Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 11 – Octave en Thaïlande par Maud-Anne Amaro

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 11 – Octave en Thaïlande par Maud-Anne Amaro

Le récit d’Octave

J’ai toujours été fasciné par les transsexuelles, fasciné c’est même pas le mot disons que ça m’intriguait. Quand je suis arrivé à Patpong, le quartier chaud de Bangkok, j’ai eu la curiosité d’entrer dans un bar où il y avait des lady-boys. Je m’assois et je me rends compte que l’ambiance est vraiment débridée, un type, le pantalon sur les chevilles, se faisait branler la bite de façon visible par deux lady-boys. Ça m’a excité de voir ça, puis rapidement la lady a emmené le type dans l’arrière-salle. Je regarde autour de moi, beaucoup de ladys était occupées à draguer des touristes, embrassades, pelotages et mains au paquet mais plus de branlette.

Une lady s’approche de moi, très jolie et souriante.

– Je t’ai apporté une bière, mais tu veux peut-être autre chose ?
– Non, non une bière c’est très bien.
– Je m’assois à côté de toi ?
– Bien sûr !

Elle est à peine assise que j’ai déjà sa main sur ma braguette. Je ne proteste pas, après tout je suis venu pour ça.

– Tu peux me caresser si tu veux !

Je l’ai fait, mais par timidité je me contentais de lui caresser les bras et les cuisses, elle avait la peau très douce.

– Tu peux me caresser partout ! Précisa-t-elle. Je m’appelle Lucy

Pas vraiment thaïlandais comme prénom mais facile à mémoriser !

Je lui pelotais un peu les seins à travers le tissu, puis saisi d’une impulsion subite je mis ma main à l’endroit du sexe.

– Humm, petit coquin ! J’ai une belle bite tu sais ! Passe ta main sous ma robe.

Je le fais, elle a une culotte, je trifouille dedans et me retrouve avec sa bite dans la main. C’est magique !

– Stop ! Si tu veux faire plus de choses, tu me donnes des sous et on va derrière.

C’était couru, mais quelque part je suis aussi venu pour ça. Je lui file le fric, je fini ma bière et on y va.

L’arrière-salle a été aménagé avec des cabines séparées par des rideaux. Pas trop discret ce truc. Lucy m’explique qu’il y a aussi des chambres plus classiques au premier mais que c’est un peu plus cher. Mais je décide que nous allons rester là.

On se déshabille, Lucy est joliment faite, avec des mignons petits seins. Je suis fasciné parce qu’elle a entre les jambes. Elle ne bande pas beaucoup, mais se tripote la bite afin d’y remédier et s’aperçoit de mon trouble.

– Tu l’aimes bien ma bite ?
– Elle est belle !
– Je vais te sucer un peu ! Tu voudras sucer la mienne après ?

Je ne m’attendais pas à ce que les choses aillent si vite, mais l’instant d’après j’avais ma bite dans sa bouche, elle suçait divinement et mon membre devint rapidement tout raide

– A toi maintenant, suce ! Suce ma bonne bite, régale-toi.

Qu’elle était douce et bonne sa queue dans ma bouche ! Quelle sensation magique ! J’étais comme fou, comme un gosse avec une nouveau jouet.

– T’aimes ça, sucer des bites ! Me demande-t-elle.
– Oui ! répondis-je sans réfléchir.
– Tu veux que j’appelle une copine, comme ça tu auras deux bites à sucer.

J’ai refusé, par prudence, n’ayant pas envie de claquer de suite tous mes baths. Et puis Lucy m’a demandé :

– Tu veux ma bite dans ton cul ?
– On peut essayer !

Ça n’a pas été évident, j’avais le cul serré, mais à force de persévérance, ça a fini par entrer. Les premiers instants ont été inconfortable à tel point que j’ai failli lui dire de laisser tomber, mais rapidement la douleur a fait place à une simple gêne, puis à un plaisir très trouble Sophie a bien compris que je n’étais pas un habitué de ce genre de choses, aussi a-t-elle fait preuve d’une grande douceur. Merci à elle !

Quand elle s’est retirée, elle m’a demandé comment je désirais jouir, pipe ou sodo ? Je l’ai donc enculé, fourrant ma bite entre ses jolies petites fesses rebondies.

Je suis revenu le lendemain avec plus ou moins l’idée de réaliser un truc à trois. En pénétrant dans l’établissement, je cherche Lucy, je ne la vois pas. Une jolie lady-boy s’approche de moi :

– Une bière, monsieur ! Me dit-elle en me posant d’office une chope pleine sur ma table.

Puis sans autre protocole elle s’assoit sur mes genoux.

– Tu me caresses ?
– Je cherchais Lucy !
– Elle doit être occupée, mais je suis aussi gentille qu’elle.

