« Promenons-nous dans les bois… par Jean-Michel_et_Martine


 » Promenons-nous dans les bois… »
par Martine et Jean-Michel

Chaque année, nous appréhendons novembre et décembre, mois dont la charge de travail nous fait oublier les trente-cinq heures réglementaires.
Dimanche sept novembre….surprise ! Rien sur mon agenda…..Rien sur celui Martine. Cela nous permettait la grasse matinée.
Vers huit heures, allongée prés de moi, je sentis qu’elle sortait les bras hors de la couette pour s’étirer et pousser un grand bâillement. Elle sortit du lit, pour m’offrir dans mon reste de sommeil le bruit de la chute de son premier pipi dans la cuvette. Puis j’entendis venant du séjour, la chronologie des bruits qui m’indiquaient clairement que d’ici peu le café serait prêt. L’odeur arriva jusqu’à la chambre. Allais-je y avoir droit au lit, ou allait-elle m’appeler pour la rejoindre ?

J’en étais là de mes pensées encore remplies de sommeil quand je la devinais s’approchant du lit. J’ouvris les yeux. Elle était là debout, le plateau devant elle. Elle était restée toute nue, comme elle était sortie du lit. Ses longues jambes devant moi conduisaient mon regard vers son sexe rasé. Sa fente, bordée par deux beaux bourrelets se terminait par une petite touffe de poils taillés en forme de triangle qui semblait me dire :  » Suis la flèche  »

– Regarde comme je suis sympa…..le café de Monsieur !

Elle posa ses petites fesses toute nues sur le bord du lit et cette fois ce sont ses petits seins pointus que j’avais devant les yeux. Un rapide bisou et elle avança une tasse vers moi.

– Huit heures dix ?…..J’ai bien dormi, et toi ?…..dis-je pour ouvrir la conversation.
– Moi aussi…. On était crevés hier soir…. Quelle semaine ! …..Au lit tout de suite…. dodo…..et rien. Aujourd’hui c’est repos, on va se rattraper hein mon Jean-Mich’ ?

En disant cela, elle avait posé le plateau et les tasses vides sur la moquette et sa main s’était glissée entre les draps.

– Elle dort encore ?
– Oui…et surtout elle a envie de pisser avant toute chose…pas toi ?
-Moi c’est fait depuis un quart d’heure, et le café n’est pas encore arrivé là en- bas. Vas-y et reviens vite…. J’ai des choses à te dire.

Elle attaquait, comme d’habitude, et ça ne me déplaisait pas. A mon retour dans le lit, quand je fus rallongé sur le dos, elle eut vite fait de me chevaucher en déclarant d’un ton péremptoire :

– Ce matin c’est moi qui commande…. Tu te laisses faire…. Depuis que je suis éveillée j’ai une super grosse envie…..Toi aussi je paris ?

En disant cela, elle frottait sa fente sur ma queue, doucement, dans des mouvements longs et appliqués, butant à chaque fois sur son clitoris. De seconde en seconde, je sentais monter son plaisir et le mien et je m’attendais à ce qu’elle fasse en sorte que je la pénètre. Mais elle semblait ne pas y penser. Je la sentais se raidir, ses mains se contractaient sur mes épaules. Elle émettait des petits grognements au rythme de ses va-et-vient. Je ne pouvais que promener mes mains sur ses cuisses en regardant ses petits tétons que je ne pouvais pas atteindre. Je sentais qu’elle allait éclater sans que je la prenne. Elle se rejeta bientôt en arrière, serra les paupières, et je sentis ses ongles me serrer plus fort. Dans un soupir elle lança :

– Ah !…..Il était bon celui-là. Excuse-moi, j’avais tellement envie que je n’ai pas pu le retenir.
– Mais c’est à ton tour maintenant. Mon Dieu….Qu’elle est belle ! Comment tu veux me la mettre ?

Bien qu’elle m’ait posée la question, elle prit l’initiative, et à quatre pattes, elle me tendit ses fesses.
Je pouvais voir ses petites lèvres violacées, toutes mouillées. Elles attendaient de me livrer passage. Une fois pénétrée, elle reprit ses petits grognements. Je pensais d’abord qu’ils étaient comme un encouragement, mais j’imaginais mal Martine simulatrice. Au bout de trente secondes, elle annonça comme surprise :

– Eh ben…. Cà y est…..Je redémarre!….. Continue mon Jean-Mich’.

