Pipis de vacances. (2/3) par Jean-Michel_et_Martine

Nous étions installés depuis quelques jours dans notre location de vacances.
A part les petites occupations quotidiennes, nous passions tout notre temps
dehors, en promenades, à pieds surtout, dans les petits chemins qui
s’offraient à nous au hasard.

Ce jour là, nous avions décidé de nous lancer en exploration sur un chemin
de grande randonnée qui devait nous conduire vers le château de Néret. Pour
moi petit sac à dos avec l’indispensable bouteille d’eau et le tapis de sol
pour la pause éventuelle. Pour Martine, son appareil photo qui battait ses
reins. Bien décidés à visiter ce château, au bout de cinq cents mètres nous
avons été déçus de voir qu’il était entouré d’un haut mur de pierres avec
une magnifique grande porte bien verrouillée. Martine commenta:

– Ca signifie: Circulez… y a rien à voir… tant pis… pas de photos !

On continua. Un peu plus loin, le chemin se divisait en deux, une partie
tournait à angle droit pour suivre le mur. On l’emprunta ne sachant pas où
il allait nous conduire. D’un côté le mur, de l’autre une végétation dense
et haute inspiraient Martine qui s’en donnait à coeur-joie avec son
« Minolta »

– Wouaouh ! … T’as vu ce contre-jour ? … me demanda t-elle entre deux
clichés.

Nous arrivions au bout du chemin. Il se terminait en fait là où commençait
l’eau du golfe. C’est le golfe qui sert à fermer le quatrième côté de la
propriété. Nous étions devant une immense étendue marécageuse, avec quelques
bateaux sur leur cale. Le mitraillage photographique continuait. Un tronc
d’arbre couché, nous servit de siège. On sortit la bouteille d’eau. Martine
ne tarissait pas d’admiration devant ce paysage:

– Mais regarde moi celà… juste ces quelques maisons à l’horizon… ces
bateaux… ce ciel… ce marécage… cette lumière… cette propriété… ce
bois… Ah, si seulement on avait celà prés de chez nous. Quelle impression
de liberté ! Et ce calme… je suis sûre qu’il ne vient jamais personne
jusqu’au bout de ce chemin. Tiens, je regrette d’être en jean’s. J’aurais
voulu m’éclater dans un super gros pipi face au golfe, dans ce paysage, dans
ce calme, loin de tout.
– C’est à un quart d’heure de la maison. On pourra revenir facilement. Tu me
donnes des envies en m’y faisant penser.
– Oui… on y reviendra. J’ai une super idée à ce propos. Je t’expliquerai.
Mais pour l’instant, j’ai quand même envie de pisser. Alors, on oublie nos
projets et tu me laisses faire celà gentillement comme une petite fille, O.K
? Donnes-moi un kleenex, s’il te plait.
– Bien sûr, on se tourne le dos et chacun pour soi.

Pendant que je visais un tronc d’arbre, j’entendis le bruit du jean’s qui
descendait puis le chuchotement de la petite source juste derrière moi.
Quand tout fut rentré dans l’ordre, on rangea la bouteille. Le sac revint
sur mon dos et l’appareil repris sa place sur les reins de Martine. Comme s’
il venait de se passer une grande chose entre nous, un grand accord de
complicité, son bras passa sous le mien et on remonta le petit sentier pour
retrouver le chemin de grande randonnée.

La ballade dura encore trois bonnes heures, coupée par une petite pause à la
terrasse du bar d’un club hippique. Une bière pour moi et bien sûr un thé
pour Martine, nous obligèrent à un petit arrêt sur le chemin du retour. D’un
côté le mur d’enceinte du château, de l’autre le bois, pour moi pas de
problème.

– Il n’y a personne ni devant ni derrière nous, c’est l’affaire de dix
secondes, j’y vais aussi sans hésiter… lança Martine.

Elle me demanda un kleenex, et s’installant au milieu du chemin, sans
réserve, elle me pria de ne pas la regarder, mais me gratifia quand même de
la petite musique en remerciement de ma discrétion habituelle quand elle le
souhaitait.

