La librairie – 2 – Soirée chez les libraires par Mikado

 

La librairie – 2 – Soirée chez les libraires par Mikado

Le lendemain était un dimanche, Mlle m’avait fixé rendez-vous, dans leur appartement d’une rue du vieux Montpellier, vers 19 heures. Elle m’avait donné quelques indications sur les codes vestimentaires du service. Je devais être totalement glabre, ce qui n’était pas bien difficile vu la faible pilosité de mon torse et de mes jambes, je devais porter un pantalon blanc et un t-shirt de la même couleur. Dès le début de l’après midi je procédais à l’élimination des poils superflus. Je me passais sur le torse, le pubis et les jambes une crème dépilatoire empruntée à une amie, ensuite je me rasais consciencieusement les couilles et la raie des fesses. Après m’être séché je passais l’inspection d’une main inquisitrice, torse, pubis, couilles jambes OK sillon inter-fessier beaucoup moins. Aux grands maux les grands remèdes, l’amie qui m’avait prêté la crème m’avait aussi proposé de la cire, je lui téléphone lui demandant si je pouvais passer récupérer ce nécessaire à épilation et lui explique mon intention.

 » Je passe t’épiler car si tu ne l’as jamais fait tu ne sauras pas …  »

Quelque temps plus tard nous voilà dans mon petit appart, elle chauffant la cire moi à poil, allongé sur le ventre, cuisses écartées attendant mon martyre. Finalement Aude est une experte, elle m’écarte doucement les fesses applique la cire, de mon petit trou au haut des fesses et une fois refroidie tire d’un coup sec, la douleur est brève et finalement moindre que ce à quoi je m’attendais. Constatant quelques poils sur mes fesses, je les avais oubliées celles là, elle complète son épilation. Enfin pour éviter les rougeurs elle me passe une crème apaisante.

Cette coquine en profite pour me caresser les couilles puis l’anus en introduisant très rapidement un doigt, puis deux. Elle finit par me proposer, sachant à quoi j’allais consacrer ma soirée, de me mettre  » la chatte  » en condition. Pourquoi pas, Aude est, elle n’en fait aucun secret, lesbienne exclusive et je savais qu’elle ne m’épuiserait pas, en plus ses caresses m’avaient excité et j’avais bien envie de sentir mon petit trou occupé. Elle continue à passer de la crème entre mes fesses, elle caresse ma petite rondelle sans la pénétrer, je cambre les reins afin de mien exposer mon cul et lui exprimer mon envie. Elle introduit à nouveau un doigt puis deux, me dit que j’ai cul serré et qu’une petite gymnastique des sphincters me sera profitable. Elle me demande de me mettre sur le dos d’écarter et de relever mes jambes, je m’exécute. Elle introduit à nouveau deux de ses doigts et imprime un mouvement de va et vient et de rotation, c’est un délice, je me laisse aller à cette pénétration. Aude repasse part à la cuisine et reviens avec une bouteille d’huile dont elle se frictionne la main et en fait couler le long de mon périnée. Elle reprend alors sa pénétration et son mouvement de rotation, c’est bon je me laisse aller et soulève mes cuisses pour mieux m’exposer.

Aude introduit un troisième doigt, c’est un peu douloureux mais supportable au bout de quelques va-et-vient et rotations ce n’est plus que du plaisir et je laisse échapper quelques soupirs qui encouragent ma sodomisatrice à sauter l’étape du quatrième doigt pour forcer le passage avec la main entière. Je ne ressens aucune douleur mais un grand plaisir m’envahit le bas ventre et alors même que je ne m’étais pas masturbé durant toute la séance un filet continu de sperme s’écoule de ma queue en érection. Estimant ma chatte fin prête pour la soirée Aude récupère cire et crèmes s’en va en me disant avec un clin d’œil  » bonne soirée « .

Je passe le reste de l’après midi nu à lire en écoutant de la musique. Vers 18 heures je m’habille, conformément aux désirs de Mlle je passe un pantalon à pont blanc et un petit T-shirt, moulant, blanc lui aussi, je ne porte pas de slip.