Ses encouragements firent que rapidement je m’éclatais alors qu’elle poussait à nouveau un soupir de plaisir.
Nos corps se retrouvèrent allongés l’un contre l’autre. On dit que dans de telles circonstances celui qui parle le premier dit une bêtise. Peut-être, mais au bout de cinq minutes, Martine posa la question en riant :

– On commence par quoi ? Le déjeuner ou la douche ? Je ne sais pas pourquoi je me sens toute collante d’un coup, pas toi ?

On opta pour les kleenex et le déjeuner.

Le grill-pain entre nous deux, ce fut pour moi une grande tasse de café allongé, et pour Martine sa traditionnelle tasse de thé. Sorti de la douche le premier, je terminais mon rasage devant la glace de la salle de bain. Martine me rejoignit.

– Bon…..Et bien….Je vais à la douche moi aussi.

Auparavant, juste prés de moi, sans retenue aucune, comme d’habitude, elle s’installa sur le siège des toilettes en prenant bien soin, machinalement, de bien poser sa robe de chambre autour d’elle et sur ses jambes. On aurait dit une reine ajustant sa traîne sur son trône.
Tout en me parlant du déjeuner de ce midi et de cette journée de repos, elle laissait aller doucement, très doucement, un adorable petit pipi chuintant pour le plaisir de mes oreilles. J’avais envie de lui dire :

– Tais toi !….J’écoute.

Elle se releva, ôta sa robe de chambre et toute nue, ma petite Eve enjamba le bord de la baignoire, tira le rideau de la douche en disant :

– Bye…..A bientôt

Puis, ce fut le bruit de l’eau mêlé à l’air de la comédie musicale  » Chantons sous la pluie  » qu’elle fredonnait en anglais, s’il vous plait, pendant le shampooing.

Après une petite sieste devant la télé, vers quinze heures trente, elle me sortit de mon engourdissement.

– Tiens….Et si on profitait du beau temps pour faire un petit jogging ?

Alors, survêtement pour nous deux. Elle abandonna jeans, petite culotte, et tee-shirt, pour bas de laine, petit pull et string en dessous du survêtement

– Ben oui….Je préfère un string à une culotte, on est plus à l’aise pour courir.
– Alors ne met rien !
-Question de principes, Un string ça sécurise….même avec un survet’

Puis, direction la forêt, à vingt minutes de voiture. Circulation automobile interdite dans les allées. Le parking du tennis est plein. On trouve quand même une place à l’entrée d’un chemin.
Nous ne sommes pas les seuls à vouloir profiter des derniers rayons du soleil d’automne. Changement de chaussures et nous voilà partis trottinant côte à côte à petits pas.

– Regarde ces couleurs…..Je reviendrai avec mon Minolta.

De temps à autre, nous étions doublés ou nous croisions des VTT ou d’autres marcheurs. Il y avait vraiment du monde à avoir eu la même idée que nous. Il devait y avoir un quart d’heure que nous trottions, quand soudain Martine serra sa taille de ces mains avec un petit cri.

– Que t’arrive t-il ?…..Tu t’ai fait mal ?

Elle me répondit par son petit rire qui indiquait qu’il s’agissait plus d’une mésaventure que d’une catastrophe.

– Mon string…..Je crois qu’il a craqué. Attends…je regarde.

Elle jeta un coup d’œil autour de nous pour s’assurer qu’elle ne serait pas vue, et glissa une main dans le pantalon du survêtement pour faire l’inventaire.

– C’est l’élastique qui a craqué a gauche…..Je vais pouvoir le faire descendre le long de la jambe droite.

Et elle se mit à descendre le fautif en glissant la main le long de sa jambe, puis sautillant sur place, elle réussit à amener le string à la cheville où elle le rattrapa.

– Tiens Jean-Mich’, tu as des poches toi. Garde-le, je verrai ce que je peux y faire
– Tout à l’heure tu disais que ton string te donnait une impression de sécurité. Alors maintenant ta vertu se sent en danger ?
– Tu raisonnes comme un homme…..Je sais qu’il n’est plus là. Il me manque, voilà tout.
– Il vaut mieux le string que la ceinture du survet’. Tu serais obligée de le tenir à la taille et difficile de cacher ce qu’il t’arrive.