On rejoignit la voiture et on rentra à la maison.
Le diner terminé, la table débarrassée et la vaisselle faite, c’est en
pyjama et chemise de nuit que nous avions l’habitude de regarder un peu la
télé. J’annonçai:
– Tiens… pendant que tu regardes je vais prendre ma douche.
Elle m’arrêta vivement en disant:
– Non… attends un peu. Il a fait chaud aujourd’hui. On a pas mal
transpiré. On y ira à deux pour se laver le dos.
L’idée me parut bonne. Mais pourquoi attendre un peu, malgré ce programme
qui ne semblait pas l’intéresser plus que celà ? Aprés quelques secondes
d’hésitation, l’idée me vint qu’elle attendait que les deux verres d’eau du
diner soient arrivés dans sa vessie et que alors… Je pris machinalement sa
main. Elle la serra dans la mienne et me fit un grand sourire. Je sentis que
j’avais deviné juste. Encore une trentaine de minutes pour l’entendre dire:

– Colombo est peut-être futé mais il m’énerve. Toi non ? On y va ?

Elle arrêta le poste et quitta le salon pour la salle de bain voisine. Je la
suivis. Chemise de nuit et pyjama arrivèrent sur le séchoir. La cabine de
douche était vraiment étroite. Deux des côtés étaient fermés par l’angle de
deux murs en faïence et les deux autres par un rideau en plastique.
Impossible d’être à deux dans cette cabine sans faire du corps à corps.
Cette situation nous amusait l’un et l’autre et nous faisait rire. Je
m’apprêtais à ouvrir les robinets quand tout en me tournant le dos elle dit:

– Tu te souviens de notre sortie un dimanche aprés-midi où j’ai essayé pour
toi ce jean’s dont j’ai agrandi la fermeture Eclair ? (Voir Concert’eau à
quatre mains). Je t’ai demandé de tenir la braguette ouverte pendant que
j’écartais le slip et… le reste ? Tu voulais écarter le reste précisément.
Je t’ai répondu que celà nécessitait une façon de faire et que je
t’expliquerai car il y avait un risque d’en mettre partout… surtout dans
le jean’s. On essaie maintenant ? … Tout nu et dans cette cabine, si on
rate, çà n’aura pas de conséquences. Mais comme je suis déjà émoustillée
rien qu’à l’idée, je risque de ne pas savoir pisser. Alors j’irai toute
seule aux toilettes et on réessaiera une autre fois. Tu ne m’en voudras pas
?
– Bien sûr que non. Mais que tu réussises ou pas, celà me donnera
terriblement envie de toi.
– Comme de toute façon j’ai déjà envie aussi, c’est pas un problème…

Elle m’avait dit celà le dos quasiment collé à ma poitrine vue l’étroitesse
des lieux. Elle attrappa mes mains et les posa de chaque côté de son bas
ventre.

– Je t’explique aprés je te laisse faire. Une main bien à plat de chaque
côté à hauteur de la fente, tu écarte juste un peu.

Comme celà les grandes lèvres s’ouvrent bien et les petites un peu aussi.
Aprés c’est à moi de jouer. Il y a d’autres façons, mais on verra plus tard.
Tout en m’expliquant ses mains guidaient les miennes.

– Bon maintenant je te laisse faire.

Elle se tourna vers l’angle du mur et posa ses mains sur les carreaux de
faïence. Franchement emprunté derrière elle, je passais mes bras autour de
ses hanches et posais mes mains bien à plat pour ouvrir ses grandes lèvres.
Elle écarta un peu les jambes. Le contact de son sexe épilé sur mes doigts
était trés doux. Dans cette situation inédite pour nous deux, il y avait
fort à parier qu’elle allait « caler ».