Peu avant 19 heures je sonne à la porte de l’appartement qui se trouve dans un vieil immeuble bourgeois du centre historique, je suis accueilli par une grosse femme, certainement originaire du pourtour méditerranéen, d’environ 50 ans, aux seins énormes, et vêtue due djellaba blanche ornée de broderies au fils doré et de perles. Elle s’appelle Leila et c’est la bonne et aussi la cuisinière des deux cousins. Elle me conduit dans la cuisine où Mlle m’attend vêtu d’une longue tunique dans des tons orangés et ambrés Elle me présente Nada la bonne libanaise d’un couple d’amis venu aider à la préparation le buffet. Affairée Nada me fait un petit signe de main, c’est une belle brune d’une quarantaine d’années aux seins hauts placés et au fesses rebondies dont la tunique légère laisse deviner des rondeurs bien orientales.

– C’est bien tu es à l’heure et en tenue, je vais te présenter à nos invités.

Nous nous dirigeons vers le salon, c’est une pièce d’environ 40 à 50 m² aux murs recouverts de lambris clairs, les rideaux, de lourdes tentures sombres, masquent les fenêtres, la pièce et éclairée par des lampes, posées çà et là et diffusant une douce lumière. Le sol en parquet est recouvert par endroit de tapis qui me semblent anciens et précieux, de grands canapés recouverts de plaids, quatre ou cinq meublent la pièce. Le long des murs des consoles proposent aux invités divers mezzés et boissons. Il y a là deux couples entre 50 et 55 ans, Monsieur Paul et une femme plus âgée. Tous sont vêtus de djellaba de couleurs vives appariée. Un couple, elle grande et maigre, lui petit et obèse portent le bleu ; l’autre tous deux légèrement enrobés portent le vert émeraude, M. Paul est lui vêtu dans les mêmes tons que sa cousine quant à la femme âgée elle porte une longue tunique noire austère faisant ressortir ses cheveux blancs et à la mise en plis vieillotte.

Mlle fait les présentations il y a là Claude et Arlette, le couple en bleu, ils sont tous deux pharmaciens, Pierre et Valérie, en vert, sont propriétaires d’une bijouterie dans un centre commercial, enfin Mlle se dirige vers la dernière invité d’un ton plein de respect elle me présente Rachel qui a été leur  » préceptrice  » et à qui, aux dires de Mlle, elle et Paul doivent leur éducation. Rachel d’une voix affirmée me demande ce que je fais en dehors de ce job de libraire l’été, je lui réponds que je poursuis des études de physique et que je souhaite devenir ingénieur. Elle me demande ensuite où je vis comment je paie mon loyer. Je lui explique que je vis dans un petit studio du centre ville, que mes parents font de gros efforts pour me payer études et loyers et que je fais quelques petits boulots pour les soulager. Bien dit-elle puis d’un geste sec de la main nous congédie Mlle et moi.

–  » Tu as fait bonne impression à Rachel, du moins je le pense  » me dit Mlle  » il te faudra bien la chouchouter à son âge on est exigeant… Maintenant passe entre nos invités pour voir s’ils ne manquent de rien, fais toi aider par Leila

La soirée est très  » mondaine  » chacun échange sur les difficultés des commerçants sur leurs vacances ou leurs projets de vacances, nous passons entre les convives proposant avec succès les plats préparés par Nada, le champagne et les cocktails de jus de fruits. Rachel assise dans un canapé ne participe ni de près ni de loin aux conversations, elle claque par moment des doigts en ma direction me demandant mezzés ou boisson.

A un moment la conversation des bleus dérive sur leurs soirées passées en compagnie de jeunes éphèbes et odalisques rencontrés au Club Med de Djerba. Claude raconte avec force détails comment un soir Arlette s’est fait brouter la chatte par GO local d’une vingtaine d’années pendant que lui se branlait en les regardants. Puis, comment excité par le cul du jeune amant de madame, il l’a sauvagement sodomisé. Les autres convives rient de l’anecdote semblant se moquer de Claude disant qu’il exagère comme à son habitude. Arlette me prend à témoin elle soulève la tunique de son mari dévoilant un corps gras au ventre pendant cachant à demi une toute petite bite.

–  » Qu’en pense tu, me dit-elle, tu crois qu’il peut sodomiser sauvagement un cul comme il le dit ?  »

Je suis gêné je ne sais que répondre, j’interroge Mlle du regard qui me dit :

–  » Suce le et tu pourras te prononcer quand il sera en érection  »

Claude se met nu au milieu de la pièce, chacun prend place dans les canapés pour mater le spectacle. Je m’agenouille, commence à caresser les couilles qui me sont offertes car sa queue est si petite et son ventre si gros que j’ai du mal à la prendre en bouche. A force de caresses son sexe semble forcir au point de pouvoir le prendre entre mes lèvres. Je suce avec application, je décalotte son petit gland dont je lèche le liquide clair qui s’en écoule. J’excite ce vieux cochon son sexe gonfle dans ma bouche et malgré les caresses restera sous la barre des dix centimètres. Il est dur mais petit. Je regarde ce sexe qui me laisse perplexe peut-il pénétrer, un cul ou une chatte ? Je prends une initiative je baisse mon pantalon, me mets en levrette lui présente ma croupe et lui demande crument de m’enculer. Claude s’approche et je ne sais comment, fini par me sodomiser, sans grandes sensations je l’avoue. En trois allers-retours il jouit bruyamment et me gratifie d’une petite giclée de sperme. Je me rhabille et retourne faire le service.

Le spectacle a du plaire car Arlette djellaba haut remontée, laissant apparaitre deux petits seins pointus se fait brouter son minou lisse par Valérie. Pierre et Paul continuent à converser tout regardant le spectacle qui ne laisse Pierre insensible. Il appelle Leila qui immédiatement commence à caresser la bosse qui pointe au niveau de son bas ventre. Paul essaie de glisser une main dans l’entrejambe de la bonne gêné par la longue tunique il demande à Leila de se dévêtir. A poil, elle parait encore plus grosse qu’habillée. Son corps est gras, ses énormes mamelles aux aréoles immenses et brunes tombent sur son ventre rebondi, elle a la cuisse large et un gros cul plein de cellulite et une grosse chatte aux lèvres charnues dont les poils s’étalent du nombril au haut des cuisses. Pierre est nu, Leila se penche sur son sexe raide et de bonne taille, elle le suce avec expertise, léchant les couilles puis la hampe tout en caressant le gland de son pouce. Elle est penchée en avant cuisses écartées de sorte que Paul Toujours habillé puisse introduire sa main entre ses cuisses flasques. Le spectacle de cette femme obèse entre deux hommes me plait, aussi je m’approche du trio pour profiter des détails du spectacle. Je constate que Paul fiste l’énorme chatte luisante de Leila, je vois son poing fermé entrer et sortir de ce trou dilaté et les seins de la belle battre la mesure.

Tout le monde parait bien occupé et en main, Claude qui a rejoint les deux hommes semble vouloir offrir à Paul ses faveurs. Mlle seule dans un coin regarde tout ce petit monde s’agiter, suer, gémir en se caressant négligemment les seins à travers le tissus de son vêtement, elle ressemble à une mante attendant sa proie.

Rachel sur son canapé semble étrangère à cette orgie, elle claque les doigts en ma direction, je m’approche lui demandant si elle souhaite une boisson ; elle souhaite que je m’assois à coté d’elle, ce que je fais à regret car j’aurais bien proposé mes services à Arlette et Valérie. Elle me félicite pour la qualité de mon service, elle apprécie mon initiative avec Pierre, Bérénice ne s’était pas trompée en m’embauchant. Elle me raconte un peu sa vie comment elle s’est occupé de l’éducation de Paul et Bérénice, son mariage sur le tard et son veuvage. Elle à 69 ans et depuis la mort de son mari, avec qui elle partageait le goût de la débauche, elle s’était contentée de se masturber jusqu’à ce que Bérénice lui narre les prédispositions de son jeune employé.

