Rupture-Partie chez Fabienne (récit humide) par Jean-Sébastien Tiroir

Cette histoire se rattache naturellement au cycle des histoires z’humides, mais elle appartient également au cycle des aventures de Marika (même si son rôle n’est pas déterminant dans ce récit)

Luc est un blondinet à moustache, il travaille comme menuisier dans une entreprise qui fournit des cuisines équipées. Pas très passionnant, assez fatigant et pas très bien payé. Mais enfin, il a du travail, il est marié avec Stéphanie. Il faut qu’on vous la décrive, Stéphanie. En fait rien d’extraordinaire, de taille et de mensurations moyennes, les cheveux châtains et raides coupés au carré. Pas le genre sur qui on se retourne. Elle a pourtant quelque chose de plus, qui change tout, c’est son sourire, quand elle daigne en éclairer son visage, cela la transcende. Elle le sait et elle en joue.

Ils ont fait un mariage d’amour, un vrai. Ils étaient tout l’un pour l’autre, cherchant sans cesse à se faire mutuellement plaisir. Jouisseurs, ils aimaient la fête, les copains ; la bonne bouffe et bien sûr l’amour. Ils pratiquaient au début de leur relations une sexualité complètement débridée, essayant des tas de trucs pour n’en retenir finalement que quelques-uns, mais si la sexualité de groupe les amusait, si la bisexualité ne les rebutaient ni l’un ni l’autre, leur petit péché mignon était tout de même les jeux uro, ils en raffolaient, en jouait, et en redemandaient.

Mais l’inexorable dictature du temps finit par tout détruire, la passion s’amenuisait, les jeux sexuels s’espaçaient, l’habitude s’installait.

Retrouvons notre couple, six ans après leur union. Elle est secrétaire, elle a grimpé assez vite dans sa petite boite et porte depuis quelques mois le titre ronflant de secrétaire de direction. Du coup la voici qui gagne beaucoup plus d’argent que son mari. Et alors, quelle importance ? Aucune ! Cela paraissait si évident ! Mais il n’y avait pas que la paie, et malgré la promesse de Stéphanie assurant que ça ne changerais rien du tout, il fallut bien qu’il se rende à l’évidence : sa femme fréquentait maintenant un autre monde, un autre milieu, sa toilette jurait avec la sienne, elle prenait des habitudes de bourgeoise, se payant fringues, lingerie, maroquinerie et parfums à des prix tels qu’il n’osait plus lui faire ce genre de cadeaux pour les occasions, se rabattant sur d’immenses bouquets de fleurs qu’il lui offrait avec une infinie tristesse.

Et puis les voyages, les déplacements… Luc n’était pas dupe, se doutant bien de ce qui pouvait s’y passer ! Mais que faire ? Fermer les yeux ou alors provoquer une crise, une irrémédiable crise ?

Et puis un jour, ce fut l’aveu :

– Luc, il faut te rendre à l’évidence, ça ne marche plus terrible entre-nous !

Luc redoutait cet instant, il l’avait si longtemps pressenti, mais il ne venait pas, il s’était prit à espérer qu’il ne viendrait peut-être jamais. Et puis voilà, alors qu’il n’y pensait plus, que cette soirée aurait pu être agréable, le morceau avait été lâché !

– Est-ce que j’y peux quelque chose ?
– Non ! Je serais courageuse, ce serait à moi de faire quelque chose, comme tu dis ! Mais je ne me vois pas renoncer à tout le confort matériel que ma situation m’a apporté ! Et si je ne le fais pas c’est que…

Elle éclata en sanglot

– Stéfi, finis ta phrase, ça ira mieux après !
– C’est que… je ne t’aime sans doute plus assez !

Ça n’alla pas mieux du tout après !