– Bon… je me détends… je pense à autre chose… il va venir…

je ne sens pas ton érection sur mes fesses… dit-elle dans un petit rire.
Je te jure que j’ai une envie de pisser comme c’est pas possible. Je me
retenais devant la télé.
J’aurais voulu l’encourager, mais devais-je lui parler ou me taire ? Je la
sentais toute occupée au désir de sa réussite. Comme je le lui avais déjà
conseillé en pareil cas, je l’entendais qui déglutissait sa salive. Tout à
coup, sans prémices, un jet énergique alla s’éclater sur le mur pendant
qu’elle riait maintenant franchement;
-Ouais… youpi… Je me sens soulagée… si tu savais comme j’avais envie.
Et en plus nous avons fait celà proprement. Tu es doué.
– On recommencera alors ?
– Bien sûr… j’ai une autre idée, conséquence de celle-ci.
Elle me refaisait face, ses bras autour de mon cou, nous savourions la
réussite de ce nouvel exercice.
-Ouin… ! T’es vache… ! C’est froid… ! dit-elle quand je lui plaquai le
dos sur la faïence du mur.
Comprenant mon souhait, l’approuvant même sans doutes, je la sentis se lever
un peu sur ses pointes de pieds et d’une main elle guida ma pénétration. Mes
mains enserrèrent ses fesses et ce fut un énorme plaisir réciproque avant la
douche et le sommeil réparateur.
En fait, cette scéance n’était qu’une répétition. Quelques jours plus tard,
en examinant les photos qu’elle avait déjà faites, Martine estima que le
bord du golfe avec ses barques à marée haute et avec quelques nuages
méritait bien quelques clichés supplémentaires. L’horaire des marées
consulté nous assura que c’était un bon jour.
On repartit donc en direction du petit chemin, Martine son appareil sur les
reins, et moi le sac à dos qui me paraissait un peu plus gros que
d’habitude.
Un peu de marche, et nous revoilà au bout de cette impasse, face au golfe.
– C’est vraiment beau… cette eau qui monte doucement sans vagues
jusqu’ici. Ces barques qui dansent un peu avec le vent… cet horizon sans
obstacle. Quand je pense que pour certains la Bretagne ça n’est que la
plage.

Assis côte à côte sur le tronc d’arbre couché, nous admirions le paysage et
goutions la paix des lieux.

– Et ce calme… cet isolement. Ah ! … il nous faudrait un coin aussi
calme à un quart d’heure de l’appart’. Et en plus on pourrait y aller
ensemble pour faire des gros pipis dans la nature. Tiens, l’autre jour,
j’étais en jean’s. Aujourd’hui je suis en short. Tu sais le fameux short à
fermeture Eclair rallongée ? Tu l’avais vu ? Je vais pouvoir faire plus
facilement qu’en jean’s. Remarque, ici apparemment, il ne vient jamais
personne, je ne risque pas beaucoup d’être vue avec mes fesses à l’air.
Trés littéraire et trés écolo, Martine m’entraina dans une dissertation sur
la protection des sites naturels. Aprés avoir bu un grand coup de Contrex,
je proposais de reprendre notre promenade quand elle se ravisa:
– Je me sens tellement bien que l’isolement et le calme des lieux m’incitent
à t’offrir un super pipi. Qu’est-ce que tu en penses ?
– Tu sais bien que je suis toujours preneur de tes petites
exhibitions-cadeaux.
– Alors vas-y… L’autre soir dans la douche tu t’y es merveilleusement
pris. Aujourd’hui fais la même chose mais avec un handicap.

Elle se planta debout face au golfe, au bord de l’eau, écarta un peu les
pieds et croisa les bras. Me plaçant un peu derrière elle, je descendis avec
attention la longue fermeture Eclair bien bas entre ses jambes et j’en
écartais les bords. Je trouvais une autre petite barrière que je devinais
être un mini-slip bordé de dentelle. De la main gauche je tirai sur
l’entrejambe dégageant bien ma petite source épilée. Maintenant tout bien
ouvert vers le bas, je tirai un peu de chaque côté des grandes lèvres comme
je l’avais déjà fait.

– C’est bien comme celà ? … demandais-je un peu inquiet.
– Je pense que c’est bon… J’y vais… Je me laisse aller…


C’était sans doutes une grosse envie, ou les circonstances étaient vraiment
favorables, je fus surpris de n’attendre que quelques secondes pour voir et
entendre un magnifique jet s’unir aux eaux du golfe. Il était généreux et
large. Quand il s’arrêta, j’eus droit aux commentaires.

– Pas mal du tout. Tu as écarté un peu trop, alors les petites lèvres n’ont
pas pu faire leur office de guide. Mais bravo, encore quelques leçons et je
te décerne ton diplôme, mais tu n’auras le droit d’exercer que pour moi.
-Juré. Et si je t’en avais mis plein partout, toi qui aime être au sec ?
-Tu n’as pas remarqué que ton sac à dos était un peu plus gros que
d’habitude ? Dedans il y a une petite jupe, un slip et une serviette en
prévision d’un ratage possible, mais en fait j’ai juste besoin d’un petit
coup de kleenex… sans plus.
Ma coquine avait bien préparé son coup et avait tout prévu.
Martine dit que je suis trop bavard, que j’en dis trop, et ne m’autorise pas
à raconter la suite. Sachez seulement que le tronc d’arbre couché prit une
part active dans cette suite

Jean-Michel et Martine
Janmich59@aol.com

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