Pipi caché par Jean-Michel_et_Martine

Quand on demandait à Sacha Guitry sa définition de la femme, il répondait:
– C’est avant tout un adorable tissus de contradictions.
Personnellement je pense que c’est mieux que cela, mais je dois reconnaître
que par un côté bien précis de son comportement ma compagne Martine répond
bien à cette définition. Au bureau elle a la quasi-obligation d’une tenue
vestimentaire stricte : chemisier blanc, tailleur avec jupe ou pantalon.
Comme elle a les cheveux longs, c’est chignon sévère. Même en dehors du
travail ça n’est quand même pas décollé, ni jupes au-dessus du genoux, et
ses jean’s ne sont pas moulants.
– C’est mon look pro… dit-elle.
Mais le soir… ce « look » est tout différent. Le temps que je rentre la
voiture au garage, sa première occupation est de se déshabiller et de se
mettre complètement nue, et en entrant j’ai le spectacle d’une Eve sans
soutien-gorge et sans slip qui arpente l’appartement.
Avec ses 55 kilos, du haut de son 1 m 73, elle est osseuse mais a de petites
rondeurs quand même à la bonne place. Le chignon transformé en queue de
cheval, ses cheveux descendent jusqu’aux omoplates. C’est le « look » relax.
– Oui… c’est vrai… je pourrais prendre quelques kilos pour garnir
certains endroits, mais ces kilos iraient ailleurs. Regarde… il y a déjà
ce qu’il faut à la bonne place… affirme t-elle en mettant une main sur ses
petits seins en poire et l’autre sur ses petites fesses rondes. Et là…
dit-elle en descendant la main vers le bas de son ventre… il y a ce qu’il
faut aussi. Tu m’as même dit que c’était confortable.
Il est certain que ce petit triangle brun cache des bourrelets bien ronds
que je peux admirer quand, à la saison chaude, il est complètement épilé.
-Là, c’est ma petite cassette secrète…
Etait-elle vraiment secrète pour moi puisque chaque jour je pouvais la voir
aller et venir sans réserve autour de moi. Elle redevenait secrète dans
certaines circonstances. J’aime la photo. Elle aussi, et de plus elle est
très photogénique. Elle aime poser nue. Toutes les poses que je lui propose
sont acceptées… sauf celles où l’on risque de voir cette petite cassette.
Elle met toujours une barrière entre ce triangle et l’objectif, même en
sachant que ces photos ne seront vues que par nous. Il y a surtout une autre
circonstance où je ne dois surtout ne pas m’y intéresser: C’est au moment du
pipi.

