La jeune fille au pair par Serge Virinoviev

La jeune fille au pair par Serge Virinoviev

La jeune fille au pair

Comment vous êtes encore pucelle, quelle horreur !
Personne votre charmant minou n’est venu déflorer ?
Mais non je ne vous gronde pas, cessez de pleurer,
Ôtez votre culotte demoiselle je suis votre sauveur !

Par la grosseur de mon sexe ne soyez point effrayée,
Touchez-le, caressez-le, voyez comme il est doux,
Permettez jeune tendron que j’écarte vos genoux,
Quelle idée dans la chasteté de vous être fourvoyée ?

C’est à moi que vous allez accorder votre virginité
Quand après vous avoir goulûment excité le clitoris
Et vous avoir léché de votre périnée jusqu’au pubis,
De votre minette humide j’accepterais l’hospitalité.

Evidemment côté séant vous êtes toujours vierge,
Nul ne s’est jamais introduit entre vos jolies fesses,
Vous avez pourtant jouvencelle un cul de déesse
Et un délicieux orifice pour lequel durcit ma verge.

Je vous affranchirais de tous les plaisirs de la chair,
Ceux qu’on a jamais voulu jusqu’ici hélas vous révéler,
Je vais aussi vous expliquer comment me branler,
Vous vous plairez ici en tant que jeune fille au pair.

Serge Virinoviev

Ce contenu a été publié dans Histoires, Poèmes, avec comme mot(s)-clé(s) , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à La jeune fille au pair par Serge Virinoviev

  1. Dridonian dit :

    Délicieux, absolument délicieux, Merci monsieur le poète !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *