Quand ça gratouille par Mondoi

Quand ça Gratouille.
par Mondoi


RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DE NOMBREUX PASSAGES SCATOS EXPLICITES

A la plage avec une cousine qui est divorcée et ses enfants, je passe l’après-midi à faire des châteaux de sables, des grottes dans le sable, des batailles de sable, résultat, j’ai du sable dans le slip et cela me démange furieusement la raie.

Sur le chemin du retour, elle voie que je me tortille et me gratte discrètement l’entre-fesses elle me propose un arrêt chez elle pour prendre une douche, j’accepte car cela devient insupportable.

Ma cousine, Hélène, a la trentaine et moi, Marie, vingt ans, nous sommes très proches l’une de l’autre et je lui sers de baby-sitter à l’occasion, nous nous sommes déjà vues nues toutes les deux mais rien de plus, donc je ne suis pas gênée quand elle fait irruption dans la salle de bain après avoir couchée les petits, elle s’est changée et a revêtue une sorte de pyjamas chinois blanc qui lui donne une allure d’infirmière.

Je me suis bien rincée entre les fesses mais il me reste une démangeaison que je n’arrive pas à calmer, je pense que j’ai du sable dans l’anus et il ne s’en va pas même en mettant directement le jet du pommeau de douche dessus, je le lui dis.
– Je peux regarder si tu veux, me dit-elle.
– Hum, c’est gênant, c’est vraiment mal placé.
– T’inquiète, on est entre femmes, j’en ai un aussi de petit trou et le sable de la plage qui gratouille, je connais, laisse moi voir.
– Elle me fait me pencher en avant, s’accroupie derrière moi et m’écarte les fesses des deux mains.
– Vas-y, pousse un peu que je vois dedans, me demande t’elle.
– Tu crois ? Demandais-je un peu surprise
– Mais oui, il n’y a que comme cela que je verrais si tu as du sable dans les plis de ton trou de balle, c’est là qu’ils restent coincés en général, à moins que tu veuilles les garder ?
– Non, je t’en prie, enlève-les moi, ça fait trop mal.
– Alors tu pousses comme aux toilettes, ça va s’ouvrir.

Je fais comme elle dit, un peu angoissée quand même par la peur de ne pas être propre de se côté ou de lâcher un vent odorant, je pousse sans trop forcer quand même.

– Holala, il y en a plein, ils sont coincés, je vais prendre un coton tige pour les enlever mais bon, allons faire cela sur mon lit parce que dans cette position tu vas avoir le sang qui monte à la tête.

Nous voila dans sa chambre, elle étale une serviette au bord du lit et me fait mettre à quatre pattes dessus, jambes fléchies, dos cambré, pour bien exposer mon orifice à ses soins digitaux, je m’étonne de la voir enfiler des gants en latex.

– C’est mieux pour l’hygiène me dit-elle en m’écartant les fesses, accroupie de nouveau derrière moi.
– Maintenant tu pousses!

Je me dis qu’elle doit avoir une vue générale sur mon intimité et je sens une onde de chaleur me parcourir le bas-ventre rien qu’à cette pensée, pourtant je ne suis pas particulièrement attirée par les femmes et de surcroit par ma cousine, comment ais-je pu avoir cette pensée furtive et agréable, je pousse sur mon sphincter et cette fois sans pudeur, je pousse deux fois plus fort qu’à la première inspection anale.

– Oui oui, comme cela, c’est bien, je vais nettoyer dedans avec un coton-tige et de l’eau tiède.

En effet, je sens quelque chose de doux et de chaud me gratouiller la rondelle précautionneusement, s’en est même agréable.

– J’en ai enlevé plusieurs déjà, tu sens la différence ?
– Ouiii, c’est cool, j’ai moins mal.

Ce que je ne lui dis pas, c’est que c’est même vachement bon de se faire tripatouiller les trente-six plis de la sorte, je commence à y prendre du plaisir, chaque fois qu’elle enlève un grain de sable, c’est comme une libération, je me détends de partout et je sens une humidité significative envahir ma vulve, je tente de serrer les cuisses pour qu’elle ne s’en aperçoive pas mais elle me donne une tape sur les fesses.

