RER par Rut Vlan

 



J’ai 34 ans et ça fait maintenant plus de dix ans que je lis les histoires et mate les photos sur Vassilia. Je me suis enfin décidé à t’en envoyer une. La voici :

Je prends ce putain de RER B tous les jours. J’habite dans une cité à Aulnay-sous-Bois à 10 minutes à pied de la gare. Avec les problèmes réguliers et casse-couilles sur la ligne, on arrive souvent à pas d’heure. Un soir, après une panne de deux heures pour un accident de voyageur, je remarque le petit jeu d’un rebeu qui mate le jeune mec céfran que je suis. Il est plus de 22 heures, on sort du train tous fatigués par tout ce temps passé pour rien dans la rame… Le rebeu me suit, je le sens bien, tout près dans mon dos. Je fais comme si de rien n’était mais ça m’excite bien. Je me fais peut-être des idées au fond… Je suis plutôt minet, j’ai 22 ans et je fais un stage dans une banque à Paris, du coup, je suis sapé en costard-cravate. Le rebeu qui me suis est jeune aussi mais bien plus grand et baraqué, look d’ouvrier du BTP qui me plait bien. Je commence à avoir grave envie de biberonner une bonne grosse teub.

Pendant que je marche dans des rues pavillonnaires vides, le rebeu me tapote l’épaule, j’ai le cœur qui s’emballe d’un coup.

 » – Salut mec, tu m’reconnais ?
– Nan, pas trop, je devrais ?
– Nabil ! On était au centre aéré ensemble, Kévin c’est bien ça ?
– Ah oui putain, c’est vrai, ça remonte à 8 ans facile, t’as bien grandi, hi hi!
– Grave, toi aussi !
– Ca fait chier ce connard de RER de mes couilles là, j’suis claqué.
– Ouais, trop, moi aussi.
– Bien envie de me détendre là. »

J’ai toujours le cœur qui cavale et la trique toute raide, ça fait poutre apparente dans mon pantalon de costume. Il la fixe à mort, cette bosse. Je suis bien gêné.

 » – Putain Kév’, tu bandes là dessous.
– Non, non…
– J’vois bien, t’es un coquin toi !
– Nan, c’est bon, lâche-moi… »

Je n’ai pas dû être assez persuasif dans ma requête car il avance doucement sa main vers mon futal, je suis comme bloqué, je le laisse faire, il me caresse la bosse à travers le fin tissu… On glisse vers une ruelle encore plus tranquille entre deux rangées de maisons. Il me fait avancer en me poussant par le cul. Je flagelle de partout. Il me cale contre le mur. Il me fixe bien d’un regard très bâtard. Je baisse la tête, il est en train de déboutonner son bleu de travail. Il en sort une bite bien épaisse encore au repos. D’un clin d’œil, il me fait me mettre à genoux. Bite à hauteur de bouche.

 » – Prends-la dans ta main. Montre-lui que tu la veux.
– Oui. »

Je m’exécute, tout chancelant. Je commence à branler sa bonne bite. Je sens la mienne qui est en train de tacher mon froc. Elle durcit vite sa pine. Un bon gros gland violacé décalotté ressort bien, le p’tit trou bien ouvert. Pendant que je la regarde, Nabil prend ma tête à deux mains et l’amène vers sa queue. Ma bouche s’ouvre toute seule, je prends son gros gland juteux dans ma gueule à foutre. Je le pompe bien, fort et rythmé, il soupire, il doit se sentir mieux. Je tête en mort de faim que je suis, malgré le volume énorme de sa queue je l’aspire bien à fond, j’accélère. Il me retient la tête avec ses bonnes paluches d’ouvrier et commence à me piner lui-même la tronche. Je bave de plaisir. Des larmes me coulent sur les joues, joie et étouffement… Il râle bien, il continue de me chevaucher à travers les lèvres. Un dernier râle brutal et de longs jets de jus bien chaud me coulent dans la bouche et ressortent sur mon visage. Je lui nettoie bien la pine avec la langue. Il parait bien satisfait…

« – On va se revoir toi et moi, donne-moi ton 06.
– 06 22 .9 4. .7, c’était bon.
– Ouais, ouais. »

Il dit ça pendant qu’il essaie direct le numéro, au cas où je lui aurais pas donné le bon… ça vibre dans ma poche gauche, juste à côté de ma queue toujours en érection.

Il n’en fallait pas plus pour me faire décharger à mon tour, ça part tout seul dans mon caleçon. Je gémis…

 » – C’est bien. T’es une belle petite salope en fait. Je me souviens que tu jouais pas au foot avec nous, pas trop viril mais rigolo comme tout. Ah ah ah ! Y’avait trop d’histoires qui couraient sur toi ! Ah sacré Kév’ !
– Ah bon, sérieux ?
– Grave ! Et c’était donc vrai. Ah ah ah ah ah ! »

Pendant qu’il se marre, il réajuste ses fringues, me fait un clin d’œil et puis il se barre…

Je suis là, en plan, le cœur en vrille. Que savait-il vraiment ? Y a encore trop de mecs du centre aéré dans mon quartier. On ne se fréquente pas. J’espère que ça va durer. Si Nabil leur parle encore, ça ne durera peut-être pas. Il est plus de 23 heures, j’ai faim, j’suis crevé, et encore tout excité…

A suivre…

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2 réponses à RER par Rut Vlan

  1. ribal dit :

    Où est la suite ?

    • Eddy dit :

      Ça fait 4 ans qu’o, l’attend !
      On fait quoi ? Ce chapitre peut à la limite se suffire à lui même mais il faut bien reconnaître que ça n’a rien d’exceptionnel

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