l’habitude, je me positionne devant elle, attendant ses instructions. J’attends donc que cesse le joli petit bruit de son pipi qui clapote dans l’eau dormante, la lécher n’est jamais une corvée. Mais cette fois, elle ne me demande rien. Elle reste assise sur la cuvette et elle pousse. Voilà qui est nouveau ! En cinq semaines de services, j’ai eu droit ici à toutes sortes de choses, y compris des trucs limite scato… parce que les trous du cul que je léchais n’étaient pas toujours très propres… et puis parfois un doigt enfoncé dans un anus ressortait parfois pas très net, mais on ne m’avait rien demandé d’autre. Sur mon « questionnaire d’embauche » à la question sur cette pratique j’avais répondu « modérément » ! Je me rendais compte à présent que ce qualificatif ne voulait pas dire grand-chose.

J’entends deux grands ploufs qui accompagnent la chute de sa merde dans l’eau, puis un troisième, le tout accompagné de soupirs de contentement. Gabrielle se relève, je crois alors qu’elle va tirer la chasse. Non, elle me fait face :

– Ça fait du bien ! Me dit-elle.
– J’en suis ravi, pour vous ! Répondis-je !
– Farida !
– Oui, madame !
– Tu vas m’essuyer le cul !
– Oui madame !

Instinctivement, je me tourne vers le distributeur. Vide ! Bizarre ! Ma patronne a dû s’en servir pour nettoyer quelque chose ? Mais pourquoi avoir pris celui-là. Bref ce n’est pas bien grave et je vais pour prendre un nouveau rouleau dans le petit placard quand Gabrielle m’apostrophe.

– Qu’est-ce que tu fabriques ? Je t’ai demandé de m’essuyer, pas de fouiller partout !
– C’est que le distributeur est vide !
– Bien sûr qu’il est vide ! Puisque tu as oublié de le recharger !

Ah, bon, c’est ça le jeu ! OK ! Jouons !

– Pardon, madame, j’ai dû oublier !
– Et tu sais que ça mérite une punition ?
– Oui, madame !

Je me ramasse deux petites gifles. Puis Gabrielle se retourne, me présente son cul :

– La punition, justement, c’est que tu vas me nettoyer avec ta langue !
– Je… je ne sais pas si je vais pouvoir…
– Farida !
– Oui madame ?
– Farida, nettoie-moi le cul avec ta langue, et arrête de faire des manières !
– Je ne fais pas de manières, madame, mais je crains de bloquer.
– Farida, si je te le demande, c’est parce que je sais que tu es capable de le faire.
– Je ne sais pas, madame.
– Ce n’est pas la première fois que je te demande de me lécher le cul, même quand il n’est pas très propre.
– Oui, mais là, vous venez juste de faire !
– Et alors ? Qu’est-ce que ça change ?
– Je ne sais pas, c’est psychologique !
– Bon, alors liasse tomber la psychologie, commence par m’écarter les fesses et dis-moi comment c’est.

Je lui écarte les fesses

– Il y a des traces de merde autour de l’anus, Madame.
– Renifle-les !

Je le fais

– Alors ?
– Ben ça sent !
– Je m’en serais douté, mais ça ne t’écœure pas ?
– Non, madame, votre cul sent un peu plus fort que d’habitude, mais ce n’est pas un problème.
– Pose le bout de ta langue sur une des traces. Et dépêche-toi, je ne veux pas t’entendre !

Le ton est sec. Ma langue est là où elle a dit, pas de quoi s’affoler, je lèche un peu, ça va, finalement une fois le pas franchi, je sais que ça n’a rien de terrible, le goût n’a rien de repoussant même si c’est assez amer au fond de la langue. Je m’applique et non seulement en deux ou trois minutes, son cul est tout propre, mais j’avoue que cette situation m’a excitée !

– Et ben, dis donc, tu m’as l’air assez doué pour ce genre de tâche !
– Mais c’est un plaisir, madame de vous nettoyer les fesses !
– Tu as fini ?

