Plage perverse par Elian Lvekman

Plage perverse
par Elian_Lvekman

C’était en Août, en vacances : un soir que je me promenais seul sur une plage tiède et déserte…

Au bout d’un bon quart d’heure, je rencontrai une femme d’environ 26 ou 28 ans qui s’était assise sous la lune, dans une petite robe légère, une blonde et frisée avec un visage atypique mais jolie. Elle me regardait approcher depuis un moment. Je suis un peu sauvage et je n’aime pas me sentir observé, aussi, j’avais hâte de la dépasser pour continuer ma promenade nocturne (non que je n’espérasse pas secrètement une rencontre fortuite, mais je savais d’expérience que cela n’arrive jamais…)

Or, ce soir-là me fit mentir, car la femme me tendis rapidement une « perche » pour lui faire la conversation ! Ce fut bien sûr d’abord les banalités d’usage, mais bien vite, elle m’invita à s’asseoir à côté d’elle mais en me précisant :

– Je ne suis pas une femme, si ça te choque on en reste là, sinon tu peux t’asseoir.

Je dévisageais la créature, de vieux fantasmes refirent surface, et un début d’érection envahit ma braguette. Je m’assis et je sentis son parfum m’envahir :

(Et à partir de cette ligne nous continuerons à conjuguer cette troublante créature au féminin ! Et pourquoi demanderez-vous ? Eh bien, parce que ç’est mieux !)

En écoutant sa voix légèrement rauque, j’eus soudain envie de la serrer dans mes bras. Elle sembla s’en apercevoir et me regarda un peu effrontément ; je me dis tout d’abord que je devais me faire des idées, mais après tout, il est assez rare qu’une fille (et qui plus est, une transsexuelle) invite quelqu’un à s’asseoir à côté d’elle sans arrière-pensées, et fort de cette prise de conscience, je lui pris la main, et m’approchai doucement pour l’embrasser.

Elle n’attendait apparemment que cela et nos deux langues se mêlèrent frénétiquement. Nous étions comme électrisés par nos audaces réciproques. Sans préambule, elle ouvrit ma braguette et défit ma ceinture pour atteindre mon sexe où le sang battait avec force. Continuant à m’embrasser, elle me masturba un peu maladroitement d’abord, puis ses caresses devinrent plus subtiles. Au comble de l’excitation, j’espérais qu’elle se pencherait sur moi pour me faire une fellation, mais cela n’avait pas l’air d’être dans ses intentions immédiates. Je me dis alors qu’elle pouvait avoir les mêmes attentes, et j’entrepris d’ôter sa culotte afin de lécher sa bite. A vrai dire je n’avais jamais fait une chose pareille, et je craignais un peu que l’expérience ne soit rebutante, mais à ma grande surprise, sa jolie verge rose et son gland violacé décalotté et légèrement humide et salé n’étaient pas désagréables à léchouiller, et leur discrète odeur âcre avaient même quelque chose d’enivrant qui m’encouragea à être plus fougueux dans mon étrange baiser… Je la léchais bientôt abondamment, puis m’enhardissant je fis pénétrer sa bite dans ma bouche et commença à la sucer en usant des lèvres et de la langue.

– Je m’appelle Mandy ! me dit-elle. J’aimerais bien que tu me suces le cul.

Sucer le cul d’un travelo ? En voilà une idée incongrue, la bite passe encore, mais pas le cul. Je changeais rapidement d’avis quand Mandy se mit en levrette, cambrant son fessier magnifique. Ne me reconnaissant plus, je fonçais langue en avant vers cette vallée des trésors. Son trou du cul sentait un peu fort, mais ce n’était pas pour me déplaire, j’aime les odeurs un peu relevées. Ma langue quémandait l’entrée de cet anus qui finit par s’entrouvrir.

Je ne me serais jamais cru si ardent et si comblé moi-même par la pratique de cet anulingus hors norme… Tout essoufflée, c’est elle qui m’arrêta bientôt pour se jeter à son tour sur mon sexe. Elle n’avait pas froid aux yeux et s’appliqua à enserrer mon gland avec ses lèvres rondes et un peu fraîches, et fit de délicates et lentes allées et venues. Je ne savais pas quelle attitude prendre, et je lui caressai les cheveux pendant qu’elle osait enfoncer de plus en plus profondément mon pénis dans sa bouche. On entendait des bruits de succion pas très esthétiques, mais assez excitants. Comme je l’avais fait, elle se montra de plus en plus fougueuse, et je dû bientôt l’arrêter pour ne pas éjaculer dans sa bouche…

– Tu veux jouir, me demanda-t-elle ?
– Je vais avoir du mal à me retenir encore longtemps…

Elle me regarda et sembla réfléchir quelques instants, puis redescendit vers mon sexe bouillant en me disant :

– Laisse toi allez, tu peux éjaculer si tu veux !

Elle continua ce qu’elle avait commencé en ordonnant soudain :

– Éjacule dans ma bouche ! Je veux que tu le fasses !

Au bout de nouvelles caresses au rythme maintenant effréné, je sentis l’orgasme m’envahir progressivement ; je balbutiai que j’allais jouir pour lui laisser encore le choix d’éviter la décharge en pleine bouche, ses lèvres continuèrent à sucer mon sexe et je sentis les longs jets chauds se répandre à l’intérieur d’elle. Je fus longtemps secoué par les spasmes de l’éjaculation, et comme elle avalait toujours mon gland, elle en eut littéralement plein la bouche, à tel point que je vis couler de ses lèvres un flot de sperme qu’elle ne pouvait contenir !