Sans un mot, blanc comme le lait, il se dirigea vers le bar, sortit une bouteille de whisky, du bon, du pur malt, un cadeau qu’elle avait ramené de la boite, il en but une large rasade à même le goulot, il faillit en boire une deuxième, se ravisa ! Non, il n’allait pas se mettre à boire, il attrapa son blouson et ses chaussures et descendit l’escalier à toute vitesse, puis marcha au hasard dans la rue, en fait, il cherchait un banc. Il en trouva un, s’y assit, se prit la tête entre les mains et laissa éclater sa rage ! Que faire ? Que faire ? L’amour aurait dû être plus fort que toutes ces conneries, mais quand il n’y avait plus d’amour que restait-il à faire ? Essayer de la reconquérir, il n’y croyait tout simplement pas ! Jouer les indifférents, rien n’est pire que l’indifférence dit-on, mais saurait-il faire ça ? S’engouffrer dans la lézarde de leur rupture pour lui jeter tous ses torts à la face ? Mais pourquoi faire ? Restait à gérer la situation, il n’était pas le premier mari amoureux fou de sa femme qui se retrouvait confronté au divorce, il ne serait pas le dernier non plus, d’autres avaient bien réussi à s’en sortir, il n’était quand même pas plus con qu’eux !

Mais pourquoi ? Pourquoi ? Il avait sans doute ses torts, mais ne se trouvait pas le cœur à les lister ce soir. Il fallait donc gérer cette désunion. La gérer ? Quel mot idiot !

Le lendemain, elle lui expliqua comment elle envisageait cette séparation. Le cœur gros il l’écouta parler. Elle lui dit alors qu’elle souhaitait que tout cela s’effectue le plus rapidement possible, et en « bons copains » cela afin de ne pas perpétuer une situation où les risques de déchirements seraient omniprésents. Ce serait Stéphanie qui quitterait le domicile. Dès qu’elle se serait organisée, avait-elle précisé.

Quelques semaines plus tard, ils durent affronter la pénible visite conjointe chez l’avocat afin d’entamer la procédure de divorce. En sortant, ils faisaient tristes mines. Stéphanie n’avait aucune haine, aucun mépris pour son futur ex-mari, simplement elle n’éprouvait plus le besoin de vivre avec lui, sa vie était à présent ailleurs ! Le voir si abattu de tristesse la peinait. Mais que pouvait-elle y faire ? On ne reste pas avec les gens qu’on a cessé d’aimer, simplement pour leur éviter d’être malheureux, ça ne tient pas debout !

– Allez, viens, je te paie un coup !

Luc accepta, cela avait quelque chose de surréaliste, le couple qui sort de chez l’avocat pour entamer une procédure de divorce et qui va boire un pot.

– Tu as prévu quelque chose samedi prochain ?

Luc la regarda incrédule, quelle idée avait-elle en tête ? Samedi c’était son anniversaire, ses 30 ans, non il n’avait rien prévu, il irait traîner, au cinéma, au restaurant s’il avait faim, ou alors il irait draguer, ou alors il se paierait une pute, une belle et gentille avec des gros nénés… il n’en savait rien, mais il savait qu’il serait seul

– Rien du tout !
– C’est tes 30 ans !
– Quelle affaire !
– Tu n’as pas envie de fêter cela avec des copains, des amis ?
– Je n’ai pas de copains, je n’ai que des collègues de travail ! Quant aux amis, comme tu trouve tous les prétextes pour ne plus qu’on se reçoive…
– Luc, on ne va pas d’engueuler, on a connu un grand amour tous les deux. C’est cette putain de société de merde qui nous a séparés ! C’est la vie ! Ce sont des choses qui arrivent ! Mais bon, quelque part je t’estime bien, je souhaiterais qu’on continue à se voir…

