Chaise percée par Claire_N

Chaise percée par Claire_N

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – SCATO EXPLICITE

J’ai un peu honte quand même ! Après un premier roman dont le succès fut tout à fait inattendu, on me demanda d’en écrire d’autres. Mais c’est que je n’avais plus d’idées, moi. Et puis en longeant les étales des bouquinistes sur les quais de la Seine, j’ai eu un déclic, j’ai acheté une dizaine de vieux bouquins d’auteurs complètement tombés dans l’oubli, à la maison j’en ai éliminé deux qui étaient réédités, puis j’ai lu les autres en vitesse rapide, en en envoyant trois à la corbeille car vraiment trop tartes. J’en ai sélectionné un, et j’ai commencé à le recopier sur mon ordi, j’ai modernisé le cadre, les personnages, le style et les dialogues, j’ai changé tous les noms propres et introduit un petit peu de sexe. Et zlouf chez l’éditeur, et hop deuxième succès. La ficelle est bonne à raison d’un bouquin par an, je ne me fatigue pas trop, et l’argent rentre bien.

Bon, parlons d’autres choses, mais toujours de moi, je me prénomme Marie-Adelaïde (on ne rigole pas), j’ai la presque quarantaine, cheveux auburn mi-longs, un petit peu forte et quelques kilos en trop, mais je plais. Je suis célibataire, j’aime le sexe, je devrais plutôt dire que j’aime beaucoup de choses dans le sexe, mais ne pratique pas plus que ça, j’adore fantasmer et j’adore écrire mes fantasmes dans des romans qui ceux-là ne seront sans doute jamais édités. Je me masturbe beaucoup, et s’il m’arrive d’avoir des aventures avec des hommes ou des femmes, c’est souvent sans lendemain…

L’histoire peut commencer :

Les obligations de cette ennuyeuse réception touchaient à leurs fins. Je m’y étais rendue pour me montrer, parce que mon éditeur avait insisté. Voilà qui était fait à présent, j’avais salué tout le monde, on saurait que j’avais honoré ce machin de ma sulfureuse présence, ça suffisait à présent. Déjà je me dirigeais vers le vestiaire.

– Vous partez déjà ? Feint de s’étonner un bellâtre déguisé en pingouin.
– Quelle perspicacité ! Vous êtes très fort !
– Quel dommage, j’aurais tant aimé échanger quelques mots avec vous !
– Vous vous en remettrez ! Lâchais-je avec agacement, laissant là le casse pied.

N’aimant guère conduire, j’étais venue en taxi, bien obligée donc de rentrer de la même façon, ce qui me fit pester devant la nécessité de devoir rechercher une station. Je traversais la cour d’entrée qui faisait également office de parking privé sans me préoccuper de ce petit groupe de personnes discutaillant près d’une étonnante automobile jusqu’à ce que j’y aperçoive une superbe femme à la chevelure blonde et quelque peu énervée venant à ma rencontre :

– Marie-Adélaïde ! Quel plaisir, mais vous partez déjà ?
– Sabine ! Quelle surprise ! Ça me fait plaisir aussi, on devait se rappeler, on ne l’a fait ni l’un ni l’autre, c’est dommage !
– Et bien prenons rendez-vous tout de suite, mais peut-être pourrions nous nous saluer de façon moins protocolaire, non ?

Nos bouches se collèrent alors et nous restâmes figées sur place immobilisées par un long baiser, sous les regards salaces des gens qui étaient là.

– Quelle fougue, Sabine !
– Qu’est ce tu veux ! Tu m’excites !
– Tu t’en vas ou tu arrives ?
– Non je m’en vais, je viens d’avoir un petit incident avec un mec ! Expliqua la blonde Sabine
– Comment on a fait pour ne pas se voir à l’intérieur ?
– J’étais enfermée dans les chiottes avec Philippe de Hautbuisson…
– Le mec de la télé ?
– Oui !
– Ben, tu ne t’emmerdes pas !
– Bof ! Repris la belle blonde, il n’a pas beaucoup d’intérêt, c’est un dragueur fou, il parait assez marrant comme ça… Je lui ai proposé de me baiser dans les chiottes…
– Toujours aussi romantique, Sabine !
– Tu parles ! Il a accepté, mais il est devenu brutal, j’ai été obligé de le gifler pour m’en débarrasser.
– Non ?
– Si… Du coup j’ai pas baisé… Mais tiens, en parlant de romantisme, j’ai bien envie de te faire quelque chose de vachement romantique à toi !
– Chiche !
– Tu as quelque chose de prévu, là tout de suite ?
– Rien du tout !
– Je t’embarque alors, on va chez moi ?
– Embarque-moi !
– J’ai une de ces envies de te bouffer la chatte. Allez, on y va…

