Racolage Balnéaire 4 – Anita, la géante par Boris Vasslan

Racolage Balnéaire 4 – Anita, la géante par Boris Vasslan

Ce récit constitue le chapitre 4 de la série « racolage balnéaire » – Selon votre humeur et vos disponibilités vous pourrez donc lire (ou relire) la série entière ou vous contenter de celui-ci qui peut se lire indépendamment.

Avant de prendre congé, Frédérique m’avait interrogé sur mes activités professionnelles. (voir les chapitres précédents) J’étais resté assez vague, précisant malgré tout que je faisais un peu dans l’informatique, il rechercha alors une petite carte de visite qu’il me confia :

– Tiens ! Ce sont des amis, quand tu seras à Paris, contacte-les de ma part, ils souhaiteraient que quelqu’un leur fasse un site Internet.

J’acceptais poliment, cela n’engage à rien, mais je n’avais pas trop l’intention de donner suite, n’ayant pas que cela à faire.

Malgré tout, cette aventure estivale m’avait profondément marquée. J’avais dans un premier temps résolu de tirer un trait là-dessus. C’était donc pour moi, une expérience forte, inoubliable, mais sans lendemain. Cette résolution ne résista pas à l’épreuve du temps. Plus il passait, plus l’envie de retrouver les merveilleuses sensations que j’avais connues chez Frédérique me tenaillait. Je passais des heures sur le net à dégoter d’improbables contacts, mais tout cela me paraissait bien compliqué et surtout bien incertain. C’est alors que je repensais à cette petite carte de visite. Je n’avais demandé aucune précision et les amis de Frédérique pouvaient être aussi bien des grossistes en antiquités moldaves que des joueurs de bandonéon ! Mais qui sait, d’amis en amis, j’arriverais peut-être sur quelque chose d’intéressant ?

Pas facile de joindre cet interlocuteur ! (Répondeur, ligne occupée, sonnerie dans le vide) Mais à force d’insister, je tombe sur une voix féminine un peu grave. La dame est très prudente au téléphone, c’est le moins que l’on puisse dire, mais quand je lui dis que j’appelle de la part de Frédérique, elle ne se contient plus ! Un vrai moulin à paroles !

– Ah, cette Frédérique, elle est si chou ! Je l’ai eu au téléphone l’autre jour, c’était quand déjà ? Mais elle était si pressée ! Comment va-t-elle ? Est-ce qu’elle est toujours avec Fabrice ? …

J’ignore qui est Fabrice, et je m’en fous complètement, mais je m’amuse d’entendre mon interlocutrice conjuguer systématiquement Frédérique au féminin. Quand je peux enfin en placer une et lui dire que je lui propose mes services pour son site Internet, ça repart pour un tour :

– Elle est si gentille de penser à moi, Elle m’avait bien dit qu’elle m’avait trouvé quelqu’un, mais comme je ne voyais rien venir….

On finit par prendre rendez-vous. Ce sera à 17 heures en sortant du boulot.

J’ignore, bien évidemment sur quoi je vais tomber, mais j’ai, suite au contact téléphonique, un bon pressentiment. Je me rends sur les lieux, un immeuble de standing comme on dit. Je sonne et là : Premier choc :

Une géante ! Au moins 1 m 80 auquel il faut rajouter des hauts talons. Elle est blonde, les yeux bleus, les cheveux coupés au carré, plutôt forte, mais sans exagération, vu la taille. Difficile de lui donner un âge, sans doute entre 35 et 45 ans. Elle a un adorable sourire ! Je me présente.

– Je suis Boris…
– Rentrez Boris ! Je vous attendais.

La voix paraît féminine, mais quand même genre contralto ou encrassée du larynx ! Elle me fait asseoir dans un fauteuil bien moelleux mais légèrement fatigué.

– Voilà, je suis Anita ! Je vous fais un petit café ? Un thé ? Un chocolat ?

Elle est habillée d’une jupe grise assez classique et pas vraiment sexy, et d’un pull-over blanc sans autre fantaisie que de lui mouler son opulente poitrine.

– Je prendrais bien du thé !

L’appartement est décoré avec goût, quelques reproductions de tableaux coquins du 17ème siècle ornent les murs. Un concerto pour piano est diffusé en sourdine, sans doute Rachmaninov. Sur la table un livre est ouvert et retourné, le Tartuffe de Molière ! Cette Anita parait donc comme une personne cultivée.

