Soirée coquine par Verdon

Soirée coquine par Verdon

Courriel à ‘C & A’ un jeune couple charmant avec lequel un malheureux contretemps nous a empêchés de renouveler une merveilleuse rencontre…mais ce n’est que partie remise.

———————————————————–
Mes amours…
J’ai tant regretté votre absence hier soir que je n’en ai fantasmé.

J’espère que vous aurez passé toutefois une bonne soirée et que peut-être une petite invitation coquine (masculin/féminin) vous aura quand même permis de vous défouler pendant ce long weekend du mois de Mai.

Je ne vous ai pas oubliés pour autant puisque nu devant mon écran, je me suis mis à écrire ces choses ci-dessous pour vous dévoiler mon état d’excitation ce soir-là et les fantasmes que mon imagination perverse et débordante a développés en pensant à vous et aux jolies galipettes que nous aurions pues faire ensemble.

Inutile de vous préciser que j’ai écrit tout cela avec le plus bel outil que j’avais dans la main : ma pine, vieille France sans doute, mais chargée d’une encre indélébile destinée à décrire généreusement sur mes draps les plus tendres moments que j’aurais aimés passer entre vos mains.

Mais à tant secouer la plume pernicieuse, j’ai fini par vider l’encrier en renversant le liquide argenté, sur les touches ingrates de mon clavier numérique.

———————————————————–
Quand on attend deux amis qui n’ont certes plus rien à cacher mais tant encore à démontrer dans l’art de leurs chaudes amabilités, il faut se préparer à bien les recevoir pour les encourager à se livrer comme ils se doivent entre les mains d’un vieux monsieur pas très sage et bien assez vicieux pour leur permettre de goûter aux joies qu’ils recherchent dans l’accomplissement d’œuvres libidineuses et la découverte de ces fameuses cochonneries dont cette vieille ganache peut encore se glorifier, ayant comme vous le savez, depuis tant d’années, crapahuté entre les cuisses de Dames de tout acabit, en âges, en tailles, en couleurs, jouvencelles ou séniores et flatté entre temps la bite ou bien le cul de leur bons compagnons.

Sachant que ma belle invitée apprécie généreusement les plaisirs de la chair, je prévoie de l’appâter avec quelque gigot d’un agneau de notre région. La tendresse de ce morceau de choix n’est pas sans aimable comparaison avec la cuisse délicieusement avenante de mon agréable convive, dont la jolie appétence sur internet a terriblement excité mes papilles et bourré mes gonades de sauce ravigote.

Je me mets à le bichonner, le humer, le masser, le parfumer, le retourner et même…j’ose le dire, à le goûter…persuadé tapoter et mordre à pleines dents, la partie la plus tendre du charmant postérieur de celle à qui je pense et que je vais sûrement amadouer à la suite d’un si bon repas !

Ce faisant, le cul nu, mais un petit tablier devant pour ne pas brûler mes bas-instincts, je fais mijoter le bon plat tout en me disant heureusement que le Mari n’est pas encore là, car qu’adviendrait-il à mes arrières si le gugusse m’apercevait dans cette tenue. Je sais qu’il adore aussi l’agneau mais peut-être préfère-t-il un vieux bouc !!!

Bon ! La chose étant cuite, (je parle du rôti bien sûr) , voilà que mes chéris arrivent.

Monsieur est guilleret, Madame est ravissante, (entre petite fille espiègle et jeune bourgeoise croustillante, démangée me semble-t-il par quelques frémissements qui font onduler sa croupe callipyge). ,

Ils sont à l’aise, ils connaissent la maison et savent qu’ils sont tombés dans un bon coin pour faire de bonnes choses. Leur démarche, la jupe qui flotte, des petits airs coquins, des sous-entendus…enfin tout me dit que ça va être la fête et je sens sous le string et les slips, qu’il y a des états intrépides et humides qui traduisent déjà certaines émotions qui vont devenir sous peu incontrôlables.

Après un repas bien mené, il me semble utile de vérifier si Dame a bien satisfait son joli ventre plat qui sous sa jupe lâche, ne fait aucune résistance à se laisser masser entre mes deux mains serviables pour se décontracter et prendre de l’aisance en gargouillant de bien-être.

J’apprécie la douceur et le velouté de cet endroit sacré, lieu douillet de notre premier hébergement naturel. Mes mains, happées par ce puissant aimant logé entre les cuisses de la Belle, soulagent ce doux petit endroit, de la fine muselière qui l’encombre afin de folâtrer intensément sur les rives humides de son jardin d’amour.

On est au mois de Mai, par conséquent Divine peut bien se découvrir d’un fil que d’ailleurs je fais sauter rapidement en même temps que la jupe qui libère ce merveilleux charnu dont le charme et la présence a de quoi réveiller les sens concupiscents du plus saint des saints du Paradis, et je me sens soudain une âme de boulanger, à pétrir la chair de deux superbes miches fermes et gélatineuses à souhait.