Sabine m’invita alors à monter à bord de son véhicule, elle se débarrassa de sa veste de tailleur avec un geste d’agacement :

– Ce con, il m’en a foutu partout, tout ça c’est bon pour le nettoyage !
– Ejaculateur précoce ?
– Non, goujat et simplet ! Une fois dans les chiottes, comme j’avais une petite envie de pipi, je lui ai proposé de regarder. Et bien, non, ça ne l’intéressait pas, il a détourné son regard. Après je l’ai sucé, il a une très belle bite, vraiment très belle, je me la voyais déjà dans mon cul ! Je l’ai sucé une dizaine de minutes, et puis soudain il s’est énervé, il a voulu me prendre mais il me serrait trop fort. Comme il ne tenait pas compte de mes protestations, je lui ai balancé une gifle, il s’est dégagé et à tout lâché sur moi. Je ne pouvais pas rester comme ça, c’est dommage, je me serais bien envoyée en l’air !
– Et sinon, tu fais toujours du théâtre ?
– Oui ça marche moyen, un peu de télé aussi, enfin je ne me plains pas !

Je me remémorais ma première rencontre avec Sabine, nous nous étions gouinées avec une rare frénésie, nous léchant, nous suçant, nous envoyant des godes dans tous les trous, nous compissant. Un moment, j’avais osé lécher l’anus de ma partenaire :

– Tu aimes ça me lécher le cul, hein vicieuse ?
– J’adore !
– Il ne sent pas un peu fort ?
– Si, mais ça ne me dérange pas du tout !
– Humm, allez enfonce bien ta langue, un jour tu me serviras de papier à cul !
– Pourquoi pas ? Avais-je simplement répondu.

Ce n’était pas tombé dans l’oreille d’une sourde. L’épisode des toilettes intervint environ une heure plus tard. Sabine ne m’avait pas prévenu de ce qu’elle allait y faire, m’invitant simplement à rester près d’elle, elle se mit alors à déféquer mais sans que l’on voie ce qui se passe, juste trahie par le floc de l’étron dégringolant dans la cuvette et l’odeur dégagée.

– Tu me nettoies le cul avec ta petite langue ?

J’hésitai, mes joues s’empourprèrent.

– Je ne suis pas encore prête pour faire ça ! Bafouillais-je.
– Je vais t’aider alors, mais t’inquiètes pas, on ne va pas se polariser là dessus, non plus !

Elle prit alors du papier et s’essuya le cul, une seule fois !

– Voilà, j’ai enlevé le plus gros ! Tu veux essayer maintenant ?
– Juste essayer alors !

J’entrepris de balayer alors de ma langue, le trou du cul de ma partenaire, partagée entre une excitation qui neutralisait mes derniers tabous et la crainte d’aller trop loin, mais ce ne fut pas une corvée.

– Alors, elle est comment ma merde ?
– Délicieuse ma chérie !

Elle se redressa, la chasse d’eau n’avait pas été tirée, plongeant ses mains dans la cuvette elle ramassa l’étron qui y flottait, l’approcha de sa bouche et le lécha d’un très bref coup de langue en me jetant un regard de défi avant de le rejeter.

Une scène très brève mais qui resta gravée dans mon armoire à fantasmes.

Sabine eut l’intelligence de revenir à des choses plus classiques, mais au moment de nous séparer, elle m’avait susurré :

– Si tu veux une prochaine fois, on pourra être encore plus cochonnes ! Appelle-moi !

Mais aucune d’entre nous n’avaient appelé, chacune espérant secrètement que ce soit l’autre qui fasse le premier pas.

Revenons au présent

Au bout de quelques minutes de conduite, Sabine ne put se retenir de profiter du premier arrêt pour m’embrasser de nouveau, déjà sa main fouillait ma culotte, mais un klaxon derrière nous la fit s’interrompre.

– Donne-moi ta culotte ! Demanda la blonde.
– Tu en fais collection ?
– Je voudrais bien la sentir !

Je me mis alors à me contorsionner pour enlever son string, le portant à mes narines avant de la refiler à ma conductrice.

– Hum, si tu savais ce que ça me fait ? Reprit cette dernière, tandis que mes mains venaient fureter à leurs tours dans ses chairs intimes.

Le trajet était assez court, arrivées au pied d’un immeuble ancien et cossu, nous sommes montées au second étage, là où Sabine avait ses appartements.

A peine entrée, j’eus la surprise d’entendre des bruits de pas, puis de voir apparaître une jeune femme brune de taille moyenne, simplement vêtue d’une robe de chambre.