Avant de le mettre dans la poche, je constatai avec Martine, que l’élastique de la ceinture, usé, avait fini par casser. Je portais ce string à mon nez mimant un air de dégoût.

– Ah, menteur…..Il y a à peine une heure que je le porte et je n’ai pas fait pipi depuis ce temps, et tu m’as toujours dit que ce n’était pas une odeur mais un parfum. Alors ne fait pas le dégoûté, ou je ne te permettrai plus de mettre ton nez et ta langue là où je pense !
Sachant ma Martine très pointilleuse, voire maniaque sur l’hygiène de ce petit coin, j’avais plaisir à la taquiner à ce propos et c’est sur cette plaisanterie que nous avons repris notre ballade coupée parfois par un  » Bonjour…..  » échangé avec un marcheur que nous croisions.

La fatigue commençait à se faire sentir et nous avons pris un chemin qui nous ramenait à la voiture en marchant plus calmement.
Avec le coucher du soleil, l’air devenait plus frais, il y avait déjà moins de voiture à l’entrée de l’allée. Après un nouveau changement de chaussures au coffre de la voiture, je profitais des circonstances favorables pour faire une vidange avant de repartir.

– Tu es vraiment un veinard toi !…..Tu peux t’installer presque n’importe où, même si on te voit. J’ai encore mon verre d’eau et ma tasse de thé de ce midi.
– Tu te souviens de la chanson :  » Promenons nous dans le bois….Pendant que le loup n’y est pas « . Tu peux la chanter en disant :  » Martine fait pipi dans le bois…..Pendant que personne ne la voit « . Il passe vraiment peu de monde et entre un marcheur et un VTT tu as tout ton temps.
– Tu sais bien que je suis capable de faire n’importe comment et n’importe où, mais la seule idée que quelqu’un d’autre que toi puisses me voir ou deviner ce que je fais me paralyse.
– Ne sois pas ridicule. Tu as eu des circonstances plus dures que celles d’aujourd’hui. Avec tes huit secondes départ arrêté, tu te prépares à baisser ton pantalon et quand il n’y a personne en vue tu as tout ton temps.
– De plus il fait froid. Avec mes fesses à l’air je serai complètement contractée.

Soudain, devant cette réticence inhabituelle, une pensée me vint. Et si elle était entrain de me chercher ? Quel devait être mon rôle alors ? Faire semblant de ne pas comprendre et lui dire d’attendre d’être rentrée à l’appartement ou prendre une initiative ? Je choisis cette dernière possibilité.

– En plus d’un passage de promeneur tu crains que le froid te bloque ? Tu n’as pas de culotte, debout en baisant le devant du survet’ ça reste discret vu de loin et tu auras moins froid en ayant le minimum à l’air. Je resterai près de toi, je tiendrai la ceinture derrière toi pour tenir tes fesses cachées et tu auras tes deux mains libres.
Une vraie gros envie ou le désir de réaliser son fantasme elle accepta, je m’y attendais, je ne fus pas surpris. Nous étions sur le chemin, elle passa de l’autre côté de la voiture et comme pour mieux se cacher, elle ouvrit les deux portes. Précaution inutile, puisque debout, son entrejambe arrivait au niveau de la vitre. Le dos tourné à la voiture, nous nous trouvions côte à côte.
Elle s’assura qu’il n’arrivait personne ni à droite ni à gauche, et me dit ce qu’elle attendait de moi.

– Tiens mon survêtement derrière. J’ai peur de le mouiller devant, passe une main entre mes jambes et tire le un peu vers toi.

Je m’exécutais, surpris par sa demande car généralement elle arrosait à au moins cinquante centimètres devant elle. Je me trouvais collé contre elle. De l’avant bras elle tenait le haut du survêtement, elle avait les deux mains libres pour écarter et diriger.

– Je vais peut-être t’en mettre un peu sur les doigts, mais tu en as eu d’autres.

Je la rassurai. Provocatrice certes, mais un peu bloquée quand-même par son audace, son pipi se faisait attendre. Je regardais ses mains et louais le ciel que le chemin restait désert. Il fallut au moins dix secondes pour qu’elle annonça :

– Le voilà qui vient !

Au même moment, libéré, un beau petit jet alla terminer sa chute devant elle dans l’herbe.