– Reste ouverte me dit-elle, sinon il va en rester.
– Excuse-moi, mais j’ai un petit besoin qui se fait sentir, dis-je comme prétexte.
– Tu as envies de faire pipi ?
– Heu oui…
– Attends, reste comme ça, je vais prendre ce qu’il faut pour que tu ne m’arrose pas le lit, dit-elle en allant prendre une petite cuvette dans la salle de bain, elle me la pose entre les jambes, pile sous ma fente humide.
– Tiens, tu fais là dedans si ça vient!
– Mais dis-donc, tu as déjà commencé à faire ou tu mouilles me demande t’elle en regardant ma fente ?
– Ne m’en veux pas Hélène mais ta séance de désensablement à des effets secondaires, c’est tellement agréable ce que tu me fais…
– Hummm, je vois que tu n’es pas insensible de ce côté-là, pousse encore ma chérie, que je te fouille plus loin.

J’obtempère avec le plus grand plaisir, ses doigts qui m’écartent l’anus dans un massage inquisiteur, le petit bâton de coton chaud qui furette dans les plis de mon sphincter, tout cela me donne envie de plus, plus de pénétration, plus de plaisir, je pousse, je m’ouvre, discrètement j’ai posé une main sur ma motte et je me mets à faire pipi en dirigeant le jet dans la cuvette, j’ai à moitié honte de me livrer ainsi devant ma cousine mais après tout, c’est elle qui a proposée de s’occuper de moi ainsi, tiens d’ailleurs, serait-elle bi ou lesbienne, je me pose la question maintenant qu’elle est accroupie entre mes cuisses, le visage entre mes fesses à me regarder la fente et la rondelle, ma miction ne la gêne pas, au contraire.

– Vas-y, fais ton pipi ma chérie, me dit-elle d’une voix suave, c’est un beau pipi ça.

Je sens des doigts toucher les miens, elle me caresse la vulve en se faisant arroser la main.

– Hummm, c’est chaud, on en boirait murmure t’elle, le coton-tige a franchit la barrière rectal et bouge dans mon conduis à la recherche sans doute, d’un dernier grain de sable.

Je pousse encore une fois mais là c’est pour évacuer les dernières gouttes de pipi et sans me contrôler, je lui lâche un petit vent à la figure.

– Oh ! Pardon Hélène, je ne l’ai pas fais exprès!
– Ben dis-donc, tu en fais des cadeaux à ta cousine ce soir, un beau pipi, un pet parfumé, tu n’as pas encore quelque chose à me donner ?

Je suis abasourdie, je n’en crois pas mes oreilles, ma cousine se dévoile derrière moi, prenant apparemment du plaisir à toucher et à recevoir mes intimités naturels, que veut-elle de plus comme cadeau, je n’ose imaginer à quoi elle fait allusion.

– Bon voila, je crois qu’il n’y a plus de sable dit-elle, le mieux pour s’en assurer serait que je touche dedans avec un doigt mais seulement si tu es d’accord ?
– Ben heuuu, ça fait mal? demandais-je innocente.
– Pas avec moi, je sais le faire en douceur, alors, tu veux ?
– Et bien… oui, vas-y, comme cela on sera certaines qu’il n’en reste pas.
– Je vais prendre une pommade lubrifiante, tu vas voir, ça va glisser tout seul.

Elle fouille dans le tiroir de sa table de nuit qui a l’air remplit d’objets étranges et s’enduis l’index de vaseline médicinal, elle me masse le muscle anal, délicatement, en connaisseuse je dirais, elle a posé des doigts sur mon sexe et ceux-ci ne restent pas inactifs non plus, je la provoque un peu pour voir.

– Mais dis-moi Hélène, je n’ai pas de sable sur la vulve que je sache, elle fait quoi ta main là?
– Heuuu…c’est pour te détendre, tu vas voir que ça vas bien ensemble, je peux arrêter si cela te gêne, me répond-elle sans pour autant arrêter le massage anal et vulvaire.
– Non non, continus, c’est agréable, je me demandais juste si tu n’étais pas…un peu…
– Lesbienne, c’est ça que tu veux dire ?!!!
– Ne le prend pas mal ma cousine, je n’ai rien contre mais tu es si douce avec moi, si prévenante, si attentionnée, je me suis demandée si tu ne m’aimais pas un peu plus qu’une cousine ?
– Si…! Je t’aime plus qu’une cousine, je t’aime depuis longtemps, en cachette, et tout à l’heure, quand je t’ai vu nue sous la douche à te laver les fesses, j’ai eu envie de toi de suite, je ne suis pas lesbienne, peut-être bi, mais seulement pour toi, avec toi.