Si je m’intéresse trop à ce qui se passe à ce moment là, je suis prié
gentiment d’aller… voir ailleurs. Les grandes quantités d’eau qu’elle
absorbe font que souvent une envie la prend dans la nature où dans des
endroits pas faits pour cela. Je monte alors la garde, mais je ne peux voir
que deux petites fesses au ras de l’herbe et encore de loin. Deux
circonstances exceptionnelles lui firent pourtant découvrir l’érotisme de
l’urolagnie que nous avons raconté dans des récits précédents.
– D’accord… mais si je me sens observée particulièrement, je me coince, et
il n’y a rien qui vient. Alors, on n’en parle plus, et c’est moi qui décide
quand et où je voudrai, O.K… ?
Evidemment, j’étais d’accord. Son attitude me plaisait, j’aimais son petit
côté provoc. J’appréciais d’autant plus que cela lui coûtait. Elle était
quand même très pudique en d’autres circonstances. Malgré sa nudité dans
l’appartement, par habitudes sans doutes la porte des toilettes était
toujours close pour les petits pipis. Puis il y eut ce pipi sous la douche à
mon insu, qu’elle m’avoua plus tard et me promit de recommencer avec moi
cette fois. Nous prenions parfois notre douche ensemble, en principe pour se
savonner mutuellement le dos. Le gant de toilette allait aussi sur les
autres parties du corps mais sans insister, c’était la règle.
Un soir, elle demanda:
– On prend une douche?…
Ce « on »signifiait ensemble quand elle l’utilisait. J’acquiesçai comme
d’habitude, ça n’était pas une routine. Je commençais à me dévêtir, ce
qu’elle n’avait plus à faire, pendant qu’elle sortait des serviettes de
l’armoire. Alors que j’allais vers la cabine, d’un air faussement assuré
elle lança:
-Ah !… évidemment, j’ai envie de pisser… tant pis… je le ferai sous la
douche…avec toute cette eau qui coule çà n’est pas sale.
C’était une offre. Je devais répondre et ne pas trop me montrer impatient
pour ne pas casser ses intentions.
– Pourquoi pas… dis-je… tu l’as bien fait l’autre jour ?
– Oui… bien sûr, mais tu n’en savais rien.
– Fais la même chose.
– Ca ne t’intéresse pas ?
Je lui répondis par un petit baiser posé rapidement sur sa bouche. Elle me
fit un sourire. Le contrat était passé. Après les shampooings, ce fut les
dos, les poitrines, les jambes, en évitant
certains endroits convenus que nous devions laver nous-mêmes. La douchette
passa de mains en mains pour le rinçage.
– Oh la la!… Là, j’ai vraiment une grosse envie. Comment je fais
– Comme tu le veux. Comme tu le peux surtout.
– Accroupie c’est le plus facile, je suis sûre d’y arriver. Mais je voudrais
réussir quelque chose de plus érotique. Mets toi devant moi, je vais essayer
debout sur toi.
Instinctivement je passais un bras autour de ses épaules et l’autre autour
de ses fesses. Elle, elle avait une main de chaque côté de sa chatte qu’elle
entrouvrait. Les yeux fermés, visiblement elle essayait de se relaxer, de se
laisser aller. Malgré sa grosse envie rien ne venait.
– J’ai tellement envie que çà me fait mal… J’ai trop envie pour que je n’y
arrive pas… Tant pis, tu vas être arrosé si tu reste devant moi… Ne me
touche pas, je crois que ce serait plus facile. Il faudrait que je t’oublie
quelques secondes.
J’enlevai mes mains de ses épaules et de ses fesses, mais je restai devant
elle.
– Ca vient… j’ai fait trois gouttes… c’est bon signe… Attention!…
..cria t-elle… tant pis pour toi… tu l’as
voulu.

Elle n’avait pas fini cet avertissement, que je reçu sur le sexe et les
jambes, un jet puissant, bruyant et chaud. Je ne pu résister au désir de
coller mon ventre contre le sien en la prenant dans mes bras. Et a ma grande
surprise, à la sienne aussi peut-être, le jet continua par saccades,
était-ce à cause d’une gène qu’elle ressentait ou bien sa volonté de montrer
qu’elle faisait ce qu’elle voulait ? Peu importe, elle avait réussi. Je
goûtais avec délice ce ruissellement entre nous, sur nos jambes et nos
pieds. Les yeux fermés, la tête renversée, elle riait maintenant à gorge
déployée, comme quelqu’un qui vient de réussir un bon coup. Quant le flot
s’arrêta, elle passa aussi ses bras autour de ma taille.
– Ca t’a plu?
– Tu crois… Tiens regarde. On continue
Je lui fis apprécier mon érection sur son ventre.
– Non, attends. On se rince. On s’essuie, et on va régler cela sur le divan,
tu veux?
Bien sûr que je voulais. Ce qui suivit fut une immense explosion de plaisir
partagé.
Ce n’était qu’un début. Dorénavant Martine décide. Elle a en plus de
l’imagination. Il y a des variantes évidemment. C’est convenu, je dépends de
son bon vouloir, mais je n’ai pas à m’en plaindre. Ce sera peut-être
l’occasion d’autres récits?
Jean-Michel et Martine

From: Janmich59@aol.com

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