Olivia et sa mère – 1 – par Hélèna Sevigsky 

Olivia et sa mère – 1 – par Hélèna Sevigsky 

Olivia et sa mère

Olivia était une jeune femme qui venait de fêter ses 18 printemps et vivait dans un appartement d’une grande ville du sud de la France. Cet appartement, elle le partageait avec sa mère. Une femme courageuse, qui se levait très tôt pour aller faire des ménages de gens aisés. Elle ne comptait pas ses heures pour pouvoir donner à sa fille une vie équilibrée, mais sans excès. Malgré ses 60 heures de travail hebdomadaire, elles ne pouvaient pas se permettre de folie.

Malgré ce travail harassant, Chantal, la mère, prenait soin d’elle. Elle n’allait pas chez l’esthéticienne mais était épilée partout, ses cheveux toujours bien coiffés, ses ongles parfaitement manucurés. Olivia avait hérité cette manière de s’occuper d’elle de sa mère. Avec sa longue chevelure blonde qui lui descendait à moitié du dos, ses yeux bleus, c’était une magnifique jeune femme.

Malheureusement, elle n’échangeait guère de choses avec sa mère, car après le travail, c’était les courses et puis le ménage. Olivia lui donnait çà et là quelques coups de main, mais était fort occupée par ses études d’infirmière. Elle voulait absolument faire honneur à sa mère et réussir tout du premier coup. Elle savait trop bien les sacrifices que sa mère faisait pour payer ses trois années d’études supplémentaires.

Par cette soirée de juin, Olivia se trouvait allongée sur son lit avec un syllabus qu’elle devait assimiler pour dans deux jours. La chambre était surchauffée à cause du soleil de plomb de la journée passée. Elle n’était vêtue que d’une jupette avec, en-dessous, une fine petite culotte blanche avec des bords en dentelle. Elle avait retiré son chemisier qui lui collait à la peau et ne portait que son soutien-gorge assorti à sa petite culotte. Perdant doucement le fil de sa lecture, Olivia sentait son corps chauffer, des picotements dans le bas du ventre la faisait se trémousser. Sans s’en rendre compte, sa main droite passait sous sa jupette, elle relevait son pied droit et le ramenait à hauteur de sa taille. Elle caressait doucement sa petite culotte au niveau de son pubis.

Débordée par ses études, Olivia ne sortait pratiquement jamais, pourtant il y a quelques jours sa meilleure amie l’avait invité à sa soirée d’anniversaire. La fête avait tourné en orgie et elle avait pu voir de près des choses qu’elle n’avait jamais observé en vrai. Ainsi ce magnifique noir qui ne trouva rien de mieux que de se faire enculer par un type mal déguisé en femme. L’image de cette bite qui entrait et sortait de ce beau cul noir la poursuivait, l’obsédait.

Olivia se perdait ainsi dans ses pensées érotiques, et n’avait pas entendu sa mère rentrer. Comme tous les soirs, Chantal montait voir si la journée de sa fille s’était bien passée. Et comme tous les soirs, pour ne pas la faire sursauter, elle ne toquait pas à la porte de sa chambre, mais l’ouvrait délicatement pour lui faire un petit coucou.

Mais ce soir, ce que Chantal vit, la laissa sans voix. Pendant quelques secondes, sans que sa fille ne remarquât sa présence, elle la regardait faire ce qui correspondait à des prémices de masturbation. Elle avait honte de surprendre ainsi sa fille chérie, mais bien malgré elle, elle sentait son excitation monter. Et tout naturellement, elle porta sa main aussi vers son entrejambe. Elle pouvait constater que sa chatte commençait à s’humidifier. Le sang cognait dans sa tête et dans sa poitrine.

Dans un geste qui dépassait tous ses principes, elle décida de rentrer dans la chambre et de surprendre Olivia.

– Oh ben, ma chérie, que fais-tu ?
– Oh maman, ben…, heu…, rien, pourquoi ?

Chantal savait très bien ce qu’elle faisait. Jamais elle n’aurait pensé pouvoir agir comme ça avec sa fille, mais une force intérieure la poussait à le faire, une force traduite par une énorme excitation et beaucoup de perversité.

– Ma chérie, ne dis pas de bêtise, je vois bien ce que tu faisais !
– Alors d’accord, je me donnais un peu de plaisir ! Où est le mal ?
– Nulle part, tu as raison !

Chantal vint s’assoir sur le rebord du lit à hauteur d’Olivia.

En passant sa main sur son front, elle lui dit :

– Mais tu es toute brûlante, ma chérie et toute en sueur !

Olivia n’osait plus rien dire.

Sa mère distinguait parfaitement les deux petites pointes que formaient ses tétons à travers la dentelle de son soutien-gorge. Elle posa sa main droite à la base du sein gauche de sa fille et de son pouce, balaya le téton bandé. Olivia lâcha un « hannn » sans s’en rendre compte.

– Je peux te caresser un peu ? Demanda Chantal.
– Ça ne se fait pas !
– Ce sera notre petit secret.
– Maman tu es une coquine !
– Tu veux que je m’en aille ?
– Non, je veux bien que tu me caresses.

Elle se trouvait toujours avec son genou replié, Chantal en profita pour descendre sa main, en partant du haut de sa rotule et descendre vers l’intérieur de sa cuisse. Elle sentait la chaleur de plus en plus forte au fur et à mesure qu’elle s’approchait de son entrecuisse.

Arrivée à la lisière de la petite culotte de sa fille, elle passa avec son ongle sur le contour en dentelle de ce fin tissu blanc. A cet endroit, la peau est ultra fine et sensible. Avec une habileté formidable, elle souleva, avec le bout de son doigt, l’élastique et rentra en contact avec une de ses grandes lèvres dépourvues de poils comme elle.

Olivia avait relevé son autre jambe machinalement et avait, ainsi, les jambes écartées avec le doigt de sa mère sous le tissu tendu de sa culotte. Elle remontait tout le sillon de la vulve de sa fille qui était carrément détrempée.

Sans s’en rendre compte non plus, Chantal employait un langage qui ne lui correspondait absolument. Sans doute l’excitation suprême en était la cause.

– Mais tu es toute trempée, petite cochonne ! Regarde, mon doigt est tout luisant de mouille !

Elle le sortait et le lui montrait, avant de lui frotter sous son nez. Olivia était sans voix, mais ne détournait pas la tête. Chantal replongeait sous son petit slip et lui massait toute la longueur du sillon de sa chatte, du clitoris jusqu’à sa petite rondelle plissée.

À chaque passage, elle appuyait un peu plus fort sur son petit trou et sous la pression, la première phalange rentra dans son petit cul. Olivia descendit sa main sur sa chatte et commençait à se masturber en ne se souciant plus du tout de la présence de sa mère. Celle-ci en profita pour lui enfoncer entièrement son doigt dans le cul.

– Eh bien ma salope, tu te prends mon doigt entièrement dans le cul et tu ne mouftes pas, je pense que t’as bien caché ton jeu et que tu es une petite chienne dans l’âme !

Sa mère ne se retenait plus et lui labourait le cul jusqu’à la faire bouger sur le lit. Olivia s’était tendue comme un arc et dans un cri de libération laissa sortir toute sa jouissance. Sa mère sortit son doigt du cul de sa fille, le porta à ses propres narines, puis sortit de la chambre pour aller se masturber, avec ce doigt fort odorant.

A suivre

2015 (c) Hélèna Sevigsky

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8 réponses à Olivia et sa mère – 1 – par Hélèna Sevigsky 

  1. Harivel dit :

    Cette lecture m’a profondément troublé. Mais à la question « Où serait le mal ? » Je n’ai pas trouvé de réponse, sans doute parce qu’il n’y en a pas ?

  2. Jugan dit :

    Eh, oui quand on y réfléchi, où est le mal ! Vive les familles tuyau de poêle !

  3. Claire dit :

    J’avoue mon trouble ! Trouble coupable ? Coupable de quoi ? Les tabous sont fait pour être brisés quand ils ne portent pas préjudice. Je vais rechercher d’autres histoires similaires. Je fais comment.?

  4. Hurault dit :

    Limite, limite, non ?

    • Eddy dit :

      On peut effectivement le trouver « limite » mais en rigueur de termes ce récit n’est pas hors charte. les protagonistes sont majeurs et rien ne laisse supposer dans le récit qu’il s’était passé quelque chose avant la majorité de la jeune femme.

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