Elle part un instant dans la cuisine en tortillant du cul ! J’étais bien en peine à ce moment-là de déterminer le sexe de cette personne. Le visage me paraissait trop féminin pour être une transsexuelle, mais d’un autre côté, cette taille, cette stature, cette voix. Quand elle sera de retour, il faudra que je regarde ses mains ! Elle revient d’ailleurs tout de suite. J’ignorai qu’on puisse préparer le thé aussi vite ! Ses mains ne me renseignent pas, certes, elles sont un peu larges, mais, bon ! Elle s’assied ! Je la dévisage mieux. C’est vrai que le visage est très agréable. Quel charmant sourire ! Je lui rappelle la raison de ma visite, elle me répond que l’on va en parler dans quelques instants. J’ignore ce qu’elle attend et on échange quelques banalités. Mon regard est inexorablement attiré par la forme de ses seins sous son pull. Elle doit pourtant avoir un soutien-gorge vu l’excellente tenue de sa poitrine. Ses tétons pointent sous la laine du pull. Spectacle charmant. Pourtant un détail me surprend, il y a sur les tétons une sorte de renflement insolite ! Hypertrophie du mamelon ? Non, je comprends assez vite qu’il s’agit de petites boucles. Madame a donc des piercings au bout des seins, des anneaux !

– Je vous plais ?

Aie ! Qu’est-ce que je peux être pataud parfois, je rougis de confusion ! J’essaie de sauver la face :

– Excusez-moi, mais vous êtes, euh…
– Je suis ?
– Ben vous voyez, je ne trouve même pas mes mots !
– Ce n’est pas grave, je suis contente de vous faire de l’effet !

Nous voici sur un curieux terrain, je cherche une réponse un peu sensée, n’en trouve pas vraiment. Mais voici le thé qui arrive et qui provoque une bienvenue diversion. Et il n’arrive pas tout seul, le thé, une charmante personne nous l’apporte, nous le sert, et s’assied dans le seul fauteuil resté libre.

– Je vous présente Véra !

Véra est habillée d’un simple jeans et d’un pull-over rouge à grosses côtes, ce qui n’est pas précisément une tenue érotique. Tout sourire, visage agréable savamment maquillé. Mais en ce qui la concerne, le doute est peu permis, il s’agit bien d’un travesti !

– Euh ! Enchanté ! Balbutiais-je.
– Moi de même ! Répondit la nouvelle venue.
– Troublante, non ? Commenta Anita.
– Très !
– Elle vous plait ?
– Elle est charmante !
– Vous ne répondez pas ?

Qu’est-ce qu’elle me fait, là ? Elle cherche à m’embarrasser ou quoi ? Ou alors à me provoquer ? En fait, je suis prêt à me lancer ! Mais tout cela va trop vite, je ne pensais pas que les amis de Frédérique étaient si impliqués dans mes fantasmes !

– Si, si ! Je vais vous répondre ! Elle me plait beaucoup !
– Elle vous plait ? Ou elle vous tente ?
– Les deux ?
– Et si on parlait de notre site Internet ?

Ben ! C’te blague ! Je suis venu pour ça ! Non ? Et d’ailleurs, non, je ne suis pas venu pour ça, c’est un prétexte. Mais quelle manie, elle a, Anita, de souffler ainsi le chaud et le froid. Je m’attends à des détails techniques ! Parce qu’un site Internet, mais pourquoi faire ? Ou plutôt pour quoi dire et pour quoi montrer ?

– On va vous montrer notre activité dans tous ces détails, mais ça coûte combien ?

J’avoue que ce genre de choses ne m’était jamais venu à l’idée !

– Je ne sais pas ! Ça dépend, il y a des sites très simples que l’on peut faire en une heure ou deux et d’autres qui demandent un investissement quotidien.
– Je me suis mal expliquée ! Je souhaiterais que vous puissiez faire ça sans qu’il soit question d’argent entre nous. Nous pourrions vous remercier avec quelques prestations qui vous feraient plaisir !

Je décide de jouer le jeu.

– Et si vous me précisiez ce que sont ces fameuses prestations ?
– Tu as fait quoi avec Frédérique ? Me demande Anita passant au tutoiement

J’ai beau me dire que je suis en terrain d’initiés, raconter ces moments me gêne ! Je le lui dis :

– Ça ne t’a pas gêné de le faire, pourtant ? Rétorque-t-elle.
– Ce n’est pas pareil !
– Bon on va te faire visiter notre petit coin coquin ! Tu nous raconteras après !

Je fais le geste de me lever pour les suivre.

– Attends ! Attends ! Reste assis ! Et bois ton thé. On ne va pas y aller comme ça ! Allez, Véra on se met en tenue ! Ou plutôt, non, je vais commencer ! On va le chauffer progressivement.

Je crois rêver ! Anita retire son pull-over. Elle a en dessous un bustier noir dont une fine dentelle recouvre son opulente poitrine. Toutefois ce truc ne recouvre pas la totalité du sein, juste le bas ainsi que la majeure partie du téton, mais la partie supérieure de l’aréole est découverte. Super troublant ! Elle retire ensuite sa jupe. Elle a des bas cuivre et des porte-jarretelles assortis au sous-tif. Mon regard se porte évidement sur sa petite culotte, qui elle ne l’est pas (assortie). Il n’y a que dans les histoires cochonnes que les femmes n’ont pas de culottes ! Elle ne la retire pas ! Mais cette fois le doute n’est plus permis, il a là-dedans une jolie pine qui ne demande sans doute qu’à entrer en action. Et me voilà tout excité !