Ma surprenante partenaire garda longtemps les yeux fermés tandis qu’elle déglutissait patiemment et sans dégoût mon épaisse semence et achevait sur mon pénis les dernières lèches de toilette. Le baiser quelle me donna ensuite me laissa un petit goût particulier…

N’étant pas un surhomme, j’aurais été en mal de continuer à lui faire l’amour, car mon sexe était maintenant devenu lourd et flasque et toute nouvelle performance m’était provisoirement interdite… A dire vrai, je n’en éprouvais même plus l’envie sur le moment, tant mon orgasme fut intense et puissant ; je ne me souvenais d’ailleurs pas avoir déjà éjaculé autant et si longtemps.

Un raclement de gorge !

Deux gars sont là à deux mètres de nous, la bite à l’air en train de se branler.

– On peut se joindre à vous ? Demande le premier.

Je cherchais une réponse polie afin de les éconduire, mais Mandy parla avant moi.

– Bien sûr, vous tombez très bien, car mon nouvel ami, dit-elle en me désignant est momentanément hors service.

Les gars s’avancent, Mandy s’approche du premier et lui gobe la bite. L’autre s’approche de moi. Au secours ! Je ne veux pas le sucer, je vous l’ai dit, toute excitation m’a quitté, et ensuite je ne suis pas homo ! Avec un travelo, ce n’est pas la même chose, mais là, ce sont des mecs ! Il faut tout de même avouer que cette bite qui est devant moi et qui me nargue est vraiment très belle. Allez, j’y touche un petit peu, mais juste un peu, hein ? Je peux même la sucer un peu, juste un peu… Et me voici l’air de rien en train de sucer la seconde bite de ma soirée. Que c’est bon ! Quelle douceur, quelle texture ! Mon excitation et la bandaison qui va avec reviennent.

Je regarde du côté de Mandy où les choses sont allés très vite puisqu’elle tend ses fesses à l’un des gars, lequel ne tarde pas à l’enculer comme il se doit.

J’espère que mon partenaire ne va pas vouloir me faire la même chose. Une seule solution : le sucer à fond et le faire jouir comme ça. Je mets donc tout mon cœur (à défaut de mettre mon expérience) à faire tourner ma langue autour de ce gland divin, à faire coulisser cette verge si douce.

– Qu’est-ce que tu suces bien, toi ! Me dit le gars.
– Hummmpf, hummmmpf…
– Tu veux que je te prenne !
– J’ai pas l’habitude ! Répondis-je spontanément en lâchant sa bite.
– Je suis très doux, tu verras, tout se passera bien, mets-toi en levrette.
– Non, non !
– Si ça te fais mal, on arrêtera, mais tu n’auras pas mal.

A côté de moi, Mandy essuie les coups de boutoir de son sodomiseur et semble y prendre un plaisir inouï.

– D’accord, si ça fait mal, tu arrêtes !

Me voilà en levrette, pour la première fois de ma vie, je vais me faire enculer, et finalement l’idée ne me déplait pas. Le gars me prépare le cul de la langue et du doigt. J’aime la façon dont il me doigte, avec d’abord un seul doigt, puis deux, peut-être trois, ce n’est pas facile de compter les doigts qu’on vous fourre dans le cul ! Puis un moment le gars me dit qu’il se met une capote et sa bite réclament le passage, je m’ouvre au maximum. C’est entré assez vite, ça fait mal et puis cette sensation de corps étranger est bizarre. Le type commence à remuer un peu.

– Ça fait un peu mal !
– Normal au début, je vais aller doucement.

Effectivement il va doucement, ça fait moins mal mais ça n’a rien d’extraordinaire. Il accélère un peu, la sensation devient différente, il accélère encore, je suis bien, j’aime ce qu’il me fait, il accélère encore, puis il ralentit, décule, se débarrasse de la capote.

– Tu veux mon sperme ?
– Hein ?
– Suce ma queue !

Ah, ça y est j’ai compris, je prends la bite en bouche, elle est de plus en plus salée, quelques moments de fellation et mon gosier est envahi de sperme. J’en ai gouté un peu, j’ai recraché le reste. Pas tout le même jour.

Mandy est en train de se bécoter avec son biquet. Je n’ai pas vu tout ce qu’ils ont fait. Peu importe !

– On vous laisse, merci pour le trip !

Les deux biquets s’en vont. Mandy m’informe qu’elle a envie de pisser. Voilà une information fondamentale.

– Tu veux ma bière ? Me propose-t-elle
– Volontiers, j’ai un peu soif.
– Alors ouvre bien la bouche !
– Hein, tu vas faire quoi ?
– Ben pisser !

Elle est folle ! J’ai déjà fait ce genre de truc, mais jamais avec un travelo.

Mandy m’arrose le torse, le ventre la bite, il remonte, j’ouvre la bouche et j’avale quelques gouttes. Il paraît que c’est bon pour la santé… et puis c’est tellement pervers…

– Tu veux dormir chez moi ? Me demande-t-elle.
– Tu es seule ?
– Non, je suis en vacances avec une copine. Mais elle est très sociable.

Je ne lui demande pas si sa copine est une copine à foufoune ou une copine à bite, on verra bien j’adore les surprises.

Elian

PS : au fait j’ai un peu mal au cul, mais ça doit être normal !

D’après un texte intitulé « léches amoureuses » dont j’ai oublié la provenance

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5 réponses à Plage perverse par Elian Lvekman

  1. Transmonique dit :

    Quel joli texte, j’en suis toute retournée !

  2. Roger roger dit :

    Toutes ces bites que l’on suce…. J’ai adoré !

  3. orlando dit :

    Quand celui qui encule ne fait pas ça comme un sauvage, l’enculé n’a jamais mal au cul 😉

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