Difficile de résister à la tentation de la caresser, je le fais donc et très rapidement ma main se pose sur son entre jambe.

– Oh, toi tu es un petit vicieux, je crois que tu aimes bien les bites.
– C’est vrai ! M’entendis-je répondre.

Et alors là, la lady-boy a ce geste extraordinaire, elle se lève, soulève sa robe, sort sa queue de son string et me la fait sucer. Comme ça pratiquement devant tout le monde.

Ce n’était pas précisément le plan prévu, mais que voulez-vous ?

Sauf que voici que la mamasan appelle la fille en thaïlandais.

– Je reviens, chéri, me dit-elle, me laissant en plan.

Me revoilà seul, et c’est à ce moment que j’aperçois un couple de touristes, la cinquantaine tous les deux. Le femme une belle fausse blonde, cheveux bouclés, bien conservée, très souriante me fait signe de les rejoindre.

J’ignore ce qu’ils me veulent, mais poussé par je ne sais quelle curiosité, j’y vais.

– English ? American ? Me demande la mature.
– French !
– Nous somme belges, Anvers ! Mon mari c’est Henri, moi c’est Nicole.
– Ah, enchanté ! Octave !
– Asseyez-vous un instant, on une petite proposition à vous faire.

J’aime pas trop ça, je me demande si je ne vais pas avoir à faire à des trafiquants de je ne sais pas trop quoi !

– Je vous écoute !
– On est tous là pour du sexe, n’est-ce pas ? reprend Nicole.
– Certes !
– On a vu ce que vous avez fait avec la lady-boy, il y a quelques instants. Ça nous a bien plus, mais c’était un peu court.
– Ah ?
– Vous êtes déjà venu ici ?
– Oui pourquoi ?
– C’est indiscret de vous demander ce que vous avez fait en privé ?
– En effet c’est indiscret.

Et je vais pour couper court.

– C’est dommage… ça vous aurait dit une partouze avec nous ?

Je pile.

– Vous me prenez au dépourvu ! On ne se connait pas.
– Vous ne connaissez pas non plus les lady-boys d’ici et pourtant vous étiez sur le point de vous isoler avec l’une d’elle.
– Hum
– On est tous pareil ! Figurez-vous qu’avant-hier, on a partouzé avec une jolie lady-boy, Henri lui a sucé la bite, j’adore le voir sucer des bites, il voulait se faire enculer mais la lady ne bandait pas assez.

Ces propos commençaient à m’exciter sévèrement.

– Ça t’excite ce que je raconte ! Hein Monsieur ! Me dit Nicole en posant sa main sur ma braguette.
– Avouez que la situation est singulière !
– Tu sucerais la bite de mon mari ?
– Je ne sais pas
– Donc tu ne dis pas non ! Tu veux la voir ?
– Euh !
– Mais bien sûr que tu veux la voir !

Et voilà que Nicole sort la bite d’Henri de sa braguette et la branle un petit peu pour la faire bander.

Une jolie bite bien droite avec une jolie veine bleue courant sur la verge, et un beau gland décalotté d’une belle couleur violacée.

– Alors ? Demande-t-elle
– Elle est belle !
– T’as envie de la sucer ?
– Pourquoi pas ?
– Et évidemment il te sucerait la tienne !
– Oui !
– Seulement il y a une suite, c’est pour ça que je te demandais ce que tu avais fait en privé avec la lady-boy

J’hésite un peu, puis je me dis que j’en ai rien à foutre, ces gens je ne les reverrais jamais.

– Je l’ai sodomisé, mais avant elle m’a proposé de me prendre, j’ai voulu tenter l’expérience. Précisais-je alors.
– Et ça t’a plu ?
– On va dire que c’était une expérience intéressante !
– Et tu serais prêt à recommencer ?
– A l’occasion, oui, bien sûr.
– Une petite partouze ensemble, ce serait sympa et en plus c’est gratuit pour tout le monde ! Reprend Nicole. Je suppose que tu es bisexuel ?
– Non, en fait je ne sais pas ce que je suis, j’aime les femmes, j’aimes les trans, j’aime les bites, je ne sais pas trop où j’en suis, et je m’en fiche un peu.
– En principe les mecs qui aiment les transsexuelles sont un peu bisexuels puisqu’ils aiment à la fois les jolies femmes et les bites.
– Peu importe les étiquettes !
– D’accord, supposons qu’on aille à notre hôtel, je me mets toute nue et je vous regarde, vous les messieurs vous sucer et vous enculer… et je m’excite, après évidement tu auras le droit de me baiser, c’est la moindre des choses, alors ça te dit ?
– On ne sera que tous les trois ?
– Oui !
– Mais pourquoi moi ?
– Tu n’es pas le premier que l’on sollicite, certains ont refusé, d’autres ne faisait pas l’affaire…
– Alors je vais peut-être me laisser tenter !
– On y va maintenant ?

Me voilà embarqué dans quelque chose de complétement imprévu.

Arrivé en chambre à leur hôtel, Henri me demande ce que je veux boire, je choisi un Martini, il demande par téléphone les consommations, des préservatifs et du gel ! Puis sans attendre les deux belges se déshabillent, m’invitant à faire de même.

Et là, il se passe quelque chose, je bande en regardant simultanément le corps très bien conservé de Nicole et la belle bite d’Henri. Je passerai bien à l’action de suite mais je ne suis pas chez moi, ça ne se fait pas.

– Ça te plait tout ça ! Me nargue Nicole.
– Hé !
– Rappelle-toi ce qu’on a dit ! D’abord entre hommes, et moi je suis là pour le dessert, suce-lui la bite, vas-y, que je me régale en vous voyant.

Elle n’a pas eu besoin de me le dire deux fois, je suce ma troisième bite de ma vie d’adulte, je me régale, j’essaie de m’appliquer, conscient que je dois faire ça comme un pied… Et voilà qu’on sonne à la porte.

Instinctivement je stoppe ma pipe !

– C’est le service d’étage ! Continue, ils en ont rien à foutre.

Effectivement, Nicole à poil, ouvre. Entre une créature dont je ne saurais s’il s’agit d’une vraie fille ou d’une lady boy, elles sont tellement féminines !

– Voilà ! Si vous avez besoin de quelqu’un… fille, garçon, lady boy…
– Pas pour l’instant, on vous fera signe ! Répond Nicole en lui donnant son pourboire.

On s’arrête pour trinquer, on se boit une gorgée.

– A moi de te sucer ! Me dit Henri.

Je suis un peu déçu parce que je ne l’ai pas sucé très longtemps, mais bon, la partie n’est pas fini. Et là, grosse surprise, le type suce comme un dieu, je ne m’attendais pas du tout à ça et je me laisse faire, ravi.

Puis au bout de 10 minutes !

– Je t’encule en premier ? demande-t-il.

Je ne peux qu’approuver, ai-je vraiment le choix, mais j’ose :

– D’accord, mais je peux te sucer encore un peu avant ?
– Bien sûr, régale-toi avec ma bonne bite !

Et pendant que je le suce, les commentaires salaces entre les deux belges vont bon train.

– T’as vu, on s’est dégoté un bon petit suceur de bites !
– Tu vas bien l’enculer, mon chéri, je suis sûre qu’il va aimer ça, et après c’est lui qui va te prendre.

Henri met fin à ma fellation que je suis conscient de ne pas faire aussi bien que lui, et me demande de me mettre en levrette.

Appréhension parce que sa queue est plus grosse que celle de la lady-boy. Il me lèche le fion, me fourre un doigt, tout ça n’est pas désagréable mais je réalise que je vais devoir lui rendre la pareille, je ne suis vraiment pas préparé à aller jusque-là, l’enculer pour rendre service je veux bien mais les attouchements périphériques, ça ne me branche pas du tout, mais alors pas du tout. Sans doute pas assez bisexuel pour ça…

Après ces quelques privautés, j’ai droit à une bonne tartine de gel, puis je sens que le gland d’Henri tente de forcer l’entrée de mon cul. Après plusieurs tentatives il a fini par entrer.

– Ça va, c’est bon ? Demande-t-il
– Vas doucement !

Je serre les dents, le début est peu agréable, puis imperceptiblement ce corps étranger dans mon cul me procure un plaisir intense.

– C’est bon continue !
– T’aime, ça te faire enculer, hein salope !

Quel langage ! Mais je sais bien que pour certains ça fait partie du trip.

– Oui, j’aime ça !
– Tu es un suceur de bites, un enculé !

Eh oui, et en plus j’aime ça !

Mais les meilleures choses ont une fin, sur une injonction de Nicole, Henri se retire de mon cul.

– A toi de jouer !

Ça ne m’emballe pas plus que ça, mais c’était le deal. Je m’encapote, et vais pour lui appliquer du gel., mais Nicole m’interpelle.

– Lèche-lui le fion d’abord !
– Pas trop mon truc !
– Alors juste un peu !

Finalement je l’ai fait et ça ne m’a pas tué, puis je l’ai enculé, ma bite était bien serrée dans son conduit, finalement ça m’a amusé et excité, je n’aurais pas cru.

– Surtout ne jouit pas, me prévint Nicole.

Je me suis retiré. Henri s’est couché sur le dos, et Nicole est venu s’empaler sur lui.

– Toi tu viens derrière et tu m’encules.

C’est la première fois que je participais à une « double-péné ». Ce fut la journée de grandes découvertes.

On a réussi à coordonner nos mouvements, et on a jouit comme ça, madame prenant son pied plusieurs fois en criant comme une damnée.