– T’aimerais bien en voir plus, hein ? Petit cochon !
– Ça c’est sûr !
– Tu aimerais qu’on te domine un petit peu ? J’ai l’impression que tu dois aimer ça ?
– Oui, pourquoi pas !
– Tu n’as pas peur ?
– Non !
– Non qui ?

Je ne m’attendais pas à ce que la domination commence de suite, et donc à ce qu’Anita m’adresse une petite paire de gifles plus symbolique que méchante !

– Non qui ?
– Non maîtresse !
– Ah quand même !
– Tu vas être mon esclave !
– Oui maîtresse !
– Et tu sais ce que je leur fais à mes esclaves ?
– Non maîtresse !
– Ben essaie de deviner ! Et retire donc ton pantalon et ce que tu as en dessous, ça va t’aider à réfléchir !

Je m’exécute.

– Et mets-toi à genoux ! Ou plutôt non, attend un peu que je regarde ton petit cul !

Elle ne se contente pas de le regarder, elle le malaxe, le tripote, le triture ! Faut surtout pas se gêner !

– Qu’est-ce tu en penses, Véra ?
– C’est un joli petit cul de tapette !
– On t’avait déjà dit que tu avais un petit cul de tapette ?
– Peut-être pas en ces termes-là, mais mon cul avait eu un certain succès chez Frédérique…
– Et ma réponse ?

La réponse ? Quelle réponse ? Elle me gifle à nouveau, pas trop fort mais ça me rafraîchit la mémoire.

– Je suppose que vous allez me fouetter, m’attacher !
– Et puis ?
– Peut-être me sodomiser avec un gode !
– Et puis ?
– Je ne sais pas, peut-être m’uriner dessus ?
– Et puis ?

Je m’aperçois avec horreur que nous n’avons pas pensé à aborder les limites de cette séance de domination complètement improvisée. J’espère qu’elle n’a pas le projet de me faire des trucs avec des aiguilles ou pire encore. Mais je ne suis pas prisonnier. Si c’est le cas, je peux toujours m’en aller.

– Je ne sais pas, maîtresse !
– Mes esclaves, je leur fais sucer des bites !

Ah ! C’était donc ça ! Mais ce genre de chose ne sera pas une corvée. Mais alors pas du tout !

– C’est comme vous voulez, maîtresse !
– Tiens, je suis sûr que là, maintenant, tu aimerais bien sucer la bonne bite de Véra !
– Oui maîtresse !
– Dis-le mieux que ça !
– Oui maîtresse, j’aimerais bien sucer la bonne bite de Véra !
– Et après quand tu l’auras sucé, on fera quoi ?
– Je suppose que je me ferais sodomiser ?
– Que tu te ferais quoi ?
– Sodomiser, maîtresse.
– C’est quoi ce mot-là ? On n’est pas chez le sexologue ?
– Alors… que je me ferais enculer !
– Ah ben voilà ! Bon mets-toi à genoux devant Véra et commence par lui tripoter la braguette, et tu ne fais que cela !
– Bien maîtresse !

Je fais comme elle m’a dit, je suis en plein rêve, même dans mes élucubrations les plus folles je ne m’imaginais pas que les choses iraient aussi vite ! Je sens la queue du travesti à travers la toile du jean.

– Caresse-la jusqu’à temps qu’elle bande.

Ça demande tout de même un certain temps, je ne dois pas être son genre ! La chose finit malgré tout par durcir.

– Tu défais la fermeture et sans rien casser ! Voilà et maintenant tu vas passer ta main là-dedans et le tripoter à travers son slip.

Voilà qui est autrement agréable, car le fin tissu du slip (ça doit être de la soie) n’altère pratiquement pas la forme du membre. Je pratique ce petit jeu pendant une minute ou deux. !

– Sort-lui sa quéquette maintenant ! !

Bien sûr que je le fais, je libère ce membre de taille honorable, et le caresse, sa texture en est soyeuse, la situation a eu raison de ma propre bite bandée comme un arc.

– T’aimerais bien la voir de plus près, maintenant ? Hein, esclave ? Demande Anita.
– Oui maîtresse !
– Bon, tu la suceras quand je l’aurais décidé… Mais pour l’instant tu vas finir de te foutre à poil.

Je m’exécute et alors qu’Anita me demande de me mettre à genoux devant le sexe de Véra, le carillon de la sonnette d’entrée retentit ! Du coup le travesti, réajuste sa tenue, range son service trois pièces et me laisse en plan ! Je vais pour me rhabiller mais Anita intervient !

– Juste le caleçon, et puis tu devrais finir ton thé, il va refroidir !

Le ton est redevenu « normal », Anita ne joue plus, j’avoue en être contrarié !

– C’était quoi ? Demande-t-elle à Véra !
– Un client ! Je l’ai mis dans la salle d’attente !
– Ah ! On n’avait plus de rendez-vous aujourd’hui !
– Il dit que si, on a dû oublier de le noter.
– Il est déjà venu ?
– Non !
– C’est quel genre ?
– La trentaine, assez mignon !
– Vas le chercher, on va s’amuser, mais soit diplomate, si ça se trouve c’est la première fois qu’il vient se faire dominer.