N’en restant pas là à papillonner sur les cuisses et sur les profondeurs pubiennes de la miss, je lui soulève les bras et la débarrasse aussitôt de ses encombrants vêtements sous les quels jaillissent les plus merveilleuses pommes que l’humanité n’ai connues depuis Adam et Eve ! Le tout agrémenté de deux jolis tétons aux allures effrontées des petites fraises des bois. Ils n’échappent pas à ma gourmandise et bandent les voyous comme les petits sexes des chérubins de la chapelle Sixtine.

La Belle nue est encore plus belle, radieuse et fraîche et se fait très coquine sous le regard de son homme qui savoure ce moment où elle se tourne et entreprend de desserrer la ceinture de mon froc qui tombant sur mes chevilles libère un outil quelque peu timide mais qui a vite fait de se présenter convenablement sous les caresses linguales de la môme sucette qui lance vers son homme des clins d’œil blancs et vicieux de complaisance.

Bon sang elle a de bonnes manières en ses lèvres et sa langue ! Voilà une Lady joliment éduquée et qui sait conter des balivernes à un monsieur sans lui casser les oreilles ni même les noisettes ! Et si je vous dis ce que la bonne servante est en train de faire avec son doigt entre mes fesses vous comprendrez vite qu’elle a dû faire de singulières études en la matière.

Monsieur qui retrouve là, sa bonne petite ‘salope’, est ravi et tellement heureux qu’il en perd lui aussi le pantalon découvrant à son tour un solide braquemart qui vient tenir compagnie à ma belle épinette. Aussi, Madame serrant nos bites côte à côte comme deux frangines, profite pour le même prix d’avoir deux gâteries. Et tous deux, cuisses à cuisses on est là à pousser pour chercher à entrer en même temps dans le joli goulot.

Embrouillé dans les jambes de mon froc je manque de chuter mais je me rattrape heureusement après la pine de mon ami, qui effectivement me paraît être de solide constitution et joliment bien équipée pour rendre les services que sa Belle est en droit d’en attendre.

Vu les risques du métier, nous décidons de continuer nos fariboles sur le matelas rembourré, judicieusement recommandé à cet effet par la médecine du travail.

Allongé sur le dos, sous les yeux du mari je me fais bouffer l’andouillette par sa chérie qui effectivement apprécie la bonne charcuterie. Elle est délicieuse et m’offre entre ses jambes et à discrétion, une superbe chatte aux profondeurs nacrées et dégoulinante autant qu’une papaye d’un merveilleux nectar au goût poivré/sucré et marinée aux subtils parfums de ses rencontres amoureuses.

Elle en devient, c’est tout un art, une ‘« salope experte » et engouffre ma pine au plus profond de sa gorge. Elle fait ça si bien !…

Elle adore mes léchouilles, elle plaque son pubis contre ma bouche. J’y découvre des arômes femelles et une odeur mâle…mais qui n’est pas la seule. J’imagine en l’endroit d’autres visites dont certaines sûrement plus fines et féminines : des lèvres de gourmandes, des chattes de tribades accolées l’une à l’autre, des plaisirs merveilleux de ventres qui se frôlent et de seins qui s’écrasent. J’imagine la Belle pelotée, pelotant, dans les bras licencieux d’une seconde femelle, ‘salopes’ toutes deux à rendre hystériques les hommes qui regardent !

J’ai le bonheur suprême d’enfouir mon visage entre les lobes fessiers de ma douce suceuse et d’aller taquiner les rives satinées de son bouton marbré qui semblant réagir à la pression pointue de ma langue perverse, s’ouvre pour profiter des gouteuses lapées que je lui prodigue. Et diable ! Que c’est bon de sentir la divine ‘salope’ resserrer sa rosette en geignant de plaisir !

Son Homme est aux anges. Subjugué de me voir honorer le petit opercule de sa Belle en pamoison, il laisse trainer, sans doute par inadvertance, son fameux outillage amoureux sur mon visage. Je suis agréablement surpris de découvrir la lourdeur de ses couilles, la vigueur de sa queue, son effluve mâle et même son insistance à vouloir galvauder son bijou sur le bord de mes lèvres.

La Chose n’est pas mince mais avec du courage j’entreprends fièrement d’avaler le bouchon. Ça n’a pas l’air de déplaire à Monsieur ni d’ailleurs à sa Dame qui tellement médusée, s’arrête de pomper mon os à moelle pour regarder son mari se faire sucer le bout. Elle se dit sans doute qu’elle n’est pas la seule ‘salope’ en cette belle soirée.