Durant la conversation Rachel à posé sa main sur ma cuisse et insensiblement la remonte vers mon entrejambe, je prends à nouveau l’initiative et dégrafe l’avant de mon pantalon laissant sortir mon sexe en érection. Rachel s’en saisit, continue la discussion en masturbant doucement d’une main tout en dézippant sa tunique noire de haut en bas. Elle dévoile un corps qui a dû être splendide, elle a des seins lourds et fripés, un petit ventre mou et ridé, des cuisses un peu flasques, un sexe proéminant et un clitoris gigantesque presque aussi gros que la queue de Pierre, elle me donne envie. Elle interrompt sa masturbation et s’allonge sur le canapé cuisses écartées, elle me demande alors de la sucer, ce que je m’empresse de faire, son sexe a une odeur musquée sa cyprine et épaisse et salée un vrai régal. Ma langue court entre ses lèvres puis ma bouche aspire son clitoris il est dur et sensible Rachel a la respiration qui s’accélère et laisse échapper de petits râles de plaisir. Ses mains attrapent ma tête et la dirige vers ses fesses elle veut que je lui suce le cul.

Après quelques minutes de broute cul elle me demande alors de la sodomiser, je ne me fait pas prier, elle à le cul large et souple, ma queue n’a aucune difficulté à s’y glisser. La cochonne lève haut les jambes et de ses mains habiles me caresse les couilles, elle doit apprécier car elle à les yeux mi clos et gémit de plus en plus bruyamment. Au bout de quelques minutes je n’en peux plus, j’explose et lui lâche une longue giclée de sperme dans le fondement. Je me retire, ma queue est maculée de sperme et de merde. Je cherche de quoi m’essuyer lorsque Rachel claque des doigts en direction de Leila, la bonne, que les trois hommes avaient abandonnée, Claude pour sucer Paul, espérant peut être une érection, Pierre s’occupant tour à tour de Valérie et Arlette, s’approche et demande à Rachel ce qu’elle peut pour elle. Cette dernière lui demande de bien vouloir m’essuyer. Sans hésitation, la grosse se met à genoux et entreprend de m’essuyer la bite en l’engouffrant dans sa bouche, elle me suce et me lèche si bien que pas une trace de sperme et de merde ne subsiste.

Rachel la félicite pour la qualité de son travail et lui demande de faire de même pour elle. Leila s’assoie par terre, tête en arrière appuyée sur les coussins du canapé, Rachel s’accroupit au dessus d’elle, aussitôt Leila approche sa bouche et commence à lécher ce cul d’où s’échappe un filet de sperme. Rachel se met à pousser pour faciliter l’expulsion, ce qui devait arriver arriva, outre le sperme, une grosse merde luisante commence à poindre. Leila ouvre grand la bouche pour la recueillir mais celle-ci et tellement abondante qu’elle ne peut tout avaler au risque de s’étouffer. Leila récupère l’excédant dans ses mains, écarte les cuisses et se masturbe en étalant les excréments de ma partenaire qui finit de se vider complètement. A ce petit jeu Leila finit par se retrouver entièrement maculée entre le bas du corps et le haut des cuisses. Elle doit aimer car elle se masturbe frénétiquement en jouissant bruyamment et en pissant sans retenue.

Le spectacle m’a excité, je bande à nouveau, ce que remarque ma partenaire qui d’un ton sec m’ordonne de baiser la bonne. Sans même réfléchir je m’exécute et m’introduit entre les énormes cuisses que Leila avait largement écartées pour me laisser le passage. Sa chatte est chaude et humide à chaque va et vient ma queue est de plus en plus maculée, je suis tellement excité que je jouis rapidement. D’un claquement de doigt Rachel congédie la bonne, elle s’approche de moi et tout comme Leila avant elle, elle me prend dans sa bouche, me nettoie consciencieusement et me renvoie à mon tour au service ….

 

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3 réponses à La librairie – 2 – Soirée chez les libraires par Mikado

  1. Yadjik dit :

    Après les errements du premier chapitre celui-ci est beaucoup mieux

  2. Werber dit :

    Délicieusement pervers, l’aspect scato est très bien amené sans surenchère inutile, dans la vraie vie ce genre de distractions ne peut se faire qu’avec des personnes « sûres »

  3. Claire dit :

    Un peu confus mais il faut bien avouer que certains passages sont très troublants

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