Comme Véra n’a fermé aucune porte, nous pouvons entendre la conversation :

– Venez, Maîtresse Anita va vous recevoir, mais ne soyez pas surpris, il y a déjà un client dans le salon.
– C’est que ça m’embête un peu, je ne peux pas attendre plutôt ?
– Si, bien sûr, mais je vous suggère de venir quand même, plus on est de fou, plus on bande… de plus séances collectives sont souvent passionnantes… de toute façon il ne vous arrivera rien de ce que vous ne souhaitez pas…. Vous m’avez rempli le petit questionnaire… Ah voyons, mais c’est parfait, ça… Au besoin on peut vous masquer le visage…
– Non, je crois que je vais essayer…
– Très bien, dès que vous aurez fait la connaissance de Maîtresse Anita, il vous faudra payer le prix convenu et ensuite sans qu’on ait besoin de vous le dire, vous vous déshabillerez, puis vous irez vous mettre à genoux devant elle et vous lui lécherez le trou du cul.

Le type arrive, effectivement, la trentaine, cheveux très courts et petite barbiche, jean et polo, très mode !

– Bonjour ! Murmure-t-il !

Il regarde autour de lui, un peu paumé, genre « je me suis lancé dans un drôle de truc, je ne voyais pas ça comme ça, mais je découvre… » Il dévisage Anita qui est resté en sous-vêtements, manifestement elle lui plait, il me regarde aussi, très dubitatif. La dominatrice parcourt rapidement le petit questionnaire et exprime un curieux sourire d’assentiment.

– C’est la première fois que tu viens voir une maîtresse ?
– Non, mais la première fois c’était avec une femme, je veux dire une vraie femme, ça ne s’est pas bien passé, je m’étais dit que je n’y retournerais jamais, et puis ça a été plus fort que moi, et puis comme je suis attiré par les transsexuelles, je me suis dit que, pourquoi ne pas faire d’une pierre deux coups…
– Qu’est ce qui s’est mal passée avec la fille !
– Elle tapait trop fort, elle m’a fait des marques, et puis elle s’est amusée à me piétiner, ça n’a aucun intérêt, je n’ai même pas pu jouir !
– T’es tombé sur une conne ! Simplement !
– C’est ce que je me suis dit, c’est pour ça que je me suis décidé à réessayer !
– Bon je te plais ?
– Oui maîtresse !
– Tu aimes les bites !
– Je suis fasciné par les trans… leurs bites aussi…
– Tu en as déjà sucé !
– Juste une fois dans un cinéma porno.
– OK ! Alors fait ce qu’on t’a dit de faire…

Le type sort le prix de la prestation, ne sait pas trop quoi en faire et donne finalement les billets à Véra. Il semble quand même assez perdu. Il commence à enlever ses vêtements, ne sait pas quoi en faire !

– Là-bas ! Indique Véra. Comment tu t’appelles !
– Euh ! Julien !

Il vient de l’inventer mais ça n’a aucune importance. Le type regarde autour de lui, il a l’impression de se jeter à l’eau, il a certes payé, mais il peut encore fuir, il pousse un grand soupir et finit de se déshabiller. Maîtresse Anita se penche alors légèrement en avant et descend sobrement sa culotte. Je peux enfin admirer sa belle bite, elle est assez pâle avec le gland rosé, ravissante… J’ai hâte de l’avoir dans ma bouche !

Julien se met donc à lécher l’anus offert, il a bien de la chance l’esclave. Je me demande d’ailleurs ce que je fais ici, si la séance dure une heure, est-ce que je vais simplement faire le spectateur, ce sera peut-être intéressant, mais bon rien ne vaut la participation !

– Relève-toi ! Esclave !
– Tu as aimé ça, me sucer le trou de mon cul ?
– Oui Maîtresse !
– Et, il avait quel goût mon trou du cul ?
– Euh, un peu fort !
– Fort ? C’est un goût ça, fort ? Demande-t-elle à Véra en s’amusant.
– Non il faut peut-être qu’on lui répète la question, il est peut-être un peu sourd !

Elle lui crache au visage et répète la question :

– Un petit goût de…
– De quoi ?
– De caca !
– Ah, oui, ça au moins on sait ce que c’est, et tu aimes ça, sucer des trous du cul qui sentent la merde ?
– Ça ne m’a pas déplu, maîtresse !
– Et tu fais ça souvent ?
– A vrai dire c’est la première fois, c’était un fantasme.

Je m’amuse, le mec bande comme un cerf.

Anita lui fait face et sans que le client ait eu le temps de réagir, lui accroche deux pinces sur les tétons

– T’aimes ça ? Hein salope ?
– Oui Maîtresse !
– Tu vas voir, tout à l’heure je vais jouer avec tes tétons, je vais te faire hurler… mais en attendant tourne-toi, je vais te rougir le cul.