– Oh ! Excusez-moi, madame, bonjour madame, j’ai eu peur en entendant le bruit de la serrure, je ne pensais pas que vous rentreriez si tôt !
– Il y a un imbécile qui m’a foutu du foutre plein mes fringues… Demain tu me trieras tout ça et tu apporteras ce qu’il faut au pressing.
– Bien Madame !
– C’est Faby, c’est ma petite bonne, elle est mignonne, non ?

C’est vrai qu’elle était mignonne, la Faby, une belle petite brune avec un joli visage malicieux.

– Madame a-t-elle besoin de mes services ? Demanda cette dernière.
– Je ne sais pas encore, mais commence donc par enlever cette robe de chambre ridicule pour que mon amie puisse mieux te voir !

Elle n’avait rien en dessous et Faby s’exécuta sans aucune hésitation et nous exhiba son joli corps bronzé.

– Tourne-toi, montre-nous ton gros cul de pétasse, ordonna Sabine commençant à s’exciter !
– Hummm, c’est vrai qu’elle a un joli cul ! Je peux toucher ? Demandais-je
– Bien sûr, elle est très docile, très soumise… Et très efficace !

Je caressais les fesses de la petite bonne m’enivrant de leur douceur.

– Fous-y un doigt dans le cul ! Me demanda Sabine

Pourquoi pas ? Je me léchais l’index avant de l’introduire dans son anus et de la fouiller. Elle se trémoussait de plaisir mais j’eus conscience qu’un seul doigt, cela faisait peut-être un peu juste. Je sortis donc mon index avec l’intention de le réintroduire avec le majeur.

– Il est comment ton doigt ? M’interrogea Sabine, me coupant mon élan.
– Pas très propre !
– Quelle cochonne ! Viens ici petite cochonne, allez tourne-toi.

Faby fit ce qu’on lui demandait, et la main de sa patronne s’abattit avec force sur ses petites fesses.

– Aie !
– Comment ça : »aïe », je vais te faire crier pour de bon, va me chercher le martinet !

Elle revint très vite, le manche du martinet entre ses dents, je m’aperçus alors que ce manche avait la forme d’un pénis en érection et pouvait donc faire également office de gode.

– Ouvre ton cul ! Je vais regarder moi-même comment c’est là-dedans…

Lui prenant l’instrument, Sabine se mit à en lécher sommairement l’extrémité avant de le fourrer dans le cul de la petite soubrette, elle fit aller et venir l’objet une dizaine de fois avant de le ressortir maculé de matière. Puis sans transition, elle se mit à zébrer les fesses de la pauvrette qui se mit alors à gémir sans qu’on sache qu’elle était là-dedans la part du plaisir et celle de la souffrance.

– Tu sais, me dit Sabine, parfois je m’amuse à la punir de façon très spéciale…
– Ah, oui ?
– Par exemple, il m’arrive de lui demander de me servir de papier à cul, ça t’intéresserait de regarder ?
– Si elle est d’accord ?
– Mais elle est toujours d’accord, c’est une gentille petite soumise, n’est-ce pas, ma petite salope ?
– Oui madame !
– Tu aimes ça me nettoyer mon cul plein de merde avec ta langue ?
– Oui, madame, j’aime bien faire ça !
– Mwais, mais pour ce soir, c’est râpé, si j’ai envie de me faire lécher le cul, je crois que Marie-Adélaïde aura la priorité. Va donc nous chercher à boire, tu voudrais quoi toi ? Me demande-t-elle.
– T’as de la bière ?
– Ça marche.
– Dois-je m’habiller pour faire le service ? Demande la petite bonne
– Non, reste à poil ! Et avant tu va me nettoyer la main avec ta langue, je l’ai toute dégueulassé avec ce martinet plein de merde

Toutes ces péripéties nous ont bougrement excitées et quand Faby revient, elle nous surprend enlacées, bouches collées et mains baladeuses…

– Vos bières, mesdames !
– Ajoute quelques gouttes d’urine, ce sera meilleur !

Sans se démonter, la soubrette prend alors chaque chope, la place sous sa chatte et pisse un peu dedans.

Nous trinquons et restons enfin seules toutes deux.