Je vais la surprendre, la patronne

– L’extérieur est propre, mais si vous le désirez, je peux essayer d’entrer ma langue dans votre trou !
– Mais tu es une vraie cochonne !
– Ben, oui !
– Alors vas-y lèche !

J’appliquais alors ma langue sur l’anus, en forçant l’ouverture et continuait mon nettoyage avec passion. Le problème c’est que cette affaire-là m’excitait considérablement et que ne n’avais aucune idée de la façon dont je pourrais ensuite me calmer. Ce que je n’avais pas perçu de suite c’est que Gabrielle était aussi excitée que moi ! Elle interrompit brutalement mon anulingus, me prit par la main et m’entraîna dans la salle de bain, où elle me fit d’abord coucher par terre avant de se raviser.

– Non relève toi ! C’est moi qui vais m’allonger sur le tapis de bain, toi tu vas te mettre au-dessus de moi en soixante-neuf !

Ça marche, on y va ! Chic, elle va s’occuper de moi, je ne devrais pas être bien longue à réagir, mais elle veut quoi, que je continue à lui fouiller le cul, ou que je la fasse jouir aussi ? Mais au lieu de s’occuper de mon sexe, ma patronne se met à me glisser un doigt dans le cul ! C’est bien mignon, mais ce n’est pas ce que j’espérais.

– Et toi tu as envie ? Demande-t-elle.
– Oh, oui, je suis toute excitée !
– Ça je le vois bien tu mouilles comme un robinet, mais c’est pas ça que je te demande, je voudrais savoir si tu as une petite envie de faire caca !
– Hein ? Non, je ne crois pas !

Pourquoi elle me demande ça ? Elle a peur de se salir le doigt ou quoi ?

– Ben moi je crois que si ! Je sens bien qu’il y a quelque chose !

Je ne sais pas quoi lui dire, je ne sais pas ce qu’elle veut. Je ne réponds pas !

– Essaie de pousser ! Reprend-elle.
– De pousser ? Ici ?
– Ben oui, ici !
– Mais c’est dégoûtant !
– Je ne sais pas si c’est dégoûtant mais ça m’excite !
– Je ne pourrais jamais, madame !
– C’est un ordre, Farida !

Elle a pété les plombs. A la limite, ça ne me dérange pas trop, mais j’ai peur qu’un jour elle me demande la réciproque.

– Je crois que je vais désobéir !
– Et que tu vas t’en tirer avec une punition… Ben voyons ! Ce serait trop facile ! Alors on va faire autrement ! Ce n’est pas un ordre, Farida, je te demande de le faire pour me faire plaisir !

Vu comme ça, je peux peut-être faire un effort, je pousse. Mais tout ce que je réussi à faire c’est de pisser, du coup je ne pousse plus.

– Cochonne tu me fais pipi dessus ! Mais ne t’arrête pas pour ça, continue !

Bon, bon elle veut de la pisse, elle va en avoir, je ne me retiens plus et je continue à pousser. J’ai du mal, mais je me force, et j’arrive à libérer à un étron ! Je ne sais pas trop où il dégringole, mais ça a l’air de rendre Gabrielle toute joyeuse, la voilà qui me fout sa langue dans le cul alors que je ne sais même pas si j’ai fini de chier. Je ne sais pas trop quoi faire, je suis déconcentrée et mon excitation serait sans doute retombée si ma patronne ne s’était pas enfin occupée de moi de la façon que j’attendais. Du coup je pus lui rendre la pareille.

Gabrielle était assez intelligente pour ne pas systématiser ces fantasmes. Elle ne me refit pas de suite le coup du chargeur de papier-cul. Mais le jour où je le trouvais vide alors qui n’aurait pas dû l’être, je jouais le jeu… Ça la prenait de temps à autres et ça m’amusait. Nous n’avions, cependant pas été beaucoup plus loin que cette première fois.

Et puis un beau jour, il y eu la visite de Guylaine.