Il se tourne

– Dis donc je n’ai rien entendu !
– Pardon Maîtresse !
– Quand je te donne un ordre, tu dois me répondre « oui maîtresse » ! T’as compris, salope ?

Et joignant le geste à la parole, Anita lui envoie deux paires de gifles qu’il encaisse sans broncher !

– Merci Maîtresse !
– T’aime ça les baffes, hein ? T’es vraiment qu’un chien toi, mais attends la séance ne fait que commencer.

Elle lui pelote les fesses.

– C’est quoi ces fesses, il y a trop de poil, la prochaine fois tu vas me raser tout ça, n’est-ce pas esclave ?
– Oui maîtresse !

Elle ponctue ses propos d’une belle claque sur le globe fessier, puis dans la foulée en administre une seconde, elle le fait pencher un peu en avant et continue à le fesser sans marquer de pause.

– Véra, le martinet !

Le travesti tend l’objet à Anita qui à présent flagelle l’esclave qui ponctue chaque coup d’ânonnements de douleur. Son cul commence à prendre une belle couleur rouge striée de barres plus sombres. Elle s’arrête un moment.

– Tu aimes ça, salope !
– Oui Maîtresse !
– Dis le que tu es une salope !
– Je suis une salope Maîtresse !
– Et tu sais ce que ça fait les salopes !
– Heu, je crois que ça exécute vos ordres, maîtresse !
– Tu ne crois pas si bien dire, tu vas voir ce qui va t’arriver tout à l’heure !

Regard pas très rassuré du Julien.

– Tourne-toi et regarde-moi !
– Oui maîtresse !
– Ouvre ta bouche !

Anita lui recrache alors en pleine bouche et avant que l’esclave ait eu le temps de réagir elle lui administre quatre gifles sur le visage.

– On dit quoi ?
– Merci, maîtresse !

Il fait une drôle de tronche. Anita lui demande de se relever, et lui accroche des poids au bout des pinces qu’il a sur les tétons. Grimace de Julien mais il a l’air d’aimer ça. Elle rajoute ensuite une deuxième série de poids qui lui tirent cruellement les bouts de seins vers le bas.

– Et maintenant à quatre pattes !
– Oui Maîtresse.
– Tu vas faire le tour de la pièce et dépêche-toi, je n’ai pas que toi à m’occuper.
– Oui, Maîtresse.
– Allez remue-toi le cul ! Ton gros cul de gonzesse ! Tu sais que je vais te le défoncer ton gros cul ?
– Oui maîtresse !

Le type avance, la masse des poids sur les pinces accrochés à ses tétons produit un effet de balancier qui semble le blesser à chaque pas, en même temps Anita lui assène des coups de martinet pour le faire avancer. Il en a de la chance cet esclave. En tous cas ce spectacle m’excite terriblement, je bande tout à fait joliment et me laisse aller à quelques mouvements de masturbation lente à l’intérieur de mon calcif, Anita s’en aperçoit !

– Dis donc, toi là-bas ! Quelqu’un t’a autorisé à te branler ?
– Non maîtresse, pardon maîtresse ! Répondis-je entrant dans son jeu.
– Véra ! Fous-lui 20 coups de martinets !
– Pas 20 ! Tentais-je de protester
– 25 ! répondit-elle

Je me plaçais donc à genoux, tête baissée et cul relevé, en espérant que je pourrai supporter la chose. Mais Véra n’avait rien d’une brute, après avoir testé ma résistance sur les tous premiers coups, elle trouva le bon rythme et la bonne force des lanières. Mais même si cela était supportable, c’était quand même limite et ça me faisait vraiment mal. Je respirais mieux le supplice fini, mais mes fesses me piquaient terriblement. Anita m’invita à regarder le résultat dans un miroir, mon fessier était devenu rouge groseille strié de traînés boursouflées. Mais quelque part la situation me plaisait, on est maso ou on ne l’est pas !

Anita s’adresse alors à Véra !

– On va les mettre l’une à côté de l’autre, ces deux salopes !

Elle nous fait agenouiller, Julien et moi sur le canapé, le nez vers le dossier. Et nous recevons quelques coups de martinet par pur amusement.

– Ecartez bien vos fesses de putes avec vos mains, je veux voir vos trous du cul.

J’obéis, je suppose que mon voisin fait de même !

– Attendez, c’est quoi ces culs de minables ! Vous ne devez pas vous faire enculez souvent !
– Non, maîtresse ! Mais je ne demande qu’à progresser ! Répond Julien, désormais en pleine forme !

Anita précise à Véra qu’elles vont prendre « chacun le sien » Je sens quelque chose de froid sur mon anus, sans doute du gel, un gode est en train de quémander l’entrée, je m’ouvre, ça entre, et Véra peut alors imprimer des aller et retour à l’objet dans mon conduit anal. Après les premiers instants toujours un peu difficile à appréhender en ce qui me concerne, une sensation très bizarre, mélange de trouble et de bien-être m’envahit. J’adore finalement cette pratique que je n’ai, il est vrai, pas fréquenté si souvent.