Ce n’est pas ordinaire, mais ceux sont de bonnes manières qui nous permettent d’ailleurs, tous deux en 69, de rendre de l’un à l’autre les politesses qu’on se fait. Chacun en est ravi.

Madame très excitée fait la mouche du coche et darde avec joie sa langue un peu partout et ses doigts impudents qui sont des touchent- à- tout s’aventurent vicieusement dans des coins délicieux. Elle entrouvre des fesses, elle caresse des sexes et tripote des couilles.

Elle savoure le plaisir de regarder ces hommes qui se cherchent femelles et provoquent en ses reins des étranges frissons qui par leurs ressentis la persuadent et l’assurent que les deux galopins iront un peu plus loin.

Son esprit vicieux imagine déjà des choses qui se dressent, des portes qui s’entrouvrent, de gros emportements, la valse de roustons, des cris, des soumissions et son œil fripon se rince les pupilles d’images insolites dont la belle indécence lui tortille le boyau, pensant certainement qu’elle pourrait à son tour, se faire conter fleurette dans les creux de ses cuisses, délicieusement serrée entre ses deux lascars.

Car pas bête la môme, accroupie sur le ventre, les jambes en bataille et le dos au plafond, elle veut maintenant les meilleurs compliments de l’Epoux et l’Amant.

Elle pose son visage sur le bas de mon ventre.

Il la prend en levrette et je vois pénétrer un super boute-joie dans sa fente pulpeuse qu’il travaille à corps.

Elle remue du cul.
Je lui titille les seins.

Elle avale mon sexe au rythme saccadé des poussées endiablées du Mari sur ses fesses.

La Belle qui minaude, qui geint, qui râle demande qu’on l’achève, qu’on la bourre, qu’on l’aime.

Elle enserre ma pine au fond de son palais, tout aussi bien que celle de son homme dans le creux de sa chatte.

Elle explose de jouissance entre nos deux élans qui l’honorent en même temps dans un feu d’artifice d’orgasmes pathétiques.

Ah ! Merci mes chéris…j’ai bien aimé, vous avez été fantastiques. Continuez à vous procurer du bonheur.

A bientôt.

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

17 réponses à Soirée coquine par Verdon

  1. Orsini dit :

    On ne parle pas de la tendresse d’une viande mais de sa tendreté
    Mais à part cet égarement le récit est bon

  2. Kaly dit :

    Une perle !

  3. Hardy dit :

    J’aimerais bien être invité à une soirée coquine comme celle-ci

  4. Bezias dit :

    Un petit bijou de littérature coquine

  5. Neciruam dit :

    C’est vraiment très bon

  6. Shlumberger dit :

    Ecriture superbe et évocation érotique réussie. bravo l’artiste

  7. Belisaire dit :

    Superbe texte, très &évocateur et très excitant

  8. Verdon dit :

    Ben! Je croyais que plus c’était long plus c’était bon (lol)…Bien je vais essayer de faire mieux la prochaine fois…mais, ne me semble-t-il pas qu’une langue procure des joies aux dames ou aux messieurs d’autant plus qu’elle est alambiquée…encore bien sûr, faut-il savoir de quelle langue parle-t-on….

  9. murielletv dit :

    je sus nue et encagée mes seins pointent en sortant de mon soutien gorge
    ma verge encagée est toute raid et mon gland sort de la cage je titille ma bite avec frénésie mes petits talons claquent a chacun de mes pas c’est extra je ne pense plus qu’a me taper une queue de trav en jarretelles que c’est bon d’être une folle
    je me branle et mes grosses couilles frappent mes cuisses oh que c’est bon
    mon gland sort encore plus de la cage
    je me regarde………. comme c’est beau d’etre une trans

    • Verdon dit :

      Merci ma petite folle. J’adore les trans, j’espère que tu lis mes récits et mes poèmes sur ce sujet…c’est pour rendre hommage à la beauté de toutes les belles ambigües…

    • rezza dit :

      bonjour oui quel beauté ces trans et quelle existation de vous lire j en est jamais rencontrer et croyer moi vous vous cacher parce que je vous trouve pas courage a vous bisous et respect contacter moi si sa vous dit de me rencontrer

    • jeanlou dit :

      Faudrait voir à pas confondre les glands et le petits oiseaux LOL

  10. Ptilu dit :

    Une belle historiette, joliment contée, en termes élégants et choisis. Seulement voilà, il y a un hic ! Et pas des moindres. L’auteur s’est inscrit au concours de la phrase la plus longue et la plus alambiquée possible. Résultat : c’est quasiment illisible, même si, il faut le reconnaître, c’est parfaitement réalisé, sans maltraitance aucune de notre vieille et belle langue. Et par les temps qui courent, c’est déjà ça …

Répondre à murielletv Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *