Pipi bleu… Pipi rose… par Jean-Michel_et_Martine

Les expériences que nous avions faites en vacances à propos des fréquentes
envies de pipi de Martine (Voir Pipi de vacances 3/3), si elles l’avaient
convaincue du volume normal de sa vessie et de ses possibilités de se
retenir assez longtemps, n’avaient pas réussi à freiner ses besoins
fréquents.

– Bien sûr… c’est vrai… reconnaissait-elle… mais comme souvent j’ai la
possibilité de ne pas me retenir trop longtemps, pourquoi me retiendrais-je
à la moindre envie quand je peux faire tout de suite ? Ainsi, quand je
quitte l’appartement le matin, le thé que je viens de boire avec le petit
déjeuner se fera sentir vers huit heures trente, je serai déjà à l’agence.
Pas de problème. Même si j’ai un client, en cas d’urgence, je trouverai un
prétexte pour m’éclipser deux minutes si nécessaire. Si je pars en mission,
c’est pratiquement toujours en ville et pour une heure au plus, il me suffit
de prendre mes précautions avant le départ, ou si je suis coincée, avec
trois supermarchés à quelques minutes de voiture, un petit détour par une
galerie marchande et ça s’arrange. Exceptionnellement, chez un client, je
trouverai toujours une secrétaire complaisante qui me dira ou se trouvent
les toilettes. Eventuellement si je ne suis pas seule, si je suis avec une
ou même un collègue, je puis prendre comme prétexte une envie de boire un
petit café et j’en profite pour faire la vidange. Quant aux réunions de
travail qui n’en finissent pas, on remarque à peine si l’un de nous sort un
moment. En fait, mon vrai problème ce sont les longs déplacements en
voiture, là… il faut improviser en fonction des lieux, de la tenue
vestimentaire et… du passage des autres voitures. Heureusement, souvent
dans ce cas là, j’ai un garde du corps nommé Jean-Mich’
– C’est vrai que c’est à moi que revient souvent la mission de trouver un
petit coin discret pour te planquer, et de plus tu comptes aussi sur moi
pour monter la garde.

La conversation partant sur le ton de la badinerie, Martine enchaîna:

– Tu devrais être fier et heureux de voir que je compte sur toi dans les
moments où je suis vulnérable.
– J’en suis fier et heureux, sois-en assurée. Mais c’est quelquefois dur de
résister à la tentation de m’en mêler sans invitation.
– Sois juste… si en cas de nécessité, je souhaite faire seule, je te fais
aussi des séances juste pour toi, pas vrai?
– C’est vrai, tu n’es pas une ingrate et tu me paies bien pour mes petits
services d’urgence.
– Tiens, voilà plusieurs jours que nous sommes sages côté pipi. Mon prochain
je te l’offre. Comment le veux-tu ? A part sur le balcon… dit-elle en
riant… tout le reste c’est O.K.

Cette offre subite me prenant de court, je survolais rapidement toutes les
possibilités qui nous étaient offertes. Je souhaitais quelque chose
d’original, du nouveau, du jamais fait, du jamais vu, qui éventuellement
même, l’aurait « coincée », lui faisant regretter son offre. Je me souvins
d’une phrase qu’elle avait dite à notre arrivée dans la maison de vacances.
Elle avait tout de suite remarqué que le lavabo de la salle de bain avait un
bord mince et qu’il était à sa hauteur, et que donc, éventuellement… Ce
projet n’avait pas été mis à exécution. Cet exercice n’avait jamais été
tenté. Une fois, en week-end au bord de la mer, (Voir Pipi quatre étoiles),
pour ne pas sortir de la chambre, elle avait fait dans le lavabo en s’aidant
d’une chaise. Je voulais lui proposer de tenter de faire debout, face au
lavabo de notre salle de bain.

– Pourquoi pas… répondit-elle simplement à mon offre… Mes deux tasses de
thé de cinq heures ne sont pas encore prêtes à partir ! On en reparle dans
une demi-heure. Le bord du lavabo est un peu large, j’en mettrai peut-être
un peu à côté, mais ça n’est pas grave.
– Tu n’as donc jamais essayé toute seule ?
– Non. Tu sais bien que seule je ne fais jamais de fantaisies. S’il m’arrive
parfois étant seule d’être obligée de prendre une pose peu conventionnelle
pour faire, c’est toujours par obligation, quand je suis en pantalons ou en
jupe étroite dans la nature, ou que je ne veux pas toucher la cuvette par
exemple.

Chacun continua ses activités pendant prés d’une heure au point que j’avais
oublié l’offre de Martine.
Alors que j’étais dans le séjour, elle m’interpella depuis la cuisine,
mêlant son appel à la musique du transistor.

– J’ai un super pipi à faire… On y va ?… Tu viens dans la salle de bains
?

Je la retrouvais prés du lavabo. Elle passa ses bras autour de mon cou,
m’embrassa rapidement, m’indiquant ainsi, comme elle le faisait parfois, le
ton qu’elle donnait à nos jeux.

– Alors ?… Qu’elle est ton idée ?… Que dois-je faire?
– Si je t’aide, je perds la meilleure partie du spectacle étant derrière toi
ou presque. Alors, fais-moi cela toute seule, face au lavabo, par la jambe
du slip s’il n’est pas trop serré. Ne te mets pas face aux robinets,
mets-toi sur le côté que je puisse te voir.
– Mon Dieu, je sens que ça va être dur de me lâcher. Mais je vais quand-même
essayer, tu sais que ce ne sera pas de ma faute si je n’y arrive pas. On
réessaiera une autre fois… promis. Si je cale, je vais aux toilettes et tu
m’essuieras, tu veux?

Elle s’installa bien en face de moi. Leva sa jupe, écarta un peu les pieds
et tira son slip sur le côté. Le haut de ses cuisses prenait appui sur le
bord du lavabo, avec son mètre soixante treize, elle était juste à la bonne
hauteur.

La saison de la piscine et de la plage étant terminée, sa petite toison
commençait à repousser et ma petite fontaine allait bientôt disparaître
derrière sa fourrure brune.

– Là il faut que j’écarte tout et que je force pour franchir le bord du
lavabo.

Joignant le geste à la parole, les pinçant entre le pouce et l’index, elle
tirait sur les petites lèvres pour ouvrir grand le passage.

– On fait comme d’habitude, tournes-toi. Tu pourras regarder quand j’aurai
commencé, ou alors je n’y arriverai pas.

Ce que je fis. Je comptais les secondes mentalement, et à la sixième,
j’entendis le bruit du jet dans le lavabo.

– Tiens… Regardes comme je te fais un beau pipi blanc dans un lavabo bleu.

Habillement, elle réussissait à le mettre juste au milieu. Comme elle devait
forcer, il ne dura pas longtemps. Suffisamment longtemps quand même pour que
je puisse le voir et l’apprécier.

Quand il fut terminé, je lui tendis le gant de toilette après l’avoir passé
un peu sous le robinet, comme je le lui avais souvent vu faire. Mais sans
rien dire, en tenant ouvert l’entrejambe du slip, son attitude m’invita à le
passer moi-même sur sa petite chatte à peine velue.

– Tu la préfères épilée ou avec sa fourrure ? … demanda
t-elle.

– Je la préfère épilée ! J’aime voir tes petites lèvres et ton clito saillir
de la fente. D’autre part, comme tu es brune, ce petit triangle foncé sur ta
peau blanche est aussi agréable à regarder. C’est à toi de juger comment tu
veux te faire voir.

J’avais abandonné le gant de toilette sur le bord du lavabo, et c’est
maintenant ma main qui passait doucement sur le bas de son ventre. Elle me
laissa faire un moment avant de dire doucement:

– On prend l’apéritif maintenant, ici, dans la salle de bain, ou on va sur
le divan du salon ?

Martine ne veux pas que je vous donne la réponse à cette question.

—000—
Le lendemain était un dimanche, et il faisait un beau soleil d’automne.
Fouineur l’un et l’autre, nous aimons faire les brocantes, et précisément,
pas trés loin de chez nous se tenait ce que l’on appelle un « vide-grenier ».
Dix minutes de voiture, autant pour se garer, et parmi la foule nous
attaquons une file de revendeurs. Nous ne cherchons rien en particulier,
mais nous rentrons parfois avec des livres, de vieux journaux de
photographie, ou de petits objets coups de cœur de Martine. C’est pour nous
plus un loisir, une curiosité qu’un but pour faire de bonnes affaires. Une
collègue rencontrée aux détours d’une allée, nous donna l’occasion d’aller
prendre un café et Martine en profita pour passer aux toilettes, évidemment,
selon son vieux principe: « C’est toujours ça de pris, on ne sait pas ce que
l’avenir nous réserve. »

Elle se trouvait à quelques mètres devant moi, quand mon attention fut
attirée par un empilement de caisses en carton provenant sans doutes d’une
liquidation d’un magasin de jouets et d’accessoires pour enfants.
Entr’autres choses, je vis un stock de petits pots en plastique, tels que
ceux que l’on place sur les sièges des bébés. Ils ont la particularité de
présenter un rétrécissement et un logement permettant d’y passer un doigt
pour le tenir. En voyant ces petits pots, il me vint une idée suite à la
scène que m’avait jouée complaisamment Martine la veille. Pourquoi ne lui
proposerais-je pas un de ces petits pots à la place du lavabo? Elle le
prendrait sans doutes en riant. Le vendeur en demandait deux euros.
Raisonnable pour un produit neuf encore dans son emballage. Ne me voyant
plus prés d’elle, elle revint sur ses pas et me trouva entrain de faire mon
choix: il y en avait des verts, des bleus, des roses. Elle parut surprise
mais ne dit mot.

– Je vais en prendre un rose… dis-je au vendeur… c’est pour une fille…
ma petite filleule.

J’eus droit au sac plastique pour emporter discrètement mon achat.

– Mais dis donc… s’enquit Martine en m’accrochant le bras… Tu n’as pas
de filleule?
– Non… Je sais… Mais j’ai une copine… Et je pense que le rose lui ira
très bien.

Elle s’arrêta, planta son regard droit dans le mien et avec son petit rire
éclata à mi-voix:

– Cooooooo… choooooooon ! Bon d’accord… Mais en échange, toi, tu as
intérêt à être à la hauteur pour la suite.
– Hier, tu m’as fait un beau pipi bleu, tu pourras maintenant m’en faire des
roses.

Au retour, il trouva naturellement sa place sous le réservoir des toilettes.
Je devais l’oublier et laisser, comme d’habitude, l’initiative à Martine.

Elle se décida le soir même. Après la télé et avant le lit, il y avait un
obligatoire passage aux toilettes pour une dernière vidange. Elle s’écria
d’un air ravi en le redécouvrant:

– Ah, mais c’est vrai… il y a un accessoire. On l’essaie?

Elle revint dans le couloir, le petit pot à la main.

– Tu viens ou je l’inaugure toute seule?
– J’arrive… attends-moi, bien sûr.

Et je la retrouvai dans la salle de bain.

– Explique ton souhait puisque c’est ton idée.

– Je t’aide. Puisque tu n’as déjà plus de slip, lève ta chemise de nuit et
écarte juste un peu les jambes que je puisse passer la partie étroite sous
ta petite source. Ne triches pas, reste bien droite, et laisses toi aller,
si tu peux.
– Je crois que je peux…

Pendant que de mon autre bras je lui enserrais les fesses, elle regardait
attentivement ce qui allait se passer. Quelques secondes encore et
contrairement à mes craintes, elle laissa couler tout doucement un gentil
petit jet bien vertical entre ses petites lèvres. Je la félicitai pour sa
maîtrise de la situation, le petit jet, sans doutes contenu, n’en finissait
plus.

– Tu vois, désormais, dit-elle… je pourrais t’offrir le choix entre un
bleu énergique dans le lavabo ou un rose tranquille dans le petit pot. Et je
ne m’essuie pas… c’est toi qui va le faire dans la chambre… ça
t’apprendra à avoir de telles idées. O.K.?

J’étais d’accord, évidemment, sûr qu’il ne s’agissait pas, d’une simple
demande d’essorage.

Jean-Michel et Martine
Janmich59@aol.com

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