Tu parles ! se dit Luc in petto

– … je voudrais que tu comprennes que je ne te méprise pas, et je voudrais que tu me laisse fêter l’anniversaire de l’homme qui a partagé ma vie pendant 6 ans.
– Non, merci !
– Pourquoi ?
– Tu t’imagines quand même pas que je vais avoir le cœur à faire la fête ! Et puis arrêtons les boniments, quand tu dis qu’on continuera à se voir, je sais bien que c’est faux !
– D’accord tu as raison, on va faire autrement, et abandonner les fausses promesses, mais au moins je peux te faire celle d’avoir un dernier bon souvenir, peut-être pas de moi, mais de ce que je vais t’offrir ! D’accord Luc ?
– Non, je ne crois pas !
– Tu te souviens de Marika ?
– Tiens ? Tu la vois encore celle-là
– Non seulement je la vois, mais je l’ai fait embaucher à la boite ! Tu te rappelles comment tu la regardais ! Tu te rappelles comment tu la bouffais des yeux ?
– Je ne vois pas le rapport !
– Je te l’offre !
– Ah ! Bon ! C’est devenu une marchandise ?
– Mais idiot, elle ne demande que ça, et si tu ne t’es aperçu de rien à l’époque, c’est tout simplement parce que ce n’est pas le genre à faire ça avec le mari d’une copine !

Du coup, Luc était troublé ! Une espèce d’amour propre le poussait à refuser, mais d’autre part, Marika, hum… si ce que disait Stéphanie était vrai, la drague serait facile, se rapprocher d’une autre femme, avant peut-être d’aller plus loin, n’était-il pas la meilleure occasion d’oublier les déchirures de cette séparation ? Vu de cette façon, c’était même sans doute une occasion à ne pas manquer

– Je vais voir !

Il finit donc par donner son accord, et s’il ne le fit que du bout de lèvres pour faire bonne figure, il espérait bien qu’il se passerait quelque chose… et s’il ne passait rien ou si la chose tournait en eau de boudins, il était assez grand garçon pour planter tout ce beau monde et aller voir ailleurs.

Le jour venu vers 15 h 30, on sonne. Le cœur de Luc s’accélère, il va enfin revoir Marika, et sans doute les premiers instants seront-ils déterminants. Il est prêt, il est rasé de près, il a essayé de s’habiller décontracté mais avec une certaine élégance, il s’est aspergé d’eau de toilette. Advienne que pourra !

Et comme Stéphanie ne se presse pas pour aller ouvrir, c’est donc lui qui le fera !

Et là ! Surprise ! Qui c’est celle-là ?

– Bonjour, je suis Fabienne, vous êtes Luc, je pense ? Stéfi n’est pas là ?
– Si, si entrez !

Il dévisage la jeune femme, Fabienne est une petite blonde très fine, aux cheveux bouclés et à la frimousse joyeuse. Elle est habillée avec goût, une jupe où des dégradés de mauve et de violet se combattent et un petit haut couleur parme. Vraiment charmant..

– Ah ! Oui j’ai oublié de te dire, commente Stéphanie avec candeur, quand j’ai demandé à Marika de passer, elle m’a proposé de faire venir aussi Fabienne ! Franchement elle a eu une bonne idée, non ?

Que vouliez-vous qu’il réponde ?

– On va être quatre alors ?
– Ben oui, c’est mieux, et comme ça si tu fais des trucs avec Marika, moi je ne serais pas toute seule, j’aurais Fabienne ! N’est ce pas Fabienne ?
– Mais bien sur ma chérie !

C’est ainsi que Luc appris en ce jour de son trentième anniversaire que sa future ex-femme s’adonnait ouvertement aux plaisirs de Lesbos, et curieusement la chose l’amusa quelque peu.

Marika arriva quelques minutes plus tard, et Stéphanie lui ouvrit. Elle embrassa Luc chastement et sans passion excessive. Marika (dont vous avez peut-être suivi la première aventure dans Gilda) est une femme assez grande, elle a les yeux verts, les cheveux châtains clair légèrement bouclés et coupés au carré et elle aborde un sourire souvent jugé désarmant.. Elle s’est habillée aujourd’hui d’une petite robe couleur jaune pale assez longue et tenant par de légères bretelles, le décolleté n’est pas large, mais il est profond. Une horrible ceinture bleu ciel la ceint.