A côté de moi, mon voisin doit être dans un état d’esprit similaire, puisqu’il répète à qui mieux-mieux des « c’est bon maîtresse, c’est bon maîtresse »

– T’aime ça te faire enculer, hein salope ?
– Oui, maîtresse !
– Dis-le !
– J’aime me faire enculer maîtresse, vous faites ça si bien !
– Dis le que tu es une salope !
– Je suis une salope, maîtresse !
– La prochaine fois, on essaiera un gode plus gros !
– C’est comme vous voulez maîtresse !
– Ou alors, mieux que ça, je te ferais enculer par une vraie bite !
– … (pas de réponse)
– Dis donc esclave, tu as perdu ta langue ? Tu as intérêt à la retrouver sinon j’arrête le gode !
– Pardon, maîtresse ?
– Alors réponds ?
– Que souhaitez-vous que je vous réponde, maîtresse !
– Que la prochaine fois, tu vas prendre une vraie bite d’homme dans ton cul d’enculé !
– Heu… La votre maîtresse ?
– Une bite d’homme, je t’ai dit… moi je ne suis pas un homme, je suis une trans, une femme à bite.
– Je ne sais pas, maîtresse, si je suis prêt à cela !

A ces mots, Anita, retire brusquement le gode du fondement de son soumis.

– Tu n’aurais pas dû dire ça, esclave ! Dit-elle alors d’une voix doucereuse, tu as rempli une fiche tout à l’heure en indiquant les pratiques que tu ne souhaitais pas… je n’y ai pas vu celle-là
– Je n’y avais pas pensé maîtresse !
– Tu aggraves ton cas, on dirait, tu vas recevoir dix coups de paddle.

Anita indique à Véra d’arrêter de me goder le cul et lui demande d’administrer la punition au soumis

– Moi, je vais m’occuper de la punition de Boris ! Conclue-t-elle
– La punition, mais il n’a pas mérité une punition, lui ? Objecte le travesti.
– Je sais, la punition collective est injuste, c’est bien pour cela qu’elle m’excite tant !

Et tandis que Véra s’en va chercher un paddle, Anita me retire le gode de mon cul, me fait descendre du canapé, puis agenouiller devant elle.

– Nettoie-moi ce gode avec ta bouche, il est plein de merde !

« Plein » est une exagération, mais le truc est quand même loin d’être nickel ! La salope ! Ça c’est une vraie punition, je n’ai rien contre les trucs un peu scato (voir le chapitre précédent) mais encore faut-il que l’ambiance s’y prête… et lécher un gode merdique ne me branche pas plus que ça. Je fais contre mauvaise fortune bon cœur et lèche le condom entourant le gode, tandis qu’à côté de moi le cinglement du paddle résonne sur les fesses déjà martyrisé du pauvre Julien qui ne sait plus où il en est et qui implore des :  » Pardon maîtresse, merci maîtresse… »

La punition reçue, l’esclave est invité à se mettre debout devant Anita, et pendant qu’elle le questionne elle joue avec ses pinces, lui procurant des râles de jouissance :

– Bon, esclave, je vais répéter ce que je disais tu vas essayer de me répondre intelligemment cette fois-ci !
– Oui maîtresse !
– Hum, t’aime ça qu’on te tripote les seins… Donc une prochaine fois, tu te feras enculer par une vraie bite !
– Oui, maîtresse !
– Quoi « oui, maîtresse », je veux t’entendre dire ce qui va t’arriver !
– Je vais me faire enculer, pour vous, Maîtresse.
– Ah, voilà qui est mieux, tu auras peut-être une récompense tout à l’heure, mais tu vas te faire enculer quand exactement ?
– La prochaine fois maîtresse !
– Comment ça « LA » prochaine fois, tu es sûr que c’est ça que j’ai dis ?

Tout en lui parlant, elle a retiré les poids aux seins, puis ôté les pinces elle-même avant de les remette brutalement. Julien se pâme de douleur et de plaisir.

– Alors tu réponds, oui ?
– Quand vous voulez, maîtresse !

C’est en fait ce qu’elle voulait entendre ! Alors se tournant vers nous :

– Vous avez bien entendu ce qu’il a dit l’esclave, qu’il est prêt à se faire enculer pour sa maîtresse quand je le voudrais ? Allez répète esclave !

Et tandis qu’Anita continu à lui martyriser le bout de ses seins, Julien dans un souffle déclare donc :

– Oui, maîtresse, vous pouvez me faire enculer quand vous voulez, je ne suis qu’une salope d’esclave.
– Hum, voilà comment j’aime qu’on me parle, ouvre la bouche !

Et pour le remercier de ses bonnes résolutions, Anita lui recrache dans la bouche, plusieurs fois de suite :

– Merci maîtresse !
– Non mets toi à genoux, et toi, Boris tu va venir devant lui, il va te sucer la bite !