– C’était un vrai tu vois Jean-Mich’, et heureusement que tu étais là pour me seconder.
– Tu sais bien que j’aime participer.
– Je sais. C’est bien pourquoi j’ai demandé tes services de garde du corps et d’assistant.

Oh ! La coquine ! …. Elle avouait presque avoir souhaité, comme je le pensais, s’exhiber avec mon aide.

– Je n’ai pas mouillé tes doigts au moins ?
– Non…..Juste les dernières gouttes. Tu as tout bien envoyé devant toi. Je n’ai pas de kleenex…Tiens, prends ton string, il fera l’affaire pour un petit essorage. Ton survêtement restera sec.

Je le sortis de ma poche et le lui tendis. Mon idée lui parut bonne et elle le passa avec application sur le bas de son ventre et entre ses cuisses. Elle me rendit ou plutôt me le mit sous le nez en riant et en disant:

– Tiens, maintenant tu peux sniffer…..Là d’accord !

Vite elle avait regagné son siège et fermé les portes. Serrant ses bras croisés elle grogna :

– Brrrrrrrrr….. ! Le froid est vite tombé. J’ai pourtant fait vite…. Mais ma foufoune est glacée.

Continuant à jouer le jeu, je glissais ma main dans son survêtement en plaisantant :

– Attends…. Je vais la réchauffer.

Elle ne protesta pas mais poussa un grand cri quand j’arrivai au but :

– Ouaouh !… Arrête barbare…..Non…..Ta main est glacée!

Dans ce cas, inutile de tenter une caresse et c’est dans un grand rire partagé que je redémarrai la voiture.
Le retour fut tout aussi joyeux. Nous n’avons plus parlé de ce pipi  » provoc « .

Une fois à l’appartement, les survêtements ôtés, Martine fixa le programme.

– On n’a pas beaucoup transpiré par cette température, mais je vais quand même reprendre une douche, et toi ?

Je pris cela comme une nouvelle invitation et j’acquiesçai. Bientôt, nous nous sommes retrouvés dans la salle de bain et je m’attendais au scénario classique du lavage des dos quand elle dit d’un air compassé :
– Tu as dû être un peu frustré tout à l’heure. Simplement garde du corps et chevalier servant ? De plus, tu n’as pas dû voir grand chose ? Et une foufoune gelée qui n’aurait pas apprécié tes caresses. Tiens….Il y a longtemps que je ne t’ai pas fait un beau pipi. Viens voir !

En disant cela, elle s’installe bien confortablement sur le siège des toilettes, ses longs cheveux bruns dénoués tombant sur ses épaules, écarte fortement les jambes pour ouvrir son sexe et me regardant bien en face avec un sourire, elle étendit les bras de chaque côté en disant :

– Regarde comme il est beau…..Rien que pour toi !

Et elle laissa sortir un petit jet doré, sifflotant de plaisir. Elle me comblait et elle le savait. Elle avait déjà prévu la suite du programme. Le jet s’arrêta tout doucement en diminuant. Ses mains restèrent comme en offrande, comme pour dire :

– Et voilà !…..

Ses yeux fixaient toujours les miens. Son sourire était provocateur. Elle se leva en gardant les jambes franchement écartées.

– Tu viens déguster les dernières gouttes ?

Je m’exécutai avec grand plaisir, allant jusqu’à immiscer ma langue entre ses lèvres pour goutter le peu de liqueur qu’elles m’avaient gardée. Puis, je remontais vers le clito et bientôt je sentis que les hanches de Martine commençaient à s’agiter.

– Attends Jean-Mich’ ! A deux c’est mieux.

Elle prit mon bras et m’entraîna vers la chambre en chantonnant :

–  » Promenons-nous dans le bois……Pendant que le loup n’y est pas « …..

Elle s’allongea sur le dos au bord du lit et leva ses longues jambes qu’elle posa sur mes épaules

– Il y a longtemps que tu ne m’as pas prise comme cela. Viens. La douche on verra après.

Et la journée s’acheva comme elle avait commencé: dans un grand éclatement partagé.

Jean-Michel et Martine

Janmich59@wanadoo.fr

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0 réponse à « Promenons-nous dans les bois… par Jean-Michel_et_Martine

  1. Messidor dit :

    C’est toujours pareil avec ces deux là, ils nous font de l’uro plutôt soft en couple en se perdant dans des digressions peu inspirés.
    On a lu tellement mieux sur le site,
    ma note 2/5

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