Luc essaie de croiser le regard de Marika, de guetter un signe qui lui ferait dire qu’elle a autant envie que lui de s’abandonner aux joies de la chair et de l’amour. Mais que nenni, que nenni, aucun signe particulier dans l’air, aucun message subliminal ou non, rien du tout. Luc se dit que Stéphanie a peut-être exagéré afin qu’il accepte cette partie ! Mais dans quel but aurait-elle fait une chose pareille ? Mais bon, tout cela ne vient que de commencer, il peut se passer des tas de choses, et puis Marika, elle est bien là, sans doute lui a t on dit que cette petite réunion amicale n’était pas destiné à enfiler des perles !

– Bon, je vous propose que nous allions profiter du soleil au bord de l’étang, la météo annonçait de la pluie, ils se sont encore gourés, et puis si tout ce passe bien, mais il n’y a pas de raisons, n’est ce pas, nous irons finir la journée chez Fabienne !

Tout ce petit monde suit donc Stéphanie dans sa voiture, elle ne s’est pas trop compliqué la vie en toilette, et s’est habillé d’une simple robe blanche, dont le haut s’orne de quelques broderies. Luc ne peut s’empêcher de trouver cette couleur complètement hors de circonstances.

Il y avait beaucoup de monde près de l’étang. Mais l’une des filles connaissait un coin un peu moins fréquenté, un peu en retrait dans le bois avoisinant, une sorte de clairière. La chaleur est accablante en ce milieu d’après midi et les trois femmes, ne pensant pas s’attarder ici outre mesure n’ont pas apporté de maillots de bains. Aussi de façon fort décontractée, se sont-elles misent torse nue, et ont retroussé leurs jupes, dévoilant ainsi leurs petites culottes. Luc peut ainsi découvrir les seins de ces jeunes femmes, menus aux tétons bourgeonnant de rose pour Fabienne, un peu plus enveloppé mais surtout plus ambré chez Marika dont le bronzage intégral de l’été persistait en ces premières journées d’automne. Luc s’abreuve du corps de ces femmes, il cherche toujours un signe de complicité de la part de Marika, mais peine perdue, elle ne le regarde qu’à peine. Tant pis ! se dit-il, on verra bien comment s’organise la suite, mais un horrible doute l’assaillît. Et si Stéphanie avait organisé cette sortie, pour se moquer de lui, pour le ridiculiser ou autre chose encore ? Non, finalement, il n’y croit pas ! Stéphanie ne pouvait pas faire ça ! Mais allez chasser un doute, vous ?

A la demande de ces dames Luc débouche une bouteille de mousseux, personne n’a songé à emporter des coupes et c’est donc au goulot de la bouteille qu’ils vont s’abreuver, Marika ayant l’honneur de débuter la chose fait gicler un peu de ce breuvage dans son gosier avant de la faire circuler. Le partage du mousseux contribue un petit peu à décontracter l’atmosphère, au moment où chacun se demandait comment la suite pourrait évoluer. Luc, renonçant à comprendre l’attitude de Marika louchait de plus en plus effrontément sur la poitrine de Fabienne, qui de son côté lui lançait des yeux de plus en plus coquins. C’est Stéphanie qui interpella alors son encore mari :

– Embrasse ma copine ! Tu en meurs d’envie !
– C’est vrai ? Je peux ?
– Bien sûr mais c’est parce que c’est ton anniversaire !

Il roule donc un long patin à Fabienne, puis voulant remercier son épouse entreprend par jeu, par défi, par provocation de faire de même à cette dernière, laquelle se laissa faire sans problème.

Un gros nuage s’annonce à l’horizon, la météo avait donc raison !

On décide donc d’anticiper sur la deuxième partie de la journée et la joyeuse bande se précipite vers la voiture, direction l’appartement de Fabienne !

Aussitôt entrée, Marika s’est assise dans un grand fauteuil, et Stéphanie vient s’installer près d’elle à cheval sur l’accoudoir et entreprend de lui peloter un sein. C’est ce qui s’appelle ne pas perdre de temps. Devant un spectacle aussi charmant et émoustillant, Fabienne ne voulant pas être en reste offre le bout de son sein à Luc, lequel à genoux devant cette blondinette, entreprend de lui titiller de la langue tandis que sa main, s’enhardissant, lui baisse sa culotte !