En disant ces mots, les caresses d’Hélène sont devenues plus précises, plus sexuelle, un doigt s’est mis à me branler le clitoris et deux autres ont glissés dans mon vagin, au même instant, elle m’a rentré sont index dans l’anus, d’un coup et sans douleur, profondément.

– Haaa, ai-je fais, prise par surprise mais agréablement, je n’ai rien trouvé de plus à dire.
– Ca va, tu aimes, m’a-t-elle demandée ?
– Ouiii, c’est bon, ai-je dis dans un murmure, je vais jouir si tu continus.
– Attends un peu ma chérie, laisse toi faire, je vais te faire connaître des choses qui font du bien aux femmes.

Elle enlève la cuvette de pipi et se couche sous moi, le visage devant ma motte de poils trempés de mouille, elle me fait me cambrer vers sa bouche, son doigt fait des vas et viens dans mon anus et elle entame un cunnilingus d’experte, jamais un mec ne m’a bouffé la chatte comme cela, il faut être femme pour savoir donner un tel plaisir, aucun centimètre n’est épargné par sa langue et ses lèvres, elle sait où cela fait du bien, elle lèche, tète, aspire, suce mâche tout ce qu’elle trouve à brouter, une vrai ventouse, elle me rentre plusieurs fois a langue dans le vagin et la fait gigoter dedans, le doigt dans mon cul me fouille à merveille mais je veux plus gros.

– Hélène…s’il te plait… derrière…mets plusss!
– Petite cochonne, tu en veux deux ?!!!
– Ouiii, vas-y, défonce-moi.

Elle ne se fait pas prier et rajoute ce que je pense être son majeur, là, je suis envahie, écartelé du sphincter, je retrouve la sensation de sodomie par une verge, elle me besogne et j’aime ça, je sens aussi qu’il n’y a pas que ses doigts à l’intérieur, le touché rectal m’a donné envie de faire un besoin, je me rappelle les paroles d’Hélène tout à l’heure » Tu n’as pas encore quelque chose à me donner ? », c’est de ça qu’elle voulait parler sans doute, je verrais bien, je me sens parfaitement bien, plus elle me doigte, plus j’ai envie d’elle, je veux lui rendre ses bienfaits au centuple, je me rend compte aussi que je n’ai jamais léché un sexe de femme, je veux le faire, je veux tout lui faire.

J’ai sentis monter l’orgasme comme une vague de feu, brulante de l’anus au vagin en passant par mon clito, j’ai crié mon plaisir en jouissant sur sa bouche, encore quelques giclées de liquide intime qu’elle a bu avec délectation, quand elle a retirée ses doigts de mon sphincter, j’ai ressentis comme un vide à combler, elle me les a montrés, sales, maculés de trainées brunâtres, j’étais gênée, pas Hélène, elle les a portés à son nez et les a humés en souriant, j’ai cru un moment qu’elle allait les sucer mais non, elle les a lavés dans la cuvette de pipi.

– Ma chérie, je crois que tu as encore un cadeau pour moi m’a-t-elle dit en me tapotant les fesses.
– Vraiment, tu veux que je…
– Je ne t’oblige pas, si ce n’est pas ton tuc mais cela me ferait plaisir, j’aime bien regarder quand ça sort, tu dois me trouver dégoutante ?
– Non, mais…Hélène….?
– Oui ma chérie…?
– Je crois que je t’aime aussi, plus aujourd’hui que jamais, j’ai envie de toi, de ton corps, de ton sexe, de tes caresses, je veux te donner du plaisir comme tu m’en donnes, je veux bien faire caca devant toi si tel est ton souhait.
– Embrasse-moi, dit-elle en se serrant contre moi