– Dingue d’avoir une soubrette comme ça ! T’as fait comment pour la trouver ?
– Sur Internet, ça te tente ?
– Je sais pas, je suis trop indépendante pour supporter quelqu’un dans mes pattes, j’ai quelqu’un qui vient faire le ménage et le repassage, mais ce n’est pas à plein temps et il n’y a pas de sexe.
– A la tienne !
– A la tienne, répondis-je goûtant cette étrange mixture
– Tu trouve ça comment ?
– Pas mauvais ! Glups !
– Quelle descente !
– J’avais soif !
– Je peux t’en refaire si tu veux !
– Laisse donc ta soubrette se reposer !
– C’était bien mon intention ! Si je t’en ressers, ce sera avec mon pipi !
– Alors dans ce cas je veux bien !
– Avec ou sans bière ?
– Pure !
– OK, viens, je vais d’abord te déshabiller, ensuite ce sera toi qui me déshabilleras, après je t’offre ma pisse et pour finir tu me lècheras le trou du cul. Ça te convient comme début de programme ?
– Super !

Elle commence par me retirer mes chaussures puis me baisse mon pantalon, et enfin la culotte !

– Hummm, j’adore ton cul ! Déclare-t-elle en m’administrant une claque amicale mais néanmoins appuyée sur ma fesse droite.
– Bien, écartons tout ça… Mais dis donc petite cochonne, t’es mouillé jusqu’au trou du cul !

Elle s’agenouille derrière moi, me fourre son nez entre les deux fesses !

– Quelle odeur ! Tu peux pas savoir ce que ça me fait !

Je sens sa langue à présent qui me lèche le troufignon, je « pousse » un peu pour qu’elle puisse y pénétrer un peu, et c’est à ce moment là que je m’entends lâcher un pet !

– Oh ! Je suis désolée !
– Ne sois pas désolée, ça ne me dérange pas, au contraire, vas-y pète moi encore dans la bouche !

Ça me gêne un peu quand même, mais devant son insistance je pousse de nouveau, et je pète de nouveau, elle rigole ! Je me demande comment je vais réagir si elle me fait la même chose ! C’est à présent son doigt qui me fouille, enfin quand je dis « son », je devrais dire « ses » ! Deux ou trois je n’arrive même pas à dire ! Superbe cette sensation. Et elle continue ! Il est curieux comme les muscles des sphincters arrivent à communiquer des ondes de plaisir !

– T’aime ça, hein qu’on te fouille le cul !
– Oui continue, c’est trop bon !
– Je parie que tu adores te faire enculer !
– Oui, mais j’en abuse pas !
– Tu as tort ! Tu voudras que je te prenne avec un gode ceinture ?
– Fais moi tout ce que tu veux, j’ai envie de me laisser faire !

Elle retire ses doigts, me les fourre sous le nez ! Il y en avait bien trois, ils ne sont pas très propres et ils puent la merde !

– Lèche !

J’attendais cet ordre, je l’exécute avec infiniment plus de facilité que prévu.

– Hum, c’est bon !
– Finis de te déshabiller !

J’enlève le haut

– Hummmm, j’aime bien tes nichons

Elle m’en attrape les bouts et me les serre violemment entre ses pouces et ses index

– Aïe !
– Qu’est ce que tu as à rouspéter, je te fais mal ?
– Oui, mais je ne te demande pas d’arrêter !

Elle les mordille, à présent, ça me donne des frissons de plaisir, j’ai la chatte qui dégouline.

On se pelote, on se roule des pelles, on est contentes d’être ensemble.

– Viens je vais te montrer quelque chose.

Je la suis, elle ouvre un petit cagibi assez exigu d’environ deux mètres de long sur un mètre de large. Il n’y a dans cet endroit qu’une chaise, mais elle est percée.

– J’ai trouvé ça aux puces. Tu connais ?
– Pas vraiment, mais j’imagine l’usage.
– Il y avait un petit texte collé à l’arrière du dossier, je vais t’en lire un bout, tu vas voir ce n’est pas triste :

« Quand la duchesse de Bourgogne, maîtresse de Louis XIV parlait, alors qu’elle était sur sa chaise percée, à ses amies, Madame de Nogaret et Madame du Châtelet, elle n’était pas le moins du monde gênée par ces fonctions naturelles. Il paraît même que… c’est là qu’elle s’ouvrait le plus volontiers. Voir le roi Louis XIV chier sur sa chaise percée représentait un privilège considérable, réservée à une élite d’une vingtaine de courtisans, visiteurs et invités, triés sur le volet. Pas uniquement des hommes puisque la duchesse de Montpensier ayant assisté s’en était montré, dit-on fort satisfaite, et ce ne sont là que quelques exemples. O tempora o morés.