Gabrielle ne s’était livrée à aucune mise en scène, mais elle m’avait prévenu le matin :

– J’ai une vielle copine qui va passer. Elle est très chaude. Je pense qu’on s’enverra en l’air, en fait je le souhaite ! Elle va souvent assez loin, elle aime les jeux SM, l’uro, la scato… Il est possible que nous ayons besoin de toi !
– Bien, madame !
– La dernière fois, elle m’a dominé… Ah ! la salope, mais qu’est-ce que j’étais excité… Je pense qu’on fera autre chose aujourd’hui… Peut-être de la scato, je n’aurais pas besoin de la pousser trop… Retiens-toi d’aller à la selle, Farida, on ne sait jamais…

J’appréhende quand même…

Guylaine est une jolie femme mature, fausse blonde à lunettes, peut-être un tout petit peu forte, sans exagération et toujours souriante. Elle parle avec un langage très ampoulé que Gabrielle s’amuse à imiter. C’est assez tordant quelque part.

Il ne se passe pas grand-chose pendant plus d’une heure, je leur ai servi à boire, elles papotent comme des pies, ayant sans doute des tas de choses à se raconter.

Et puis sans doute de façon très innocente, notre invitée déclara :

– Je vais aller faire un petit caca aux toilettes, avec votre permission, bien entendu !

Le visage de Gabrielle s’éclaira. C’était l’occasion qu’elle attendait.

– Nous avons justement un problème, voyez-vous ils sont inutilisables aujourd’hui !
– Auriez-vous une fuite ?
– Non, c’est plus bête que ça, nous n’avons plus de papier… Mais la langue de notre soubrette le remplacera avantageusement !
– Je ne pense pas, non !
– Ma soubrette ne vous convient pas ? Répliqua Gabrielle, voyant soudain ses plans contrariés.
– Votre soubrette est tout à fait charmante, et je suis persuadée qu’elle lèche parfaitement les culs, mais la question n’est pas là !
– N’aimez-vous donc pas ce jeu ?
– Oh, que si je l’adore, mais en l’occurrence, devant une faute aussi grave vis à vis de votre invitée, ce ne peut être que la maîtresse de maison elle-même qui se doit d’accomplir cette besogne !
– Vous êtes diabolique, Guylaine !
– Je sais, alors je chie où ?
– Farida va aller vous chercher une assiette, et j’aurais ainsi le plaisir de voir votre merde sortir de votre joli cul !
– Une assiette ? Mouais ! Evidemment ! Mais je préférerais chier sur vous ! Ce serait tellement plus pervers !
– C’est comme vous voulez !

Après cet échange incroyable où les deux femmes s’amusaient à parler chic, j’allais donc sur instruction de ma maîtresse chercher une bâche en plastique. En revenant, je retrouvais Guylaine et Gabrielle entièrement nues.

– Couchez-vous Gabrielle, je vais d’abord pisser, je chierais après.

Un déluge jaunâtre dégringola bientôt du sexe de Guylaine qui après avoir soigneusement arrosé le corps de sa complice, visait à présent sa bouche qui s’ouvrait d’envie.

– Toi, la soubrette, déshabilles-toi, nous aurons sans doute besoin de toi !

J’obtempérais à l’ordre de Guylaine, assez inquiète de la suite des évènements. Notre invitée se pencha alors légèrement en avant et demanda à Gabrielle de se tenir derrière elle, à genoux !

Elle se mit à pousser, l’anus se dilata et bientôt un petit étron marron dépassa de quelques centimètres du trou de son cul.

– Venez Gabrielle, venez lécher ma merde !
– Guylaine vous exagérez !
– Dépêchez-vous donc, je ne vais pas rester comme cela éternellement, le reste ne demande qu’à sortir !

Gabrielle s’approcha alors du petit étron, mit son petit bout de langue dessus et commença à le lécher !