Le mec est maintenant carrément au pied du mur, il n’a pourtant pas l’air idiot, il se doutait bien qu’en allant se faire dominer par des trans, il serait amené à leur sucer le sexe… et d’ailleurs il n’a pas bronché tout à l’heure quand on lui fait sucer l’anus d’Anita, mais là pour lui ce n’est pas pareil, c’est la bite d’un homme non travesti qu’il a devant lui et il ne s’attendait pas à ça.

– Bon alors t’attends quoi ? Le retour des 7 mercenaires ? Tu prends sa bite, tu la mets dans ta bouche et tu te débrouilles.

Il y met la main, comme pour se donner du courage…

– La bouche, pas la main, connard, allez c’est le premier pas qui compte, une fois que t’y auras gouté tu ne pourras plus t’en passer…

Et hop c’est parti, le Julien s’est jeté à l’eau et m’a embouché mon membre, c’est un peu n’importe quoi au début mais ça s’arrange, il doit s’inspirer des films pornos (comme quoi ça a aussi une fonction pédagogique) et arrive à me faire une pipe qui ressemble à une pipe… et qui me fait d’autant plus bander que Anita est passé derrière moi et me triture mes tétons.

– Bon on passe aux choses sérieuses, tu peux arrêter de le sucer. Alors c’était comment esclave ?
– Ce n’était pas désagréable, Maîtresse !
– Tu recommenceras ?
– Oui, maîtresse !
– Mets-toi en levrette et tends bien ton cul de pédé !

Il s’exécute !

– Qu’est-ce que tu en penses de son petit cul à cet esclave, toi Boris ?
– Assez mignon, je dois dire, répondis-je histoire de dire quelque chose qui « fasse ambiance ».
– Ah ? Tu le trouves mignon, et bien puisque c’est ça, ne te gènes pas, lèche-lui le trou du cul !
– Ce n’est peut-être pas indispensable !

Une énorme claque atterrit sur mes fesses !

– Ce n’était pas une suggestion, c’était un ordre, conard. Lèche-lui son cul et plus vite que ça…

Du coup je comprends les hésitations de Julien tout à l’heure, parce qu’autant je lécherais le cul d’Anita avec excitation, autant là ça ne me passionne vraiment pas, mais j’obéis, j’adore obéir aux maîtresses. Pendant l’opération Maîtresse me branle doucement afin de maintenir mon érection.

Après ces préliminaires buccaux, je m’encapote, tartine le cul de l’esclave avec du gel, puis l’encule. Je fais des va-et-vient pas trop rapides, je n’ai pas envie de jouir maintenant, de plus cette situation n’est pas ma préférée, je suis en la matière beaucoup plus passif qu’actif.

J’ai quand même bien dû le limer pendant dix minutes avant qu’on me fasse arrêter.

– Alors c’était comment ?
– Très bien, maîtresse ! Répond Julien
– Tu as mérité une récompense, j’ai une petite envie de pisser, je vais faire dans ta bouche !
– Oui, maîtresse !
– Allez, à genoux et ouvre ta gueule de porc.

Le filet jaune de la pisse d’Anita dégringole dans la bouche de l’esclave qui avale tout sans broncher.

– Maintenant je veux que tu te branles, mais d’abord nettoie-moi bien la bite, je ne veux plus qu’elle sente la pisse.

Le Julien n’attendait que ça, il gobe littéralement la verge de la transsexuelle, tandis qu’il se masturbe de sa main droite.

– Bon ça va, jouis, maintenant ! Intervient Véra en lui tendant une feuille de papier « essuie-tout ».

Pas très romantique, mais le mec jouit en deux minutes. Changement de ton complet d’Anita qui s’adresse à lui :

– Alors ça t’a plu ?
– Oui, c’était bien, maîtresse.
– Il n’y a plus de maîtresse, la séance est finie, si tu veux de nouveau m’appeler maitresse, il faudra revenir, tu reviendras ?
– Je crois, oui !

Le gars parti, on se regarde un peu tous les trois, sans se rhabiller.

– On en était où avant qu’il arrive ? Demande Anita.

Mais voilà qu’on sonne de nouveau. Pas moyen d’être tranquille ici ! Vera va voir, fait entrer quelqu’un dans la minuscule salle d’attente, puis revient :

– C’est Roland ! Préviens Vera.
– C’est le gars qui nous fait des réparations, il vient pour changer la lampe du frigo, je lui avais dit de passer en fin d’après-midi, il n’en a pas pour longtemps.

Je commence à me rhabiller pendant qu’on fait entrer Roland. En fait j’ai juste remis mon caleçon. (comme tout à l’heure en somme)

Le nouveau venu est un moustachu, frisé, d’une quarantaine d’années, très jovial.

– Bonjour Anita, oh quel beau spectacle, bonjour monsieur.
– C’est Boris, c’est un ami, il est comme toi, il aime bien les bites.
– Ah, alors enchanté !
– Boris, montre donc tes fesses à Roland, je crois qu’il va apprécier.