Nos bouches se collent l’une à l’autre et s’ouvrent pour laisser passer nos langues qui s’entremêlent dans un baisé torride et profond, les mains parcours les corps, je la déshabille, elle me caresse les seins, je m’accroupie à ses pieds pour lui baisser son pantalon de pyjamas et sa culotte trempée à l’entre-jambe, son pubis apparaît couvert d’une belle toison de fins poils frisés châtains, je pose ma bouche dessus, l’embrasse et renifle son odeur intime, elle se parfume à cet endroit et le mélange avec le parfum de ses sécrétions vulvaires et de son urine, me rend folle, elle écarte légèrement les cuisses me donnant une vue sur ses lèvres brillantes de mouille et un accès pour y passer la langue, j’écarte ses chairs et lape son bouton d’amour, un beau clito turgescent, récoltant au passage le liquide de son désir.

– Viens…viens sur le lit me dit-elle en m’attirant vers la couche de nos ébats impudiques

Elle me fait m’allonger et vient sur moi en me présentant ses fesses dans une position indécente d’érotisme, je découvre sa raie duveteuse et son orifice plissé, lustré par le ruissellement de mouille échappé de sa fente, je vois ses petites lèvres pendantes et gonflées par le désir, l’entrée de son vagin semble faite pour une pénétration volumineuse tellement elle est ouverte puis je ne vois plus rien, Hélène a posée sa chatte sur ma bouche pour que je lui donne du plaisir, la pointe de mon nez vient au contact de son anus légèrement odorant et joue avec la souplesse accueillante de son muscle rectal, lubrifié comme il est, je lui rentre la moitié de mon appendice nasale dans les fesses en lui léchant la moule.

– Mouiii, comme ça ouiii, c’est bien, miaule t’elle en me remontant les jambes sous ses bras pour accéder à toutes les parties de mon entre-jambe.

La position qu’elle m’impose me contracte les intestins et je sens mon envie de tout à l’heure revenir dans mon rectum, j’essaye de retenir la « chose » de son désir en serrant les fesses mais Hélène est si habile dans ses douces caresses, si habile dans ses doigtages que je ne retiendrais pas longtemps le cadeau qu’elle attend, la langue plantée dans son puits d’amour, je remplace mon nez par des doigts, un puis deux, comme elle me l’a fait, elle se met à tortiller du cul sous la double pénétration, je saisis son clito qu’elle a gros comme un haricot blanc, entre le pouce et l’index et le fais rouler entre mes doigts, sa réaction est spectaculaire, Hélène se met à geindre de plaisir en vociférant des mots grossiers que je ne lui ai jamais entendu prononcer.

– Ouiii, vas-y ma salope… encule moi, bouffe moi la chatte, haaa…petite sale, chie moi dessus!!!

De l’entendre ainsi s’exprimer me pousse à l’extrême, je ne me retiens plus et laisse descendre le cadeau en attente, ma cousine colle sa bouche à mon anus et continue à balbutier des mots incompréhensibles, j’augmente la vitesse et la profondeur de mon doigtage anal, je lèche ses chairs comme une chienne lèche ses petits et je lui triture le cornichon sauvagement, des spasmes de plus en plus violents la secoue, sa jute me coule dans la bouche, elle jouit.

Son orgasme est arrivé au moment où j’ai sentis l’expulsion de mon étron, un gros morceau de caca que j’ai sentie passer malgré le doigtage qui m’avait élargit la rondelle, j’ai pissé aussi, sur elle, je me suis sentie comme une truie, sale, dégoutante, mais j’y ai pris du plaisir, surement parce qu’Hélène en prenait aussi, elle m’a giclée dans la bouche et j’ai avalé son liquide, elle aussi m’a salit les doigts mais cela ne m’a pas gêné, au contraire, j’ai pris un malin plaisir à les essuyer sur ses fesses en étalant la matière, je pense qu’aujourd’hui, ma sexualité a basculée vers des plaisirs nouveaux, je ne sais pas jusqu’où cela va me mener, irais-je encore vers les hommes après cela, serais-je capable d’avoir les mêmes jeux avec eux, pour l’instant j’ai décidé de me consacrer à ma cousine, elle a tellement de choses à m’apprendre.

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2 réponses à Quand ça gratouille par Mondoi

  1. Davin dit :

    Decevant

  2. Claire dit :

    Moi, il me semble que j’aurais sucé ces doigts un peu sale… l’auteur doit être un grand timide !

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