Ensuite Henri a voulu me nettoyer ma bite pleine de sperme avec sa langue, je me suis laisse faire mais ne lui ai pas rendu la pareille. Je l’ai un peu regretté ensuite…

– Je vais faire pipi ! Annonce Nicole, je vais pisser sur Henri, il aime bien, tu voudrais aussi ?

J’aurais préféré que ça se passe avant, puisque là mon excitation est quelque peu retombée, mais je ne saurais refuser ce genre de choses. On s’est donc mis par terre allongés sur le dos, Henri et moi, et Nicole nous a bien aspergé et nous avons bu quelques gorgés de son délicieux pipi.

On se douche, nos apéros ne sont plus frais. Nicole téléphone à la réception sans que je fasse attention à ce qu’elle dit.

La fille d’étage arrive avec des glaçons, puis sans aucun préalable entreprend de se déshabiller complétement, c’est une très jolie lady-boy avec un peu de poitrine et belle bite un peu sombre.

– Voilà, on se reverra plus, on part demain, me dit Nicole, mais comme tu as été sympa, on te fait un cadeau d’adieu. Nous on regarde.

Alors comme dans un rêve j’ai sucé la bonne bite de la lady-boy qui après m’a superbement enculé.

Fin du récit d’Octave

– C’est bien ce qui me semblait, t’es mon petit suceur de bites !
– Si tu veux !
– Et mon petit enculé !
– Pendant qu’on y est…
– Dommage que je n’ai pas mon gode sur moi…
– J’ai fait un saut à Paris ce matin, j’en ai acheté un, je vais aller le chercher.

Vanessa découvre le sex-toy

– Hum, pas mal, dommage qu’on ne puisse pas l’attacher ! Tu l’as essayé ?
– Non !
– C’est donc moi qui vais l’inaugurer ! Mais dis-moi, pourquoi t’as acheté un gode, tu n’aimes pas le mien ?
– Ben comme ça, si on improvise…
– J’avais compris, petit cochon…

Puis la conversation redevint sérieuse :

– C’est dommage qu’on ne puisse pas en savoir davantage sur cette histoire de message secret ! On l’aurait enfoncé encore plus ! Tu ne peux pas t’arranger ?
– Comment ça ?
– Je sais pas, moi ? Essaie de lui faire raconter toute l’histoire avec tous les détails, il y a peut-être des trucs qu’il ne t’a pas dit !
– Hum !
– Et si tu pouvais approcher cette masseuse…
– Je veux bien essayer.

à suivre

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8 réponses à Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 11 – Octave en Thaïlande par Maud-Anne Amaro

  1. Collargol dit :

    A Pataya je me suis fias draguer dans un bar par une lady-boy, je me suis laissé faire et elle m’a proposé un plan à trois. Mais un autre client était déjà sur le coup, le plan à trois est devenu un plan à quatre. En cabines on a essayé plein de position et de pratiques, à la fin la lady m’a proposé de sucer l’autre client, il était d’accord et avait une jolie bite. Je ne me suis pas défilé, je l’ai bien sucé et tant que j’y étais je lui ai offert mon cul, il m’a sodomisé comme un chef !

  2. Boris Vasslan dit :

    Je suis allé à Bangkok, les ladies boys du coin sont magnifiques et peu farouches, étant plutôt passif je cherchais surtout à sucer et me faire mettre, je l’ai pas été déçu… j’y retournerai

  3. Bustos dit :

    Voilà qui m’a rappelé quelques souvenirs, Ces lady-boys sont tellement belles et ambiguës que c’est là-bas que j’ai sucé ma premiere bite.

  4. hallopou dit :

    Prônez-vous le tourisme sexuel ? Savez-vous au moins que les pauvres filles, hommes ou femmes livrés à la prostitution dans ce pays sont exploitées dans des conditions scandaleuses ?

    • Eddy dit :

      On ne prone rien du tout, on publie une histoire qui respecte notre charte de publication. Pour le reste de vos informations, je vous conseille de vous renseigner mieux, en matière de prostitution notre position a toujours été claire, nous condamnons le proxénétisme violent, mais nous ne condamnons pas la prostitution lorsqu’il s’agit d’un acte consenti entre personnes adultes.

  5. Ragnar dit :

    Ah, les ladies-boys thaïlandaises, Quelles beautés, quelles gentillesses, et leur bites sont si délicieuses.

  6. TEDDY 59 dit :

    Quelle excitation ! Merci pour ce récit que me colle assez bien… j’aurais pu être à la place d’Octave…

  7. Forestier dit :

    Une histoire de trans qui tombe comme un cheveux sur la soupe dans cette aventure du professeur Martinov, mais qu’importe j’adore les histoires de trans et ce qui est raconté dans le présent épisode m’a bien fait bander

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