Elle ne me demande pas, si ça me plait moi d’exhiber mon cul comme ça devant le réparateur du frigo… mais bon, je suis venu ici, le délire a commencé, alors qu’il continue. Je baisse donc mon caleçon, provoquant une exclamation enthousiaste de Roland.

– Hum ! Quel joli cul ! Je peux toucher ?

Je ne vais pas dire non, j’ai dû savoir vivre !

Le mec me caresse gentiment les fesses, puis devient plus hardi, il me les triture, m’écarte les globes et je sens son doigt s’aventurer très près de mon petit trou.

– T’aimes ça qu’on te pelote les fesses !
– Ma foi, quand c’est bien fait.
– Je peux te lécher la rondelle ?
– Je t’en prie, lèche !

Ça y est j’ai la langue de Roland dans le troufignon, il lèche bien c’est agréable. Pour le doigt il ne m’a rien demandé, il me le met d’office et me ramone avec. J’aime ça. Il finit par enlever son doigt et comme je le pressentais, il sort sa bite déjà bien bandé et me la présente :

– Tu veux me sucer ?

Quand c’est demandé gentiment… et en plus c’est loin d’être une corvée, l’engin est superbe, une jolie pine bien droite, avec une belle veine qui la parcoure, et un joli gland luisant dans les mauves. Hum, je vais me régaler avec sa quéquette à celui-là, je la suce, je la lèche, je me l’engloutis dans la bouche, je la fais cogner contre l’intérieur de mes joues, je donne des savants coups de langues autour de la couronne.

– Mais c’est qu’elle suce super bien, cette petite salope ! Commente le poète.

Je prends ça comme un compliment, je me régale, mais je commence à fatiguer de la mâchoire, et puis j’aimerais bien qu’il me la mette ailleurs sa queue, mais le souhaite-t-il ? Mais après tout au diable les convenances, j’en ai envie, je lui demande :

– Tu m’encules ?
– Hum… je vais bien te le défoncer ton petit cul…

Vera a été chercher une capote et du gel, on me tartine le trou, Roland entre doucement, puis se met à s’agiter. Des ondes de plaisir me parcourent le corps, je prends vraiment un plaisir intense à me faire prendre ainsi. Il m’encule ainsi pendant une dizaine de minutes et finit par jouir avec jubilation !

– Bon c’est pas tout ça, j’étais venu changer une ampoule…

Et le voilà qui sans se rhabiller, disparaît dans la cuisine. Je reste un peu en plan, c’est que je n’ai pas encore joui, moi, et que je commence à avoir les couilles douloureuses. Une minute après il revient.

– Et voilà, c’est fait !
– Déjà s’étonne Anita qui curieuse comme une chatte, s’en va suivie de Vera dans la cuisine vérifier ce miracle de la technologie moderne.

– Toi, tu plairais bien à ma copine, ça te dirait un petit trip à trois ? Me demande alors Roland.
– Oui, pourquoi pas ?

Les deux trans reviennent alors qu’on se rhabille.

– Je vous laisse et j’embarque votre ami, je vais lui présenter Janis. Déclare Roland.

A bon ? Je n’avais pas saisi que c’était pour tout de suite.

– Et notre site Internet ? Intervient Anita
– Je peux repasser demain soir à la même heure et on met ça au point ! Proposais-je.
– Alors d’accord, amusez-vous bien et embrasse Janis pour nous !
– Je n’y manquerais pas. Tu es prêt, toi, allez viens ma puce ! Répond Roland en me donnant une petite tape amicale sur mes fesses.

Voilà que je suis sa puce à présent !

A suivre

BORIS
© 2009 Boris Vasslan
vasslan@hotmail.com
Première publication sur Vassilia, le 8/11/2009

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8 réponses à Racolage Balnéaire 4 – Anita, la géante par Boris Vasslan

  1. voisin dit :

    Sans doute l’auteur aurait du faire de ce texte une nouvelle isolée au lieu de la raccrocher de façon trop artificielle à la saga « Racolage balnéaire » où on ne peut que constater qu’on n’est lus dans le même délire. Cela dit ça reste bien.

  2. TransMonique dit :

    C’est vrai que si l’on compare aux trois premiers épisodes délirant en diable, on est un peu en dessous, mais ça reste néanmoins très bon.

  3. Sapristi dit :

    Je partage l’avis des collègues, ce récit est inférieur aux trois chapitres précédent, disons que ça manque d’imagination, mais c’est du Vasslan, ça reste correct.

  4. Baruchel dit :

    C’est sûr qu’après l’imagination débordante des trois premiers chapitre, on dégringole un peu d’un niveau, mais àa reste néanmoins très lisible et assez excitant

  5. Valere dit :

    Autant les chapitres 2 et 3 (surtout le 3) regorgeaient d’imagination, autant celui-là nous décrit une séance de donjon complémentent bordélique. Déception

  6. claire dit :

    Vasslan a fait bien meieux que ça, cet épisode est vraiment trop « mécanique »

  7. Dorothy dit :

    Ça pour être troublant c’est troublant !

  8. Darrigade dit :

    Quelle ambiance ! On s’y croirait !

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