– Allez, les filles on lui fait sa fête !

Et ce disant, Fabienne le fait relever et lui roule un patin, son épouse vient lui passer une main sous son polo pour lui pincer le bout du sein, et comble de bonheur pour lui, Marika lui a baissé le pantalon et est donc la première à lui toucher la bite qu’elle se met à lui masturber. Ça y est notre homme n’en peut plus, et histoire de l’achever un peu plus son épouse lui suce la queue de façon tout à fait inattendue, mais avec application. Il y avait combien de temps qu’elle ne lui avait pas accordé cette faveur, il se laisse faire, lui caressant la peau douce de son dos avec une infinie nostalgie..

– Allez à poil tout le monde

Ils finissent tous de se déshabiller !

– Viens me lécher ! Demande Stéphanie à son mari.

C’est donc véritablement la fête ! Stéphanie ne réagit plus comme s’ils allaient se séparer ! Elle offre son minou à Luc, tandis que Fabienne, passée coquinement derrière elle, lui écarte les lèvres du vagin.

– Et maintenant le champagne

Luc ne comprend pas tout de suite, mais réalise quand il s’aperçoit que sa femme est tout simplement en train de lui pisser dessus, il ne rechigne pas et avale tout ce qu’il peu de ce cru d’une cuvée bien spéciale.

– Allez Marika ! viole-le

Marika vient alors s’empaler sur la bite tendue de Luc et commence une chevauchée fantastique d’autant plus agréable que Fabienne lui tripote le clito en même temps.

– Bon je me sauve, occupez-vous bien de lui, je veux qu’il garde un super souvenir de cette soirée !
– Mais… Balbutie Luc
– Ne t’inquiètes pas tu es en bonnes mains, profites en bien !

Et Stéphanie s’en va se rhabiller et disparaît de notre récit.

– Moi aussi j’ai du champagne à t’offrir dit Marika

Elle s’installe à califourchon sur Luc et lui projette un jet d’urine sur la bite. Mais elle vise à côté. Heureusement Fabienne est là prévenante, et d’une main elle essaye d’orienter le jet de sa copine tandis que de l’autre elle s’occupe de la queue de Luc. Elle s’en fout plein les mains, c’est une belle cochonne, et elle rigole, elle rigole, elle rigole toujours Fabienne !

– C’est ma tournée maintenant ! dit Luc

Il se relève, et les deux filles étant agenouillées l’une à côté de l’autre il les arrose copieusement de son pipi dans leur bouche. Elles adorent ça, ça dégouline de partout, elles sont trempées. Quand Luc a fini d’uriner Marika insatiable lui nettoie le gland de savants petits coups de langue, c’est le minimum que l’on puise faire quand on est bien élevée !

Marika a maintenant envie de baiser et elle chevauche à nouveau Luc mais par-devant cette fois et en inclinant son corps. Du coup Fabienne peut pisser sur le dos de sa copine, l’urine dégouline alors sur ses fesses puis sur les couilles et les cuisses de Luc

Une nouvelle fois Luc se relève, Marika est partie dans la salle de bain, s’essuyer, sans doute. Alors comme il a encore une petite envie, il envoie un nouveau jet d’urine dans la bouche de Fabienne que celle ci accepte bien évidement avec le plus grand plaisir …puis la voici qui se jette visage en avant sur son sexe qu’elle entreprend de sucer goulûment, il reprend vite une rigidité intéressante, elle suce, elle s’applique, embrassant le gland comme saisie d’une étrange tendresse avant d’entamer un va-et-vient buccal étonnant d’efficacité ! Luc est aux anges, cette fellation experte le ravit. Il finit par éjaculer dans la bouche de la blondinette, qui avale tout avec un large sourire complice.

– Viens !