– On en apprend des choses chez toi !
– N’est-ce pas ? Il en existe des modèles modernes qu’on trouve sur Internet dans des sex-shop en ligne, mais je préféré celui-là, c’est du joli bois et rien ne vaut le rustique.
– T’as raison !
– Et donc en-dessous on peut mettre un seau, une cuvette… ou quelqu’un…quelqu’un que l’on veut punir, ou quelqu’un qui veut s’amuser. Tu voudrais qu’on l’essaye ?
– Avec moi en dessous je suppose ? Aurais-tu l’intention de me chier sur ma jolie frimousse ?
– Ça te tente ?
– Disons que j’ai envie d’essayer ! Mais je vais peut-être me dégonfler au dernier moment !
– Allez on y va, glisse-toi là-dessous !

J’y vais, tandis que Sabine s’assoit sur la lunette, curieuse vue puisque je ne vois que ses fesses.

Moment d’appréhension, je sais que si ce qui va me tomber sur le visage est trop mou, je ne vais pas aimer et que je mettrais fin à l’expérience.

Non, ce que je veux, c’est du consistant, du bien moulé !

Je vois son magnifique petit anus s’ouvrir doucement, puis faire quelques mouvements de contraction. Un petit bout de crotte finit par apparaître et demande à sortir. L’étron grossit de plus en plus et de plus en plus vite, il doit faire maintenant quinze centimètres. Et tout d’un coup il se détache, j’ai fermé la bouche par réflexe, mais j’ai la merde de ma copine sur le visage, et le temps de réaliser un second étron vient s’affaler sur le premier.

Je ne sais pas trop quoi faire, je rampe pour me dégager de l’endroit, je retire les étrons de mon visage, mais je ne me relève pas et les place sur mon ventre. Je m’en suis mis plein les mains.

– Lèche les ! Me dit sabine !

Ben oui, au point où j’en suis !

Sabine vient ensuite prendre les étrons dans sa main et m’en badigeonne le corps, les seins, le ventre, les cuisses et même le visage. Je suis mignonne comme ça, je demande à me regarder dans un miroir, ça me fait rigoler, qui aurait cru que je ferais ça un jour.

Mais ce n’était pas fini, mon amie m’a demandé de la badigeonner à son tour, ce que je fis, nous rigolions comme des bossues. Puis c’est elle qui m’a léché mes sens tout pollués, j’étais tellement excitée que quand et m’a demandé de lui faire la même chose, je n’ai pas hésité une seconde.

Il restait un bout d’étron compact, Sabine le prit entre ses lèvres, le suça un peu et me fit signe de venir lécher l’autre extrémité.

Jamais je ne m’étais sentie aussi salope.

– Tu ne veux pas essayer de chier, toi, Me propose-t-elle.
– Je ne te promets rien, je vais essayer !

Ben, non, ça ne vient pas. Sabine m’aide alors en introduisant son doigt et en me fouillant le cul. Je crois que ça va pouvoir se faire, je pousse, un bel étron lui tombe sur le visage, elle le lèche.

– Humm, ta merde est exquise !

On s’est encore embrassées avec le goût de la merde dans nos bouches et puis on s’est retrouves toutes les deux par terre, en soixante-neuf et nous nous sommes léché la chatte jusqu’à la jouissance.

Après une petite douche en duo, nous nous sommes quittés en nous promettant de nous revoir, promesse qui n’engage à rien…

Je décidais de rentrer à pied chez moi, un peu d’air frai ne pouvant que me faire du bien, et je sifflotais comme un pinson, heureuse de nos bêtises et finalement très bien dans ma peau et plein d’idées pour les romans que je ne publierais jamais.

Claire

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9 réponses à Chaise percée par Claire_N

  1. Scatman dit :

    Pour amateur mais j’en suis !

  2. Lapouley dit :

    Ce n’est pas par hasard qu’on parle parfois de « caviar » en désignant ce qui sort du cul

  3. Diri Dindire dit :

    Le lécheur de merde que je suis ne peux s’empêcher d’apprécier ce délicieux récit à sa juste valeur. Merci Claire et bravo

  4. Kleber dit :

    Claire, as-tu déjà goûté à ta merde ?

  5. Lucia dit :

    Réservé aux amateurs ! Peu pratiquante mais j’aime bien les récits qui en parlent

  6. Jugan dit :

    Le style est élégant du moins au début, ensuite c’est le fantasme qui prime, c’est moins stylé, mais c’est efficace si toutefois on fantasme sur les mêmes choses

  7. Coysevox dit :

    Bonjour Claire ! Dans la vraie vie, tu fais tout ça aussi ?

    • Claire dit :

      Je serais méchante, je te répondrais qu’on est pas là pour parler de moi, mais de mon récit. Mais je ne suis pas méchante ! J’ai beaucoup de fantasmes scatos mais mes pratiques restent relativement modérées.

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