– Alors, vos impressions Gabrielle ?
– Mon impression c’est que je suis excitée comme une folle !
– Attendez, je vais en sortir encore un petit peu ! Ahhhh ! Je pousse !
– Mettez-moi cet étron dans votre bouche ! Détachez-le !

Gabrielle pinça le boudin merdeux à l’entrée de l’anus afin de le couper et conserva le morceau ainsi détaché entre ses lèvres !

– Allez, mettez tout dans la bouche !

Gabrielle garda quelques instants l’étron dans la bouche avant de le ressortir ! Elle s’en badigeonna alors le bas du visage.

– Allongez-vous, vite, il faut que je finisse.

Un autre morceau se fraya un chemin et se libéra, il devait bien faire quarante ou cinquante centimètres de long, il finit par se briser et atterrit sur le visage de Gabrielle en dessinant une sorte de courbe. L’incroyable c’est que ma patronne n’avait pas l’air du tout traumatisée, non au contraire elle rigolait, de façon complètement incongrue avec son étron sur la face qui n’arrivait même pas à enlaidir sa beauté naturelle.

– Hum ça fait du bien de chier une grosse merde ! N’est pas Gabrielle ?
– C’était un vrai plaisir de la recevoir en pleine poire, merci Guylaine, vous êtes adorable !
– Venez donc me sucer le fion au lieu de dire des sottises.

 

Gabrielle se débarrasse de son encombrant cadeau et se positionne à genoux devant son invitée qui écarte ses fesses. L’endroit est tout cacateux. Mais ma patronne n’hésite pas un seul instant et viens fureter sa langue dans tout ce fouillis, les plus grosses agglomérations de matière finissent par tomber.

– Hum c’est un plaisir de se faire lécher l’anus par une salope telle que vous !
– Tout le plaisir est pour moi, il y a longtemps que je ne m’étais pas livrée à ce genre de fantaisies, voilà qui m’en redonne le goût ! C’est Farida qui va être contente !
– Et si vous me rendiez la politesse Gabrielle ? Il ne me déplairait pas que vous me chiiez dessus à votre tour.
– Il faudrait pour cela que j’ai quelque merde en réserve, nous allons vérifier… Farida voulez-vous vérifier s’il vous plait ?
– Pardon Madame ?
– Ben oui, tu me fous un doigt dans le trou du cul et tu me dis si tu sens quelque chose…

C’est de la folie pure, j’introduis un doigt dans l’anus de ma maîtresse. Effectivement on sent de la matière !

– Je crois bien qu’il y a quelque chose, madame !
– Est tu bien sûre ? Vérifie encore !
– J’en suis sûre !
– Fais donc voir ton doigt ! Mais il plein de merde ! Tu n’as pas honte de te présenter devant moi avec un doigt aussi dégoûtant !
– Voudriez-vous me punir, Madame ?
– Je crois bien, oui ! Nettoie ce doigt avec ta langue

Je suce mon doigt ! Il est vraiment très sale. Vous allez me dire que lécher un cul ou un doigt c’est pareil. Ben non parce qu’un doigt ça ne se lèche pas, ça se suce, c’est donc carrément tout dans la bouche. Mais ça va, c’est même assez excitant à faire.

– Alors elle est bonne ma merde ?
– Délicieuse, madame ! Répondis-je en espérant qu’elle n’allait pas m’en resservir dix fois de suite.
– La mienne est sûrement meilleure, tu vas nous dire ! Intervient alors Guylaine.

Elle appuie alors ses doigts sur l’étron gisant sur le plastique et me tend ses doigts. Je suce, la matière est plus compacte, mais il serait bien difficile de différencier les deux !

– Alors Farida ?

Je n’aime pas ce jeu, car je ne sais pas où il peut me mener, je réponds par une pirouette :

– Je préfère celle de ma Maîtresse, mais c’est sans doute parce que j’y suis habituée !

Gabrielle a dû sentir en moi une certaine lassitude et eut l’intelligence de ne pas me relancer. Elle revient vers sa complice de jeu. Le doigtage que je lui ai fait a dû faire entrer de l’air dans son rectum car la voici qui pète. Guylaine rigole !