Non cet appel ne lui est pas destiné, c’est Marika qui invite Fabienne à la rejoindre. Seule comme une andouille et sa libido momentanément retombée, il va se nettoyer dans la salle de bain. Il ne pense pas s’éterniser ici. Aucun signal n’est venu du côté de Marika, son épouse a déserté. Oui, c’est décidé, il va partir, sauf si d’aventure, Marika lui demandait de rester, mais il n’y croit plus.

Il revient dans le salon, les deux femmes sont enlacées tendrement sur la moquette, parties dans un soixante neuf avec broutage de minettes, qu’elles accomplissent avec une ardeur toute remarquable ! Elles ne le voient même pas. Il se rhabille et s’en va !

Quand Luc rentra à son domicile, Stéphanie n’y était pas, il supposa qu’elle était partie faire quelques courses, mais une enveloppe à son attention était posée en évidence sur la table de la salle à manger, il l’ouvrit :

– Voilà, en rentrant à la maison tu ne me trouveras pas, je serais déjà loin, le camion de déménagement a emmené mes affaires pendant que nous batifolions. Ces choses là ne s’expliquent pas. Je ne souhaitais pas partir avant ton anniversaire, je ne voulais pas qu’il soit raté, je voulais que tu es un bon souvenir de mon dernier cadeau. Je t’embrasse adieu Stéphanie. Je t’ai aimé, tu sais !

Luc s’était pourtant préparé à ce moment, mais l’homme est faible, on se dit que tant que les choses ne sont pas faites, peut-être après tout ne se feront-elle pas ! Il s’effondra alors, en larmes !

La crise dura quelques minutes, puis ce fut la décision ! C’est immédiatement qu’il fallait le faire, parce qu’en ce moment il en aurait le courage. Certes, il s’attendait à un dénouement mais refusait de le voir en face ! A ce départ annoncé s’ajoutait la déception de l’attitude plutôt neutre de Marika ! Elle avait été, certes gentille avec lui, très gentille même, mais il attendait autre chose, une étincelle qui les aurait attirés l’un vers l’autre, et cette étincelle n’était pas venue. Sa femme avait sans doute cru bien faire, se méprenant sur les dispositions supposées de Marika. Oui c’était cela, parce que si ce n’était pas cela, l’autre explication était terrible, mais il la refoula ! Sa femme n’était quand même pas assez salope pour le pousser au suicide ! De toute façon, il ne saurait jamais, il se dirigea vers la salle de bain, dévissa le petit flacon, compta les gélules, remplit un verre à dents d’eau du robinet. Il se regarda une dernière fois dans son miroir, son visage était devenu terriblement blanc ! C’est avec un grand calme qu’il approcha les cachets de sa bouche. Et le téléphone sonna.

– Je ne réponds pas, je suis mort !

Il avala les gélules sachant que l’effet ne serait pas immédiat. Il décrocha le combiné, l’envie de finir sa vie en envoyant une vacherie à cet importun l’amusa. Qui cela pouvait-être ?

– Allô, c’est Fabienne, pourquoi tu es parti, on s’amusait bien ! Dis Luc ça te dirait qu’on se revoit ? Allô ! Allô !

Fin de l’épisode

(Je laisse au lecteur le choix de la suite, je n’ai pas tué Luc, à ce stade un lavage d’estomac est paraît-il possible. Reste à savoir si celui-ci le souhaite…)

JS Tiroir 1993 (revu et corrigé en 2001)
Première publication sur Vassilia, le 21/05/2001

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2 réponses à Rupture-Partie chez Fabienne (récit humide) par Jean-Sébastien Tiroir

  1. Brendaduaro dit :

    Excellent même si la conclusion peut surprendre

  2. Antonio dit :

    Un très bon récit uro, bien écrit, où pour une fois tout est intelligemment scénarisé. Cette fin ouvert n’etait peut-pas indispendable, il suffisait de faire sonner le téléphone juste un peu avant… mais ne chipotons pas, ce récit enfoui dans les archives du site est une perle rare. Je vous le conseille

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