Olivia et sa mère – 2 – par Hélèna Sevigsky

Olivia et sa mère – 2 – par Hélèna Sevigsky

Chapitre 2

Chantal était couchée sur son lit, avec son index imbibé de l’odeur du trou du cul de sa fille sous son nez et l’autre dans sa petite culotte pour une folle masturbation. Elle ne tarda pas à jouir en se remémorant la scène qui venait de se jouer dans la chambre d’à-côté.

Après avoir atteint l’orgasme, elle n’était pas encore rassasiée, elle avait encore le feu au corps.

En toute confiance, vu le peu de résistance qu’Olivia lui avait montrée pendant ces premières caresses, Chantal décida de retourner dans la chambre de sa fille.

Olivia s’était endormie après le traitement que sa maman lui a fait subir, elle dormait du sommeil du juste.

Elle était telle que sa maman l’avait quittée quelques instants plus tôt. Couchée sur le côté, en cuillère, dos face à la porte et toujours vêtue de son soutien-gorge et sa petite culotte.

Chantal vint se coucher à ses côtés sans que sa fille ne se réveille. De sa main droite, elle lui caressa son bras droit qui était le long de son corps.

Chantal se recula légèrement et prit l’initiative de lui dégrafer son soutien-gorge, le lui passa au-dessus de son bras accessible, puis, la tournant doucement pour la placer couchée sur son dos, le lui retira complètement et le déposa à côté du lit. Olivia dormait toujours en respirant profondément, montrant ainsi son état léthargique.

La maman s’enhardit, sa fille couchée sur le dos et elle à ses côtés, couchée sur sa gauche, avec sa main qui tenait sa tête, elle contemplait le corps parfait de sa fille.

Avec son pouce et son index, elle faisait rouler les tétons l’un après l’autre, puis descendit doucement vers le bas-ventre d’Olivia.

Elle passa sa main sous l’élastique de sa petite culotte et atteignit la fente encore toute poisseuse de sa jouissance précédente.

Chantal lui planta un doigt dans ce vagin collant de mouille et sentit de nouvelles sécrétions venir se mélanger aux anciennes.

Olivia ouvrit doucement les yeux et voulut dire quelque chose, mais sa maman, attentive à tous ses gestes, sortit son doigt collant de sa chatte et vint le lui coller sur sa bouche en lui disant :

– Chuuuuuuut, ma chérie, laisse-toi aller !

Olivia referma les yeux et entrouvrit sa jolie bouche. Chantal lui badigeonna le nez et ses lèvres de sa propre mouille. L’odeur était très forte car la cyprine était dans son vagin depuis un moment.

Chantal, comme une anguille, se faufila vers le pied du lit et se planta entre les jambes d’Olivia.

Elle lui mit ses chevilles sur ses épaules et lui retira son dernier rempart. Elle garda les jambes de la jeune femme relevées avec sa seule main gauche. Elle approcha son visage devant cette petite fente fort odorante. Dans cette position, les grandes lèvres de sa petite chatte étaient gonflées, car enserrées entre ses cuisses.

Chantal passa sa langue sur cette jolie fente rosée de mouille, ce qui faisait couiner Olivia. Elle lapait carrément tout le jus poisseux de la chatte de sa fille.

En faisant pression de sa main gauche, la maman ramenait pratiquement les jambes de sa petite chérie sur ses seins. Dans cette position, elle se retrouvait à cinq centimètres de la petite rondelle brune qu’elle venait de triturer quelques minutes plus tôt.

Son petit cul sentait fort aussi, mais quelle vision fantastique de voir ce petit œillet de si près ! Il était tout serré et brun.

De la pointe de sa langue, la maman vint titiller ce trou plissé.

Olivia eut un sursaut, ne s’attendant pas à ce que sa maman mette sa langue à cet endroit.

Chantal continuait ainsi son traitement avec sa langue humide et en forme de petit foret, elle pénétrait de quelques millimètres cette petite barrière très serrée.

La mouille d’Olivia coulait de sa chatte à son cul, la maman n’en perdait pas une miette. La jeune femme gémissait et enchaînait les orgasmes.

Chantal ne se retenait plus et, de sa bouche entière, passait de la chatte au cul d’Olivia. Elle avait le contour de sa bouche et son nez barbouillés de mouille. Elle remontait d’une traite le lit et venait embrasser sa fille qui ne refusait pas le baiser. De cette façon, Chantal transmettait tous les parfums corporels à sa fille. Celle-ci suçait carrément le contour de la bouche de sa mère.

Elle fit descendre Olivia de quelques centimètres, puis lui enjamba le visage. Elle était à califourchon au-dessus de la bouche de sa progéniture. De son index et majeur, elle écarta les lèvres de sa chatte et s’abaissa pour que ses lèvres rentrent en contact avec la bouche d’Olivia. Sans jamais l’avoir fait, et qui plus est, à sa maman, Olivia lapait cette chatte également dégoulinante. Chantal donnait des coups de bassin, ce qui écrasait un peu Olivia et lui maculait également le visage de mouille.

Avec la langue d’Olivia et ses frottements sur son visage, Chantal jouit bruyamment et s’écroula à côté de sa fille.

Les deux femelles s’endormirent dans cette petite chambre où planait une forte odeur de chattes en chaleur…

Fin

Hélène Sevigsky – 2015 (c)

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8 réponses à Olivia et sa mère – 2 – par Hélèna Sevigsky

  1. Mélanie dit :

    Je n’ai eu que deux fois l’occasion de lécher la chatte de ma mère ! Mais quel souvenir exquis !

  2. Marylu dit :

    Un petit bijou de perversité d’une efficacité inouïe

  3. Chastaing dit :

    Dans le genre on a lu mieux mais ça reste agréable et ça ne choque que ceux qui sont prisonniers de leurs tabous !

  4. Watford dit :

    N’importe quoi ?
    Quelle fille lécherait la chatte de sa propre mère, même les putes ont des limites.

    • Lucia dit :

      Quelle fille ?
      Moi par exemple !
      La pratique est bien plus courante que vous pensez.
      Tout n’est qu’une question de circonstances
      J’étais majeure, j’étais consentante et nous avons recommencé
      Et je peux vous assurer que je ne suis absolument pas traumatisée

  5. Jugan dit :

    Encore plus pervers que le premier chapitre. Moi je dis Bravo

  6. Claire dit :

    Une bonne suite, à la fois « logique » et plus osée. j’ai remarqué de même que dans le premier chapitre, l’auteur faisait des allusion sur les odeurs corporelles, mais semblait s’interdire d’aller plus loin dans cette voie, cela aurait pourtant été interagissant. Enfin on peu toujours fantasmer sur une suite « uro-scato » !

    • Eddy dit :

      Merci Claire ! Si quelqu’un veut se lancer dans cette proposition de suite, qu’il ne se gêne surtout pas !

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