– Vous rigolerez moins quand je vous aurais pété dans la bouche ! Réponds ma patronne.
– Chiche !
– Vous êtes vraiment dégueulasse, Guylaine !
– Je sais, mais venez donc !

Notre invitée se met à genoux face au fessier de Gabrielle, l’écarte, entoure de sa bouche le trou de cul et attend. J’entends d’abord un, puis un second bruit un peu étouffé ! Guylaine se recule !

– Sublime odeur ! J’espère que vous allez chier maintenant.
– Justement j’allais le faire, mais laissez donc votre bouche.

L’autre loin de se « dégonfler », recolle sa bouche au derrière de ma patronne et attend. Je ne vois rien mais devine. Gabrielle pousse, puis s’écarte, il n’y avait sans doute pas grand-chose. Guylaine entrouvre la bouche, victorieuse, laissant apparaître un bel étron qu’elle tournicote en bouche quelques instants avant de le tendre des lèvres à sa complice.

Puis les deux femmes s’enlacent, cela devient folie pure, elles ramassent des morceaux de merde éparpillés sur la bâche et s’en badigeonnent le corps et le visage, elles tournent et se retournent se vautrant dans ce mélange de pisse et de merde.

Et puis, elles semblent abandonner la scato, elles s’embrassent se cajolent, se mettent en 69, se lèchent, s’agitent, se font jouir enfin avant de s’affaler épuisées.

Je quitte la pièce, je n’ai plus rien à y faire, apparemment elles n’ont plus besoin de moi et n’en n’ont pas eu besoin beaucoup. C’était bien la peine de me retenir. Maintenant il faut que j’y aille ! Je m’assois sur le trône, je pousse, mais en me libérant, j’ai le réflexe d’en recueillir un petit morceau avec la main. J’hésite à le porter à mes lèvres, le fait quand même, puis le suce un moment, avant de le rejeter d’un air las.

Ce que fait ma patronne avec cette Guylaine pourquoi ne l’a-t-elle pas fait avec moi, j’en aurais été autant capable ? Me voici jalouse, mais c’est vrai que je l’adore ma patronne. Je tends la main pour attraper le papier cul. Evidemment il n’y en a pas, je me lève, la réserve est dans un petit placard juste en face ! Vide ! Gabrielle avait donc prévu tous les scénarios possibles ! Elle m’énerve, elle m’énerve, non seulement elle fait des trucs avec les autres qu’elle aurait aussi bien pu faire avec moi mais en plus, je dois subir les conséquences de ses mises en scènes débiles.

Tiens, un jour je me vengerai, un jour je trouverai le moyen de l’obliger à me nettoyer le cul. Oh, mais en voilà une très bonne idée, je vais la creuser…

Boris (avec la complicité d’Helena) Juin 2006 (révisé en juillet 2008)

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4 réponses à Soubrette de Charme 8 – La visite de Guylaine par Hélèna Sévigsky et Boris Vasslan

  1. Sandorv dit :

    Le plaisir de la scato consiste surtout à se laisser aller, librement, sans complexes, sans les contraintes de la société bien-pensante…
    Ne vous est-il jamais arrivé, franchement, de ressentir du plaisir en déféquant ???
    N’avez vous jamais été troublé par la vue d’une jolie merde sortant d’un cul charmant ?
    N’avez-vous jamis eu envie de vous approchez très près ?
    Si près que votre langue pourrait toucher ?
    Bises

  2. claire dit :

    je me suis régalée, bien sûr, j’adore les récits scatos comme celui-ci

  3. darrigade dit :

    Délicieusement pervers. j’ai adoré

  4. Berlioz dit :

    C’est plutôt bien écrit, ça ne sombre pas dans l’ultra crade mais en même temps le fantasme scato est clairement revendiqué.
    j’avoue avoir bandé à cette saine lecture.

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